Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Dictature : famille, religions, étatisme
Dictature : famille, religions, étatisme Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-01-2018 01:08

Pages vues : 6659    

Favoris : 52

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Appareil, Banques, Brighton, Cadeau, Capitalisme, Champignon, Chimère, Chrétien, Christ, Civilisation, Diable, Dieux, Dragon, Drogue, Dualité, Eau, Égalité, Ego, Empire, Épine, Estragon, Évolution, Fractale, Gentil, Goulag, Gratuit, Guerres, Histoire, Huile, Instant, Japon, Juif, Laïcité, Langage, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Maçon, Mahométan, Médecine, Mental, Microbes, Multiculturalisme, Musiques, Opinion, Orgie, Ouvrier, Païens, Paix, Personne, Pierre, Peste, Peur, Porc, Porte, Radicalisme, Raison, Réalité, Religions, République, Réseaux, Sacrifice, Satan, Seuil, Simple, Socialisme, Société, Sommeil, Spiritualité, TAO, Technique, Templiers, Terrorisme, Thermodynamique, Train, Transhumanisme, Universel, Valeur, Vaisseau, Vérité, Vide, Vin, Winner

 
accident_train1895_pe_coul.jpg
 
 
Dictature : famille, religions, étatisme
Notez que le « libéralisme » est soi-disant
la séparation d’avec l’étatisme !
Le libéralisme maintenant UTILISE l’État…
La possession, aussi bien par un autre que
par son propre ego est la MALADIE : aussi
bien chez le dominant que chez le dominé.
Si vous manquez d’Amour en votre intérieur,
si vous n’êtes pas vous-même,
vous allez cédez votre être à d’autres.
Évitez le piège du libéralisme qui vous vend
son « Soyez vous-même » et la course trinitaire :
Désire-Envie-jalousie, le BESOIN d’être aimé
et son corollaire la peur de déplaire ou peur de
ce que l’autre peut faire, dire ou penser.

Combien d’êtres humains sur cette planète
« existent », mais NE SONT PAS ?

Le monde, le temps peut-il exister sans quelqu’un qui le perçoive ?
Qui est apparu en premier ?
La conscience d’être ou la conscience du monde ?
La conscience d’être est toujours là.
Elle est éternelle et pure.
La conscience du monde apparaît et disparaît.
Elle est transitoire, elle est de l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule)
(Réf. entretien 53 de Ramana Maharshi).



Page dédiée au Pays du Rien du Tout, LA Vraie Demeure, là où il n’y a strictement aucun fruit à récolter, aucun bénéfice à engranger. Non non, ce n’est pas de la « stérilité », car le stérile sert encore… À TUER (stériliser) ! Le stérile est encore de l’utilitarisme.
CEUX QUI AIMENT TROP TUENT.
 
 
L’existant étant de l’Être manifesté, on se perçoit comme existant, le ‘je’ ou ego, mais au-delà on ne perçoit pas l’Être dont on est issu naturellement et duquel on participe. En oubliant le « Je suis ce JE SUIS » on n’est pas, on est dans la Chute.
En fait le socialisme ou communisme va considérablement ENRICHIR le capitalisme, par son principe de représentation du monde, de tout l’existant, et en conséquence de l’être humain. Le capitalisme c’est l’être humain au service des banques et de la City de Londres, alors qu’en principe c’est l’économie qui doit être au service de l’humain !

Pour le socialisme, « dans le principe était la matière » (l’extérieur) et non le Verbe (l’intérieur), ce qui va développer le capitalisme et le culte du narcissisme et de l’enferment individuel dans le paradoxal « tout connecté » (le ”partage” qu’ils disent, donc le TROC-WALL-STREET) en désaccord complet avec l’ensemble non seulement de l’humanité, mais de toutes formes de vie (plus personne ne respect rien, ou si peu). Ce dogme fabrique tous les humains avec projection trinitaire en Envie-Désir-Jalousie devant perdurer jusqu’à « la fin des temps », donc en évolutionnisme, en messianisme puisque ce dogme oublie le ici et maintenant ; et c’est très rémunérateur pendant de longs siècles (si personne n’y prend garde) pour toute l’oligarchie de l’Empire USionistan, et de tout étatisme (les ”contribuables”).
Le socialisme comme le capitalisme est une religion, dans le sens qu’il mobilise la totalité du mental dans l’adhésion à un absolu, à une réalité ultime qui est la matière, ce qui saute aux yeux dans le mouvement du transhumanisme voulant trouver « l’immortalité »… ici sur Terre, donc dans la matière ou ”Royaume de DIeu (Juif) sur Terre”.
Transhumanisme et socialisme est une doctrine politique, car il enseigne une certaine opinion, sur l’humain, il façonne une gnose à laquelle doit se référer toute action concrète dans le gouvernement de la société. On le voit par exemple en France avec le phénomène « laïcité ».
Transhumanisme et socialisme sont pure produit du capitalisme régnant dans ce monde.
Transhumanisme et socialisme sont à la fois : religion, pouvoir politique et pouvoir économique. Ils ne les distingue pas. Ils sont même le contraire de l’Islam; qui lui bloque aussi ces trois pouvoirs, mais pour essayer de soutenir le divin (en oubliant la Trinité universelle…).

Si on n’est pas soi-même en « rendant service » ou en étant compassionnel, alors on risque fort de se perdre. Idem si on tente de participer au social : si c’est pour se faire bouffer par le grégarisme du social, alors mieux vaut fuir. En niant son besoin naturel d’ÊTRE et en ne vivant qu’à travers les autres, on n’est plus dans son Vaisseau (dans son propre corps), on devient vulnérable à toute manipulation externe possible. Plus une personne EST, et plus sa vie sera harmonieuse.

Le « libéralisme » qui dit merde à l’État et paradoxalement ou en non-harmonie s’en sert est typique du capitalo-socialisme faisant fureur depuis l’après 1789 tout au long du 19è siècle pour exploser en 1917 en URSS.
Le communisme ou socialisme de l’URSS soi-disant combattant le capitalisme occidental lui doit pourtant d’exister : c’est la révolution de 1789 qui se dévore elle-même ! Depuis 1917 libéralisme ou capitalisme et socialisme co-existent, ils se conditionnent même l’un l’autre. Tout cela renvoie à la « démocratie » si à la mode, en passant pas la dictature hitlérienne, stalinienne, ou de toute autre, y compris le gaullisme, qui ne sera qu’une démocratie devenue adulte, parce qu’étatique. Rien à attendre de ces dictatures : famille, religions, étatisme.

Le capitalisme SERA TOUJOURS GUERRIER, VIOLENT, SANGUINAIRE, PARCE QU’OBLIGÉ D’ÊTRE SUR LA DÉFENSIVE, il prendra alors l’initiative des opérations au détriment du socialisme. Capitalisme et socialisme ont d’étroites affinités. Rejeter le socialisme et garder le capitalisme, c’est rejeter le fleuve et vouloir garder sa source.

Dictature du tout connecté et de son « tout intelligent » illustré dans l’après 1945 par la construction de cageots à légumes, les HLM, où deux voisins de palier sont plus étrangers l’un à l’autre que deux paysans éloignés de dizaines de kilomètres ; même paradoxe avec le « tout connecté » ! CES FAUSSES CONNECTIONS SONT DES POURRISSOIRS DES ÂMES.

Plus une personne dans un premier temps « habite » pleinement son corps ou Vaisseau, plus elle aura de chance de le comprendre pour ensuite LE LARGUER. Cependant ATTENTION, comme le précise si justement Ramana Maharshi quand des jeunes lui demande à l’entretien 488, que l’on dit « un mental sain ne peut exister que dans un corps sain », donc pour ces jeunes avoir un corps en bonne santé et vigoureux.
- Maharshi : Ainsi, vous n’en finirez plus de faire attention à la santé de votre corps.

Même si une erreur est rectifié, il restera encore tout le sanchita [Karma à l’état latent qui fructifiera dans le futur] qui vous donnera d’innombrables naissances. Cela n’est pas la bonne méthode. Plus vous taillez une plante, plus elle pousse avec vigueur. Plus vous vous efforcez de rectifier votre karma et plus il s’accumule. Trouvez la racine du karma et coupez-là [pas de filiation : voir la page Parenté = Conquérant, Colonialisme] ».

Autre exemple du « Soyez vous-même » proche de la mode socialisme à l’entretien 619.
- Maharshi : Les hatha-yogis veulent garder leur corps en bonne santé afin que la recherche puisse s’effectuer sans obstacles. Ils disent également que la vie doit être prolongé pour que la recherche puisse être menée à bien [sont-ils des transhumanistes ?] Dans ce but, certains yogis font en plus usage d’herbes médicinales (kâyakalpa). Leur argument favori est que la toile d’un tableau doit être parfaite avant de commencer à peindre. Oui ! Mais quelle est la toile et quelle est la peinture ? [les hatha-yogis seraient-ils socialistes ou communistes ? (1)] Mais n’est-ce pas plutôt le corps qui est une peinture sur la toile, le Soi ?

À l’entretien 80 qui exprime bien le socialisme ou communisme exaltant le corps, la matière :
- Maharshi : Il n’y a ni mort ni naissance. Ce qui est né, c’est seulement le corps. Le corps est une création de l’ego. Mais l’ego n’est pas perçu en l’absence de corps. Il est toujours identifié avec le corps. C’est la pensée qui pose problème. Que l’homme sensé se demande s’il était conscient de son corps lorsqu’il dormait profondément. Pourquoi le sent-il à l’état de veille ? Mais, bien que le corps ne soit pas présent durant le sommeil, est-ce que le Soi n’en existe pas moins ? Comment était cet homme en sommeil profond ? Et comment est-il à l’état de veille ? Quelle est la différence ? L’ego émerge, c’est le réveil. En même temps les pensées s’élèvent. Que l’homme trouve à qui appartiennent ces pensées. D’où proviennent-elles ? Elles ne peuvent provenir que du Soi conscient. S’en rendre compte, même vaguement, aide à l’extinction de l’ego. C’est alors que la réalisation de l’unique Existence infinie devient possible. Dans cet état il n’y a pas d’individus en dehors de l’Existence éternelle. Il ne peut plus y avoir de pensée de mort ni de lamentations.
Si l’homme considère qu’il est né, il ne peut pas éviter la peur de la mort. Qu’il cherche donc s’il est né ou si le Soi a quelque naissance. Il découvrira que le Soi existe depuis toujours, que le corps qui est né se réduit à une pensée et que l’émergence de celle-ci est la racine de tout mal.
Trouvez d’où jaillissent les pensées. Alors vous demeurerez dans le Soi toujours présent au plus profond de vous-même et vous serez libéré de l’idée de la naissance ou de la peur de la mort.


Dictature : famille, religions, étatisme : LES DOUBLES À LA PLACE DES ORIGINAUX.

Dans Tintin et L’oreille cassée, de Hergé, selon le principe des FRACTALES, il y a des copies du fétiche original (copies à l’oreille non cassée : les contrefaçons) mais aussi des DOUBLES DE L’ORIGINAL (avec oreilles cassées : les doubles). Mais alors, où est le « vrai » fétiche original (le né, le facere, l’artifice, l’idole) si le monde entier vend des fétiches à l’oreille cassée ? En résumé de l’histoire, un original a disparu et est remplacé par une production accélérée de contrefaçons (oreille non cassée) et de doubles (oreille cassée). L’original, tel le Soi, a disparu et les copies pullulent à la façon du productivisme du capitalisme, comme si l’absence de modèle, l’absence de Dieu, la laïcité avait pour contre-partie le pullulement de copies, comme si on ne pouvait copier que ce qui n’existe plus depuis longtemps (donc comme Dieu), qui n’existe pas.

À la fin de l’histoire, à peine a-t-on redécouvert le fétiche, qu’il cessera d’exister : il tombe à terre et se brise en petits morceaux. Tout ce qu’on pourra restituer au musée ne sera qu’un maladroit collage. Ainsi l’original, la Singularité, ne peut être vue qu’à la condition d’être, comme Dieu : INVISIBLE, ANALOGIE PARFAITE AVEC LE SOMMEIL PROFOND (sans ego, sans possession, TOUT DANS LE GRATUIT). Même le gardien du musée chargé de garder le fétiche chantonne, au début et à la fin de l’histoire, un passage du Carmen de Bizet (Toréador) : « En garde… en garde… un œil noir te regarde ». Ce qui m’amène à mon refrain favori : « SEUL EST VISIBLE LE FAUX, LE VRAI CESSE D’ÊTRE VRAI DÈS QU’IL EST VU ».

Alors, comme la personnalité authentique du Réalisé vivant, de Celui qui vit le Soi, qu’est-ce qui différencie l’original de la copie ? Comme dans la Fractale, le fétiche original de l’histoire de Tintin a un diamant caché dedans, comme dans la fable de La Fontaine : Le Laboureur et ses enfants :

Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ dès qu’on aura fait l’Oût.
Creusez, fouillez, bêchez ; ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse.

Dans cette fable La Fontaine parle exactement de l’ALCHIMIE et du SENTIER. Comme pour le fétiche à l’oreille cassée, le seul moyen de trouver le diamant est de CASSER le fétiche, ce qui correspond en Alchimie à LA PUTRÉFACTION, LA MORT DE LA MATIÈRE. La reconnaissance ou nouvelle naissance purifiée passe nécessairement PAR SA DISPARITION MÊME. Comme l’exprime si souvent Ramana Maharshi parlant du sommeil profond, et Jean Coulonval citant Arthur Rimbaud à propos du ROYAUME DES CIEUX : « LA VRAIE VIE N’EST PAS DE CE MONDE » : le langage ou monde des noms-les-formes n’est pas nécessaire à la Connaissance, ce que savent Alchimistes authentiques et Mystiques. « L’étude donne le savoir [ça-je-vois], une forme, mais elle est incapable de conférer le « sens », qui est Essence », écrit Coulonval dans sa lettre 7 à Aime Michel (Synthèse et Temps Nouveaux).
LE VRAI NE SE RECONNAÎT QU’UNE FOIS DÉFUNT. C’est pour cela que souvent j’écris que nous ne sommes que des VOYAGEURS sur cette planète Terre.

Donc c’est l’ego, le ‘je’, qui contient le trésor : ‘Je’ ou Soi. Le Soi qui brille dans le fétiche et qui en fait la SINGULARITÉ, L’ORIGINAL, bref, la Seule Réalité au sens d’ens realissimum. À LA DIFFÉRENCE DES AUTRES FÉTICHES COPIÉS, LES MOUTONS, LA MASSE, LE FÉTICHE SINGULARITÉ TIRE SA RÉALITÉ NON DE L’EXTÉRIEUR, DES AUTRES, MAIS DE LUI-MÊME, DE SON SOI (avec le S majuscule). Or cette Seule réalité ne peut pas se posséder ni s’approcher (pas de ”Soyez vous-même”) : dans l’histoire de Tintin à peine le diamant a-t-il été aperçu qu’il roule sur le pont du bateau et tombe à la mer, refuge et protection contre tous les capitalismes imaginables passés et futurs !!! Le diamant tombe à la mer, donc retrouve le Soi son « lieu » d’origine.

L’histoire de L’Oreille cassée démarre sur « presque rien » et se termine sur Rien : le départ est identique à l’arrivée : PAS DE BUT À ATTEINDRE ; le fétiche est seulement un peu rafistolé. Le fétiche rafistolé symbolise la perte du Diamant-Soi, c’est pourquoi il est rafistolé : symbole de ce monde des accidents ou spatio-temporel et totalement illusoire. Illusions = Rafistolage.

RAFISTOLAGE sonne comme MÉPHISTOPHÉLÈS
, celui qui « rafistole tout », qui « arrange tout », qui organise tout. RAFISTOLER : TROMPER, et notre époque est celle des TROMPERIES à n’en plus finir de cette Dictature : famille, religions, étatisme.

La notion de « vrai » et de copies est le principe même de ce monde de la DUALITÉ. Le Seul Réel ne peut contenir que des Singularités : INNÉ-IGNÉ ou LIÉ-DÉLIÉ (chacun n’a de compte à rendre à personne puisque SEUL RÉEL = GRATUITÉ).
 
 
En ce monde des Accidents et du régime républicain :
Quand des situations se présentent, il faut réagir.
Quand des choses se présentent, il faut discerner.
De la même manière :
- Les maux du corps réclament du Secours.
- Les maux de l’Esprit réclament du Temps.
(D’après Savinien de Cyrano de Bergerac)



Note.
1. « Dans le principe était la matière » (l’extérieur) et non le Verbe (l’intérieur). Il y a inversion puisque le support toile est confondu avec le corps, alors que le support-toile est le Soi, comme l’écran de cinéma qui reçoit, par exemple, la projection d’images d’un incendie ou d’un déluge mais n’en est pas affecté. De nos jours le Soi serait le smartphone qui reçoit des images d’incendie, ou de guerre, mais n’en est pas affecté. Seulement un smartphone modèle hatha-yogis, puisque c’est la course au toujours plus de ceci ou cela, donc la course à la performance et au rentable et au toujours plus d'argent pour le fabricant !
 
 

Dernière mise à jour : 13-01-2018 01:44

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >