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Nouvel Ordre Mondial des baiseurs Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-09-2016 17:44

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Daesh, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Impur, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Pur, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Nouvel Ordre Mondial des baiseurs
et de leurs nouveaux droits de l’homme du sexe.
Les baiseurs dans tous les sens :
tromper et trompeter de l’opinion,
enculer, bouffer ou posséder, bluffer, etc.

Du monde où il n’existe que des droits et
plus aucun devoir.



Tout chaud des forges du Satan du Nouvel Ordre Mondial :
La Déclaration Universelle des Droit des Baiseurs.

Vous reprendrez bien un peu de pulsions sexuelles !
 
 
Le Nouvel Ordre Mondial veut nous enchaîner de plus en plus dans ce qu’il appelle ici : « choix sur un monde de possibilités », donc de CONSOMMATION. Ce qui me fait souvenir de l’Alchimiste Roger Bacon qui écrivait : « Tout est possible, mais Tout n’est pas permis ». Que dirait-il de nos jours où tout est commercialisable ! Vers l’époque du Néolithique les deux grands interdits étaient l’inceste et le cannibalisme. J’ai peur qu’un jour ou l’autre le cannibalisme ne revienne à la mode ! Quant à l’inceste, la pédophilie, ça doit être permis puisque non mentionné dans les « droits des baiseurs ».
 
La Déclaration Universelle des Droit des Baiseurs veut péter plus haut que son cul : non respect de l’ordre des choses, ou cassure de quelque chose, blessure. Et se faire enculer ou violer ça fait mal, dans tous les sens du terme !
Depuis au minimum les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, les êtres humains cherchent à se libérer, et voilà que l’après 1789 se radine et nous vend maintenant ses Droits des Baiseurs, soit LE CONTRAIRE DE LA LIBÉRATION. De plus comme nous vivons dans un monde de plus en plus artificiel, nous devenons tous fichés/digitalisés, donc normalisés.

Le culte de la « raison » des perruques poudrées du 18è siècle ne pouvait qu’amener ces nouveaux « droits », et dehors le moindre petit devoir. Quel horreur le devoir, ça rappel la féodalité et les Seigneurs !

- Question : Comment déraciner les pulsions sexuelles ?
- Maharshi : En déracinant la fausse idée que le corps est le Soi. Dans le Soi, il n’y a pas de sexe.
- Question : Comment y parvenir ?
- Maharshi : Parce que vous croyez que vous êtes le corps, vous voyez l’autre comme étant un corps. Ainsi naît la différence de sexe. Mais vous n’êtes pas le corps. Soyez le vrai Soi. Alors il n’y a pas de sexe.
(Entretien 169).

- Question : Comment faire cesser l’impulsion sexuelle ?
- Maharshi : Elle cesse quand le sens de la différenciation cesse.
- Question : Comment y parvenir ?
- Maharshi : L’autre sexe et la relation à lui ne sont que des concepts mentaux. Dans une Upanishad, il est dit que tous les êtres sont chers parce que le Soi est aimé de tous [âtmanas tu kâmâya sarvam priyam bhavati (BAU II 4,5). Le bonheur est intérieur ; l’amour ne vient que du Soi. Il est à l’intérieur de chacun ; ne pensez pas qu’il est à l’extérieur : alors toute différenciation cessera.
(Entretien 335).

À propos de pensées sexuelles :
« Bon, ces pensées vous ont troublé et vous les avez combattues. C’est bien. Mais pourquoi continuez-vous d’y penser encore ? Quand de telles pensées apparaissent, demandez-vous à qui elles apparaissent et vous les verrez prendre la fuite ». (Ramana Maharshi, entretien 545).

Concernant le plaisir indissoluble de la souffrance son contraire.

« La souffrance comme le plaisir sont le résultat du karma accumulé dans le passé et non du karma qui se forme dans le présent. La souffrance et le plaisir alternent. Il faut donc accepter la souffrance et le plaisir avec patience, sans se laisser emporter par eux. Il faut toujours essayer de s’accrocher au Soi. Quand on agit, on ne doit pas se soucier des résultats ni se laisser influencer par la souffrance ou le plaisir que l’on rencontre de temps en temps. Seul celui qui est indifférent à la souffrance et au plaisir peut être heureux ». (Ramana Maharshi, entretien 546).

PLAISIR ET DOULEUR SONT TOUS DEUX DES CRÉATIONS MENTALES (Ramana Maharshi, entretien 203).

« Le plaisir consiste à tourner le mental vers l’intérieur et à l’y maintenir ; la souffrance, à le tourner vers l’extérieur. Seul le plaisir existe. L’absence de plaisir est appelée souffrance. Notre nature est plaisir, Félicité (Ananda) ». Ramana Maharshi, entretien 244.
Évidemment le plaisir vendu par les baiseurs du Nouvel Ordre Mondial sont des souffrances à brève échéance et d’ailleurs tous bénéfices pour les futurs psychiatres et leur chimie de Big Pharma, et les jouets sexuels genre robots sexuels ayant forme masculine ou féminine, au choix ! comme les glaces au fraise ou à la vanille, ou autres parfums…

Deux jeunes gens d’un même village partent en pèlerinage pour le Nord. L’un d’eux meurt en route. Le second retenu par un travail retarde de quelques jours son retour. Au retour il rencontre un pèlerin et le charge de porter dans son village les nouvelles du décès de son compagnon. Le pèlerin transmit bien le message, mais par erreur il intervertit les deux noms, si bien que les parents du défunt se réjouirent des bonnes nouvelles, tandis que ceux du bien-portant furent au désespoir.
Ainsi, douleur ou plaisir n’ont rien à voir avec les faits mais dépendent des opinions dans le mental... ils dépendent de l’ego. (En référence de l’entretien 276).

« Chacun cherche le bonheur mais le confond avec le plaisir, qui est inséparable de la douleur. Ce genre de bonheur est transitoire [donc bien dans la société de consommation]. Toutes les activités pour l’atteindre sont fondées sur cette erreur et procurent du plaisir à court terme seulement [comme avec la date de péremption ou la garantie après-vente].
Dans le monde, douleur et plaisir alternent. Savoir faire la discrimination entre ce qui procure de la douleur et ce qui procure du plaisir et savoir se limiter [donc du devoir] à la poursuite du seul bonheur, c’est le vairâgya. Car, qu’est-ce qui n’est pas suivi de souffrance ? Il faut chercher cela et s’y engager. Sinon, l’homme a un pied dans le monde et un pied dans la poursuite d’une vie spirituelle, sans progrès satisfaisant ni dans l’un ni dans l’autre ». Entretien 302.

- Question : Quand la souffrance cessera-t-elle ?
- Maharshi : Elle durera tans que l’individualité n’aura pas disparu [donc tant que l’ego existera]. Si les bonnes et mauvaise actions sont celles de Dieu, pourquoi devriez-vous penser que le plaisir et la souffrance n’appartiennent qu’à vous seul ? Celui qui fait du bien ou du mal récolte la joie ou la peine. Laissez donc la souffrance à sa place et ne vous en chargez pas.
(Entretien 420).

« Le plaisir et la souffrance ne sont que des aspects du mental. Notre nature essentielle est le bonheur. Mais nous avons oublié le Soi [ou Instant] et nous nous imaginons que le corps ou le mental est le Soi. C’est cette fausse identification qui est la cause du malheur. Que faire ? Cette vâsanâ (tendance) est très ancienne et persiste depuis d’innombrables naissances. Voilà pourquoi elle est devenue si forte. Elle doit disparaître pour que la nature essentielle, le bonheur, puisse s’affirmer ». (Ramana Maharshi, entretien 540).

Conseil essentiel de Ramana Maharshi à l’entretien 363 qui a rapport avec les dangers de cette mode mortifère du social et du grégarisme qui fait se perdre dans les autres : « Prenez soin de vous même et laissez le monde se débrouiller tout seul. Voyez votre Soi. Si vous êtes le corps il y a également le monde matériel. Si vous êtes esprit, tout n’est qu’esprit ». Comme déjà écrit, on ne peut pas faire société avec les autres avant d’avoir « fait société » avec soi-même, donc le CONNAÎTRE TOI-MÊME PAR TOI-MÊME, le reste suivra naturellement, sans effort, GRATUITEMENT, donc sans cette mode du social de l’après 1789.

LA JOIE FINIRA NATURELLEMENT UN JOUR DANS LA SOUFFRANCE. Alors que la Félicité est notre état naturel, ainsi elle n’a pas a être acquise comme un « droit » ou quincaillerie de dogmes de l’humain.
« La Félicité primordiale est obscurcie par le non-Soi, synonyme de non-félicité ou de souffrance. Duhkha-nâsam = sukha-prâpti (la cessation du malheur équivaut à l’obtention du bonheur). Le bonheur mélangé à la souffrance n’est encore que souffrance. Ce n’est que lorsque la souffrance est éliminée que l’on peut dire que la Félicité éternelle est obtenue. Le plaisir qui se termine en douleur est encore de la souffrance. L’homme préfère éviter ce genre de plaisir. Les plaisirs se déclinent en priya, moda et pramoda. Quand un objet désiré est à portée de main, c’est priya ; quand on en prend possession, c’est moda ; quand on en jouit, c’est pramoda. Le plaisir ressenti dans ces trois états provient du fait qu’une seule pensée exclut toutes les autres ; et cette unique pensée finit par s’immerger dans le Soi. Ces états sont ressentis uniquement dans l’ânandamaya-kosha (l’enveloppe de félicité). En règle générale, à l’état de veille, c’est le vijnânamaya-kosha (l’enveloppe d’intellect) qui prédomine. En sommeil profond, toutes pensées disparaissent et cet état d’obscurcissement est un état de félicité. Là, l’enveloppe prédominante est celle de l’ânandamaya. Mais ce ne sont que des enveloppes et non le noyau central qui, lui, se trouve à l’intérieur de chacune d’elles. Il se tient au-delà des états de veille, de rêve et de sommeil profond. C’est la Réalité, la véritable Félicité (nijânanda) ». Ramana Maharshi, entretien 619.

 
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Deuxième partie : les baiseurs et leur droit.

Le cas de la « couverture sociale », c’est-à-dire la LÉGITIMATION DE L’EGO par un système de chefferie. Ça commence à la naissance avec un extrait de naissance avec prénom et nom, sexe, etc. Puis à l’âge adulte ça se durcie avec la Carte d’identité, et moult fichage maintenant informatisé qui vous avale dans le dicta de sa chefferie.
D’ailleurs, le mot PERSONNE (de persona : masque de théâtre) en dit long sur la déchéance de l’être humain. Personare : « la voix de Dieu se fait entendre à travers le masque », comme écrit Gustave Thibon. Ainsi, avec la laïcité galopante, le personnalisme moderne met l’accent sur le masque et éjecte le vrai, le divin. Ce masque devient si épais, si étouffant, qu’il tue Dieu, il tue le Soi, c’est d’ailleurs pourquoi on parle de COUVERTURE SOCIALE, UNE APPARENCE, UNE ILLUSION.
L’être humain moderne non seulement prisonnier de l’histoire-opinion et du son temps qui coule, vit dans une surface sociale. Ainsi, tout ce qui se rapporte à cette mode actuelle du social n’est qu’illusion sur illusions. LA PROFONDEUR N’EST JAMAIS SOCIALE : ELLE EST VULGAIRE OU DIVINE. Et le critère social ; fortune, emplois, médailles et diplômes et honneurs, etc., en fonction duquel nous jugeons nos frères et sœurs est aussi celui qui nous renseigne le moins sur leur vraie valeur.
On naît seul, on vit ensemble, on meurt seul.

La persona moderne c’est JANUS (deux visages) : le sans égal et celui qui est égal à quelque chose d’autre, comme dans le « social » société. Alors, impossible d’imaginer une identification qui ne passerait pas par le biais obligé d’un « ne pas être identique » en quoi se résume l’actuel preuve : la CARTE D’IDENTITÉ, qui assure à la chefferie que la personne est différente de toutes les autres, non identique à quelque autre personne que ce soit, garantissant ainsi son « identité » particulière, sont « droit », par exhibition d’un « certificat général de non-identité ».
Évidemment en refusant de décliner son « identité légale » à une agent de la chefferie, on risque une perte de temps et aussi de se retrouver devant un de leurs psychiatres pour « évaluation », donc opinion !!! C’est pourquoi LA COUVERTURE SOCIALE ÉTOUFFE…. le Soi.
« L’évaluation » s’entend par CONFORME À LA NORME DU SOCIAL OU GRÉGARISME À LA MODE : basée sur l’EGO. En voulant normaliser, la chefferie de toutes sortes empêche d’être Soi, empêche la recherche constante du ‘Je’, la source de l’ego. « Cherchez « Qui suis-je ? ». Le ‘Je’, à l’état pur, est la Réalité, l’absolu Être-Conscience-Félicité. Lorsqu’on oublie Cela, toutes les misères surgissent ; lorsqu’on fixe son attention sur Cela, les misères passent ». (Ramana Maharshi, entretien 17).
« Le mental n’est que l’identification du Soi avec le corps. C’est la création d’un faux ego, qui, à son tour, crée de faux phénomènes et semble se mouvoir en eux. Tout cela est faux. Le Soi est la seule Réalité. Si cette fausse identification disparaît, la permanence de la Réalité se révèle. Cela ne veut pas dire que la Réalité n’est pas ici et maintenant. Elle est toujours là et éternellement la même [et c’est l’Instant]. Elle est aussi dans l’expérience de chacun de nous. Chacun sait qui il est. « Qui est-il ? » Et subjectivement : « Qui suis-je ? ». Le faux ego est associé aux objets ; il est même son propre objet. L’objectivation est l’erreur… ». (Ramana Maharshi, entretien 46).

Le fait d’être une personne seulement si une autre personne nous voit, est symbolisé par le Dieu Janus regardant dans deux directions opposées. Il est identique aux deux Routy de l’Égypte Ancienne, les deux Lions de l’horizon, gardiens du passé et de l’avenir, qui protègent le Soleil à son lever et à son coucher. L’un des lions représente ‘hier’ et regarde l’Occident ; l’autre se nomme Doua (demain) et regarde l’Orient.
Ils sont les deux gardiens qui ouvrent et ferment l’entrée et la sortie du monde des ténèbres.
Les deux directions désignent désignent à la fois et contradictoirement ce qui est SANS ÉGAL et ce qui est ÉGAL À QUELQUE AUTRE CHOSE. Bref, on a à faire à une sorte de STARGATE, une identification qui ne passerait pas par le biais obligé d’un « ne pas être identique », en quoi se résume l’actuelle « Carte d’identité » du républicanisme, qui n’assure de la personne que pour autant qu’elle la présente comme différente de tout autre, non identique à quelque personne que ce soit, garantissant son « identité » particulière par l’exhibition d’un certificat, un « état civil » de « non-identité », car rien que l’état civil, donc la personne n’existe que sur le papier et maintenant dans le binaire de l’informatique, le virtuel. Il est inutile de dire à un policier que l’on est soi-même : il faudra montrer « patte blanche » : une « carte d’identité », et bientôt une signature biochimique   Ce qui prouve que le policier est totalement sous hypnose de la chefferie !

JUSTIFIER SON IDENTITÉ = CI-VIL = triomphe de l’ego.

Qui me prouve et qui prouve que je suis moi D’INSTANT EN INSTANT : TOUT BOUGE EN PERMANENCE, et ce n’est certainement pas un bout de plastique ou un numéro de fichier informatique qui dit que je suis moi ! Qui permet l’identification d’un objet ou d’un individu alors que celui d’hier ne serait peut-être pas le même que celui de ce jour, et celui de demain ? Alors on fabrique une « identité » ou étiquette, UNE OPINION, censée combattre que RIEN N’EST PAREIL D’UN INSTANT À UN AUTRE INSTANT. Comme quoi tout est bien dans le mental. D’ailleurs, cette fabrication par le mental de « l’identité » sert aussi le dogme de l’égalité : être égal à un autre. Mais le privilège d’être celui-ci est très différent de celui de demeurer le même, et par conséquent ne saurait être invoqué comme modèle direct de l’opinion d’égalité : il y a autant de différence entre le ceci et son même dans le temps qui coule qu’entre le ceci et toute objet dont il puisse lui advenir d’être tenue pour le même. Si je suis le même que je serais demain, c’est à peu près au sens où je serais le même que mon voisin, un homme parmi tant d’autres, CE QUI CONTREDIT LE FAMEUX TEMPS PHILOSOPHIQUE DE L’ALCHIMIE : CE TEMPS LÀ LORGNANT PLUTÔT VERS LE SOI-INSTANT, VERS LA SINGULARITÉ.
Le sens essentiel de l’identité c’est « pointer », ou réaliser le CENTRUM CENTRI, LE POINT FOCAL : révéler un ceci EN SYNCHRONISME AVEC LE TOUT, mais pas sa permanence dans le temps qui coule du monde des accident ou spatio-temporel. C’est d’ailleurs pour ça que dans les romans de science-fiction on inventa une singerie humaine nommée « l’hyperespace ». Ainsi l’identité d’un « ceci » demeure aussi étranger, singulier, à la somme de ses égalités possibles, étranger même à une égalité avec son propre soi considéré à un autre Instant dans le temps (paradoxe de se « découvrir » soi-même, le Réel étant précisément ce qui est sans double, pas de dualité sujet-objet, donc le Réel demeure réfractaire à toute entreprise d’identification). L’identité d’un « ceci » est d’être « ceci », comme la Tautologie : « Je suis ce JE SUIS », et non d’être identique ou assimilable, bouffé, à quelque « cela » que ce soit. L’égalitarisme judéo-maçonnique du républicanisme est un mensonge de plus. Car la seule Réalité n’est possible que quand il est impossible de la reconnaître, de l’identifier sans tomber dans la dualité sujet-objet, et donc de la comparer en tant que semblable à une autre : chaque « humain » est un Univers à lui tout seul ; et même en lui il est une infinité de « trous noirs »…
Encore une fois le Janus au double visage regardant deux directions contraires, l’opinion de l’identité rassemble et confond les deux opinions contraire du même et de l’autre : désignant à la fois et en contradiction ce qui est « sans égal » et ce qui est « égal à quelque autre chose ». Bref, impossible de penser le même sans penser en même temps à son propre contraire. Ainsi la fameuse Carte d’Identité n’est valable que si elle est singularité, différente de toutes les autres, non identique à quelque autre personne que ce soit, garantissant ainsi son identité particulière par l’exhibition d’un certificat officiel de « non-identité » ou de « singularité ».

La Seule Réalité est sans double ! Elle est donc non représentable, on ne peut pas « décliner son identité » !!! L’objet réel est invisible, je suis invisible CAR JE SUIS SINGULIER : aucune représentation ou fichage ne peut en suggérer la connaissance ou l’analyse par l’outil réplique. La Réalité est sans double, sans dualité sujet-objet. Le monde, l’Univers et tout ce qu’il contient manquent à jamais de leur complément en miroir, ils sont éternels IDIOTÈS, SINGULARITÉ.
RÉEL = UN ENSEMBLE NON CLOS, NON LIMITÉ, D’OBJETS NON IDENTIFIABLES (ce qui fait peur à tous cancéreux du pouvoir). LA RÉEL EST ÉTRANGER À TOUTE CARACTÉRISATION. IL EST INSOLITE PAR NATURE. IL EST EXTRA-ORDINAIRE CAR SINGULIER.
 
 

Dernière mise à jour : 15-09-2016 18:25

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