C’est la société qui fabrique les Alzheimer (et les autres malades mentaux) en ayant hautement complexifié toutes choses et ainsi en privant de repères les soi-disants « malades », qui de ce fait sont comme perdus dans ce gigantisme de repères, signaux et complexité en évolution constante, qui va finir par étrangler tous les humains !
OUBLI et OUBLIETTE (prison « perpétuelle » [sic]). On disait aussi TABLETTER (mettre au placard), ce qui rejoint la tabletto-psychose informatique actuelle, où effectivement les individus se « METTENT AU PLACARD », s’enferment dans leur ego, plus personne ne communique avec personne, superbe paradoxe de ce monde du
« tout connecté » qui court aussi vers le
« tout intelligent » vendu par le business de l’économie internationale de la City de Londres. Un
« tout intelligent » totalement FAUX et virant vers le crétinisme mondialisé…
OUBLI : délivrance du mental. Si on change le O devant le P dans l’ordre alphabétique on peut lire Publi (famille étymologique : publier) qui est très à la mode de nos jours de social en
« tout connecté » façon laïcité digitalisée.
OUBLI = BIG DATA et BIG CENTER DE SERVEURS INFORMATIQUES : l’Oubli n’est pas une perte de souvenirs mais bien par une avalanche, une Arche de Noé de souvenirs, une masse indistincte de tous les souvenirs qui, lors de l’oubli ou de Monsieur Alzheimer affluent en PANique, dans l’Instant, qu’il devient impossible de repérer, de pointer le moindre souvenir recherché. Henri Bergson disait l’absurdité d’opposer l’oubli et la mémoire. Le « trou de mémoire » est du même ordre : il y en a trop et impossibilité d’énoncer le souvenir adéquate.
PANique est donc quand DANS L’INSTANT tous les souvenirs apparaissent en même temps, comme si le Saint Chaos (la disparition des noms-les-formes) apparaissait dans l’Instant, chaque souvenirs à égalité de reconnaissance : ils deviennent tous de la même importance, il n’y a plus de dualité entre eux.
Quel est l’être humain qui, par son ego ou opinion, ne trie pas ses souvenirs, donc son opinion ?
Mais dans l’oublie ou délivrance du mental, le ‘je’ n’existe plus, il n’y a aucun besoin de « trier », aucun besoin de choisir ! Il n’y a même aucun chemin menant vers un souvenir quelconque, même pas de fausses directions comme dans un Labyrinthe. IL N’EXISTE PLUS AUCUN REPÈRE, AUCUN CONFORT OU SÉCURITAIRE SI À LA MODE DE NOS JOURS. S’il existe encore des signaux, ils ne servent plus à rien.
On ne peut plus distinguer l’ignorance et l’oublie d’un savoir absolu. L’oubli peut se comparer au savoir absolu, au TOUT : « Rien dans le Tout et tout dans le Rien ».
Je ne suis pas certain, mais les fous, les ivrognes, n’oublient rien ; ce sera alors la raison pour qu’ils ne se souviennent de rien : voir la pièce de théâtre
Maître Puntila et son valet Matti, de Bertolt Brecht. Quand Maître Puntila devient ivrogne : il est humain et plein de compassion, à jeun il devient un dictateur et un salaud. Ivrogne il est dans le Tout, dans la non dualité.
Donc, quelque chose c’est déjà la catastrophe du nom-la-forme ; mais sans non-la-forme, plus aucun quelque chose, rien ne se passe : on balance la saloperie évolutionnisme et ses noms-les-formes à n’en plus finir !
Si bien que le Seul Réel, PERSONNE NE PEUT LE MODIFIER, PAS MÊME LES TRANSHUMANISTES.
Si Sophocle dit dans
Antigone que l’homme
« marche vers rien », et dans la trinité : passé, présent, futur,
Ramana Maharshi dit exactement la même chose à l’entretien 264 : « Dieu créa l’homme ; et l’homme crée Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». Les transhumanistes matérialistes veulent absolument MARCHER VERS QUELQUE CHOSE !
Chez Sophocle : « Ayant tous les chemins, sans chemin il marche vers rien, quoi qu’il puisse arriver ». Ce qui rejoint le
Paradoxe de la Réalisation du Soi et le poème de Garcia Lorca, la
Chanson du Cavalier :
Cordoue.
Lointaine et solitaire.
Cheval noir, lune grande,
Et des olives dans ma sacoche.
Bien que je connaisse le chemin,
Jamais je n’atteindrai Cordoue.
Par la plaine, par le vent,
Cheval noir, lune rouge,
La mort est là qui me regarde
Du haut des tours de Cordoue.
L’ici et maintenant c’est Cordoue, et le cavalier s’en trouve définitivement éloigné, privé de toute relation avec autre chose que lui ; alors il n’y parviendra pas ; il pourra s’en approcher autant qu’il le voudra, il ne sera jamais ici et maintenant, puisqu’il est LÀ-BAS. AUCUNE ROUTE NE MÊME À ICI. Tout ce qui arrive est de l’ordre de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule et non de la fin : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas.
Vers Cordoue il n’y a pas de chemin, on ne voyage pas, ON EST TOUJOURS ICI ET MAINTENANT : PAS D’ESPACE-TEMPS. DONC TOUJOURS ICI ET MAINTENANT, ce que traduit le mot anglais
ALWAYS, c’est-à-dire
« by all ways » : quel que soit le chemin. Là encore, APPARENCE DE PARADOXE avec les lignes précédentes… Parce que pour le cavalier qui n’arrive jamais à Cordoue,, tout ce qui
« arrive » est de l’ordre de l’événement - si à la mode de nos jours de tout connecté - ET NON DE LA FIN : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas, pas même la république qui en 1789 se voulait
« éternelle » comme les transhumanistes. D’ailleurs, on entend parfois envers ceux qui confondent les accidents du chemin avec le but :
« Le pauvre ! il croit que c’est arrivé ! » (que de nos jours certains appellent
« fake news » [fausses nouvelles] et facilement répandable par le tout connecté). Ce qui signifie que c’est bien arrivé comme évènement, mais cet événement n’a pas la consistance définitive que vous lui attribuez, comme le régime républicain de 1789, car demain il sera balayé et remplacé par d’autres événements ; rien de ce qui arrive dans le temps qui coule ou HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule) n’est vraiment une arrivé ou une « fin des temps » : LA MORT SEULE OU LE SOMMEIL PROFOND FAIT LA JONCTION ENTRE L’ÉVÉNEMENT ET L’ÊTRE. C’est pourquoi Arthur Rimbaud et Jean Coulonval (
Synthèse et Temps Nouveaux) pouvaient écrire que
La Vraie Vie n’était pas de ce monde.
L’homonyme entre
”arriver” (atteindre un but) et
”arriver” (survenir, avoir lieu) désigne par le même mot deux idées qui, creusées à fond, s’excluent l’une l’autre : tant qu’il arrive quelque chose, on n’est pas arrivé le mot « Fin » n’apparaît pas sur l’écran on ne sort pas de la salle de projection, et quand on est arrivé, il n’arrive plus rien !
Les transhumanistes en fait REFUSENT L’ÉTERNITÉ en ne voulant pas passer par la mort, et en ce sens ils font comme les religions abrahamistes du messianisme ; et les paroissiens de la laïcité désespère de l’éternité à cause de la mort alors ils préfèrent consommer !
Ainsi, ce qui n’existe qu’en changeant, comme à notre époque, ne peut se modifier du fait qu’il change (phénomène de l’illusion en toujours plus de croissance et de technologie dictatoriale) ; que tout soit toujours pareil signifie alors que tout est toujours également fortuit, éphémère et illusion.
Lucrèce avait développé cela. Et ça rejoint aussi l’entretien 264 de R. Maharshi cité plus haut.
Pourquoi le transhumanisme est-il DANGEREUX ?
Parce qu’il repose sur l’ego non maîtrisé de l’humain, donc avec la possibilité de disposer de TOUS LES CHEMINS POSSIBLES, tout en n’ayant aucune destination (le rêve d’immortalité ici-bas n’est pas une destination, c’est du vent, de la Super Carotte pour faire marcher [En Marche] les gens). Ainsi RIEN N’EST PLUS DANGEREUX QU’UNE MACHINE QUI NE VA NULLE PART, en d’autres mots QUI NE BOUCLE SUR RIEN, QUI N’A PAS DE CIRCUMINCESSION : tous les chemins lui sont - par définition et « fin des temps » qui n’a pas de fin - OUVERTS… pour sa perdition ! Et certainement pas pour le meilleur, parce que le colonialisme technologique devra de plus en plus reposer sur l’argent, car fondé sur la thermodynamique, LE NON GRATUIT au sens énergie de ce mot ; et tout est énergie, vibrations.
Alzheimer à sa Mém(oi)ère : propension humaine à tout DOUBLER : FAIRE DE DEUX CE QUI N’EST QU’UN, car l’ego veut posséder, il double, il illusionne, il fait dans le productivisme en redondance infinie ce qui se présente comme simple unique, comme simple sans pourquoi.
Un exemple flagrant de double employé de nos jours est : aujourd’hui, donc deux hui ou deux jours ! Et il y en a même qui fabriquent trois jours :
au jour d’aujourd’hui !!! Certains pour dire « Oui » disent « tout à fait » (ou « absolument »), ça fait plus sérieux et ça rallonge la sauce du temps qui coule, ça fait productiviste ; ça fait comme si un fait n’existait qu’à la faveur de sa propre redite (icelle équivalant le plus souvent à cette même dénégation de son contraire), alors que le propre du Réel est justement de se dérober à toute contradiction, donc à toute opinion comme à toute possibilité de répétition (le Réel est en somme délivré des fractales ou copies).
La philosophie c’est comme Alzheimer : c’est compréhensible seulement par ceux qui la savaient intuitivement un peu à l’avance et ainsi n’en ont aucun besoin ; idem pour la médecine : elle ne peut guérir que les bien-portants ! C’est-à-dire que nous connaissons la Matière par pur pragmatisme (matérialisme ou Pour-Voir) scientifique, mais nous ne la « savons » pas. Notre Vaisseau ou corps physique, nous le « savons » si peu, que nous avons recours à des « spécialistes » (médecins) quand il ne tourne pas rond, et le « spécialiste » lui-même ne sait pas, il se tourne vers l’extérieur : les appareils de mesure. la technologie médicale est pur pragmatisme.
CROIRE C’EST FAIRE DU ALZHEIMER À SA MÉM(OI)ÈRE : se tourner vers l’extérieur, comme : « Je crois en Lui, quoique je ne sache rien de Lui ni de ce qu’Il sait ». C’est donc une croyance par procuration, comme croire en son médecin parce que spécialiste : il en sait plus que vous comme s’il vous connaissait mieux que vous ! Cela en dit long sur la crédulité humaine, les
fake News et les manipulations politiques ! Et en même temps cela en dit long sur une totale et intolérable, criminelle incapacité de croire en quoi que ce soit, donc d’oublier totalement le Soi.
FANATISME ou « RADICALISÉ », comme le dit de nos jours la chefferie du régime républicain à propos de soi disant Mahométans. La chefferie du républicanisme a oublié que le mot RADICALISME est la doctrine et attitude politique des républicains appelés RADICAUX, ce qui va fourbir les « radicaux-socialistes » (réf. dict.
Le Robert).
Le radicalisme est en principe religieux, ce qui ne plaît pas au laïcisme français !
Sans mémoire, c’est comme si on vivait toujours l’Instant…
RÈGNE DE L’OPINION
La faculté du cerveau humain est étonnante, maléfique. L’humain résiste à
toute information extérieure dès lors qu’elle ne s’accorde pas avec
l’ordre de l’attente et du souhait, donc de l’ego ; quitte à y opposer,
si la Réalité s’entête, un refus de perception qui tue toute controverse
et clôt le débat, évidemment au dépens du Réel, de l’Instant. L’ego
fait que l’œil ne voit pas, l’oreille n’entend pas.
LE PRINCE DE CE MONDE de la City de Londres : LA CONSOMMATION.
LOI PRINCIPALE POUR LES MISSIONNAIRES AGRÉÉS DE LA CITY ET DE LA RÉPUBLIQUE.
« Vous devez non pas assurer le Salut de l’humanité, mais ASSUREZ SA
PERDITION en des désirs et envies de choses vagues, inexistantes, que
vous fabriquerez sournoisement ; assurez un éloignement de tout plaisir
réel et immédiatement appréciable : « L’humain de ce bas monde qui jouit
d’une seule chose est déjà armé contre nos attaques les plus
sournoises ».
Tenir compte de la faiblesse des humains pour le pouvoir et l’argent,
vous trouverez toujours à l’horizon de ce monde de la dualité un objet
étrangement absent ; ainsi vous devez créer un besoin, pas trop voyant
au début. Car ni le goût du pouvoir ni celui de l’argent ne sont à
considérer en eux-mêmes, mais seulement pour « UN GOÛT DE QUELQUE
CHOSE ». Le goût du pouvoir n’est pas l’EXERCICE du pouvoir, mais son
ESSENCE, ce qu’il peut rapporter « à la fin des temps », le projet
(”Notre Projet”) ; c’est le principe du capitalisme, PRINCIPE
MESSIANIQUE DES RELIGIONS ABRAHAMISTES.
Car le véritable jouisseur du PourVoir ne se soucie pas des biens de ce
monde, comme les frères Oppenheim (1) il entend seulement le pouvoir, et
peu importe quoi. Comme les frères Oppenheim, le véritable goût de
l’argent n’est pas le goût des biens que la possession d’argent rend
possible, mais le simple goût de la possession d’argent, détaché de tout
autre avantage. Passion sans objet concret, comme le sont toutes les
passions, COMME L’EST L’ÉVOLUTIONNISME SANS FIN QUI NE BOUCLE SUR RIEN.
Le gout du pouvoir et de l’argent se moquent de bénéfice réel ; ils se
réfugient systématiquement EN DEHORS des valeurs réelles ; ILS
TRANSPOSENT LES RÉALITÉS, D’OÙ LE SUCCÈS DU TOUT VIRTUEL ET DU TOUT
CONNECTÉ.
Le Prince de ce monde REFUSE AUX HUMAINS LA RÉALISATION DU SOI, CAR TOUS
LES HUMAINS SONT SES MARCHANDISES, ses ESCLAVES, ses AVOIRS. Si ce
n’était pas le cas, tous les humains S’EXPOSERAIENT À ÊTRE, ET SEULEMENT
À N’ÊTRE RIEN D’AUTRE, DONC SANS POURQUOI ; et évidemment ce n’est pas
rentable pour le Prince, parce qu’il y a énormément plus « d’espace »
dans ce qui n’a point d’offre et de demande, que ce qui existe dans le
spatio-temporel ou « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » où l’argent doit
circuler partout, mais est tout de même limité « à ce bas monde ».
Le Prince de ce monde veut des humains dans l’AVOIR, donc des
consommateurs au « pouvoir d’achat », c’est LA Loi de ses Missionnaires
agréées comme celle des frères Oppenheim qui veulent « rendre service ».
Note.
1. Jacques Attali :
Les Juifs, le monde et l’argent, citation fondamentale ou devise capitaliste des frères Abraham et Simon Oppenheim, qui en 1840 disaient : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà qui s’appelle faire des affaires ».