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Argent = aliénation sociale du faux Soi Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-07-2018 21:47

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chan, Chimère, Christ, Circoncision, Confort, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Fétiche, Gordiasade, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Klan, Lait, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Migrant, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pied, Pierre, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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Argent = aliénation sociale du faux Soi
Autrement dit :
ARGENT = NON-VIE (1)
et tous dépossédés de nous-mêmes.
« Le moi et le social sont les deux
grandes idoles » (Simone Weil)

Idolâtrie du social = idolâtrie de l’argent
qui va socialiser les peuples
quand le divin, le Soi, est oublié.
Le meilleur exemple en est le COLLECTIVISME de l’URSS
en une religion à l’envers, comme le sport !
Iceux qui ont oublié le Soi ont besoin de
l’illusion du social et de son argent
pour vivre et pour faire/fer.
Social = amabilité commerciale (uniforme qui aimante).

L’idolâtrie sociale donne tout au dictateur de la City.
L’idolâtrie ou culture narcissique ne donne rien.
Le Soi Lui donne ce qui Lui revient (ce qui n’est
plus la couverture sociale de l’ignorance).

SOCIAL : UN ÊTRE ILLUSOIRE OBSERVE UN
MONDE ILLUSOIRE de CRÉDIT-CRÉDO-CROYANCE.
Monde prisonnier de l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule).
 
 
« Ce n’est pas d’ailleurs l’effet du hasard si les époques où le primat social est dévolu à l’argent sont aussi celles où sévit la pire fièvre égalitaire [donc le social, collectivisme ou ”vivre ensemble”, tous au même brouet] ». (Réf. Gustave Thibon : Diagnostics).
 
 
Le social n’existe pas, il est illusion : on naît seul, on vit ensemble dans une absolue illusion, on meurt seul dans cet ensemble complètement illusoire.
Sport-business = social ou hystérie collective en forme de Super Grégarisme : UNE LITURGIE (2), UNE RELIGION FANATIQUE DANGEREUSE avec de nouveaux Dieux sur les Champs-Élysées : les nazies, communistes ou socialistes, gaullistes, estudiantines de 1968, ou autres mélanges de winners-losers (ou héros-admirateurs, stars-spectateurs) plus récents sont des psychoses collectives qui engendrent de dangereux égrégores qui aspirent tout et qui renforcent ainsi la robotisation de l’humain.

CAPITALE-CAPITALISME = EFFET DE NOTRE FAUX SOI PAR RAPPORT À LA CAUSE MARCHANDE. C’est seulement un rapport social, une relation. Alors il n’est pas étonnant que le social soit si à la mode depuis l’après 1789 !
Donc l’argent n’est pas du tout un « outil » qui serait plus pratique que d’échange un vache ou un canapé à deux places contre une brouette électronique ou une poussette supersonique pour enfant indigo ! Donc comme un outil, pour certains l’argent peut être « utilisé à de bonne fin », ou pour ceci ou cela. L’argent n’est en définitive que du social, du rapport. Évidemment ce n’est pas éternel, parce qu’il invalide la propre forme de sa possibilité ; comme la démocratie reposant sur les conflits d’intérêts, qui est condamnée à la frustration par ses propres limitations. La démocratie est par définition destinée à mourir victime de ses propres limitations et conflits. Donc, capitalisme + démocratie = stérilité, d’où le besoin permanent d’entretenir des conflits et de fabriquer le chaos permanent pour fonctionner. Alors ne plus s’étonner des modes du terrorisme depuis le 11 septembre 2001 et des migrants… Il faut y ajouter le transhumanisme, et toutes les merdes technologiques aussi virale que le virus de la grippe. Le transhumanisme n’est qu’une conséquence du capitalisme, toute technologie actuelle reposant sur la thermodynamique et l’électricité c’est du capitalisme. Alors y ajouter aussi les mêmes merdes GPA, PMA, etc.

Avec un monde transhumanisté, robotisé, conforté technologiquement, le capitalisme ne peut pas fonctionner : BAISSE DU TAUX DE PROFIT, BAISSE DE CE QUI RAPPORTE, les actionnaires ne peuvent plus s’en sortir. Ainsi, chaque fois que le capitalisme délire sur une solution, icelle le tue (principe de la démocratie décrit plus haut). De nos jours le profit enfle toujours, mais il est stérile et ne se valorise plus. De là l’importance du chaos fabriqué et contrôlé (industriel, bancaire, migratoire et terroriste). Le devenir technologique du capitalisme devient également un chaos.
Et même si le capitalisme fait de nous des esclaves pires que ceux de l’antiquité romaine, ça ne peut pas marcher. Pourquoi ? Parce qu’inconsciemment on a tous en nous le sens DE LA GRATUITÉ, qu’on peut aussi appeler AMOUR, FÉLICITÉ, soit notre état naturel. Et sous l’Empire romain, même l’esclave le plus crétin en avait probablement conscience, par moment ! Donc notre état naturel fait QUE L’ON REFUSE CET ÉTAT CONDITIONNÉ, DÉJÀ CONDITIONNÉ PAR NOTRE PROPRE MENTAL ; ALORS INUTILE D’EN RAJOUTER AVEC L’ARGENT-SOCIAL.

Pourquoi le capitalisme généralise le nomadisme cher au monde hôtel de Jacques Attali (identique au slogan de l’Union européenne « Unie dans la diversité », soit un « nomadisme national »), un machinisme robotique jusque dans la sexualité ? Si on est dans la sexualité robotique, on est programmé donc CONDITIONNÉ, DÉPENDANT, SOUS SERVITUDE (surtout des messes du sport). Si on est dans la Félicité, ALORS LÀ, C’EST L’EXPLOSION MONDIALE, MAIS SANS DOULEUR PAR RAPPORT À DES MILLARDS DE BOMBES HIROSHIMA-NAGASAKI.

Le monde hôtel ou « nomadisme nationaliste » de Jacques Attali, et son pendant le « unie dans la diversité » de l’Union européenne, correspond à la MARCHANDISATION DE L’HUMAIN : TOUT CE QUI EST INTERCHANGEABLE COMME UN ÊTRE HUMAIN-MARCHANDISÉ EST NÉCESSAIREMENT SÉPARÉ (DE L’UNITÉ, DU TOUT). Mais rien de ce qui est complémentaire, c’est-à-dire qui est Singularité, ne peut être interchangeable !

Pour le moment, il n’existe plus que la division : oligarchie des Couilles en Or ou finance internationale, et au bas de la pyramide les prolétaires qui ne peuvent qu’être utiles aux Couilles en Or au sommet par esclavage salarial ; chômeurs, retraités ou salariés, nous sommes tous ces prolétaires, parce que nous sommes condamnés à la dépossession par le salariat sur le marché de nos mises en vente (il faut se vendre sur le marché de l’emploi ou salariat). Principalement tous les jours nous nous vendons pour manger, d’ailleurs de la nourriture devenue non saine.

Quand il n’y a pas d’harmonie dans une communauté, il naît un chef ou organisateur ou administrateur, et c’est la porte grande ouverte aux problèmes ! La volonté de domination, ou de pouvoir, est inversement proportionnelle à redécouvrir son état naturel la Félicité. Le cancer du pouvoir disparaît parce que l’espace qui le rendait possible disparaît. C’est comme le sentiment de l’ego qui ne peut subsister quand l’absence de l’investigation quant à la nature de la Vérité ; en approfondissant la question du « Qui suis-je ? », le sentiment de l’ego et avec lui celui du pouvoir disparaissent.

« Unie dans la diversité », ou un « nomadisme national » s’inscrit dans la tragédie de l’HOTC : souffrance effet de la cause sentiment de l’ego. Aucune « liberté » moderne, quelques satisfactions thermodynamiquiènes qu’elle puisse procurer à ceux qui la possède, est impuissante à lutter contre l’HOTC ; ce qui, pour tout être humain proche de se connaître lui-même par lui-même, équivaut à prendre enfin conscience de la souffrance (comme un dur réveil : PANique...).
Le judaïsme inventant, ou mettant en lumière l’HOTC suivi par le christianisme fabriquèrent la « religion » (plutôt la POLITIQUE) de l’humain moderne : LE SOCIALISER et en faire l’humain HOTC : celui qui a découvert simultanément la « liberté personnelle » (le Moi individuel) et le temps en géométrie de la ligne droite (évolutionnisme). Si le judaïsme n’avait aucun problème avec l’argent, le christianisme en avait un, voir la parabole des « marchands du temple » mal interprétée par les Chrétiens, bref, le résultat concernant l’argent fut le même dans ces deux, puis trois religions abrahmistes, la troisième étant l’islamisme, car toutes sont intégrées dans l’HOTC, alors il n’est pas étonnant que cela renvoie à « l’Homme déchu » et à sa Super Carotte le Paradis pour les gentils, et l’Enfer pour les méchants, HOTC oblige, et division dans les deux cas !

Un extraordinaire exemple d’HOTC moderne est, chez nous en France : la « prise de la Bastille » ! Cela fabrique une nouvelle dimension, les républicains remettront la datation de leur opinion à zéro : dehors la datation à partir du Jésus-Christ ! Dimension aussi précieuse que celle de Jésus DANS LA MESURE OÙ ELLE EST ÉVOLUTIONNISTE : DANS UN SEUL SENS, PUISQUE ÉVÉNEMENT HOTC.
Dans une moindre mesure car pas encore sanglant, un bon exemple d’HOTC est le SPORT : voyez ce qu’il se passe à l’occasion du football-collectivisme-religion, et SPORT-ENTREPRISE, à ce juillet 2018 où la France gagne pour la seconde fois la compétition mondialisée ; compétition qui est par essence de l’HOTC ! (Football, jeu inventé par l’Angleterre en pleine fin du 19è siècle déjà winner du capitalisme, donc par la City de Londres, le calcul et l’ingénierie social, à laquelle allait se joindre les « jeux olympiques » et leur business mondial…). Il est logique que le football SPORT-ENTREPRISE ne pouvait se concrétiser qu’à la fin du 19è siècle !!!
Le sport si présent dans nos sociétés occidentales est un des grands symptômes de la grave maladie de notre civilisation humaine complètement matérialiste et égotiste et illusoire (2).

SOCIAL = COMPÉTITION, donc S’EN PROTÉGER, SE PROTÉGER DU « PRESTIGE SOCIAL » SUPER GRÉGARISME COLLANT, SUPERS VANITÉS PYRAMIDALES (avec les losers en bas) !

Donc, le christianisme, le messianisme en général, MET EN VALEUR LE TEMPS ET DONC LE MENTAL. Une sorte de temps comportant dans son package « le futur qui régénérera le temps présent », c’est-à-dire qui le lavera et lui fera retrouver sa BLANCHEUR originelle (Instant ou Ici et Maintenant, le Soi). Dans ce package on a un gloubi-boulga mental qui digère et le commencement, et la fin, bref une fois de plus du bidouillage mental (surtout chez les actuels Talmudistes...).

Le social étant maintenant synonyme de capitalisme, de CARAVANE SOCIALE NOMADE NATIONALISTE (unie dans la diversité), il n’est pas étonnant qu’icelui détruise les réserves naturelles et les traditions des organes profonds. Ce nomadisme de Jacques Attali confond réserve et inutilité, bref, il divise comme jamais auparavant.
LE SOCIAL A LA PHOBIE DE L’ÉPAISSEUR, normal, le temps ne « fonctionne » plus qu’en géométrie de la ligne droite et tout le monde ne jure plus que par « mes droits » (nous sommes devenus tous des rois). L’HOTC donne naissance à la rationalisation de l’humanité.
Social = couverture social : tout ce qui se rapporte au social est par essence de l’ordre de la surface, de la super apparence (voyez le virtuel totale illusion des ”réseaux sociaux”). LA PROFONDEUR N’EST JAMAIS SOCIALE. Il n’y a pas pire illusion que le social (richesse, emplois, honneurs et diplômes, entregent, sport, etc.)
SOCIAL = CENTRALISATION, MONDIALISME, « UNITÉ DANS LA DIVERSITÉ » : une pseudo-unité singeant celle de l’Église de Rome mourante, une pseudo-unité totalement matérialiste, donc née à un moment et devant mourir à un autre, s’est faite autour de l’élément le plus corrompu et mortifère : l’argent et la City de Londres.

L’HOTC comprend bien-sûr le DORG (Demain On Rase Gratis) ou positivisme marxiste ne visant que le corps et donc uniquement les besoins du Thème économique. Tirer de ce bidouillage mental qui germa au cours du socialisant 19è siècle EST UNE DICTATURE IMPOSÉE À TOUS, UN CRÉDIT-CRÉDO-CROYANCE PLUS DANGEREUX ET PLUS GROSSIER QUE LE PRÉCÉDANT DES RELIGIONS ABRAHAMISTES.

Social = le ‘je’ ou ego. Dans ce « social », le corps semble réel ; « Mais pour mon intelligence éclairée leur existence physique est tout aussi irréelle que pour une personne endormie. ”Le rapport qui me lie à eux est aussi Brahman qui existe en Brahman [le Soi]. Peu importe leur point de vue ; je n’y vois aucun inconvénient” (YV VI 2, 39). Puisque tout cela est pénétré de Brahman, je n’existe pas en tant que ‘je’. Dans le cœur de qui possède cette connaissance de la vérité, il n’y a ni désir de plaisir ni désir de libération. Ni la libération ni la richesse, etc., ne soit d’aucune utilité à celui qui est établi dans la certitude « Je ne suis pas, et le monde n’est pas non plus », dit Vasistha, dans le Yoga Vasistha, chapitre : La Libération.

L’irréel n’existe pas. « Ce qu’on ne trouve pas en approfondissant sa véritable identité n’existe pas. Ce qu’on réalise en menant l’enquête sur soi-même est sa propre nature authentique, qui seule existe. Quand on s’écarte de sa vraie Nature il y a grande tristesse ; quand on repose dans le Soi, on connaît une grande paix ainsi que la maîtrise de soi », dit Vasistha.

Commencer par échapper au social : être soi-même, en tant que vacuité de la Conscience, ou être un mental qui ne pense plus à sa vacuité : « Je ne suis ni le soi, ni les objets (4), ni l’apparence du monde ; je suis Brahman, Paix suprême dans laquelle je suis entré [ni commencement, ni fin]. Toi seul est conscience du « tu » ; je vois seulement la Paix suprême. La Conscience-Brahman ignore la conscience-création et vice-versa, de même que le rêveur ignore l’état du sommeil et qu’un dormeur ne fait pas l’expérience de l’état de rêve. L’éveillé voit pareillement Brahman et le monde comme les états de la veille et du rêve. De là il les connaît tous tels qu’ils sont ».

« Médite sur le Soi et, libéré de la détresse psychologique, vis à l’état de veille comme si tu dormais », explique Vasistha au Prince Râma.
”Quand l’homme est éveillé spirituellement et que l’état dans lequel il vit son état de veille ressemble au sommeil profond, l’état dans lequel il se trouve porte le nom de svabhâva (nature du Soi), état qui conduit à la Libération” (YV VI 2, 40-41) ». Bref, celui qui vit dans ce monde sans dualité sujet-objet et donc sans le sentiment d’ego d’être celui qui agit est un Libéré. Il vit le Sans Pourquoi : « À ses yeux toutes choses apparaissent telles qu’elles sont et il n’y a ni unité ni diversité.
Une ville imaginaire est de l’imagination, pas une ville. Cette apparence du monde est apparence, pas le monde. La Réalité est Conscience infinie ou Brahman », explique Vasistha.

« Cette apparence du monde voit le jour dans l’ignorance [les religions abrahamistes de l’homme déchu], et la sagesse y met un terme. Mais tout cela est absurde vis-à-vis de la Réalité Elle-même, qui ne commence ni ne cesse. Cette Réalité est l’indivisible Conscience infinie, en dehors de laquelle rien n’est. Icelle semble subir une polarisation au sein d’Elle-même, ce qui la fait devenir conscient d’Elle-même en tant que son propre objet - et cela paraît créer une division et une connaissance partielle, qui est ignorance. Un tel éveil à soi-même, inhérent à la conscience, ne diffère en rien d’Icelle.
La distinction entre le monde et son Seigneur est purement verbale et fausse. Dans la Conscience infinie indivisible, pareille distinction n’a aucun sens. Du fait des opinions illusoires du temps et de l’espace, quelque part à un moment donné l’Or donne l’impression d’être devenu un bracelet ; c’est de la même façon que l’opinion de création apparaît dans la conscience. Quand ainsi même la dualité est inexistante, l’investigation quant au rapport causal entre le Créateur et sa création devient dépourvu de sens », dit Vasistha.

« Il est certain que les objets (4) n’ont pas d’existence propre et sont donc irréels ; ils sont imprégnés de conscience qui est le sujet. Mais alors, puisqu’il n’y a pas d’objets dont on peut dire que la conscience est le sujet, on peut aussi la considérer comme inexistante en tant que sujet. Quelque chose d’indicible existe. […] Les plaisirs sont souffrance déguisée [comme la liturgie du sport et du social en général]. Pourquoi ne voyez-vous pas qu’ils sont à l’origine de votre propre destruction ? [c’est moi qui souligne]. Ne vous laissez pas abuser par cette apparence du monde illusoire. Considérez cette chimère et examinez-là à fond. Alors vous reposerez dans votre propre Soi qui est sans commencement ni fin.
”Les ignorants jugent ce samsara [monde des noms-les-formes] réel. Au vrai, il n’existe pas du tout. Ce qui existe vraiment, une fois rejetée cette apparence, est en fait la Vérité. Mais elle n’a pas de nom (3) !” (YV VI 2, 43).

À suivre…

[En références à : Padamalai, enseignements de Ramana Maharshi recueillis par Muruganar (1890-1973). Et en compagnie de Vasistha (ou Vasishtha), un des grands Sages de l’ère du manvantara. Énorme merci à son traducteur le Swami Venkatesananda (1921-1982)]


Notes.
1. « Nous savions déjà que l'argent de la drogue représente plus du tiers du flux de devises et des échanges boursiers mondiaux et que, sans elle, le système bancaire international s'effondrerait. En clair, le trafic de la drogue est indispensable à l'équilibre économique mondial. Si l'on ajoute le prix des substances nuisibles à notre santé et le gaspillage des dépenses d'armement, justifié également par l'équilibre de la terreur, on peut considérer que l'économie dominante, dite «libérale», est une entreprise de destruction ».
Philippe Desbrosses, docteur en environnement, expert consultant auprès de la C.E.E. et du Parlement européen.

2. Le sport symptôme comme pour expulser le mal dans le corps, comme pour provoquer une fièvre afin d’expulser le microbe. Les dignitaires toltèques déjà contaminés par l’HOTC (dignitaires en proie au hasard du destin) assistaient au spectacle du jeu consistant à recevoir une grosse balle de caoutchouc sur les hanches sans jamais se servir de la tête ou des mains. L’espace de jeu était divisé en quatre secteurs marquant les quatre directions de l’univers. « Au début, des équipes de joueurs bien entraînés lançaient la balle dans un camp. Celle-ci rebondissait d’une équipe à l’autre, qui essayait de la garder dans son camp et tentait de la faire passer dans un anneau fixé sur un mur de six mètres au-dessus du sol. Si la balle rebondissait dans le camp de l’équipe adverse, cette dernière tentait à son tour de la garder. En pratique, la balle passait très souvent d’une équipe à l’autre, qui, chacune à son tour, essayait de la lancer à travers l’anneau. La première équipe qui y réussissait avait gagné la partie. À ce moment-là, les spectateurs devaient s’enfuir très vite, car l’équipe gagnante avait le droit de dépouiller de leurs vêtements et de leurs bijoux, si elle les attrapait. Ce « butin » venait s’ajouter aux autres magnifiques vêtements et bijoux déposés en gages par certains dignitaires qui pariaient sur une équipe ! » (C.A. Burland : Les Peuples du Soleil).
Le modernisme de la compétition et du gain-social est déjà présent chez ce peuple qui vivait dans notre ère chrétienne jusqu’à la Renaissance.

3. La Vérité, quand elle est exprimée, cesse par là même d’être vérité en devenant simple opinion ; la seule Réalité ne peut qu’être faussée par les mots/maux !

4. « L’Univers n’est qu’un objet créé par le mental et qui a son existence dans le mental. Il ne peut être mesuré comme le serait une entité extérieure. Il faut atteindre le Soi, pour atteindre l’Univers » (Ramana Maharshi, entretien 485).
Dans le même entretien : « On ne peut espérer mesurer l’Univers et étudier les phénomènes. C’est impossible. Car les objets sont des créations mentales. Vouloir les mesurer est comparable à la tentative de mettre le pied sur la tête de sa propre ombre pour l’immobiliser. Plus on avance, et plus l’ombre avance aussi. Il est donc impossible de poser le pied sur la tête de sa propre ombre ».
 
 

Dernière mise à jour : 16-07-2018 23:09

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