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Le SANS POURQUOI Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 29-01-2017 17:28

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Le SANS POURQUOI
renvoie au
SANS POUR-VOIR
 
 
Toutes choses sont sans pourquoi, sans Pour-Voir, elle sont parfaites en soi, rien n’y manque, elles n’ont souci d’elles-mêmes, et ne désire être vues, m’as-tu-vu.
Toute chose qui est VIERGE en tant qu’elle est SINGULIÈRE, IDIOTÈS, UN, UNIQUE.
Toutes choses, toutes personnes sont idiotès dès lors qu’elles sont le Soi et n’existent qu’en elles-mêmes, elles sont incapables d’apparaître autrement que là où elles sont, ici et maintenant, donc elles ne se reflèteront pas ; elles n’auront pas de double, pas d'espace-temps. Or c’est le sort de toutes illusions que de ne pouvoir se dupliquer sans devenir aussitôt AUTRE : le miroir ne peut pas superposer la Réalité envoyé ! Ce qui rejoint « Le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu ». L’Univers est sans ailleurs. Toutes choses sont sans Pourquoi, sans Pour-Voir. Dès qu’il y a Pour-Voir ou pouvoir il y a dualité cause-effet, sujet-objet.
 
Notre civilisation des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture qui aboutit à l’actuel capitalo-socialisme est le contraire du Sans Pourquoi. Les gens sont malheureux, frustrés, désappointés, ce qui engendre maladie, violence et cynisme. Quant aux gens qui se veulent « sociables » (entendre ”aimables”), ils le font par égoïsme, par une confiance ou possession exagérée.
Depuis longtemps nous sommes incapables d’être dans l’Origine (être comme « des petits enfants »). La mode de la « raison » depuis le 18è siècle des perruques poudrées nous conditionne à être des robots : nous pensons à ce que nous devons être (selon les conventions des têtes d’œufs des institutions et des sectes à Pour-Voir), nous poursuivons nos idées et ambitions artificielles au lieu d’apprendre notre état naturel : ÊTRE (Je suis ce JE SUIS).

Le Sans Pourquoi c’est la nature de notre être véritable, non mélangé par le « social », donc non tyrannisé par l’opinion, n’importe où, ici et maintenant.
Puisque notre Nature est Félicité, pourquoi sommes-nous si mécontents, si frustrés ? Pourquoi rouspéter et critiquer ? Depuis les 10.000 ans le monde humain est prisonnier de l’avidité, du désir qui mène à l’envie (grosses commissions ou ”bouffer-chier”), qui mène à la rentabilité, la compétition et le Pour-Voir ou pouvoir, soit le conflit et la souffrance.
Dans cette dualité winners-losers, mêmes les losers qui sont dans des endroits simples désirent avoir ce qu’ils n’ont pas.
Le désir entre dans la dualité sujet-objet, désir ou plaisir dont l’opposé sera la douleur. Plaisirs et douleurs étant relatifs, ils tiennent de notre état limité et se développent en fonction des satisfactions des désirs (Ramana Maharshi, entretien 28).


THÉORIE DU CAPITALO-SOCIALISME :
Évolutionnisme ou croissance permanente de production et de Pour-Voir. Comment tout cela peut-il être sans fin ? Cela n’est que le grand SYMPTÔME de maladie mentale : se tourner vers l’extérieur, être autre que ce que l’on est naturellement.
Et cela commence dès le berceau, et ensuite aux enfants et aux jeunes où on les manipule en leur disant qu’ils doivent prouver leur valeur afin de satisfaire l’illusion des adultes ; ils doivent passer des examens, obtenir des promotions et des médailles, gravir l’échelle pour se retrouver communier à la paroisse de la City de Londres. Ces jeunes manipulés doivent montrer leur richesse extérieure, de compétence, d’habilité, être admiré (société du spectacle ou illusion oblige). Société du spectacle puisque le monde entier est avide de plaisir et son contraire naturel la douleur, avide d’amusement, qui n’est pas un amusement innocent, mais un désir glouton.
LE BONHEUR N’A BESOIN DE RIEN. AINSI IL EST GRATUITÉ, ÉNERGIE LIBRE. GRATUITÉ = VÉRITÉ : ELLE SE DÉVOILE D’ELLE-MÊME, PAS DE BUT À ATTEINDRE. LA GRATUITÉ NE DIT PAS « Je serais satisfait si j’obtiens ce que je veux », qui est typique de l’ego, du narcisse. LA GRATUITÉ EST SANS POURQUOI, DONC SANS ESPACE-TEMPS, DONC SANS BUT. Il n’y a pas la dualité bouffer-chier !

Comme écrit en début de page, personne d’entre nous n’est réellement en manque. Il y a des gens qui ont faim, qui sont sans abri, mais eux aussi ils sont Sans Pourquoi. Personne n’a besoin de loi, de règle ou de norme pour être Sa Félicité naturelle, pour être son Être véritable et naturel, soit notre état de joie. Faut-il une technique, une loi, pour être heureux ? Évidemment non puisqu’il n’y a pas de but à atteindre. Mais le système capitalo-socialiste travaillant dans le mercantilisme de la dualité offre-demande nous manipule tels des drogués en état de manque permanent. Exemple : si je me considère comme un mendiant, je dois mendier ! La dualité sujet-objet fait que l’image de soi est devenu le désir, la demande, toujours plus en croissance, et le fait de toujours désirer s’applique non seulement aux choses physiques mais aussi au désir d’appréciation, d’approbation (médailles, reconnaissance, amour mercantile dit échange), de sécurité, d’autres ambitions.

Alors dans cette société du capitalo-socialisme et sa consommation nous sommes tous des drogués en manque (surtout d’emploi pour certains !). Tout est fait pour l’extérieur : DÉSIRER.
Mais pour se libérer : SOYONS, au lieu de désirer ! Évidemment c’est difficile tellement nous sommes conditionné depuis les 10.000 ans ! C’est difficile au début, parce que nous avons l’habitude de penser à nous-mêmes comme ayant besoin d’aller quelque part, de toujours courir, de jouir de quelque chose, et d’être « quelqu’un ». Plus nous nous efforçons d’être satisfaits, et d’imaginer que nous avons besoin de réjouissance et d’excitation, moins nous sommes nous-mêmes. Nous succombons à la pression du monde extérieur et renforçons cette opinion pernicieuse. Mais si pendant quelques Instants nous nous réveillons et voyons plus ou moins profondément que tout désir est futile, qu’il mène à l’irritabilité, au chagrin et à la frustration, très vite il y a une sensation de Vraie Paix. Le mental devient plus pur, une joie commence à poindre.
« C’est en examinant les objets avec les sens, mais en maintenant les sens soumis au Moi [Soi], libérés de toute attraction et répulsion, que l’on parvient à une vaste et douce clarté de l’âme et du tempérament où n’ont plus place la passion et le chagrin ; l’intelligence d’un tel homme est rapidement établie [en sa vraie place ». (Bhagavad-Gita, chapitre II, 64-65).

L’abandon de l’idée ou opinion de désir, et de l’opinion de ce qui devrait, genre : « sauveurs du monde », la femme qui devrait être comme ceci ou cela ; la servante qui devrait faire plus ou moins ; les animaux qui devraient être plus productifs, donner plus de lait ou de chair à bouffer ; les situations qui devraient être conformes à l’attente de la chefferie de la City de Londres et de Wall Street, et ainsi de suite, mais avec la City le sommet est atteint !

L’élimination du conditionnement par cette civilisation de l’avoir et de sa façon de penser est le commencement du Sentier qui conduit à la Vraie Paix, pas celle du capitalo-socialisme. Comment faire pour retrouver la Vraie Paix ? Non pas par une autre pensée qui dit : « Je ne dois pas désirer, je veux être une personne qui ne désire pas ». Car s’il en est ainsi, rien n’a changé ; c’est exactement comme les « Plus jamais ça » qui sont tous des menteurs.
Alors, qu’est-ce qui doit être fait ? Peut-être RIEN, SOIT RÉALISER LE SILENCE. LA MEILLEURE ACTION EST LE SILENCE OU NON-AGIR, Wou-wei ou Wuwéi, plus vulgairement : le "lâcher-prise". Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement.
Bien-sûr cela ne veut pas dire qu’on ne remplisse pas nos besoins quotidiens normaux. On peut faire la cuisine, ou travailler dans un bureau, écrire, jardiner, faire les courses ; pourtant, intérieurement on ne peut rien faire.
Le Yoga-vâsishtha cité à la fin de l’entretien 495 par Ramana Maharshi dit : « Détachement à l’intérieur et attachement en apparence ». Ainsi, l’inaction est un calme profond à l’intérieur de soi-même, qui n’est pas affecté par une action accomplie à l’extérieur.
« Celui qui dans l’action peut voir l’inaction, et qui peut voir l’action continuant encore dans la cessation de œuvres, celui-là est parmi les hommes l’homme de raison vraie et de discernement ; il est en yoga et il est l’ouvrier universel aux capacités nombreuses [pour le bien du monde] », aussi une définition de la Vraie Création ou Vraie Nature donnée par la Bhagavad-Gita, chapitre IV, 18.

La beauté de ce désengagement, dans la mesure où nous la retrouvons, et si nous y portons attention, est que le mental devient lumineux, transparent ou vif. Alors toute vie devient joie ; il n’existe que la Félicité, la Vraie Nature ou Vraie Création, le Sans Pourquoi : un oiseau est, il n’essaie pas de devenir quelque chose (attendre la « fin des temps »). La Fleur aussi est Sans Pourquoi, elle fleurit parce qu’elle fleurit.
Hélas, maintenant tout est fait pour nous empêcher de réaliser le Sans Pourquoi ; ainsi nous ne permettons pas aux autres créatures, dans les trois Règnes, d’être ce qu’elles sont. C’est pourquoi nous sommes actuellement dans ce monde Luciférien où toute évolution vers les Mondes Libres risque d’être interrompue en une évolution statique, artificielle dans le Minéral, le Végétal et L’humain-Animal. Mais pour le moment, la Victoire de ce monde Luciférien (la croissance ou évolutionnisme sans fin) est loin d’être réalisé.

Être Sans Pourquoi c’est ne pas être un « homme augmenté » par les transhumanistes des Google et Cie. Il faut supporter joyeusement sa destinée ou voyage sur cette planète, et accepter la souffrance qui arrive à certains comme un honneur, car c’est Sans Pourquoi, c’est MAÄT. c’est INCONNAISSABLE À JAMAIS, Si dur que puisse être la souffrance, être reconnaissant qu’elle ne soit pas plus terrible ! Ainsi, dans toutes les circonstances, LA VRAIE PAIX EST TOUJOURS LÀ, ÉTERNELLE, telle qu’énoncée par Rudyard Kipling dans un de ses chefs-d’œuvre : Histoires Comme ça (1902), dans Le Chat qui s’en va tout seul (il est donc Sans Pourquoi, il est le Soi, il est Singulier, il est Vraie Création).

Ainsi nous pouvons apprendre à vivre la vie sans frustration ni déception. Le désengagement du système capitalo-socialisme, ou de tous autres à venir, nous permet d’agir sans agir, avec la Gratuité qui réalise sans que nous le demandions. C’est cela la Vraie Création : pas de dualité offre-demande, pas de demande. Pas de prière !!
Il n’existe qu’une seule libération possible, ici sur Terre, y compris pour la plus grosse Couille en Or du monde et la plus puissante, surtout pour elle qui est la plus à plaindre, C’EST LA LIBÉRATION DE L’EGO, DE L’IMAGE DE « MOI JE », LIBÉRATION DU NARCISSISME MARCHAND : je suis ceci, je suis cela, je fais ceci ou cela, etc. Il n’y a rien à rechercher, pas de but à atteindre, il n’y a rien à posséder, ni terre, ni famille, ni propriétés, ni diplômes et médailles ou honneur, ni perfection. « Toutes choses sont parfaites en soi, rien ne manque. Utilise-les spontanément, à quoi bon chercher vers l’extérieur » dit Mazu Daoyi (709-788) un des plus grands maîtres chan (Zen) de la dynastie des Tang (618-907). Idem pour l’intérieur : comme il n’y a pas de loi au-dehors, il n’y en a pas non plus au dedans qui puisse être obtenue comme on obtient son diplôme ou qu’on achète sa voiture ! Rien n’a besoin d’être ajouté au Soi !

IL EST VRAI QUE LA SIMPLICITÉ EST STUPÉFIANTE (PANique) puisqu’il n’y a plus de dualité sujet-objet, le Pour-Voir !
Pour-Voir ou croire que nos actes nous appartiennent, sont notre ‘je’. Bien plus qu’avant 1789 et le triomphe de l’opinion ou « liberté d’expression », l’humain actuel croit qu’il est l’auteur de ses actes, il est à l’âge du Faire/Fer. « C’est le Pouvoir supérieur [le Soi] qui fait toutes choses et l’homme n’est qu’un instrument [même l’homme augmenté du futur des Google et transhumanistes]. S’il accepte cette possibilité, il est libre de tout ennui ; sinon il les invite » (Ramana maharshi, entretien 63).

Voir aussi la page sur ce que le capitalo-socialisme et son tout sécuritaire cache trop souvent : la mort. mais pas de mort, pas de naissance, que l’éternité.
« La douleur n’existe qu’aussi longtemps que l’on s’identifie à une forme définie. Si cette forme est transcendée, on saura que l’unique Soi est éternel. Il n’y a ni mort ni naissance. Ce qui est né, c’est seulement le corps [le vaisseau]. le corps est une création de l’ego. Mais l’ego n’est pas perçu en l’absence de corps. Il est toujours identifié avec le corps. C’est la pensée qui pose problème. Que l’homme sensé se demande s’il était conscient de son corps lorsqu’il dormait profondément. Pourquoi le sent-il à l’état de veille. Mais, bien que le corps ne soit pas ressenti durant le sommeil, est-ce que le Soi n’en existait pas moins ? […] Il [l’homme] découvrira que le Soi existe depuis toujours, que le corps qui est né se réduit à une pensée et que l’émergence de celle-ci est la racine de tout le mal » (Ramana Maharshi, entretien 80).
À l’entretien 202 : « La peur de la mort se présente seulement après que la pensée ‘je’ est née. La mort de qui craignez-vous ? Et de qui est-ce la crainte ? La cause en est l’identification du Soi avec le corps. Tant qu’elle existera, il y aura peur ».
« Est-ce qu’un homme qui dort dit qu’il est inconscient ? Il le dit à son réveil car alors il se trouve en état de conscience relative [dualité sujet-objet]. Il parle donc d’un point de vue de conscience relative et non de conscience abstraite. La pure Conscience est au-delà de la conscience relative et de l’inconscience » (Ramana Maharshi, entretien 306).

« Seul celui qui est né doit mourir. Voyez déjà si vous êtes vraiment né pour que la mort puisse vous menacer » (R. Maharshi, entr. 318).
« Naissance et mort ne sont que des idées. Elle relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les phénomènes changent et sont mortels. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi. La mortalité n’est qu’une idée qui cause souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi » (R. Maharshi, entr. 487).

« Conscience du Christ et Réalisation du Soi sont une seule et même chose » (Ramana Maharshi, entretien 88)


LE RÉGIME RÉPUBLICAIN USINE À DÉSIR POUR MIEUX VENDRE SA DAUBE. CIVILISATION DU NARCISSISME.
Règne des Pourquoi en tyrannie de l’opinion et choses du tout extérieur : DUALITÉ MARCHANDE OFFRE-DEMANDE. Voilà où en est réduite la république « universelle » des judéo-maçons spéculum du Grand Orient de France et autres grosses obédiences à Pour-Voir.
On ne gouverne plus les faits, mais le virtuel des faits, soit dans la logique que je remet en refrain :
« Avec l’invention de l’imprimerie à la Renaissance : nous sommes désormais passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée, que je résume par le triomphe de l’opinion ou de la libre pensée. Alors notre perception du monde « moderne » et donc de nous-mêmes est un sous-produit de l’invention du monde sur le papier, et anciennement sur le papyrus ou le parchemin, ou sur les tablettes d’argile cuite devenues « tablettes digitales informatiques ».
Le républicanisme fait de la politique comme on vend des aspirateurs, humanité en route vers la société fourmilière et robotisée.
POLITIQUE = PAQUET DE LESSIVE EN PROMOTION, OU SOLDE EN MATIÈRE DE PROJET.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 29-01-2017 18:11

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