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Pleasantry 1 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 31-05-2016 22:51

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Pleasantry 1
 
 
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Rappel : depuis l’arrivée des Hébreux sur Terre, puis du christianisme et de la dernière religion du Livre « tombé du Ciel », très très très peu de gens sont conscients de la dramatique tabula rasa que ces religions ont apportées avec leur évolutionnisme, qui a détruit le destin individuel, astrologique, le SOI-INSTANT, pour, comme en 1789, instaurer la « liberté humaine » et rendre l’être humain solidaire d’une destinée faussement collective, faussement adamique, et non magique, non cosmique. L’idée de « liberté » avait une toute autre valeur chez les Anciens dans un Cosmos clos, cyclique et en même temps éternel, traversé par la force énergétique magique des astres. Tout ce qui relevait de l’expérience humaine était chargé d’une énergie magique, invisible surtout, qui perturbait la « volonté » de l’humain. De nos jours pour beaucoup de croyants des religions du Livre, l’Astrologie paraît une imbécilité, ou du paganisme.
Enfin, Babylone et sa Tour symbolisait, était même, LA STARGATE : le « Ciel » s’ouvrait au-dessus d’elle. Voir l’étymologie populaire de Babylone et de Babel qui donneront Bâbilou : Porte du Dieu, donc Stargate ou Porte des Étoiles. Stargate ou Temple permettant « d’accéder au Ciel ». Des légendes babyloniennes parlent du « Voyage au Ciel » et ressemblent aux croyances d’autres peuples, selon lesquelles « le Chemin des Cieux » s’ouvre au mortel à proximité du pilier du Ciel. L’ARC-EN-CIEL est du même thème ; on dit aussi vulgairement « s’envoyez en l’air », et toute l’aviation et la « conquête spatiale », sans oublier les « ovnis », sont également du thème Stargate ou Bâbilou ou Pilier du Ciel, ou Arc-en-Ciel : AXE DE L’UNIVERS genre Arbre de Vie qui pousse dans le Nombril de la Terre. Voir l’universel Arbre de Vie des Anciens Égyptiens ou l’Ygdrassil des Vikings et autres peuples du Nord. Encore une fois la « laïcité » ça n’existe que chez certains judéo-maçons spéculatifs travaillant du chapeau étatique !
 
Publication du début d’un projet de long métrage.

SÉQUENCE 1.
Aux États-Unis il pleut en permanence à Boston. Sur la pelouse devant un grand bâtiment on peut lire : « Massachusetts Institue of Technologie ». La caméra se dirige vers les baies vitrées qui ruissellent de pluie, pour essayer de distinguer aux travers des vitres, trois techniciens inquiets devant leurs consoles d’ordinateurs. Un quatrième technicien vient leur montrer une carte satellite du temps sur l’Amérique du Nord.
Sur les coteaux de Bourgogne en France la même pluie dense ne s’arrête plus depuis des jours. De sa fenêtre, une vieille femme et son vieux mari observent à l’extérieur ; au loin un paysan se dépêche de rentrer, assis sur son vieux tracteur tirant une carriole bâchée.

- LA VIEILLE FEMME : Ça fait bien 8 jours qu’ça tombe.
- LE MARI : Ouaip ! Compte là d’ssus et bois dl’eau !
- LA VIEILLE FEMME : Ah ! Si tu t’y mets aussi !

Toujours en France et sous la pluie, une station météo à proximité de Nice. Il pleut sur une batterie d’instruments radars. Deux techniciens sous leur ciré réparent tant bien que mal le câble d’un radar que la grêle a en partie cisaillé. L’un des techniciens en montrant le câble :
- TECHNICIEN 1 : Des grêlons gros comme des abricots ; je n’avais jamais vu ça.
- TECHNICIEN 2 : Moi qui suis de la région, pas vu ça non plus.
- TECHNICIEN 1 : Mon vieux, c’est encore un coup de l’évolutionnisme !
À ce moment là un éclair jaillit d’un nuage tout proche.

Proche de la station météo : Aéroport de Nice, France.
Il pleut sans discontinuer. C’est tellement exceptionnel sur la Côte d’Azur, que des millions d’escargots ont envahi la piste d’atterrissage, clouant ainsi les avions au sol. Il n’y a pas que la piste qui est gluante de bave, la tour de contrôle aussi, car des milliers d’escargots grimpent dessus en obstruant les baies vitrées. Une voiture grue arrive pour essayer de les déloger des baies.

SÉQUENCE 2.
Un matin, temps gris sur le château d’Anjony à Tournemire dans le Cantal en France. Le château est entouré d’arbres et de prés. Il pleut fort sur les pavés devant l’entrée d’où sort une femme. Elle charge du matériel dans une voiture. Mais au moment du départ : le moteur de la voiture, avec toute cette pluie refuse de marcher ! Celui qui héberge cette équipe de météorologues l’observe de l’entrée du château, et lui propose de la conduire avec sa carriole à cheval. Ils montent tous les deux dans la carriole, et le propriétaire du château crie au cheval d’avancer.
Sur la carriole ils discutent :
- ANTOINE : Êtes vous satisfaite de votre chambre Madame Marilyn ? Est-ce que le temps est pourri aussi à Boston ?
- MARILYN : La chambre est bien, les murs sont épais on ne risque rien ici, mais à Boston, depuis 8 jours il pleut autant qu’en France. Et vous Antoine, vous avez déjà vu un temps pareil qui dure si longtemps dans vôtre région ?
- ANTOINE : Madame Marilyn non. Et ça fait bien 4 générations que ma famille les Coutiou, sommes installés dans le Cantal.

La carriole arrive en vue d’un grand bâtiment aux formes sinistres et industrielles de cette génération d’architectes comme un Le Corbusier : c’est la station météo et radio astronomique de Tournemire, avec ses paraboles et son antenne, avec tout en haut une grosse boule pointée vers le ciel.
Marilyn demande à Antoine de s’arrêter à distance, elle veut continuer à pieds pour ne pas être repéré.
Marilyn Gherram après avoir récupéré son matériel, rejoint tant bien que mal sous la pluie battante et dans la boue son collègue Christophe Biello, qui est caché derrière une petite colline. Il observe les gardes aux alentours avec ses jumelles à infrarouges. C’est un costaud, il a environ 40 ans.

- CHRISTOPHE : Marilyn, vous croyez pas que vous en faites trop dans la théorie du complot ?
- MARILYN : Cher Christophe, j’en ai simplement marre de cette pluie. Quelque chose doit fabriquer tout ça !
- CHRISTOPHE : Remarquez, pour une station radio astronomique, ça fait tout de même 3 gardes devant, et en passant 2 sur le côté et….
Il est coupé par Marilyn, qui vient de sortir un instrument de mesures.
- MARILYN : Et bien, voilà que le détecteur d’ozone s’affole, l’aiguille oscille curieusement vers le maximum, tient regarde. (En montrant le cadran à Christophe).
Marilyn s’impatiente devant l’attitude comme paralysée de Christophe :
- MARILYN : Bon on y va ? Sinon on va finir noyé ici !

Ils progressent lentement dans la boue, vers un côté du bâtiment où il y a des ouvertures d’aération. Malheureusement un garde arrive, Christophe est obligé de le neutraliser d’un coup sur la tête. Puis il lance une échelle de corde vers une ouverture, mais avec toute cette pluie, il n’est pas facile de viser juste.
Enfin, les 2 équipiers grimpent sur l’échelle de corde. Une fois dans la place, Christophe ramène l’échelle rapidement.

En plein jour dans la station météo radio astronomique.
Marilyn et Christophe débouchent du vasistas d’aération dans un couloir.
Au détour d’un autre couloir, une employée de nettoyage pousse négligeamment son chariot à balais et à produits d’entretien. Marilyn et Christophe n’ont que le temps de se cacher dans les toilettes.
C’est une mauvaise idée, car c’est justement là que se dirige l’employée afin de nettoyer ces toilettes et remettre des rouleaux de papiers hygiéniques. Alors Marilyn et Christophe jouent sur une certaine mode absurde, et avec leur attirail de météorologiste, ils se font passer pour des plombiers ! Et ça marche !
La femme de ménage leur laisse même son adresse, pour qu’ils viennent réparer chez elle un robinet qui fuit !
Après s’être penché sous le lavabo et avoir fait semblant de dévisser quelque chose, Christophe n’en peut plus de se retenir de rire et se relève.
Il entraîne Marilyn, puis tous les deux dans autre couloir, repèrent par le bruit une grande salle équipée d’instruments électriques un peu archaïques, dont un énorme bobinage d’où se dégagent des éclairs bleutés dans un bruit de claquements fracassants, un peu à la Nicolas Tesla.
Avec stupeur Christophe observe l’écran de son fréquencemètre, et aperçoit l’aiguille indiquer 3 Hz.

- CHRISTOPHE : Qu’est ce qu’ils font là-dedans ?
        
Un homme de grande taille (1,90 m.) devant un pupitre de commande vieillot et bizarre les aperçoit.
Aussitôt il sort de sa poche une petite « lampe torche », reliée à un boîtier attaché à sa ceinture. De cette « lampe torche » sort un rayon verdâtre aux propriétés surprenantes, car Christophe pousse Marilyn derrière une colonne pour se protéger, mais le rayon contourne la colonne !
Alors Christophe et Marilyn se couche au sol, là encore le rayon descend sur eux à angle droit ! Ils roulent sur eux-mêmes, pour échapper à ce rayon qui les suit à la trace et à leur vitesse.
Mais leur roulé-boulé est arrêté par les pieds de 3 gardiens. Le rayon verdâtre s’arrête un instant à 50 cm d’eux, puis se rétracte en arrière d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Les 3 gardiens n’ont pas d’arme, mais semblent costauds, et Christophe ne veut pas de bagarre. Ils se rendent. Les 3 gardiens les conduisent vers un sous-sol, puis dans une pièce vide.

Lumière verdâtre dans la pièce vide.
La porte s’est mystérieusement « effacée » du mur : plus aucune trace. Un garde confisque les instruments de Christophe, un autre le fouille. Le troisième examine le physique de Marilyn qui n’est pas mal du tout !
Quand entre l’homme de grande taille d’un assez joli physique, il se présente :

- SEKA : Je me nomme Seka, c’est un nom très ancien. Vous êtes entré sans autorisation et les choses que nous faisons ici ne vous regarde pas. Mais je veux savoir ce que vous connaissez de ces problèmes météorologiques. Tenez le ! (en désignant Christophe).
Seka sort sa « lampe torche », et projette le rayon verdâtre sur le sol qui devient un socle. Les deux gardiens allongent Christophe et le maintiennent. Le troisième tient Marilyn.

- CHRISTOPHE : Qu’est-ce que c’est ça ! Vous n’avez pas le droit de faire la justice vous même, appelez la police !
- SEKA : La police ont l’a créé nous-même ! Laisses voir tes noms-les formes, tu ne sentiras rien et ce sera comme dans un rêve.
De la « lampe torche » de Seka sort un rayon de couleur chair qui se projette sur le visage de Christophe qui essaye de crier, mais son visage a comme disparu, il ne reste que deux oreilles aux travers desquelles ont peu voir : pluie, labo, instruments, logement au château d’Anjony, et antenne du bâtiment où il est prisonnier avec Marilyn.
Seka éteint sa torche. Christophe n’a plus de visage, il ne reste que deux oreilles flottantes dans l’air faute de support !

- MARILYN : Vous êtes un monstre, Vous avez fait un monstre. Christophe est mort !
- SEKA : Oui vous avez raison, je vais lui donner de l’air.

Seka avec sa torche ouvre un trou sous la gorge du « visage » de Christophe, puis il fait signe aux 3 gardiens de les laisser. Toujours sous l’action de la torche, la porte se matérialise, puis se dématérialise ; laissant dans cette pièce vide Christophe allongé sur le socle avec un semblant de nez, mais pas encore ses yeux, ni sa bouche, et Marilyn pleurant.

SÉQUENCE 3.
Le jour, aux Etats-unis à San Francisco, dans un appartement de location d’un immeuble moderne. Un homme d’environ 40 ans est affalé dans un canapé, avec un casque de visualisation d’images virtuelles sur les yeux.
Vladimir Oblakoff regarde un « film ». On sonne à sa porte depuis un moment mais avec le casque, ce n’est pas évidant.
Enfin, il se doute de quelque chose et va ouvrir après avoir enlevé le casque. Un petit monsieur sans âge que soutient une canne, et avec un bonnet de laine bleu clair sur la tête le salue poliment et dit :

- TO-TJENEN : Je suis nouveau locataire dans l’immeuble, et je suis votre voisin d’en face : Monsieur To-Tjenen. Je viens de perdre mes clefs, me permettez-vous de téléphoner à un serrurier ? Je peu plus rentrer chez moi.
- VLADIMIR : Enchanté, moi je m’appelle Vladimir Oblakoff. Je vous en prie, faite.
Il lui tend le téléphone. Tout en téléphonant, Monsieur To-Tjenen examine l’endroit et Vladimir. Il y a 3 ordinateurs, allant d’un antique Apple année 1983, en passant par un IBM de bureau année 1990, jusqu'à un Macintosh année 2000. Aux murs sont affichés les 64 hexagrammes du Yi-King avec le symbole Taiji (entrelacement du Yin noir et du Yang blanc), et une reproduction d’une peinture Egyptienne de l’époque pharaonique exposée au musée du Caire.
Son entretien téléphonique terminé, Monsieur To-Tjenen n’a plus qu’à attendre le serrurier, et en faisant de petits pas il s’approche de la reproduction et lit : « Musée du Caire ». Ce qui le rend désolé et le met un peu en colère.

- TO-TJENEN : Ah ma pauvre Memphis ! Par la semence et la main d’Atoum, c’est la deuxième fois que je me désole : la première fois c’était il y a 1468 ans, et la deuxième fois c’est ce jour.
Vladimir est effrayé et croit avoir à faire à un fou. Voyant son désarroi Monsieur To-Tjenen le rassure :
- TO-TJENEN : Je ne te dirais… Permets que je te tutoie, je ne peu pas maintenant te dire qui je suis réellement, ça ajouterait à ton désarroi, mais je te demanderais bien un autre petit service, et il faut faire vite !
Vladimir toujours effrayé écoute par politesse.
- TO-TJENEN : L’innocence que dégage ton visage m’inspire confiance.

Vladimir dit merci à Monsieur To-Tjenen et commence à s’impatienter.
- TO-TJENEN : Et tu prêts à entendre ce que je vais te dires ?
Vladimir fait oui de la tête.

- TO-TJENEN : Ces pluies sont déclenchées artificiellement par les machines des mauvais Atlantes.
- VLADIMIR : Les mauvais Atlantes ? Les Atlantes existent donc ?
- TO-TJENEN : Oui et ce sont même eux qui t’ont créé, et créé le monde…
- VLADIMIR : Oh là ! Désolé, mais il est temps que le serrurier vienne ouvrir la porte de ton appartement.
- TO-TJENEN : Vladimir, on n’a plus le temps. Une de tes compatriotes Américaines et un Canadien sont en danger de mort en France, et par moi-même je ne peux rien faire pour le moment. Je n’ai pas le temps de t’expliquer, viens… Mais qu’est ce que c’est ? (Il montre un lecteur de CD audio et vidéo DVD).
- VLADIMIR : C’est un lecteur enregistreur à laser !
- TO-TJENEN : Laser, lumière, lumière… Vite, démonte moi ça !
- VLADIMIR : Alors là tu abuses de mon hospitalité, non ?
- TO-TJENEN : Il pleut et les 2 personnes qui pouvaient arrêter ça sont en danger de mort, je te répète.

Vladimir alors saisit un tournevis, et fait sauter le capot du lecteur enregistreur de CD.
- TO-TJENEN : Va me chercher un miroir, protèges-toi les yeux et allumes ton truc.
Vladimir revient de la salle de bain avec un miroir, il saisit ses lunettes d’images virtuelles qu’il s’ajuste sur la tête et allume l’enregistreur de CD. Le rayon-laser éblouissant jaillit au plafond. To-Tjenen saisit le miroir, le cale à 45 degrés au-dessus du laser, ce qui dévie le rayon à 90 degrés vers le fond de la pièce.
Puis To-Tjenen inquiet examine rapidement la pièce, il n’avait pas remarqué le bocal sphérique des 2 poissons rouges de Vladimir. Il attrape le bocal, jette les poissons rouges dans un vase avec des fleurs, et le place devant le rayon-laser qui aussitôt diffuse le rayon en une sorte d’arc-en-ciel. To-Tjenen attrape par le bras Vladimir qui crie. Aussitôt dans la lumière de l’arc-en-ciel, To-Tjenen et Vladimir deviennent tout rouge puis se dématérialisent, pendant que le lecteur enregistreur commence à fumer, le rayon s’éteint brusquement.

À suivre… Si le temps le permet…


DISTRIBUTION (CAST) dans les séquences ci-dessus :

TO-TJENEN : Dieu chtonien primordial, assimilé ou uni à Ptah
VLADIMIR OBLAKOFF (nuage) : (40 ans) programmeur en informatique
MARILYN GUÉRRAM (géranium) : (30 ans) géologue
CHRISTOPHE BIELLO : (35 ans) météorologiste
SEKA (labour) : chef des mauvais Atlantes
ANTOINE COUTIOU : propriétaire du château
COUPLE DE VIEUX PAYSANS
TROIS TECHNICIENS
FEMME DE NETTOYAGE

Note : TO-TJENEN : primitivement Dieu chthonien primordial. Son culte se développa à Memphis et fut souvent assimilé à Ptah, ou uni à lui. Son nom le fait apparaître comme une personnification du pays.
« To-Tjenen qui s’est formé lui-même en tant que Ptah ». (Hymne à Amon. Réf. André Barucq et François Daumas, Hymnes et prières de l’Égypte ancienne, 1980).
 
 

Dernière mise à jour : 07-06-2016 22:11

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