La Chute, est essentiellement lié au mental, l’ego : ce que de nos jours de parasitage laïcité on nomme
« liberté d’expression », ou
« libre arbitre », soit le triomphe de l’ego. Or comme écrit ici un grand nombre de fois, en régime étatique, monarchique ou républicain ou autre, en triomphant, la libre pensée signait son arrêt de mort, car il est évidemment impossible pour le moindre État de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord. Donc la encore le problème qui peut soulager chacun de nous, c’est la suppression de l’étatisme, ou du moins dans un premier temps s’en éloigner de plus en plus, désobéir de plus en plus, ne plus avoir à recourir à ses services. Mais comme désormais chacun croit pouvoir posséder sa petite vérité, son opinion, ça risque d’être l’amplification du chaos humain. Et la chefferie de l’État le sait, surtout les Judéo-maçons spéculatifs à Pour-Voir genre GODF planqués dans leurs obédiences.
La judéo-maçonnerie spéculative née à Londres en 1717 ne pouvait qu’être en osmose avec le socialo-capitalisme en marche depuis Oliver Cromwell et Cie.
Spéculative-Spéculer-Spéculum : Pour-voir le trou (de balle…) ou le Tout, tels des VOYEURS qui voudraient sortir de l’Univers pour l’examiner.
Si, depuis le départ de la troisième république, icelle tient encore le coup, ce n’est pas grâce à la cuisine des régimes d’Assemblées, si subtil que soit leur dosage, mais parce que les sociétés secrètes à Pour-Voir comme le GODF exerçaient occultement leur opinion, en usant de tout le clavier des cinq sens, donc du mental, surtout l’aspect économique et l’appel du ventre, le pouvoir métaphysique ayant été abandonné depuis des siècles : avant l’arrivée de Clovis !
Le régime républicain n’a pu tenir que grâce aux lavages de cerveaux par l’éducation nationale obligatoire et le jeu subtil d’institutions légalisées et le mariage du pouvoir économique avec le pouvoir politique.
La Réalisation du Soi a été laissé à quelques loges judéo ou pas judéo-maçonniques mais francs-maçonniques tout court, et à quelques mystiques indépendants.
Il est significatif que la judéo-maçonnerie spéculative genre GODF se réfèrent à Hiram, constructeur du roi Salomon et donc étatisme et urbanisation, un Hiram pur produit de l’urbanisme, de la civilisation et donc du domaine de l’argent, du business et de l’ego. La judéo-maçonnerie spéculative ne pouvait que se développer avec la religion de l’argent (Relation [réseaux] dans tous les corps de métiers et institutions liées à l’État et à l’économique).
La dissolution, l’inhibition du sens du spirituel et de ce qu’est l’être humain ayant été détruit au profit du seul consensus social exclusivement économique, a été réalisé le plus profondément en France et en Occident européen par le socialisme (lié au capitalisme parce que lié aux États-Unis où la religion de l’argent, de la technique et de l’organisation et du commerce s’est si bien communiquée à toutes la société, qu’il n’y a pratiquement plus de classe sociale, du moins pendant un court moment, car ce n’est plus le cas maintenant). Voir l’importante page
Tous spécialistes et diplômés DIVISENT.
Les États-Unis sont maîtres dans le social : ils dissolvent totalement le sens de la
« personne », donc du Soi. Le social chez eux c’est la consommation de bien (démocratie et biens) dans le quantitatif : chez eux tout est big… d’où d’ailleurs le nombre d’obèses… et le nombre d’Américains bodybuildés aux vitamines et autres chimie et artifices douteuses. Là encore unification, socialisation des masses par l’aliénation de l’argent.
Concernant la
VOLONTÉ : âge du Fer/Faire (Kali Yuga), décider de Fer/Faire, de se manifester, de croire. « Certes, vous pouvez utiliser votre force de volonté pour agir sur autrui. Mais elles appartient à un plan inférieur et n’est pas souhaitable. Occupez-vous d’abord de vous-même » (
Ramana Maharshi, entretien 109).
La volonté c’est comme la
« liberté d’expression » : chacun veut posséder sa petite vérité, son SUCCÈS, ÊTRE EN REPRÉSENTATION HOLLYWOODIENNE OU EXACERBATION DE L’EGO. Or le succès (diplôme) comme le
« but à atteindre » et le Faire/Fer développe l’arrogance « et le progrès spirituel de l’homme est dès lors arrêté », comme dit Ramana Maharshi à l’entretien 423. Il ajoute que l’échec est bénéfique dans la mesure où il permet à l’homme de voir ses limites et le prépare ainsi à s’abandonner. « L’abandon de soi est synonyme de bonheur éternel », ce que la Taoïcité nomme
le Lâcher prise (le
"non-agir" ou
Wou-wei [
Wuwéi]) : « Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement ».
Dans le même entretien R. Maharshi dit que « le succès ou l’échec sont le résultat du
prârabdha [destinée, effet des actions des vies passées] et non de la force de volonté ».
L’entretien 423 se termine ainsi : « La personnalité est la cause première des activités extérieures. Elle doit disparaître pour que le Suprême puisse être atteint ». Donc limiter le mental à une seule pensée, qui à la fin disparaîtra à son tour, laissant place à la pure Conscience.
La
« liberté d'expression » mentionnée plus haut est identique à l’ÉCHANGE, LE RELATIF, DONC LE SOCIAL, DONC LA DUALITÉ CAUSE-EFFET ou SUJET-OBJET. BREF, ELLE EST LIÉ À L’OPINION (comme on échange dans les
« réseaux sociaux » ou les forums dans l’informe-information-informatique). Tout ça conduit plein pot dans la tyrannie de l’opinion où chaque ego croit détenir sa petite vérité et s’y accroche comme un Lion à sa proie parce qu’il n’a pas bouffé depuis un mois. C’est le règne du
« moi, moi, moi je, je pense que… » si facilité par cette mode du faux social et ses réseaux, ses « échanges » (dont fait la partie le phénomène
”migrant”).
ÉCHANGE : LA BALANCE et ses deux plateaux N’EN FORMANT QU’UN GRÂCE AU FLÉAU (PANique) : le TOUT. L’échange dans le mondialisme du républicanisme c’est le social, l’individu et son ego qui : voit l’autre, voit le compagnon, voit le travail, voit le rôle, voit le chef ; mais ne voit pas l’Amour, le Un ou Intérieur.
RAPPEL : en 1937 en Espagne, à Barcelone, les collectivités paysannes et ouvrières qui avaient supprimés l’argent vont se faire massacrer par les républicains. Le capital, la capital écrase tout, récupère tout. Tant qu’il restera le moindre germe du Capital, toutes les formes de contestations possibles seront récupérées, digérées et chiées contre elles-mêmes ; comme déjà le suggère un
Fernando Pessoa dans :
Le banquier anarchiste.
La catastrophe Néolithique va mettre en mouvement la VALEUR D’ÉCHANGE : L’ÉCHANGE DEVIENT MONNAIE, le TROC n’y échappe pas, la graine de Wall Street et de la City de Londres est semé.
Le capitalisme commence vraiment avec Louis 9 et les croisades, commence alors les crises et les mesures y afférent : l’aspect DOGME, LOIS. Ce qui fait que le mouvement de résistance sociale sera condamné, comme furent condamnés les Vendéens en 1792. Chaque fois que le capitalisme est en plein développement, il bouffe tout et écrase la moindre lutte contre lui grâce à ses capacités d’organisation et de développement, comme un organisme super vitaminés contre un organisme anémié. Toujours cette dualité winners-losers… ou Chrétiens-Païens.
Bref, le capitalisme doit murir avant d’être abattu.
Une civilisation meurt quand elle est anémié et ne peut plus reproduire les conditions de sa manifestation.
Baisse du profit = début de la mort, comme l’électricité baisse en voltage et ne peut plus faire tourner le moteur. L’argent étant « libre » partout, il est sans « odeur » puisque circulant partout, comme le sang, quand arrive une crise, les économistes regardent si le « sang circule » ou pas, ils parlent de « marché » etc., comme du déséquilibre d’un malade.
Pour le capitalisme le temps c’est de l’argent : exemple, la fabrication d’un film, plus le temps passé pour sa réalisation, plus ça coûtera cher en nombre de jours à payer l’équipe technique, le studio, les comédiens, etc.
Quand un humain est esclave dans une entreprise : on a le temps de sa force de travail payé en salaire, et un travail caché non payé dû au principe de la production à outrance (la valeur non rétribuée). Ainsi seul le travail humain exploité à outrance produit de la valeur. Par exemple une machine ne produit pas directement de valeur, elle n’a qu’une valeur par le travail humain qui l’a construite, donc ce qui est directe. Une machine a une valeur suivant son obsolescence, sa durée de vie jusqu’à sa mort ou temps d’usure où elle ne fonctionnera plus. Cette durée de vie de la machine n’est pas manipulable par le salarié qui lui peut travailler plus (il est plus vivant que la machine…). Ainsi le capital ne progresse que par le travail exploité ou forcé, la production à outrance selon la trinité : concurrence, compétition, rentabilité, qui va donner la fameuse croissance à l’indéfinissable, une croissance perpétuelle digne de l’évolutionnisme en Super Carotte de la « fin des temps » des religions du Salut ou religions abrahamiques. Par la production tout azimut les marchandises vont coûter moins chers et être compétitives par rapport aux concurrents ; on retrouve le même système dans les jeux olympiques remis aux goûts du capitalisme à la fin du 19è siècle.
Donc le travail humain produit de la valeur, mais face à la concurrence (libéralisme), le salarié et son employeur sont obligé d’automatiser, de robotiser de plus en plus la production, d’où le succès du thème transhumanisme et du tout robots d’avenir et dehors l’humain qui ne sera plus compétitif face aux robots qui eux n’ont pas d’état d’âme ni de revendications syndicales (une chefferie française et spécialistes du droit est d’ailleurs en train de fabriquer un projet de
« droit du robot » calqué sur leurs
« droits de l’homme »). Tout cela pour avoir un taux de productivité PLUS RENTABLE (vendre plus). Pour que le taux de profit baisse il faut augmenter la masse, les esclaves, soit la saturation du marché ou surproduction (obésité capitaliste, dont nombre d’Américains portent les stigmates…). Surproduction qui vient de la logique, du principe du capital : constamment produire plus, qui implique de moins en moins de profit, qu’il faudra compenser en marge. Pour guérir l’obésité capitaliste, les Couilles en Or organisent de vastes restructurations militaires, où il détruit nombre « d’obèses » (donc au chômage se retrouvent nombre de salariés, et leurs usines seront détruites ou reconverties pour un prochain cycle, À UN TAUX DE MALADIES ENCORE PLUS ÉLABORÉ QU’AVANT LA PRÉCÉDENTE CRISE,
SELON LE PRINCIPE DE LA FRACTALE ORIGINELLE DU CAPITAL).
PLUS LE CAPITALISME MONDIAL VA SE ROBOTISER ET SES SALARIÉS AVEC, ET PLUS IL VA ACCÉLÉRER SON CANCER EN PHASE TERMINAL. C’est pourquoi le capitalisme lorgne pour se refaire dans le tout virtuel, dont le transhumanisme et son
« homme augmenté », dont on voit déjà apparaître le symptôme dans les GPA, PMA et autres machines sexuels productives genre
« mariage gay », parce qu’il s’agit toujours de production et d'argent.
Le tout virtuel est la phase ultime du capitalisme (déjà en son temps la Carte bancaire à puce informatique en est un symptôme embryonnaire, avant que l’humain ne soit totalement « pucé », donc chosifié telle une patate dans un sac à code-barres). Ainsi le capital doit jouer les voyantes, les prophètes, les Dieux, voyager dans le temps : anticiper pour mieux manger ses esclaves.
NATION, ÉTAT = MARCHANDISE et PRODUCTION, ÉCONOMIE. Pas de nation, pas de marchandise, c’est aussi simple que ça ! Puis le mondialisme du capitalisme en son principe est obligé de détruire les nations (les frontières en Europe sont déjà détruites, au mieux « virtualisées » ; les pays furent détruits en France en 1789). Bref, on ne revient pas sur le passé.
Tant qu’il existera un État dans cette planète, il y aura toujours le capitalisme, et donc il n’y aura JAMAIS LA VRAIE PAIX. Le
« vivre ensemble » du capitalo-socialisme n’est que le cosmopolitisme de la marchandise, l’esclavage de ses citoyens dans une planète totalement urbanisée, bétonnée, robotisée, vers une société fourmilière.
Alors pour en sortir : plein de petits pays d’environ un maximum de 10.000 habitants, sans argent, sans chefferie, SANS BÉTONNAGE (
Première Loi) ne produisant que pour la nécessité du bien humain,
CE QUI EST MAÂT.
Pagans ou Pagi : résidant dans les districts ruraux, soit les Paysans, LES PAÏENS, ceux qui sont Maât (direct), ceux qui sont local, du LIEU, ICI et MAINTENANT, qui est LA SEULE UNIVERSALITÉ POSSIBLE.
Ainsi, on en pourra plus voir un Sioux se faire voler un cheval par un Cheyenne, avec pour conséquence que le Sioux va se venger et tuer le Cheyenne, parce que l’unification, l’universalité sera, enfin, dévolue à Ici et Maintenant. C’est la seule Vraie Paix possible entre les Locaux ou Pagans. L’actuelle universalité est l’artificiel fabriqué par la religion de l’argent qui universalise, qui relie entre eux les peuples :
« l’Argent n’a pas d’odeur » (il est « bien » partout, d’où le
« monde hôtel » d’un Jacques Attali).
Le Ici et Maintenant étant la Non-Dualité, il ne peut plus y avoir d’échange ou troc, qui étaient les graines en puissance des futurs Wall Street et la City de Londres.
Faire une action et en attendre une autre en retour, c’est le principe du commerce, de l’échange, du troc. Mais seule l’action juste est celle qui ne cherche pas de résultat, de salaire. Je l’appel GRATUITÉ ou ÉNERGIE LIBRE.
L’échange est NATUREL : recevoir, donner, manger, digérer, rejeter : c’est l’une des fonctions de la Matière que d’échanger. Échange biologique : les Enzymes dans le Levain. Ferments produit par les cellules. Ce sont les Enzymes qui activent les échangent chimiques ; ils font tout le labeur dans la Matière, en accord avec les forces lunaires. Ils s’occupent de la Digestion.
Deux atomes peuvent se réunir sous un effet enzymatique (d’après S. Györgyi).
Les enzymes exercent des forces physiques électro + et électro - pour pénétrer jusqu’au cœur de l’atome. (Louis Kervran).
ÉCHANGE NATURELLE :
1 - Fermentation : le corps change de Nature.
2 - Putréfaction : le corps change-échange ses vêtements.
ON N’Y INTRODUIT RIEN D’EXTÉRIEUR, DONC PAS DE TROC !!!
Les microbes (les vers ne sont pas loin eux aussi) prennent la succession des Enzymes pour décomposer/dé-former la Matière, la réduire en poussière. C’est le CHAUD + L’HUMIDE.
La Fluidité c’est l’échange é-change de
CHANGIER (change tout le Temps, rien n’est fixe), l’Eau en passant d’un récipient à un autre récipient change bien de forme, il y a Fluidité.
L’Eau ne résiste pas, et l’échange est présent, l’Eau gardant son caractère d’être incompressible (Résistance).
ÉCHANGE = LABOUR : LABOR : fruit d’une activité en propre, aider à « s’organiser ».
LABORARE : labourer la Terre : agriculture, ou HORTICULTEUR.
LABOR et ORARE : Agriculture Céleste (HORTICULTEUR CÉLESTE). Labourer et Prier.
Opéra / Opératoire dans le sens Ouvrir / Ouvrier / Œuvrer / Opérer / Communiquer / Échanger, tout cela naturellement et non artificiellement. L’Opéra-teur précède l’événement.
OM (Homme) ou MO (Maux Mots) : Pensée de L’Opérateur. Pensée de la Matière.
ÉCHANGE NE PEUT SE MARIER QU’AVEC ORIGINE, LA PREMIÈRE FOIS OU VRAIE CRÉATION, sinon ce sera l’actuelle création anti-nature comme la thermodynamique, le nucléaire, etc., ou la Magie imbécile consistant à : « Tracer des cercles et brûler de l’encens sont des niaiseries et des jongleries », dit
Paracelse.
Encore une fois, dans l’échange naturel il n’y a pas de dualité : aucune possibilité de comparaison car aucun sujet-objet ou cause-effet. Ce qui rejoint le
paradoxe de la Réalisation du Soi. Échange = relation, donc dans la dualité sujet-objet et ça devient le drame du spatio-temporel parce qu’on « n’échange pas des volumes » ou « espace » (pour employer l’expression de
Savinien de Cyrano de Bergerac), alors on tombe dans le spatio-temporel ou monde des accidents et ses « distances », ses voyages : échange de volumes comme l’exprime Ramana Maharshi à l’entretien 78, et dans d’autres, quand il explique qu’un voyageur ayant emprunté une charette, un train, etc., pour arriver jusqu’à R. Maharshi, ce voyageur N’A PAS BOUGÉ, ce sont les divers moyens de locomotion qui l’ont transporté. « De même que vous confondez ces mouvements avec les vôtres, vous faites ainsi pour les autres activités ». Pourtant Savinien était né quelques siècles avant R. Maharshi ! Mais le Soi est le seul Universel et sans temps qui coule.
TRANSPORT [TRANSLATER] : Échange de lieux… TRANSPORT, C’EST UN ÉCHANGE DE VOLUMES ou donner de la chaleur aux pieds !
« Qui suis-je pour oser installer ma résidence sur une montagne ? ». Mazu lui répondit : « Il ne s’agit pas de cela, mais on ne peut toujours voyager sans se fixer, ni toujours rester au même endroit sans voyager. Ce que tu veux faire croître ne peut croître, ce que tu veux accomplir ne peut être accompli. Il convient que tu sois un bateau (pour les autres) et que tu ne demeures pas plus longtemps sur cette montagne ». (Mazu Daoyi 709-788, un des plus grands maîtres chan (Zen), de la dynastie des Tang 618-907).
Un échange naturel ne peut qu’être par exemple l’analogie (toujours casse-gueule si on est dans la Lune…) : Le marteau sert à enfoncer des clous, mais aussi à une multitude de choses ; il a été tenu par un père, un fils, et rappelle iceux. Il rappelle des souvenirs, des situations dans l’Histoire-Opinion-Temps qui coule. Cet objet ne renferme des vertus que parce qu’il incarne, il y a ÉCHANGE entre l’objet et la personne sujet, qui croit à ce qu’elle voit, fait, entend. On reste encore dans la dualité sujet-objet.
L’Ouvrier et son Œuvre étant dans la même Matière, il y a échange entre les deux (même s’il s’agit de dessiner une maison).
Ainsi une chose peut être EN MÊME TEMPS autre chose (dimensions à l’indéfinissable).
Le Vrai Échange passe par MAÂT : directe ou conscience de la justesse, de la droiture en Égypte Ancienne. ESSENCE / ÉCHANGE.
Les mots doivent êtres adaptés aux choses (juste définition), sinon c’est la tristesse, le désordre (Lao-Tseu).
ÉCHANGE : [SAN] – Bon Sens – SANG – SAN – TÉ : vers le TAU…
C’est sur le Vide que se fixe le TAO. Le Vide, c’est l’abstinence de l’esprit. (Tchouang-tseu, traduction Liou Kiahway).
C’est-à-dire que seul le Vide (ou Gratuité) permet L’ÉCHANGE de l’un vers l’autre, c’est donc accéder à une compréhension intérieure, sans passer par l’intellect et sa dualité sujet-objet, donc sans passer par l’espace-temps qu’est l’idéation. Les Chasseurs-Cueilleurs étaient dans l’INSTANT, ils étaient MAÄT (directe). De même la Vraie Télépathie est directe. De même ce que les Anciens Grecs nommaient
LOGOS, soit la Fractale formant le Principe Originel Universel, une « Cause » à jamais cachée, aussi nommée
« Verbum » ou
« Parole » dans son sens métaphysique.
Voilà pour le Vrai Échange.
Ainsi, la Vraie Communauté humaine universelle, ce n’est pas l’actuel mondialisme de la City de Londres qui se dirige inéluctablement vers la société fourmilière !
La Vraie Communauté humaine EST SANS LOI, comme l’énonce déjà Mazu quand il parle de
« trésor » : « Toutes choses sont parfaites en soi, rien ne manque. Utilise-les spontanément, à quoi bon rechercher vers l’extérieur ? » (donc à quoi bon échanger, faire du troc ? donc FAIRE DU PARASITISME…). Et comme il n’y a pas de loi au dehors, il n’y en a pas non plus au-dedans de soi-même, sinon on retombe dans la dualité !
La Vraie Communauté humaine retrouve bien-sûr l’ÂGE D’OR. C’est une évidence et non un « retour en arrière » ! Francis Cousin parle d’ailleurs
« d’archéologie futuriste ».
Dans la Vraie Communauté universelle il n’existera plus l’actuelle morale-sentiment qui est totalement anti-Nature. Est Vraie Morale tout ce qui est MAÂT, directe, le Soi, le ici et maintenant.
La Vraie Communauté humaine universelle est nécessairement spirituelle (et non
« général » ou quantitative comme dans le N.O.M. et sa laïcité et son
”unité dans la diversité”), car qui dit universel dit UN, et il ne peut pas exister « deux un » car aucun ne pourrait alors être dit « universel », parce que ne contenant pas l’autre et étant limité par lui. Idem si on tient Dieu pour infini, il y en a nécessairement un seul, car s’il en était deux, chacun étant limité par ce qui le distingue de l’autre, aucun ne pourrait être infini ! C’est aussi une définition de la non-dualité.
PARADOXALEMENT LE VRAI COMMUN EST VRAIE CRÉATION… (Comme-UN, C-
OM-Un… avec le C de Causalité, de Connaissance, de Conscience).
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