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Définition du Réel ? Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 04-09-2016 23:32

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Daesh, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Impur, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Pur, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
 
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Définition du Réel ?
Impossible, à cause de l’ego,
chacun veut posséder sa petite vérité,
alors le seul Réel ne peut qu’être
L’INSTANT OU SOI. MAÂT mère de la Simplicité
et légère comme une plume au Vent.
Définir le réel c’est tomber dans l’irréel,
dans le Re-flet…
dans le Mir-âge Mir-oir
dans le Pour-Voir œil du Malin
comme le « mesurer pour com-prendre »
du machin Insee…

Bienvenue chez les T’es-Rien.
 
 
A-I-Leur : le A est leurré, appâté, mirage du A. Normalement un ICI n’a pas besoin de référence d’un A-I-Leur (ailleurs), donc d’un espace-temps. La démocratie actuelle est un A-I-L’Heure : un leurre évolutionniste. L’A-I-Leur c’est la femme chez les Hébreux-Juifs et les Musulmans : elle doit être invisible, elle n’existe pas, sauf dans l’opinion de l’homme.
A-I-Leur et Dé-Sir (jouxté à l’En-vie) : le potentiel du Sir, celui du Départ et Direction et Distance, du DEbut, de la Dette.
AILLEURS : AUTRE, DEUXIÈME, PUÎNÉ, REFLET, allos en gaulois.
AIL-LEURRE : protection contre les leurres, les mirages (l’ail protège).
A-I-Leurre : du A privatif et I Idée-Jugement-Opinion-Histoire qui mènent le Leurre.
Avec ces différents sens et sonorités on nage en Thèmes et variations ! Surtout avec le I et son Point sur le I ou Point Focal (un Point c’est TOUT)…
Avant la Chute, pas d’Ailleurs : on est toujours près de ce qui ne réside en aucun lieu, comme le collier que la femme a autour de son cou et qu’elle croit avoir perdu (exemple donné par Ramana Maharshi à l’entretien 63). Ainsi l’espace-temps n’existe pas. Et ça conduit à notre paradoxe des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture : le plus proche de mes voisins est celui qui se situe plus loin de tout lieu repérable, car il n’a pas à « venir de loin », comme le collier de la femme de l’exemple donné par R. Maharshi. Le collier ou le voisin ne sont pas loin, ils sont AILLEURS, dans aucun lieu repérable, et ça fait peur aux humains car c’est non localisable, pas de possibilité de Big Brother ni de Pour-Voir. L’Ailleurs et le Ici sont le terroriste potentiel, le « présumé » machin.
 
 
Qu’est-ce que c’est le Nouvel Ordre Mondial et sa religion universelle de l’argent ?
C’est un Super grégarisme façon The Body Snatchers : les humains ne sont pas exterminés par l’Oligarchie, mais sont dépossédés d’eux-mêmes : ILS DEVIENNENT AUTRE, par un irrésistible processus de duplication qui les transforme en jumeaux d’eux-mêmes, privant toute personne de son Soi, donc de sa singularité ou idiotès, par une fabrication diabolique à la condition de double ou reflet. ILS DEVIENNENT ALIÉNÉS, body snatcherisés.


RÉEL = UNE FOIS, SINGULARITÉ, et donc qui ne peut pas être authentifié, Pour-Voir, à travers la dualité sujet-objet. Aucune duplication possible. Ce qui n’arrive qu’une fois est comme si c’était jamais arrivé. Ce qui existe est indiscernable de ce qui n’existe pas. Mais si vous doubler la chose, naturellement elle devient à nouveau aucune chose !

L’Ailleurs peut-il être vue d’Ici et Maintenant ?

Où te trouves-tu ? Ici ! Mais où ici ? Ici ! On ne peut pas définir le Ici ou Réel sans tomber dans la dualité sujet-objet ! Mais l’Ici se trouve dans la Super Tautologie à la Moïse : « Je suis CE JE SUIS », identique au célèbre :
Il est mort un vendredi
Le dernier jour de son âge ;
S’il fût mort le samedi,
Il eût vécu davantage.


Extraordinaire, et non une « évidence niaise » qui prête à rire, parce que c’est précisément la définition de la seule Réalité, sans Histoire ou temps qui coule, Dieu, la Vérité, la Foi, le Centrum Centri, la Connaissance, et d’une foule de noms selon le point de vue de chacun.
L’ici n’est donc pas repérable sans l’intermédiaire d’un Ailleurs (il lui fait écho). MAIS IL Y A UN DANGER : il faut voir l’ensemble : par exemple la lumière n’est pas le contraire de l’obscurité : voir le cas des interférences révélant l’aspect ondulatoire de la lumière qui peut se superposer à elle-même (expérience de Thomas Young en 1801). Si l’ici sert à repérer un Ailleurs, ce repérage peut finir, s’il venait à repérer totalement ce qu’il met en lumière, par se confondre avec lui, en une coïncidence façon interférence de Young en ôtant la lumière le privilège d’être autre chose que ce qu’elle éclaire, laisserait le ici à son sort d’être singularité devenu mortifère. En d’autres mots : L’EXPLICATION PARFAITE COÏNCIDANT AVEC LA CHOSE À EXPLIQUER, ÇA ANNULE TOUT EXPLICATION, comme dans le cas des interférences de Young.

L’explication de l’ici se confond avec l’ici suite à cette opération du vide-bide ! Comme une énigme à la fin d’un roman policier, dont la complexité serait aussi énigmatique que l’énigme qu’elle tente de résoudre.
Mircea Eliade aborde le thème de l’Ici et l’Ailleurs : est Réel seulement ce qui peut se recommander d’une origine immémoriale (sans histoire-opinion) et donc sans temps, et qui est cyclique, rythmique comme un cœur ou un balancier d’horloge. L’ici se voit masqué par l’Ailleurs, de même que toute « réalité » au profit de ce qui la nie en tant qu’elle-même : « L’homme des cultures traditionnelles ne se reconnaît comme réel que dans la mesure où il cesse d’être lui-même [donc réalisant le Soi-Instant] et se contente d’imiter et de répéter les gestes d’un autre [le seul Réel] » (Le Mythe de l’éternel retour, de Mircea Eliade).

L’Ailleurs est une Super Carotte identique à l’évolutionnisme et sa « fin des temps » : incapacité de vivre l’ici et maintenant. L’Ailleurs est aussi fascinant que la « fin des temps ». L’ici est non conforme à la société de consommation, l’ici est non productif, ennuyeux et quotidien puisqu’Instant ! Mallarmé écrivait à son ami Cazalis : « Ici-bas a une odeur de cuisine », mais il devait parler du spatio-temporel et certainement pas du Soi !

Bref, quitter l’ici pour accéder à l’Ailleurs est une inversion du collier de la femme cité plus haut. S’évader du quotidien, surtout dans cette société d’esclavage du salariat et de la production. S’évader pour être mieux dans le dedans, donc enfermé dans une inexpugnable forteresse dont l’effet n’est pas tant de divertir que de protéger du Réel, en en effaçant la Vraie Création !

ICI C’EST LE RIEN, semblait comprendre les premiers cartographe espagnols qui débarquèrent sur des terres : Aqui no hay nada, aca nada, d’où Canada. On fait l’inverse, on nie la Réalité : Rien ici, et si par malheur on s’y trouve, alors il faut s’enfuir d’ici ! Aqui nana (ici il n’y a rien) donc négation du Canada, il est effacé du spatio-temporel, MAIS FORMIDABLE STARGATE.... Tout est bien inversé. Comme si le Réel était insupportable. Rendez-vous compte, LE ICI C’EST LE GRATUIT, alors quelle horreur ! Il n’a pas de site !!! Parce qu’un site, un lieu, se reconnaît seulement en la dualité sujet-objet ou Nom-la Forme. L'Ici réel est un non-lieu, comme une utopie comme la PARADIS. Ici n’a pas de spatio-temporel.

L’ICI PAUVRE ou GRATUIT : PAS DE BUT À ATTEINDRE.
Il n’y a pas d’Ailleurs ou de but à atteindre, comme l’explique un poème de Federico Garcia Lorca : « Cordoba lejana y sola… Nunca llegaré a Cordoba… » (Cordoba lointain et seul… Je ne suis jamais à Cordoba… ) chante un chevalier qui contemple, à l’horizon de ses rêves, les tours de la ville inaccessible. Car entre son désir et la ville s’étale le gouffre de la mort, ou sommeil profond (1) sans ego. Ainsi, pas de but à atteindre, tout ce qui « arrive » est de l’ordre de l’Histoire-Opinion, qui s’étale dans le temps qui coule et que nous prenons pour « la réalité » et qui n’est que totale illusion. Un langage courant énonce d’ailleurs : « Le pauvre, il croit que c’est arrivé ! », donc enfermement dans une chaîne sans fin de cause-effet. Rien de ce qui « arrive » ici-bas n’est vraiment « une arrivée » vers l'Ailleurs. Seul l’Instant ou Soi (non-dualité) joint l’événement et l’Être. Hélas, ce monde est encore sous la dictature des religions du Livre, le messianisme sacrilège procédant dans le pire égoïsme qui bouffe tout et refusant l’éternité, la seule Réalité ; refusant le gratuit, donc le seul Réel.

Cordoue.
Lointaine et solitaire.
Cheval noir, lune grande,
Et les olives dans ma sacoche.
Bien que je connaisse le chemin,
Jamais je n’atteindrai Cordoue.
Par la plaine, par le vent,
Cheval noir, lune rouge,
La mort est là qui me regarde
Du haut des tours de Cordoue.


L’ici c’est Cordoue et non le cavalier qui NE POSSÈDE PAS CORDOUE CAR IL EST (en dehors de l’espace-temps de la dualité). Il pourra s’approcher autant qu’il le désir, aucun sentier ne mène à l’ici. Là encore voir l’exemple du collier de la femme.

L’Ailleurs peut être lié à la peur, ce qu’on ne voit pas, l’insolite, ce qui peut surgir alors que l’on n’y est pas préparé. L’AILLEURS EST L’ANTI-CONFORT, ou ANTI-SÉCURITAIRE. AINSI TOUTE PEUR EST LA PEUR DU RÉEL parce qu’il sera bidouillé par l’ego. La peur n’existe pas. Il n’existe que la peur de ce que l’autre peut faire, dire ou penser. Idem pour la peur d’un serpent ou d’un moustique ou autre insecte, ou la peur de manquer comme l'exemple du collier de la femme. S’il n’y a pas harmonie : l'insecte pique.
PEUR = IRRÉEL, c’est pourquoi ça constitue le fond de commerce de tout étatisme.
IMAGINATION = PEUR ET BONHEUR (celui de la société de consommation en imaginant ce qu’on vient d’acheter avant sa livraison, imagination qui contient souvent le meilleur de ce qui en sera éprouvé une fois l’objet ici).
L’INCERTITUDE EST DÉTESTÉ PAR LE NOUVEL ORDRE MONDIAL. Il ne rêve que de fin des temps : quand les choses sont arrivées, qu’il n’y a plus rien à craindre, l’événement redoutable ayant déjà eu lieu, la peur est dépassé, elle n’avait sa raison d’être QU’AVANT la fin des temps, un peu avant l’arrivée (quand le Réel n’est ni lointain ni présent mais tout près. Vison évolutionniste en géométrie de la ligne droite, qui n’existe pas dans la Nature).
Il est connu que la nuit a toujours fait peur au moindre Pour-Voir, alors il fait éclairer les rues, puis naturellement ça se prolonge en Big Brother et tout sécuritaire, toute quincaillerie contre le Réel. D’ailleurs Big Brother va bien avec le culte du narcissisme et de la consommation/consumer, LE SOCIAL qui se veut « vivre ensemble » donc TRANSPARENT, PROPRE si proche du mot PROPRIÉTÉ et qui colle si bien à cet après 1789 ! Transparence donc propre et propriété où chacun serait libre puisque prétendument non body snatcherisé.
Contrôle à tous les niveaux, parce que tout ce qui est invisible et plus que transparent est potentiellement redoutable, si familier et inoffensif qu’il puisse être, dans la mesure où il ne peut être identifié sur-le-champ et à coup sûr. LA RÉALITÉ EST DEVENU LA MENACE (DEPUIS LA CHUTE).
LA PEUR SURVIENT LORSQUE LE MONDE EST TOUT PRÈS. DONC PEUR DE LA MORT. DEPUIS LES 10.000 ANS NOUS SOMMES TOUS DES COUARDS.

Cette peur du Réel nous fait d’ailleurs fuir dans la folie technologie : voyez maintenant les Chinois qui copient maintenant les Zaméricains, et vont probablement les dépasser question Empire et argent ! Ne pas oublier que MAO et ses capitalo-socialistes sont passés par là : voyez l’industrie de l’OPIUM (le nouvel opium du peuple, plutôt de l’oligarchie, c’est la technologie et le sécuritaire) ! La Chine fait dans la folie technologie en compagnie d’Israël, haut-lieu du tout sécuritaire et tout confort. Bientôt la « Jérusalem céleste des puces du Soleil Levant » (Japon-Chine). Pourquoi Japon et Chine ? À cause de la robotique, spécialité du Japon, que veut aussi winnerer la Chine-Israël (Sino-Israeli Robotics Institute (SIRI). Ces zouaves commencent à parler évidemment de « villes intelligentes », DONC SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE : industrie et principe d’attachement aux biens de ce monde. Pour le Talmud ce genre de société des fourmis enseigne l’honnêteté (mais ce sont des travailleurs du chapeau… tordu, circoncis… et il s’agit plutôt de transparence en mécanisation des âmes). Fourmis comme robots sont INFATIGABLES, tout bénéfice pour les Couilles en Or, leur Fric/Flic et la thermodynamique. FOURMIS = ORGANISATION, ADMINISTRATION… Il paraît qu’au Maroc, on faisait bouffer des fourmis aux malades atteints de léthargie ! Ah, analogie quand tu nous tiens !


Note.
1. Cinq états chez l’individu : 1, le Jagrat ; 2, le Svapna ; 3, la Sushupti ; 4, le Turya ; 5, le Turyatita.
Le Jagrat : état de veille. En cet état, le jiva [être vivant],sous son aspect grossier individuel (vishva), et le Seigneur, sous son aspect grossier universel (Virât), demeurant ensemble dans les 8 pétales du Lotus du Cœur, fonctionnent par l’intermédiaire des yeux, puis au moyen de tous les sens et organes et jouissent des plaisirs procurés par les divers objets. Les cinq éléments grossiers déployés, les dix sens, les cinq énergies vitales, les quatre facultés internes, en tout 24 éléments fondamentaux, constituent ensemble le corps grossier. L’état de Jagrat est caractérisé par le sattva-guna [qualité de pureté], défini par la lettre A et régenté par la divinité Vishnou.
Le Svapna est l’état de rêve durant lequel le jiva, sous son aspect subtil individuel (taijasa), et le Seigneur, sous son aspect subtil universel (Hiranyagarbha), demeurant ensemble dans la corolle du Lotus du Cœur, fonctionnent dans la nuque, en faisant l’expérience des conséquences des impressions recueillies à l’état de veille par l’intermédiaire du mental. Tous les principes, les cinq éléments grossiers, la volonté et l’intellect, en tous 17, forment ensemble le corps subtil du rêve qui est caractérisé par le rajo-guna [qualité d’activité], défini par la lettre U et régenté par la divinité Brahmâ, ainsi que l’affirment les sages.
La Sushupti est l’état de sommeil profond durant lequel le jiva, sous son aspect causal individuel (prajna), et le Seigneur sous son aspect causal universel (Ishvara), demeurant ensemble dans l’étamine du Lotus du Cœur, font l’expérience de la Félicité du suprême par l’intermédiaire de l’ignorance subtile (avidyâ). De même qu’une mère poule, le soir venu, réunit sous ses ailes toute sa couvée pour lui assurer le repos de la nuit, ainsi l’être individuel subtil, après avoir fait l’expérience du Jagrat et du Svapna, de réfugie dans son corps causal avec toutes les impressions recueillies durant ces deux états. Le corps causal, formé par l’ignorance, est caractérisé par le tamo-guna [qualité d’obscurité], défini par la lettre M et régenté par la divinité Rudra.
Le sommeil profond n’est rien d’autre que l’expérience du pur état d’Être. Les trois états reçoivent différentes appellations, notamment celles des trois régions, des trois citadelles, des trois divinités, etc. L’Être demeure toujours dans le Cœur, comme il a été dit précédemment. Si, dans l’état de Jagrat, le Cœur n’est pas abandonné, les activités mentales sont apaisées et seul le brahman est contemplé, c’est l’état de turiya.
Le Turyatita est l’état dans lequel l’être individuel se fond dans le Suprême…. Le Soi est sous-jacent à toutes les expériences. Il est leur témoin ainsi que leur support. La Réalité est donc différente des trois états, veille, rêve, sommeil profond. (En référence à Ramana Maharshi, entretien 617).
Félicité effective en sommeil profond, donc pas de souvenir-histoire-opinion. Un plongeur qui a trouvé sous l’eau l’objet de sa recherche ne peut faire connaître sa découverte aux personnes qui l’attendent sur le rivage qu’une fois sorti de l’eau. De même le dormeur, privé de moyens d’expression, ne peut faire part de son expérience tant qu’il n’est pas réveillé par ses vâsanâ [tendances, prédispositions, impressions formées dans le passé]. De toutes ces considérations, il résulte que le Soi est la lumière de sat (réel, juste, réalisé, bon), chit (conscience, pure conscience), ânanda (félicité).
Il précise que l’Akasha (reflet et « Lumière Astrale » d’Éliphas Lévi) est une « contrefaçon » de la Félicité.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 05-09-2016 00:09

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