OR-dre, OR-donné, OR-dinaire, OR-dinateur, OR-acle, OR-donnateur OR-âge : le Chaos existe sans exister parce que chaque chose EST (à sa place) : OR-donné (OR gratuit, pas de vo(a)leur).

Nintendonie, Pays du Transistor levant. Bref, toujours tôles et boulons de chez thermodynamique, du monde extérieur virtualisé ! Pour la virtualisation de l’intérieur il faudra attendre les Transhumanistes !
Le temps est venu où NOUS DEVONS DOUTER DE TOUT, CE QUI INCLUS « DIEU », MONOTHÉISME ACTUEL. NOUS DEVONS DEVENIR DES SACHANTS ET NON PLUS DES CROYANTS (comme l’expose Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux). La « démocratie » actuelle est une parfaite croyance : elle fonctionne, comme les banques, parce que les gens y croient ! (Autrefois les banques se nommaient « Marchands de croyances », ou de « confiance », ce qui revient au même). De même, une autorité en « science » dépend de la croyance en cette autorité, donc en cette opinion extérieure. Un « service d’ordre » ne fonctionne que si les gens y croient, suivent… Le scepticisme est aussi une croyance, donc une POSSESSION, destinée à attaquer ceux qui n’ont pas les mêmes opinions. Pour les sceptiques, seul fonctionne ce qu’ils peuvent mesurer, voir : le Pour-Voir ou pouvoir, le dogme mécaniste tôles et boulons que l’on retrouve dans les films de science-fiction avec leurs vaisseaux spatiaux. Les sceptiques sont des croyants comme n’importe quelle religion : il leur faut une origine, un Dieu, une cause, un Big Bang, un Adam pour produire un effet (mesurable bien-sûr).
L’ère des Poissons c’est terminé et miné ! Et l’arrivée de l’Internet donnant accès à un savoir fait peur à l’oligarchie anglo-américaine, pourtant son promoteur (notamment à travers le MIT).

 

Bientôt, l’être humain sera réduit à un tas de quelque chose, et très petit, baignant dans un liquide nourricier, et tout autour s’activeront une armée de la quincaillerie robotique effectuant les tâches ménagères et celles que nous subissons dans nos jours actuels, donc plus besoin d’être esclave d’un salaire et de son entreprise. Est-ce le Paradis enfin retrouvé ? Certainement pas, car ce futur demandera de grosses énergies, de l’argent, à moins que l’argent disparaisse et que l’énergie soit devenue TOTALEMENT GRATUITE ET INÉPUISABLE ET NON POLLUANTE, et qu’il n’existera plus aucun étatisme. Dans ce cas, de quoi vivra le petit tas baignant dans son liquide amniotique ? À quoi pensera-t-il ? Aura-t-il des « amis » (certainement virtuels) ? Quel sera son « emploi du temps » ? Pratiquera-t-il du « sexe virtuel » ? Sera-t-il un Vrai Créateur alors que de nos jours nous nageons dans l’anti-Création ? Aura-t-il une quelconque « utilité » ? Et pourquoi vivre dans cet état ? etc., etc. Je ne crois pas que la Vraie Création soit « une création en vertu d’un mouvement initial », un adamisme ou un big-bangdisme qui reflète le principe actuel de thermodynamique et de sa folie technologie en évolution nous menant dans le Mur du transhumanisme et du Graal « démocratie » qui se prend pour « la fin des temps ».
Bref, de toutes les façons ce ne sera pas le Paradis, même l’individu réduit à un tas en dimension nanotruc et connecté de partout ! Un individu totalement virtualisé et vidé !
C’est la porte ouverte à LA DIVISION DE L’HUMANITÉ BIEN PLUS DRAMATIQUE QUE DU TEMPS DES ESCLAVES des Empires antiques où n’existait que le Maître et le serviteur et l’esclave, le et la domestique qui est encore apparent dans l’architecture des immeubles du Paris ultra bourgeois d’Haussmann, immeubles avec leurs très nombreuses chambres de bonnes, et architecture compas-équerre bien dans l’atmosphère du 19è siècle à Pour-Voir…. Ainsi, comme dans quelques anciens films hollywoodiens de science-fiction, le monde prochain sera divisé en deux : les petits tas de nanomachins, et les humains appelés « sauvages » parce qu’ils seront resté eux-mêmes et évolueront encore dans ce qui restera de « campagne » ou de choses vertes et qui sentent, ceux qui à travers le mot « campagne » seront encore proche des anciens Chasseurs-Cueilleurs ! Entre ces deux mondes, il y aura un MUR, ce que sait bien construire tout étatisme Fric/Flic et son oligarchie « démocratique » : « Mur de la honte », « Mur de l’Atlantique », des Fédérés, de Berlin, de Trump, etc., sans oublier « la muraille de Chine »…

Nous sommes déjà devant un mur quand l’oligarchie se retrouve PARTOUT. Dans le domaine « scientifique », donc uniquement technique, c’est flagrant quand les observateurs qui se voulant « objectif » miment un état qui se voudrait sans émotion, sans ego, quand ils pondent ce genre de phrases : « Une éprouvette a été utilisée » (au lieu de dire « J’ai utilisé une éprouvette »). Bref, ils se prennent pour Dieu, ils font de la morale et du sentiment en faisant croire qu’ils n’en font pas ! Ils déguisent des opinions en package « objectif ». Question de mode en rapport avec le grégarisme à la mode.

Du temps de l’éclairage à la chandelle les enfants s’amusaient simplement en faisant des ombres chinoises sur les murs ; de nos jours, c’est la tablettomanie ou jeux vidéo, qui bientôt sera implantée dans le cerveau ! Tout ça est le résultat de l'American way of life, et aboutit à l'uniformité psychologique et à l'étouffement de l'Esprit. « L'américanisme unifie le pathos de classe dans le culte généralisé de la technique et l'identification des besoins de consommation imposée par la technique publicitaire, mais il abandonne les choses de l'esprit au dévergondage religieux des sectes », écrit justement Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux.
Il écrit aussi cette vérité : « Le communisme, au contraire, parce que centré sur une conception bien définie de l'homme, si fausse qu'elle soit, tend à substituer aux classes, lesquelles se définissent par des critères économiques, une autre classification selon les critères d'une pseudo-spiritualité qui engendre des pseudo-castes : celles des paysans, des ouvriers, des fonctionnaires, des politiques. Castes ouvertes, en principe, n'étant pas légitimées par la naissance, mais d'autant plus réelles qu'elles se définissent par un certain degré d'accès aux mystères dogmatiques d'une pseudo-spiritualité.
Car la classe est de la Terre. La caste est de l'Esprit. C'est une profonde erreur d'en faire des synonymes, bien qu'en pratique la caste, fait spirituel, tend toujours à se signifier dans le temporel par des privilèges économiques et à dégénérer en classe. C'est l'aventure qui est arrivée à l'ancienne noblesse de sang et la Révolution de 89 n'a fait que supprimer ce qui avait perdu la conscience de sa nature. Elle n'a fait que couper du bois mort.
Inversement, la classe la plus basse, opprimée et avilie, tend toujours, pour guérir ses malheurs, à retrouver les sources de l'Esprit, et, partant, le sens de la caste, c'est-à-dire de sa dignité d'homme en tant qu'être métaphysique et religieux. Cette dialectique de la classe et de la caste est la cause la plus profonde de la naissance du communisme, bien plus que la dialectique marxiste qui n'a fait que dévier et défigurer la première dans un sens pervers ».

Bien-sûr que depuis Coulonval et la chute de l’URSS, le communisme ou socialisme se confond totalement avec le capitalisme : l’un ne peut pas exister sans l’autre, d’où mon choix du nom « capitalo-socialisme ». Coulonval ajoute que pour sortir de ce piège moderne, ça ne peut passer que par l’antique problème : « Qu'est-ce que l’Être humain ? », soit le « Connaître toi-même par toi-même », et ça ne se trouve pas à l’extérieur, dans le virtuel informatique !
Tout au long de l’Histoire des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture cette question n'a jamais cessé de se poser, mais il est des époques où elle est particulièrement angoissante. Tout changement dans l'idée que l'homme a de lui-même entraîne une transformation des formes de civilisation.
« Qu'est-ce que l’Être humain ? » est LA QUESTION de notre temps et pour la totalité de la planète devenue tout entière soumise à un unique destin. L'homme a dompté la matière par la science et la technique, il en a découvert les secrets les plus internes, mais il ignore plus que jamais ce qu'elle est. La science atomique apporte l'espoir d'en tirer le plus grand bien, mais aussi le plus grand mal (comme toutes technologies dépendantes de cette thermodynamique).

Notre capacité humaine d’adaptation sur le registre physique et mental au niveau sommaire a fait de nous les plus dangereux des prédateurs vivants de la planète. Or nous ne pouvons pas évoluer en égoïste, IL FAUT VOIR L’ENSEMBLE DES TROIS RÈGNES : MINÉRAL, VÉGÉTAL, ANIMAL-HUMAIN. L’être humain s’il veut « soigner » ou « aider » les deux autres Règnes doit D’ABORD se soigner lui-même (comme dans le Labour alchimique).

La machine CALCULE COMME L’HUMAIN CALCULE, COMME LA PLANTE ou LE CAILLOU CALCULE (d’une certaine manière).

Dans les grottes de Lascaux, IL Y A MOINS DE MILLE GÉNÉRATIONS (savoir que nombre de déchets nucléaires actuels sont toxiques pendant 6000 générations…), les humains de cette époque étaient comme nous, et n’avaient ni électricité, ni machines à laver, ni avions, ni photocopieuses, ni ordinateurs. Et comme écrit ci-dessus, nous ne savons toujours pas QUI NOUS SOMMES et fuyons en avant vers des machines et des mondes virtuels produit de notre ego, parce qu’il s’agit bien de cela. Pourtant, avec une colonne vertébrale, comme tous les vertébrés, NOUS SOMMES DES ANIMAUX, ayant la capacité de couper les cheveux en quatre et de se séparer de ce que nous nommons « La Nature ».

Non, le monde virtuel issu de l’informatique, qu’il soit binaire ou « quantique » ne sera JAMAIS un organise vivant, car incapable de se nourrir dans le monde physique, et ne sera en rien l’équivalent d’êtres vivants tels que les bactéries et microbes, les oiseaux ou les animaux dont les êtres humains.
Pourtant les premiers socialistes en URSS rêvaient, avant les transhumanistes, d’immortalité. Comme le socialisme est une religion (inversée) il est normal que pour eux l’humain devienne un Dieu et fabrique des Dieux. Leonid Krassine était commissaire du peuple au commerce extérieur dans le gouvernement de Lénine. En 1921 il prédit la puissance technologique qui devra « libérer » l’humain et le « rendre capable de ressusciter les grandes figures historiques » ! Quand Lénine est mort, ce Krassine essaya de le « rendre immortel » en le momifiant selon sa recette de cuisine, mais le corps de Lénine se dégrada malgré la cuisine de Krassine. Voir aussi Alexandre Bogdanov. De nos jours, l’Empire USionistan propose moyennant 150.000 dollars (en 2013) de se faire liquéfier le corps dans de l’azote liquide, mettre en « conserve » la personne comme une vulgaire tranche de viande de bœuf. Concernant l’immortalité, ici, sur Terre, il faudra au moins une personne qui « mesure » cette immortalité et qui au bout, mettons de seulement 1000 ans, s’exclame et estampille : « C’est un immortel », donc le mesureur doit AUSSI être un immortel. Histoire d’imbécilités de premières classe ! Et l’immortel ou le type âgé de 1000 ans criant : « J’ai 1000 ans »… QUI LE CROIRA ?
À ce propos, voir la page : Le Vieux Monsieur de 10 millions d’années.

L’actuel tout virtuel et tout connecté galopant comme la technologie du cacabinaire informatique est directement lié aux empiristes façon John Locke et surtout au siècle dit « des lumières » avec ces philosophistes que j’appelle « perruques poudrées » (ceux qui se sont appropriés le Pour-Voir, qui savent lire et sont riches). Ce sont tous des gens de l’évolutionnisme qui commence avec les Hébreux-Juifs et leurs prophètes chasseurs de Païens ou « idolâtres » comme ils disaient. Ainsi les Hébreux-Juifs ou Yahvistes arrivés en Palestine, comme de nos jours, partirent en guerre contre ses occupants. C’est comme si la « fin des temps » ou de l’Histoire-Opinions-Temps qui coule était repporté… à la fin des temps, SOIT À LA VENUE D’UN MESSIE, ATTENDRE DES LENDEMAINS QUI CHANTENT POUVANT DURER PENDANT 1000 ANS ! À travers le Moyen-Âge il y eut une succession de mouvements fin des tempistes ou « millénaristes ». Un travailleur du chapeau comme Francis Bacon était un adepte de cette opinion fin des tempistes : « la Terre promise pour tous », ou Paradis, Nouvel Âge d’Or, soit l’œuvre des humains eux-mêmes, en fait, retrouver leur état naturel longtempps oublié : le SOI, donc il ne s’agit nullement de course infernale à la technologie qui va finir par engloutir les humains et leur planète. Et cette vision de l’évolutionnisme est directement à la base des « lumières »   QU’ELLE PRENNE LA FORME DU CAPITALISME OU DU SOCIALISME-COMMUNISME, ELLE DOMINE NOTRE ÉPOQUE DANS TOUTE LA PLANÈTE. Nous sommes cancérisés par les « lumières » ou opinions des perruques poudrées.

La théorie darwinienne du 19è siècle jusqu’à maintenant finit - oh maintenant quasiment définitivement, sauf pour un très petit nombre d’humains - de couper l’humanité de la Nature donc de SA nature. Depuis le 19è siècle le matérialisme a mécanisé tout ce qui touche à la vie. CELA TOURNE À LA CATASTROPHE.
RAPPEL : NI LE BOUDDHISME, NI L’HINDOUISTE NE SONT ÉVOLUTIONNISTES, MAIS RYTHMIQUES.

Nous sommes la Nature. Alors, si la Nature a aucun but, comment se fait-il que, vous humains ici en Occident, vous ayez un « but à atteindre » ? Vous courez partout, vous faites du bruit, vous détruisez, vous violez ! Et vous avez le culot de prétendre que depuis l’installation de votre chefferie mondialiste à la fin de la guerre 1914-18 il n’y aurait plus de guerre sur votre planète !!! Avoir ou posséder un but est le Graal du matérialisme et du mécanisme, du « isme » tout court et de sa démocratie.

Le temps est venu où NOUS DEVONS DOUTER DE TOUT, CE QUI INCLUS « DIEU », MONOTHÉISME ACTUEL. NOUS DEVONS DEVENIR DES SACHANTS ET NON PLUS DES CROYANTS. Les faux sachants du 19è siècle estimaient avoir répondu aux questions essentielles de l’être humain et de la Nature, soit avoir l’opinion que l’humain occidental est « supérieur » aux « sauvages » signifiait et signifie encore que ces faux sachants sont des prix-au-nier (prisonniers) : ils ont besoin de Fric/Flic des banquiers pour travailler du chapeau. Ils ont besoin de l’autorité nommée médailles et diplômes. Et en énorme privilège digne du plus despotique Seigneur du Moyen-Age, ils fourbissent « savoir » et surtout pour-voir et façonne l’humanité prochaine. C’est ce Pour-Voir qui est en train de détruire la planète et toute vie qui est dessus. Ce sont des arrogants, des criminels dogmatiques…
Oui, le temps n’est plus aux croyants, mais aux VRAIS sachants ou Vraie Création, ce qui inclue à part égale la spiritualité, la laïcité n’existant pas.

Ce que nous appelons « Nature » EST LE SOI. On s’en est tellement coupé qu’on le met à toutes les sauces du capitato-socialisme (écologie, énergie fossile et autres, etc.). Parler de « Nature » c’est tomber dans la dualité sujet-objet en voulant se placer en dehors de l’Univers pour : le Pour-Voir…
« L'homme n'est vraiment libre, ne prend vraiment conscience de sa liberté, de l'essence ontologique de sa liberté, que lorsque s'est réalisé en lui ce clivage entre l'être et l'ex-ister (1), lorsqu'il est devenu à lui-même son propre problème, lorsque son âme est devenue objet de connaissance pour l'Esprit, lorsque le Je s'est soumis le Moi; lorsque le Je, qui est divin, et le Moi, qui est de la Terre, ont retrouvé la Paix sur ce plan médian qu'est le métaphysique », écrit J. Coulonval.

Note.
1. Ex-iste : le mot « être » est l’un des plus usité et pourtant le moins définissable en oubliant le Soi. Le sens originel devrait en être le Soi ou Dieu ou Conscience, etc., ce qui est extériorisé d’un Être. Or comme écrit dans l’article, toutes choses EST, de sorte que Dieu EST, et qu’Il n’est pas, ne devant son Être à personne (Il est Singularité). Il n’existe pas, IL EST : Je suis ce JE SUIS. « Dieu créa l’homme et l’homme créa Dieu… Mais en réalité ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » dit Ramana Maharshi à l’entretien 264, que je ne me lasserai jamais de citer.