Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Libre-échange : Troc et Social
Libre-échange : Troc et Social Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 17-07-2017 21:39

Pages vues : 5688    

Favoris : 41

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Âne, Argent, Artifice, Babel, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Chimère, Christ, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Fréquence, Fusible, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kaléidonome, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Prostitution, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Psychiatre, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Utile, Vaccin, Vase, Vide, Volonté, Yokaï, Zombie

 
  navire_echanges.jpg
 
 
Libre-échange : Troc et Social
Monde du pas gratuit
Monde du pas Amour
celui où
les « sauvages » veulent « échanger »
comme on É-change de climat…
Le Marché à Wall Street,
Le changement climatique à Washington…
ÉCHANGE = MARCHAN(DER) CALCULER NÉGOCE, et nous
avons de nos jours une République en marché
sous God-e-lureau 1er.


Les en-jeux, la chance aux jeux et au ‘je’ qui conte et compte.
Les « jeux olympiques » du capitalisme sont des en-jeux financiers.

Sonnantes et évidemment trébuchantes à cause du RE, du Bis.
L’Appel du ventre (nombre de cellules du cerveau se situent dans le ventre).
 
 
Rien de gratuit : Je t’échanges mes moutons contre tes coquillages… Et la monnaie est inventé et l’utilitarisme avec.

TROC : les êtres humains se livrent à des échanges sporadiques de biens. Puis ils succombent au confort en acceptant de recevoir une marchandise, non pas pour un usage immédiat, ici et maintenant, mais comme moyen VIRTUEL de paiement d’une autre marchandise qu’ils désirent ; et ensuite cette virtualité prend des noms-les-formes de plus en plus compas-équerres et sophistiqués.
Le Troc est donc la source du capitalisme.
TRIC(K)-TROC : civilisation au sourire commercial : « Pas de ”haine” chez nous. Sinon, payez ! ». Nous sommes en culture du narcissisme.
TROC MODERNE : AVOIR DROIT (interdit d’interdire [liberté d’expression, genrisme, etc.] et paradoxalement diarrhée permanente de lois ; problème de viscères…).
 
TROC, ÉCHANGE, MONNAIE MÉTAL = SOCIAL et État. MON-NAIT (mon ego, mon désir).
TROC = TOUT CONFORT, SIMPLIFICATION APPARENTE, EYES CANDY.
TROC ou CROT, et effectivement l’excrément a la même vibration radiesthésique que l’Or métal. Là va s’enclencher le système de la thermodynamite en corrélation avec la découverte du feu vulgaire…
LIBÉRALISME = L’EGO DES DEUX ÉCHANGISTES (leurs satisfaction, leur « amour » réciproque), depuis 1789 ils appellent ça « démocratie ». Satisfaction ou « amour » entre les deux échangistes = CONVENTION ou OPINION : chacun est au courant de la valeur de A à échanger contre B.

MONNAIE = VIRTUEL, ici dans le sens de POSSESSION OU RÉSERVE (stock, surplus).

Pour le philosophiste John Locke, la monnaie ne naît pas du mouvement des échanges et du commencement de la division du travail (les spécialistes), c’est la monnaie qui va engendrer ces échanges et spécialistes

ARGENT = ÉTAT ET POLITIQUE. La bourgeoisie ou habitants des bourgs vont POSSÉDER par cupidité des offices, des charges, des alliances matrimoniales, des moyens d’accès à la noblesse, tandis que les cadets de familles parcourent le monde déjà monde-hôtel (motorisé) à la Jacques Attali pour faire fortune. Les Couilles en Or, les « gens de bien », c’est du sérieux, de l’adulte, pensez donc : Université à gogo, leçons de musique, d’équitation, les soirées dansantes et de fumettes et bourbon, le tennis, les réceptions (le social), la consultation chez le psychiatre, etc., ils doivent être la chefferie (capitaine d’industries) des grandes richesses.
Les 17è et 18è siècles seront célèbres pour leurs bulles spéculatives, l’argent devenant roi à la place du roi ! Avec ce qui s’en suit : LA LOI, et son représentant ancien le ROI, d’où le CONFORT DU LOI-SIR (permission) et la croissance permanente des lois en tous genres.

Dans ces deux siècles le latin va reculer au profit de langues nationales qui inventent leurs propres termes techniques. Grâce aux marchands de cette époque le mot « troc » se répand, il sert à désigner, non la transaction mais l’objet de l’échange en nature, direct (échange de « denrées » mêmes). En 1753 on joue l’opéra bouffe d’Antoine Dauvergne : Les Troqueurs, qui a pour synopsis l’échange de leurs fiancés par deux amoureux.
Pour John Locke, la monnaie est à l’origine de l’État. Et je ne suis pas d’accord : les Péruviens ne connaissaient pas la monnaie, n’avaient rien qui pouvait s’apparenter à la notion de propriété ; tout chez eux était réglé par « la loi » : les Péruviens ne pouvaient changer de résidence ou d’habits qu’avec la permission du gouvernement, donc de l’État. Cependant chez les Incas, aucun manque de nourriture ou de vêtements. Au Pérou, l’être humain ne semblait être fait que POUR le gouvernement, comme l’explique William H. Prescott dans son livre Aztèques et Incas - Grandeur et décadence de deux empires fabuleux, auquel je fais référence.

Wall Street commence donc à la catastrophe du Néolithique quand la voie de l’Agriculture se met en place : culture des céréales, élevage d’animaux domestiques, premières productivités, donc première trinité armée-police-justice nécessaire à l’État pour « organiser » et « sécuriser » tout ça. PRODUCTIVITÉ : ce qu’on a en trop, on ne le donne pas, on l’échange envers celui qui a un manque. On retrouve ça en électricité dynamique, donc en thermodynamite : c’est contraire de l’électrique statique. C’est la différence de niveau ou potentiel qui provoque un déplacement de l’eau ou des électrons (aspect mécanique). C’est aussi le temps qui coule, le temps des accidents en géométrie de la ligne droite, le temps qui coule comme la liquidité des marchandises et de  l’Histoire-Opinions (chronologie). Dualité : deux métaux de composition différente dégagent de l’électricité dynamique. C’est le principe de la pile ou empilement re-trouvé en 1800 par Volta.

L’ego ou mental voulant sauter plus haut que son cul, donc plus haut que le troc, commence avec évidemment le monde anglo-saxon : Adam Smith en 1776, puis Carl Menger (1892) et William Stanley Jevons (1878). Il paraît que ce serait l’inénarrable Aristote qui voit la monnaie tout confort pour palier aux problèmes du troc : « J’ai un porc et je veux une chaise mais comment trouver un possesseur de chaise qui désire un porc ? »). Évidemment, le troc ça marche bien EN FAMILLE, mais le problème commence avec la cité et l’étatisme, et la division du travail (les spécialistes…) donc avec la productivité !!! Alors CITÉ = MONNAIE et CITOYEN = MONNAIE (impôts…).
La monnaie est donc du LIBÉRALISME : de L’OPINION : convention entre au minimum deux individus, donc extérieurs à tout étatisme et à toutes ses lois ; ça s’appelle « institution à caractère commercial » (pas de juridique là-dedans, on commence à diviser, à spécialiser de chez spécialistes).

Pour un Adam Smith, la division du travail c’est le Saint Graal. Le troc ne peut qu’être la source de l’invention de la monnaie, qui va engendrer la division du travail, et la division de l’ego et son culte du narcissisme : le moi-individuel et son CALCUL. ÉCHANGE = CALCUL !!! Comme : un poulet vaut une demi chaise ! Nous sommes alors en plein « valeur » si proche de VOLEUR.
PIRE : CALCUL : certains convertissent l’obscurité en lumière, et transforment l’amertume, la haine, en douceur.

L’ÉTAT CENTRALISE, LE CAPITALISME FAIT L’INVERSE !

Je t’échange mes microbes contre les tiens, semble dire l’Aristote et raciste qui, comme Jules Ferry, traite de « barbares » ceux qui ne sont pas « civilisés » comme lui. J’ai trop de microbes, je t’en donne une partie ; « Ainsi, chaque homme subsiste d'échanges et devient une espèce de marchand, et la société elle-même est proprement une société commerçante », écrit Aristote, pardon, Adam Smith (Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations), je dirais une « société de parasites » au lieu de « société commerçante » qui, comme les talmudistes, « veulent rendre service ».

Je répète que le troc c’est de la thermodynamique : « échanges thermiques »… comme cité plus haut sur l’électricité dynamique… Tout commence par DONNER UNE VALEUR À QUELQUE CHOSE. J’ai faim, je donne de la valeur à une saucisse, je bave même en la voyant dans la vitrine. Ils appellent ça « valeur d’usage », My God ! Mais si on recherche une « valeur d’usage » UNIQUEMENT pour la revendre, ou pour l’échanger à nouveau, donc « faire affaires », on entre dans la géométrie mentale de l’ego des frères Abraham et Simon Oppenheim, cité par Attali dans son livre sur les Juifs et le monde de l’argent.

Blé, Sel, Coquillages et perles ont servit de monnaie d’échange. De Sel vient le Salaire.

RÉSUMÉ : le troc est un échange d’objet contre objet avec négociation ou calcul, donc opinion.

Certains disent qu’il n’existe pas de sociétés sans monnaie, où le troc permettrait des échanges. Et bien non, il existait des communautés sans monnaie parce qu’elles communiquaient par VRAIE TÉLÉPATHIE et QU’ELLES SE NOURRISSAIENT DE PRÂNA.


LE PRIX DU SANG.

IL Y A ENCORE PIRE : LA PRIÈRE : MARCHANDER AVEC UN DIEU, ET LA VICTIME SACRIFIÉE SUR L’HÔTEL D’ATTALI POUR MARCHANDER UN DEAL AVEC UN DIEU. Ainsi SACRIFICE = MONNAIE.
À la rigueur, et dans le sens positif, le sacrifice aux liens terrestres par amour du divin, alors que c’est notre état naturel ! Voir le marchandage-troc Abraham-Isaac.
SACRIFICE = ÉCHANGE - AMORCER LA POMPE : plus l’objet offert est précieux, plus l’énergie en retour sera puissante.
Remplacer les rituels de sacrifices humains par des sacrifices d’animaux est toujours du crime ! Chez les Hébreux l’âme circule dans le sang, alors il n’est plus étonnant que cette religion-opinions se transmettent par le sang-transmission de la mère…
Comment un « Dieu » peut-il « demander » des sacrifices ? et depuis quand ???
La religion catholique découlante de Mithra et du sacrifice du Taureau est typique du sacrifice du Jésus sur la croix. C.G. Jung et ses suiveurs voient le sacrifice comme une victoire de l’humain-divin sur l’humain-animal, dont le Taureau est le symbole cornu de son animalité humaine.

On retrouve ce marchandage dans la série La Servante écarlate, où la classe des servantes n’a pas le droit d’écrire, si une servante est surprise à écrire, on lui coupe une main. Application démentielle du troc… et de « la dette à la loi »… Bref, on est en plein dans la dualité cause et effet poussée à l’absolu !


Si vous parlez « d’échanges équivalents » vous êtes déjà dans la valeur, de même que former un « contrat ». L’égalitarisme à la mode république judéo-maçonnique du spéculum du GODF est typiquement du troc. Ils font la « balance » au Fléau tordu.

L’Or métal ayant même vibration en Radiesthésie que les excréments, il est ANAL, creux ou féminin et matriciel, vase, moule ; alors, pourquoi les financiers sont surtout des hommes et que le patriarcat des religions abrahamistes tyrannisent le monde et tue les Païens ? Est-ce leur bite et leur couteau qui assureraient « l’immortalité de la race humaine » à travers les générations successives ?
J’imagine le Crésus avec un GROS INTESTIN !

« Chacun donnait ce qu'il avait à l'autre et recevait de lui ce dont il avait besoin ». Il « recevait » si c’était son désir, et son besoin. Les Gaulois ne voulaient pas « recevoir » le Ciel sur leur tête…
TROC ET GRÉGARISME : DANGER : pourquoi un individu se soumettrait à l’avis unanime, au vote d’un groupe, même si le vote ou la réponse donnée est vraiment fausse ? Voilà un exemple de division winners-losers. Ici le groupe constituant LA chefferie, l’autorité. Comment le malheureux loser pourrait-il contester cette « autorité » ? Pourquoi devrait-il « s’adapter » à ce faux environnement à la Darwin et au béhaviorisme ?

Commerce chez Savinien de Cyrano de Bergerac :
- Les maux du corps réclament du Secours.
- Les maux de l’Esprit réclament du Temps.
Certains que de nos jours ça rapportent beaucoup aux winners !

Le seul non-commerce ou gratuité est évoqué dans le NON-AGIR (chez Lao-tseu et autres, même Ramana Maharshi l’aborde).
L’Araignée particulièrement est maîtresse d’un certain Non-Agir : l’Araignée “voyant” une éponge qui n’a pas bougé du bord de sa baignoire depuis plusieurs jours, va se réfugier dans un des trous de l’éponge. Si on laisse une chose, ou un endroit inoccupé un temps long, il se passe des choses étranges ! “La Nature reprend ses droits”. C’est-à-dire que les choses se transforment : il va pousser des moisissures dans un pot de lait laissé de côté ; l’humidité et les fissures vont prendre place dans une maison inoccupée, comme l’Araignée elles saisissent l’occasion ! L’eau trop dormante va se couvrir de micro-organismes… ça fermente… À croire que les éléments « marchandent » eux aussi ! Mais là je fais de l’anthropomorphisme.
L’addition (ajout, unir, mêler) a quelque chose en moins (ce qui manque, ce qui est dans le besoin).
La soustraction (enlever, dépassé) a quelque chose en plus (ce qu’il y a en trop, ce qui déborde, qui déséquilibre).
 
 

Dernière mise à jour : 17-07-2017 22:57

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >