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Il n’est pas trop tard Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 28-09-2017 00:00

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Banques, Capitalisme, Civilisation, Ego, Empire, Fractale, Gratuit, Guerres, Histoire, Instant, Langage, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Maçon, Microbes, Opinion, Orgie, Ouvrier, Païens, Paix, Peste, Raison, Réalité, Religions, République, Simple, Socialisme, Spiritualité, Terrorisme, Transhumanisme, Vérité, Vin, Winner

 
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Il n’est pas trop tard
nous avons encore le choix.
En tant que mal-ades, nous avons le choix :
- ou demander la guérison à l’État ou à une chefferie quelconque,
- ou se construire soi-même et retrouver son éternité oubliée.
Seulement après on peut, éventuellement, construire.
 
 
Mahomet, Bonaparte, la démocratie, le racisme, le marxisme, le philosophisme, la religion, le républicanisme SONT DE SIMPLES OPINIONS qui continuent de sucer le sang des êtres humains, le mental ou travail du chapeau n’a jamais cessé d’être le parasite de la vie ; IL EN EST MÊME LE PREMIER CRIMINEL (avant l’État). Ce n’est donc pas à l’État d’imposer son opinion, par exemple sur le racisme… Il ne fait que poser une cautère sur une jambe de transhumaniste et aggrave ainsi le problème.

Fusible contre l’État du capitalo-washingtonisme à partir de 1917.
Le rideau de fer et du temps du Tsar et de l’URSS n’avait pas pour but d’empêcher les gens de sortir, mais d’empêcher le capitalo-washingtonisme de rentrer. Je confirme, ayant de la famille en Russie pour qui un morceau du Graal c’était de blue jeans (grégarisme, grégarisme…), ils m’ont supplié de leur en envoyer un, alors que je n’est jamais porté cet uniforme yankee.
 
Choix entre monde luciférien ou monde du divin.
Soit on met son espérance dans l’éternité ou dans l’évolutionnisme, on opte pour le Christ-Soi, ou pour l’homme qui a fait mousser son ego devenu Dieu.
Choisir entre le Seul réel d’une éternité sans avenir, et le mirage eyes candy d’un avenir sans éternité et explosé de technologie.

« Aujourd’hui, le libéralisme et le communisme sont considérés comme deux idéologies totalement différentes. Cependant, en les examinant de plus près, nous pouvons identifier une série de coïncidences et de complémentarités frappantes. Comment décririez-vous les différences et les similitudes entre ces théories politiques ?

Je vois surtout des différences. Pour reprendre les catégories de Zygmunt Bauman et Karl Popper, le communisme propose un modèle de société solide et fermée, comme les sociétés traditionnelles, et le libéralisme propose un modèle de société liquide et ouverte. Cette liquéfaction libérale attaque la psychologie et la société jusqu’aux identités sexuelles, d’où le phénomène du « gender fluid » : des individus qui pensent être un homme le matin et une femme l’après-midi, ou l’inverse, ou qui changent plusieurs fois par jour au gré de leurs humeurs. Chacun fait ce qui lui plaît en fonction de ses envies et caprices, l’individu est roi [prisonnier de son ego]. Il est impossible de construire une société sur cette base complètement maladive (société d’aliénés (1)]. En termes de psychopathologie, le communisme produit des effets classiques de névrose, c’est-à-dire de fermeture et de refoulement du désir individuel, ce qui est la condition aux structures collectives. Pas de société sans Surmoi, sans autorité normative au-dessus de l’individu, comme le savent tous les psychologues [oui, seulement en l’ignorance du Soi…]. À l’opposé, le libéralisme refoule le refoulement et exige la libre expression du désir individuel (« Il est interdit d’interdire »), ce qui aboutit à morceler toutes les structures collectives et sociales [par les « spécialistes »]. C’est la société ouverte de Popper et de son disciple George Soros, c’est-à-dire en fait une juxtaposition d’egos et de narcissismes, incapables de « jouer collectif », donc une non-société [d’où le slogan désespéré du « Vivre ensemble »]. Le libéralisme introduit à la perversion, puis encore au-delà à une véritable psychose sociale qui menace de destruction toutes les structures collectives et jusqu’à l’espèce humaine. Je ne crois pas que le communisme soit jamais allé jusqu’à ce niveau de dangerosité ». (Lucien Cerise, suite et source sur E-R.).
Intéressant ce passage de Lucien Cerise, cependant pas entièrement d’accord avec lui dans sa division puisque le communisme ne se passait pas du capitalisme : l’un s’appuyant sur l’autre, notamment à travers l’institution du Goulag, État dans l’État.

Dans le libéralisme l’homme devient un objet, une marchandise pour l’homme. Ainsi l’homme qui possède comme objets un ou plusieurs hommes est celui qui est reconnu comme possédant le mieux la doctrine du capitalo-socialisme de la City de Londres ; et l’homme-marchandise, possédé par son acheteur, est celui qui se reconnaît ignorant de la doctrine et qui consent à se laisser former, fabriquer, par son possesseur qu’il reconnaît comme ayant pénétré plus avant dans les arcanes du spatio-temporel (du matérialisme de l’argent).

- City de Londres ou Capital : sans argent pas de travail, donc les esclaves du salariat doivent se soumettre aux impératifs du capitalisme et de son dogme financier. Le mot « valeur » a uniquement le sens d’argent, la possibilité de travail n’en étant que le signe.
- Salariat et esclavage moderne : il dit : « Sans travail, le capital n’est que du vent ». L’unique valeur en ce monde devient alors l’esclavage moderne du salariat et de son « pouvoir d’achat ».
Cela fut vrai en URSS de 1917 à 1991 où l’on n’a pas inventé un nouveau système économique révolutionnaire, tant le capital y était en force !
CAPITAL, VIL : l’argent n’est que nature de s’acheter et de se vendre (sur le marché [aux esclaves]). Et quand les choses dépendent du Divin et de la Vraie Liberté qui va avec, qui par nature ne peut être ni achetée ni vendue, la City de Londres en donne le simulacre-spectacle : simulacre de l’amour, du dévouement, de l’admiration, et, par dessus LE MARCHÉ (vu que cette société du spectacle se donne l’apparence du vrai) SIMULER LA SINCÉRITÉ. Aussi la Couille en Or vit deux fois dans la Caverne de Platon : elle n’a que les ombres de ces ombres que sont les choses fabriquées.
Quel spectacle que notre civilisation, mais ce n’est qu’un spectacle, dirait le cinéaste Jean-Luc Godard. SPECTACLE-SPECTRE = ACTIVITÉ PASSIVE, REDUCTION AU FANTÔME DE NOUS-MÊME, division entre chefferie (les acteurs) et les peuples (les spectateurs). Des entrepreneurs, les spécialistes, rêvent et pensent à notre place, de sorte que nos erreurs et nos illusions ne nous appartiennent même plus, et nous sommes des MILLIARDS QUI SE RAVITAILLENT CHEZ LES MÊMES FOURNISSEURS ! Le Diable se frotte les méninges : la matière violée et asservie par l’humain se venge en communiquant à son vainqueur son inertie et sa passivité…

Le capitalo-socialisme c’est l'American way of life, qui aboutit également à l'uniformité psychologique et à l'étouffement de l'Esprit. Capitalisme comme socialisme (communisme) peuvent résoudre les tensions et antagonismes du corps social, mais en réduisant l'homme à sa seule dimension psychologique et physique. L’Empire USionistan réduit sa société en UNE SEULE CLASSE : CELLE DE LA TECHNIQUE, d’où d’ailleurs pouvait facilement s’élever le mouvement transhumaniste, et en premier le culte généralisé de la technique et l'identification des besoins de consommation imposée par la technique publicitaire, politique et médiatique en passant pas Hollywood, de l’autre côté l’Empire abandonne les choses de l'esprit au dévergondage religieux des sectes en tous genres.

Comme écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Rejeter le communisme et garder le capitalisme, c'est rejeter le fleuve et vouloir garder sa source », puisque ces deux systèmes politiques ont entre eux d’étroites affinités (le capitalo-socialisme).

Les deux systèmes voulaient une forme de mondialisme, mais le socialisme de l’URSS voulait construire des « laboratoires » de son régime dans seulement divers pays, alors que le capitalisme de la City de Londres et d’une forme de kabbalisme magique veut foutre le chaos dans le monde entier. Comme explique Lucien Cerise : « Toute alternative politique et géopolitique à l’Occident libéral multiculturel et LGBT doit cesser d’exister, ce qui explique cette guerre à mort menée à la Russie, à la Syrie, à l’Iran, à la Corée du Nord, à la Chine ». À croire que l’anus-bite fait maintenant lui aussi de la politique !

D’accord avec Lucien Cerise quand il dit : « La dictature du politiquement correcte et soit disant progressiste qui essaye de s’imposer partout déploie une véritable hystérocratie – ou idiocratie – c’est-à-dire un gouvernement des hystériques, des crétins et des incompétents qui n’ont à la bouche que les mots « inclusion », « diversité », « tolérance » mais qui ne tolèrent en fait aucune contradiction et qui travaillent à détruire la vraie diversité par l’inclusion obligatoire dans la pensée unique globaliste. Le gauchisme compassionnel des Social Justice Warriors n’est pas viable sur le long terme, c’est une maladie mortelle déjà largement répandue en Occident et qui cherche à se diffuser par la guerre au moyen de l’OTAN sur toute la surface de la planète ».


IL N’Y A PAS D’AUTRE SOLUTION.

Bref, rien à attendre ni du libéralisme ni du socialisme ou communisme, seul le ‘Je’ ou Soi transcende l’antique dilemme du moi-collectif-moi individuel : « Le ‘Je’ [Soi] vécu dans la plénitude du sentiment océanique [dont parle aussi Ramana Maharshi] n’est pas une partiellité à côté d’autres. Il n’est pas non plus perception d’une collectivité, d’une multitude. Il est au-delà des accidents et de la quantité cosmique. Il est essence pure Aussi […] je dirai que la conquête du ‘Je’ (et non pas du moi, le ‘je’), est un moyen de transcender le moi. C’est l’accès au véritable infini. En ce ‘Je’, dans la non-différenciation du sujet et de l’objet s’efface aussi l’opposition de l’individuel et du collectif qui est la toile de fond de tous les conflits politiques. Le communisme, en prétendant donner à ce conflit une solution dont, Soljénitzine et bien d’autres vous savez ce qu’elle vaut, se présente là aussi comme une singerie de la véritable catholicité [Centrum Centri]. Qui reste à faire. Hélas !
Le toi et moi sont transcendés dans le ‘Je’ qui les unifie par triangulation :

     Je
Moi     Toi

C’est dans le ‘Je’ que se réalise ce que l’Église appelle la Communion des Saints. Ce qu’exprime le Christ en disant : « Je suis le cep (‘Je’) et vous êtes les sarments (Moi-Toi - Nous-Vous).
Il ne m’est arrivé que deux fois de vivre cette plénitude. Elle se réalise par-delà le temps de l’horloge, dans un Instant qui n’est pas temporel [c’est pourquoi Instant avec une majuscule], mais 100 ans de temps d’horloge ne valent pas un seul de ces Instants. Ils sont inexprimables parce que parler implique un sujet exprimant et un objet exprimé. Or, dans ces Instants, c’est le non-différencié, la non-dualité, la non-pluralité. Je puis dire ce qu’ils ne sont pas, je ne puis dire ce qu’ils sont, sinon qu’ils sont plénitude vécue. C’est un fait vital dont ne rendront jamais compte les électrodes sur le cortex cérébral, ni les observations d’entomologistes des cinglés de sciences sociales », écrit Jean Coulonval le 22 avril 1975 dans une longue lettre à Arthur Kœstler (lettre 34, dans Synthèse et Temps Nouveaux).

CHRIST = SPONTANÉ, INTUITION : connaissance absolue opposée au mental et sa pensée discursive et ses « points de vue » (opinion). INTUITION : vivre le Maât des choses, l’Essence des choses par opposition aux apparences que renvoient les cinq sens, c’est-à-dire à un niveau qui n’a nullement besoin des renseignements fournie à notre mental par nos cinq sens, ni même de nos acquis scolaires ou héréditaires.
COMMUNION = ENSEMBLE DE SINGULARITÉ : on est vraiment soi-même quand on est seul, singularité. La fausse communion comme l’actuel « vivre ensemble » avilie, tombe dans le vulgaire ou instinct grégaire et égrégore.
FAUSSE COMMUNION = BANQUETS JUDÉO-MAÇONNIQUES ET ENTENTES POLITIQUES ET INTERNATIONALES À COUPS D’ENTENTES GASTRONOMIQUES : LA BOUFFE ET LA BITE (la chaleur communicative et festive des banquets). On se « com-prend » si bien autour d’une table (d’opération…) ou dans le creux d’un lit ! Donc possession, possession, ego, ego…

RAPPEL :
Christ-Jésus = Premier des socialistes ou communistes ! Cependant les Chrétiens ont réussit la magie noire de faire du Christ-Jésus, non pas le Prince de la Paix, mais le prince du désordre et de la guerre (guerres des sectes chrétiennes entre elles, guerres contre les Païens, Croisades, Réforme, Inquisition, génocide des Peuples du Soleil : Incas, Mayas, Amérindiens, etc.).

[En haut de page : compas des deux Anges ouvert à la façon du triangle équilatéral qui est la base de l’Arbre de Vie universel et de ses 10 stations, en Égypte : Atoum, Tefnout, Chou, Nout, Geb, Osiris, Nephtys, Isis, Seth, Horus. Détail du frontispice du livre de F. Hoffstadt, Gothisches ABC-Buch, 1840]
 
 
Note.
1. Société d’aliénés, où malgré la technologie permettant de communiquer dans l’Instant, deux êtres humains distant de quelque mètres ou kilomètres sont désormais plus ÉTRANGERS l’un à l’autre que deux paysans chacun sur un continent. Le globalisme fabrique des pourrissoirs des âmes et des familles.
Société d’aliénés et son culte du narcissisme : grâce à la technologie informatique des réseaux sociaux et des Youtube et Cie., tous les secrets individuels ou politiques sont jetés au cacabinaire de la NSA-CIA et en deviennent autant de mensonges.
Tellement culture du narcissisme que nous croyons plus aux autres qu’à nous-mêmes, et c’est tout bénéfice en premier pour l’État ! Signe que nous sommes tous très malades. Nous attendons des autres, et de l’État l’impossible. Nous attendons d’eux ce que nous sommes maintenant incapables de leur donner : le dévouement, lé fidélité, la gratuité, la transparence ou sincérité. Nous les payons en monnaie de singe genre Carte Bleue et élections et nous leur demandons en échange de l’Or métal. Quand nous nous apercevons qu’ils trichent tous, autant que nous - eux sur qui nous nous reposions tout confort pour incarner sur Terre les vertus divines (et républicaines…) - notre vision tombe dans la plus profonde déprime. Ainsi, comme tout est dans notre mental : Je sens que tout est vain à mesure que je m’aperçois que tout me ressemble ; d’où maintenant la seule Liberté possible est bien la Réalisation du Soi, le « Qui suis-je ? » ou « Connaître toi-même par toi-même ». Le reste ne sera que fausse liberté pire que l’antique esclavage.

LIBÉRATION : RIEN À CHANGER, ELLE EST NOTRE ÉTAT ORIGINEL QUI DEMEURE TOUJOURS INCHANGÉ (réf. Ramana Maharshi, entretien 139).
« Tout le monde souhaite s’échapper. La tendance vers l’extérieur est sans limites [donc aussi vers l’État se renforçant en permanence]. Le bonheur se trouve à l’intérieur et pas à l’extérieur », explique R. Maharshi à l’entretien 229 le 8 juillet 1936. Si personne ne s’occupe de l’État-City, icelui disparaîtra de lui-même.


Merci Monsieur Charles Gave, effectivement le vrai et Big problème, C’EST L’ÉTAT (chefferie de fonctionnaires). Tout le reste ne sera que cautère sur jambe de bois. Évidemment E. Macron ne va pas se tirer une balle de revolver dans son ego, ni aucun de ses sbires ! Bref, l’État est moribond et sera bientôt inutile et personne ne reviendra à une monarchie quelconque qui sera toujours un État. L’étatisme étant une création des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, il est nécessairement mortel comme tout ce qui naît puis meurt au bout d’un HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule, donc ce qui est du domaine du spectacle ou spectre-illusion, de l’événement, et non de la fin : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas, tout n’est qu’opinion ce qui naît comme événement sera obligatoirement mortel et balayé et remplacé par d’autres événements ; aussi rien de ce qui ARRIVE ou NAÎT dans le temps qui coule n’est réellement une ARRIVÉE…).
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 28-09-2017 00:34

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