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La planète républicanisée, illusionnée Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-04-2016 22:13

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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La planète républicanisée, illusionnée
Cette république qui lança la mode
des CHAMBRES À GAZ ou EXTERMINATION EN GROS
Le Rasoir national ou Guillotine
servant de PACTE DU SANG (CONTRAT SOCIAL) et
« république une et indivisible »,
comme une religion)
reprise ensuite par l’URSS en 1917.
L’extermination en gros doit être
rentable, compétitive : faire
disparaître 815.000 Vendéens sur 10.000 km2.

Hystérie, hallucination collective de 1789 à nos jours.

« Vrais républicains » = CRIMINELS CONTRE L’HUMANITÉ et RENTABILITÉ.
 
 
LA RÉPUBLIQUE C’EST UNE RELIGION INVERSÉE, donc issue de la religion judéo-maçonnique inversée en guerre comme au temps des Croisades « contre l’infidèle » : « Soldats républicains ! Il reste encore au-delà de la Sambre, il reste encore sur les bords du Rhin et de la Moselle des esclaves féroces armés contre la sainte cause que nous défendons ; ils sont couverts de sang de vos femmes et de vos enfants ; ils ont du sang des représentants de la nation [gouvernement représentatif de nos jours] ; ô douleur ! Il en reste jusque dans nos cités… ».
 
Pour mettre en œuvre leur plan d’extermination de masse, les membres du Comité du Salut public [nouveau messie] sont réunis en permanence au pavillon de Flore, et rédigent leurs ordres successivement sur des petits bouts de papiers qu’ils signaient et transmettaient à des copistes, avant transmission aux « représentants du peuple » et aux généraux exécutants des basses œuvres. Les « commissaires politiques » des Juifs bolcheviques feront de même en 1917 et auront un rôle moteur dans cette même extermination de masse.

« Vous avez vaincu les satellites des tyrans du Nord. Comment ne terrasseriez-vous pas les hordes de brigands. La Patrie l’attend de votre courage et de votre civisme. Elle vous confie le commandement d’une armée républicaine… Les brigands que vous allez combattre ont été défaits plusieurs fois depuis peu de jours… Frappez simultanément  et frappez sans relâche jusqu’à ce qu’enfin cette race impure soit anéantie. Salut et fraternité ». Signé Billaud-Varenne, Barère.

« … La gloire de purger le sol de la liberté de ces débris infects du Royalisme t’est réservée. Nous te sommons au nom du Salut public [nouveau messie] d’aller et placer à la tête de cette colonne de braves républicains et d’aller achever ce que l’armée de l’Ouest à commencé avec succès. Enflamme le courage du soldat, surveille l’officier, agis en masse, concertes avec le général le plus ancien de la colonne… » Signé Barère, Carnot, Billaud-Varennes. Et ce sont ces criminels qui parlent de « fraternité » !

« Soldats de la liberté. La Convention nationale vous appelle à l’honneur d’exterminer les brigands fugitifs de la Vendée. Déjà ils ont été battus et mis en déroute dans la commune du Mans. la gloire d’achever cette horrible guerre vous est adressée et la patrie vous assurera ce succès… Unissez votre courage à celui de l’armée de l’Ouest. Le dernier des brigands doit être exterminé par vous et la patrie est sauvée. Vive la république ». Signé Barère.

Le général Westermann rend compte au Comité du salut public :
« Il n’y a plus de Vendée, Citoyens républicains, elle est morte sous notre sabre libre avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay. Suivant les ordres que vous m’avez donnés, j’ai écrasé les enfants sous les pieds des chevaux, massacré les femmes qui, au moins, pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. j’ai tout exterminé. Un chef des brigands, nommé Désigny [Gabriel Désigny 1734-1793] a été tué par un maréchal des logis. Mes hussards ont tous à la queue de leurs chevaux des lambeaux d’étendards des brigands. Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant que sur plusieurs endroits ils font des pyramides. On fusille sans cesse à Savenay car à chaque instant il arrive des brigands qui prétendent se rendre prisonniers ».

Marceau envoie des flatteries au ministre de la guerre : « Westermann, Canuel, Tilly, Dembarrère, Savary et tous les officiers généraux et supérieurs se sont montrés vrais républicains ». Ainsi les « vrais républicains » sont des criminels au nom de l'opinion.

L’ordre d’extermination de masse est donné par les députés (« représentants du peuple ») de la Convention et commence par le vote de la loi du 1er août 1793, confirmée par une seconde loi du 1er octobre 1793, le tout conçu, organisé, planifié et mis en œuvre sur le terrain par le Comité du salut public à l’aide de ses « petits bouts de papier » encore disponible à l’examen aux Archives nationales.
Les Vendéens furent exterminés par deux lames : sur la rive droite de la Loire générée directement par le Comité du salut public avec ses bouts de papiers, et l’autre sur la rive gauche confiée à Louis-Marie Turreau nommé général en chef de l’armée de l’Ouest à cette seule fin par le même Comité du salut public.

Avec l’Encyclopédie de Diderot & Cie on entrait vraiment dans la société industrielle. Aussi pour tuer en masse il fallait INNOVER, car rien n’existait en matière d’extermination industrielle, robotisée. Il fallait mettre en place des moyens d’extermination non seulement en gros, mais comme le business prenait grandement son essor, il fallait faire rapide, ÉCONOMIQUE ET RENTABLE. Trois voies furent explorées : le gaz, les mines antipersonnelles, l’empoisonnement. C’est cyclique et se retrouve à de nombreuse époques.
Carrier, le 9 novembre 1793 veut employer des moyens extrêmes : « Vous avez délivré le pays d’un chancre qui le dévore. Le poison est plus sûr que votre artillerie. Ne craignez donc pas de le mettre en jeu. Faites empoisonner les sources d’eau. Empoisonnez du pain, que vous abandonnerez à la voracité de cette misérable armée de brigands et laissez faire l’effet. Vous avez des espions parmi ces soldats du pape qu’un enfant conduit. Lâchez-les avec ce cadeau et la patrie sera sauvée. Vous tuez les soldats de La Rochejaquelein à coup de baïonnette, tuez-les à coups d’arsenic, cela est moins dispendieux et plus commode. Je vous ouvre cet avis auquel j’ai fait adhérer ma société populaire et mes sans-culottes [sans culte]… »

Ces phases d’exterminations industrielles ayant plus ou moins échoués, le Comité du salut public se voit obligé de retourner en arrière : décollation, éclatement des crânes, sabrage, noyade en gros, exécution par balle, etc. Mais c’est lent et couteux ! Même guillotiner est coûteux :
Loger le prisonnier, le nourrir un minimum, garnir sa geôle de paille, le faire garder, le convoyer, l’exécuter et l’enterrer.
L’exécution coûte la plus cher : ériger la guillotine, l’entretenir journellement en la graissant, vérifiant les cordes, voir les changer, aiguiser le couperet, peindre la structure, payer le bourreau et les porteurs, nettoyez après exécution. Chaque décollation engendre des projections partout en 1 voir 2 litres de sang qui s’accumulent et pourrissent, pouvant entraîner des maladies.
Certains jours le bourreau ayant tellement travaillé, qu’il était obligé de se reposer parce qu’il ne pouvait plus remuer les bras.

Les « mariages républicains » (noyades) furent le grand sadisme républicain : lier ensemble deux personnes totalement nues : une homme et une femme comme une mère et son fils, un frère et une sœur, un prêtre et une religieuse, avant de les pousser à l’eau. Pour les noyades en gros on fait comme de nos jours avec les « migrants » : on entasse la cargaison humaine dans une bateau aménagée de sabords (ouvertures pour les canons). Une fois au large on fait voler en éclats ces sabords, et le bateau coule avec ses « migrants ». S’il y a des rescapés, pas de problème, on les sabre, d’où le mot « sabrade » inventé par Moreau-Grandmaison (1755-1974). On les assomme aussi.

Ces bourreaux ont un salaire : 10 livres par jour, plus le produit de la vente des biens des victimes : cheveux, dents, bijoux, argent, vêtements. Par exemple les dépouilles des prêtres après noyade sont évaluées à 40.000 livres.

Un témoin de ces noyades, Wailly, raconte : « Deux gabares chargées d’individus s’arrêtèrent à un endroit nommé la Prairie-aux-Ducs. là, moi et mes camarades, nous avons vu le carnage le plus horrible que l’on puisse voir. Plus de 800 individus de tous âges et de tous sexes furent inhumainement noyés et coupés en morceaux…
Les gabares ne coulaient pas assez vite au fond ; on tirait des coups de fusil sur ceux qui étaient dessus. Les cris horribles de ces malheureuses victimes ne faisaient qu’animer davantage leur bourreaux. J’observais que tous les individus qu’on a noyés dans cette nuit furent préalablement dépouillés, nus comme la main. En vain, les femmes réclamaient-elles qu’on leur laisse leur chemise ; tout leur fut refusé et elles périrent. Leurs hardes, leurs bijoux, leurs assignats furent la proie de ces anthropophages et ce qu’on aura à peine à croire, c’est que ceux qui les avaient ainsi dépouillés vendaient le lendemain matin ces dépouilles au plus offrant » (rapport de la Commission des vingt et un, cité par R. Secher).


LES CHAMBRES À GAZ.

Pour exterminer en masse, entassez votre cargaison humaine dans un endroit où vous calfeutrez toutes ouvertures donnant sur l’extérieur, attendez environ 48 heures, et le lendemain la Nature aura fait son œuvre, et c’est très économique comme système d’étouffement.
Noyez en masse est ainsi beaucoup plus rentable que le Rasoir national !

En URSS de la juiverie des Lénine-Troksy-Staline aussi on faisait dans le gros et le rentable. L’OGPU avait cette instruction officielle pour les détenus genre « brigands » de 1793 : « Les affecter exclusivement aux travaux d’abattage du bois les plus pénibles. Ces détenus doivent ”crever” aussi vite que possible », cela s’appelait « Rééducation par le travail ». En URSS pas besoin de noyade, leur « noyade » s’appelait HIVER et travaux forcés, comme quoi le communisme ou socialisme c’est la même chose que le capitalisme : RENTABILISER.

Le comble de l’horreur est que cette religion inversée : le républicanisme et socialisme de l’URSS font absolument dans la religion, puisqu’en URSS ils vont pousser le vice à affirmer que « la religion est l’opium du peuple ». Mais alors, qu’est ce que c’est le Parti en URSS, véritable temple de cette religion ? et ce Salut public des républicanistes et aujourd’hui « ses valeurs » ??
Aux alentours de 1917 la religion consistait à détruire les églises, à beugler des chants blasphématoires, à forniquer dans les recoins sombres des églises encore debout, à éborgner les représentants de la religion, non du peuple, mais de Jésus (donc de tous), à se vider le ventre et la vessie sur des icônes qu’on jettent ensuite dans des latrines, et accrocher la devise : « la religion est l’opium du peuple », en oubliant que la religion du socialisme et à son parti unique est AUSSI une religion, mais à l’envers ! La république infestant le monde fait de même et de façon encore plus terrible : aseptisée, sournoise et vicieuse, pas franche.


LA « DÉMOCRATIE ».
Pour faire référence à des amis qui se reconnaitront : la plus grande arnaque de l’après 1789 est bien la « démocratie » et son outil « pouvoir du peuple », car ce système, ce isme, évite aux humains de se comparer à des esclaves, des « serfs ». Ainsi ils ne sont même plus des esclaves, ce qui est pire, une catastrophe, car le serf, l’esclave, lui, au moins connaissait sa condition ET L’ACCEPTAIT, du moins s’ils n’étaient pas méprisé, volé et battu ; mais il en avaient parfaite conscience, et pouvait s’en arranger. Le mental de l’humain permet de rêver à la « liberté », qui nous est naturel, mais, de nos jours de « liberté d'expression » IL N’Y A PLUS DE RÊVE, PLUS DE MERVEILLEUX, LA RAISON VEUT TOUT CONNAÎTRE, C’EST BIG BROTHER : CIRCULEZ YA RIEN À VOIR ! PLUS PERSONNE NE SE REND COMPTE QU’IL EST ENFERMÉ, ainsi il n’aura pas la volonté d’échapper à sa condition, ou au mieux de protester. « On est en période de rêves et d’esclaves sans liens entre eux, sans harmonie ».
Notre monde est véritablement républicanisé, et c’est LE CHLOROFORME (entendre le confort ou sécurité et sa manipulation) PARFAIT NÉE EN FRANCE EN 1789 À CAUSE DE CERVEAUX TRÈS TRÈS TRÈS MALADES (re-lisez les extraits des quelques lettres d’époque ci-dessus), et de philosophistes tous aussi très très très malades.
Si trop peu d’êtres humains ne se réveille de leur sommeil du républicanisme, ils seront de plus en plus endormis, de plus en plus dans l’illusion, avec de plus en plus « état d’urgence » partout dans le monde, LE TOUT JUSQU’À LA MORT, et ils leur sera impossible de se réveiller, impossible d’un retour vers leur Origine : LA PAIX !



[En références à : Vendée, du Génocide au Mémoricide, de Reynald Secher ; Aux origines du Goulag, de Sozerko Malsagov et Nikolaï Kisselev-Gromov]
 
 

Dernière mise à jour : 21-04-2016 22:47

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