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Putréfaction du Miam-Miam Absolu Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-08-2018 00:03

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chan, Chimère, Christ, Circoncision, Conflit, Confort, Conscience, Corde, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Fétiche, Gordiasade, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Ignocratie, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Klan, Lait, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Migrant, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pied, Pierre, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Trouvère, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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Putréfaction du Miam-Miam Absolu
C’est la CUISINE ABSOLUE, ULTIME,
que même le Guide du Caoutchouc ne peut étoiler
car il est tombé dans la pire dualité,
celle du capitalisme et ses divisions.
PUTRÉFACTION COMMENCE PAR
NON-FILIATION ou NON-ATTACHEMENT
(pas de conditionnement)


DISSOLUTION, CORRUPTION, POURRITURE ET POIDS (pesanteur, gravité).
 
 
PUTREFACTION, CORRUPTION / SATURNE
RENONCEMENT [RENOIERIE] / DIGESTION / ABANDON.

Faire acte de renoncement à l’opinion, à son intelligence et à l’illusion de ce monde. Laisser un grand repos à son intelligence ; la LAISSER DIGÉRER de tout ce miam-miam illusoire.
LACHER PRISE / FLUIDE / COULER / COLON.
Le mental remplit ce qui est Vide.
RENONCEMENT [RENOIER) [NOIER] [NIER] : TUER, NOYER.
C’est sûrement à rapprocher de l’expression “la mort dans l’Âme” ; et l’on n’est pas loin du NOIR de qui découle la BLANCHEUR, puis la ROUGEUR.
BLANC + ROUGE = ROSE ou OR (Or Rose du Pommier).
 
Cela correspond à se mettre au centre du symbole, au centre du cercle (Centrum Centri) et faire un avec icelui pour gommer les apparences ou illusions.
Dans le sens annonciation ou suspendre le temps vulgaire, la Putréfaction est comme un SILENCE, c’est une sorte de SEPT : BLANC (AUBE-ROSE ou Septième jour et aussi jour de repos).
- Dans la Fermentation le corps change de Nature (comme les vasanas ou tendances).
- Dans la Putréfaction le corps échange ses vêtements. C’est donc la phase qui suit la Fermentation ; comme si on revenait à cause de quelque imperfection, on ne peut que demeurer dans la Putréfaction dans un état de transcendance au-dessus de ces attachements grâce aux vasanas devenues purifiées résultant du Renoncement et des austérités passés. Dans la Putréfaction les attachements ne peuvent plus exercer leur emprise, il n’existe plus aucun attachement, d’où le changement de vêtements.
SOLVE ET COAGULE dit l’Alchimie : corporifier les consciences et en spiritualisant les corps. Toute fin d’un état apparaît-elle comme le commencement d’un autre état (voir le symbole du Taiji). La mort au monde profane et illusoire est la seule et capitale condition de toute naissance au monde divin et libératoire.

Les microbes (les vers ne sont pas loin eux aussi) prennent la succession des enzymes pour décomposer/dé-former la Matière, la réduire en poussière. C’est le CHAUD + L’HUMIDE.
Symboliquement cela représente la Mort de la Matière (illusion), condition nécessaire de son passage à un état supérieur.
Décomposer ou créer de l’ordre à partir du désordre (de maya), ou recomposer différemment.
La Masse noircie est dite morte et privée de sa FORME (son nom-la-forme), son Âme étant séparée d’elle ; la masse ainsi corrompue, il survient une nouvelle disposition ou arrangement de cette Matière.
Par Putréfaction, la Nature se convertit et change de Forme, et nul changement ni mutation ne se peut faire d’aucune chose qui soit au monde que par Putréfaction/Renoncement.
C’est l’Eau mystique des Philosophes, qui est vile en toutes choses, et sans laquelle rien ne s’engendre.

« Comment faire la Pierre ? Réponse : Putréfie ! » (D’après La Clef du Secret des secrets, de Nicolas Valois)

NON-FILIATION, NON-CONDITIONNEMENT (nous ne sommes que des Voyageurs sur cette planète)

« Ayant observé que les moineaux et les chatons d’une même nichée, élevés dans la même maison ne tardent pas à devenir ennemis, il est étonnant que nous demeurions si attachés à nos épouse, nos enfants, notre famille, et ainsi de suite. Quels insensés nous sommes ! », dit Kannudaiya Vallalar dans : La résorption dans le Soi, Strophe 166.
À la Strophe 167 : « Quelle naissance peut-il bien réserver à ceux qui Ici et Maintenant trouvent le moyen de se dégager des filets et des collets qui les empêtrent - pays, ville, foyer, épouse, mère et parents, bétail, caste, richesse et attachements du corps ? ».

Le capitalisme peut remonter au moment où une personne a fait de l’Or métal une VALEUR, DONC UNE MALADIE, car la seule pensée de l’Or ne souffrira aucune guérison. C’est une vraie calamité qui nous a frappé et qui ne saurait être dissipée par des médicaments (bidouillages économiques par le mental). « Ce fléau est même encore pire que le désir envers les femmes » dit Kannudaiya Vallalar avec juste raison à la fin de la Strophe 169. C’est-à-dire que l’Or même peut facilement faire perdre le bénéfice du principe alchimique qui est la Putréfaction comme l’exprima si bien Nicolas Valois.
Maintenant si l’on prend du poison, en imaginant qu’on en réchappe, son effet suivra son cours et finira par s’estomper sans l’aide de médicaments. Par contre, la soif de l’Or est terrible et est LE POISON DE CE MONDE infiniment plus pernicieux en ce qu’on n’a même pas besoin de le toucher ni de l’avaler, car il suffit d’y PENSER pour qu’il agisse, donc travailler du chapeau (juif), et une fois que le mal est fait, il est très très très difficile de s’en guérir. Et les capitalistes le savent !

« Ne savons-nous pas, pour avoir vu surgir des plaisirs insignifiants qui s’évanouissent tout aussi vite, que la Félicité suprême est simplement l’éradication du désir ? », exprime Kannudaiya Vallalar au début de la Strophe 171.

Dans l’état de Putréfaction ou Renoncement la cloche n’a plus de battant et ne produit aucun son puisque PUTRÉFACTION = SILENCE comme écrit plus haut. « On vous dit : « Vous n’êtes pas ce corps, ni le mental, ni l’intellect, ni l’ego ni quoi que ce soit d’autre auquel vous puissiez penser. Découvrez ce que vous êtes véritablement ». Le silence indique que le questionneur [du Qui suis-je ?] est lui-même le Soi qu’il recherche », dit Ramana Maharshi à l’entretien 620.
Ainsi la pratique de l’Adepte ou jnani à ce stade se fait sans effort (Gratuité, « Travail de femmes et jeux d’enfants » dit l’Alchimie), puisqu’il n’y a plus de conscience discriminante et de trace de désir susceptible de provoquer le moindre mouvement, comme une cloche privée de battant ne peut produire aucun son. La cloche silencieuse est comme la conscience du Renonçant qui n’est pas affecté par le désir et qui ne sera plus perturbé, quelque soit la force de l’assaut du mental et des cinq sens.

« Peut-il y avoir attachement à la maison et au foyer si l’on demeure en un Repos total où aucune pensée ne lève, libre de l’attachement au corps et de tout le reste (plaisir des sens, monde extérieur et facultés physiques, sensorielles et mentales) ? Cet état est un état d’immobilité [silence] semblable à celui d’une aiguille en fer placée à l’intérieur d’un pot magnétisé, ou d’une lampe allumée dans un endroit sans courant d’air. Un être pareil restera insensible à tous les tattvas [vérités, essences] », dit Kannudaiya Vallalar à la Strophe 174.
Par tattvas entendre ici les impuretés comme les organes des sens et de l’action, les facultés mentales, etc., qui cesseront de fonctionner, leur cause, les tattvas en dualité pur-impur cesseront d’opérer, en même temps que leur propre cause, les tattvas purs.
Pour l’aiguille en fer placée au centre d’un pot « magnétisé » peut se comprendre comme le Centrum Centri : dans un pot pareil, l’aiguille ou conscience en subirait aucune force d’attraction ; la conscience pointée au dedans n’est pas attirée par les objets des sens, ou n'est pas attiré PAR LES BORDS DU POT.

« Jouir du corps d’une femme fait penser à un chien léchant gloutonnement une lame affilée enduite de ghee ou à quelqu’un qui boit un délicieux payasam empoisonné. C’est comme essayer d’étancher sa soif avec l’eau d’un mirage », dit Kannudaiya Vallalar au début de la Strophe 175. Par exemple le poisson est trahi par le goût qui le pousse irrésistiblement à avaler l’appât que le pêcheur a embroché sur l’hameçon.

« La vie de famille est un bateau chargé de souffrances (1), qui, pour toute récompense, transporte ses occupants aveuglés par les défauts de l’ego, aux sept enfers. Le sage ne tremblera-t-il pas de peur devant pareil spectacle ? Quand l’unique source des cinq sens accomplit les six espèces de travaux [agriculture, fabrication, commerce, lettres, sculpture, danse], la Réalité elle-même est transformée en irréalité », dit Kannudaiya Vallalar dans la Strophe 176.


LA FILIATION OU SEIGNEUR DE LA MORT.

Ce Seigneur (saigneur) est semblable à la famille en ce que la Mort attrape ses victimes à l’aide de son NŒUD COULANT et que la famille d’un soi-disant Renonçant s’accroche à ses basques en poussant fortes plaintes et sanglots jusqu’à ce que l’intéressé perde et retourne auprès d’eux. Filiation = Nœud coulant ou circoncision au huitième jour de naissance (concerne le corps-mental… et le temps...). Seigneur de la Mort comme le Feu qui cerne de toutes parts, ou comme l’océan pour le marin naufragé.

« Le Renonçant quittera son foyer et sa famille, sans prévenir, de même qu’un coucou, élevé avec des corneilles, s’envolera subitement [de crainte que les membres de sa famille tentent de l’en dissuader]. Comme Karna qui ignorait qui était vraiment ses parents, aura-t-il conscience de son identité sociale ? Sache qu’un être pareil servira aussi d’instructeur à d’autres qui s’efforcent de bannir la naissance », dit Kannudaiya Vallalar à la Strophe 178. Karna fait la partie de la symbolique des « Bébés sauvés des eaux » (comme Moïse, etc.). Karna, figure majeur du Mahabharata, dériva au fil de l’eau sur un affluent du Gange et fut trouvé et élevé par un chef des auriges d’un roi. Bref, Karna fut élevé sans connaître sa filiation, tout comme le Renonçant, qui, prenant conscience de la nature illusoire du monde et s’en coupant volontairement, perd tout attachement ou filiation envers parents, famille, caste, etc.


LE OU LA DÉVERGONDÉE.


« Ceux qui ne savent même pas quels vêtements ils portent distingueront-ils la ville de la forêt ? Possédés par le démon du Soi, reconnaîtront-ils des gens, des parents et des amis, ou de parfaits inconnus ? Pour ceux qui ont renoncé à tout, à la façon dont on lâche soudainement un objet brûlant placé dans les mains, à quoi bon continuer à vivre où ils habitaient naguère ? », dit Kannudaiya Vallalar dans la Strophe 181.
Pour qui est normalisé, conditionné par la société ou conforme à ses règles ou PROGRAMMATIONS, l’apparence étrange et le comportement singulier du Renonçant peuvent le faire passer pour un dévergondé, celui qui n’est pas dans le gond-pivot du social et de ses « bonnes mœurs ». Aussi il paraît idiot, ou possédé à ceux qui ne comprennent pas sa véritable prise de conscience de la nature illusoire du monde.
Conditionné par la société : par exemple ne pas « être Charlie » c’est sortir des gonds de ce « Charlie » (ou opinion). Mais respecter ces « règles » de la société c’est RESPECTER DES OPINIONS pour plaire aux autres, lesquelles ne reposent que sur des apparences, des ego, donc sur le seul visible terrestre, et évidemment à court terme puisque ce ne sont que des accidents, des ego !
Les politiques du régime républicain qui se vautrent dans leurs lois et réformes seront toujours des sages, des contraires de dévergondés, des hypocrites au nom de sainteté (« république irréprochable »), qui ne reconnaîtront JAMAIS être des pécheurs, ou qui reconnaissent leurs erreurs ou égarement momentané, oh non jamais !

« Le comportement des hommes dans la société fait penser aux singeries d’un acteur dans une mascarade ; on dirait des gens qui absorbent du poison [genre aconit féroce] et le trouvent à leur goût, ou des prisonniers qui aiment être enchaînés. Ceux qui ont renoncé n’ont que faire de pareille mentalité et la fuient comme la peste. Ils sont morts pendant qu’ils habitaient encore leur corps et se conduisent en conséquence », dit Kannudaiya Vallalar dans la Strophe 183.

Uh autre genre d’attachement très dangereux ce sont les louanges et médailles et diplômes et rituels destinés à rendre « hommage » (culte) et ainsi amplifier l’ego du postulant au Renoncement. En fait, IL S’AGIT D’UN PIÈGE POUR RAMENER UNE BREBIS CONSIDÉRÉE COMME ÉGARÉE, ÉCHAPPÉE, alors il faut piéger le Renonçant, L'ACHETER, et le ramener dans l’existence du monde d’où il s’est à présent échappé ; ramener l’égaré dans sa paroisse….


QUI SUIS-JE ? ou QUI EST LE ‘JE’ QUI CONNAÎT TOUT ? Un tel ‘Je’ verra-t-il le monde que voient les autres ?

Il n’existe pas de « connaissance absolue », comme le rêve probablement les transhumanistes et leur big data, car la pure Conscience infinie est justement infinie parce qu’il n’y a pas « d’autre » pour la connaître (connaissance-connu-connaissant). Au moyen de la question QUI SUIS-JE ? celui qui s’interroge sur sa Vraie Nature détruit le prétendu « autre », l’ego ou dualité sujet-objet, en le retournant résolument vers le dedans, en POINTANT le Soi. Sa destruction finale signale la perte de l’ignorance, par quelque « connaissance améliorée ». Tout ce qui reste est forme de SILENCE : CONNAÎTRE SANS PERSONNE POUR CONNAÎTRE comme il faut une personne pour voir le temps qui coule et ainsi le fabriquer ; aussi il n’y a personne connaître ni rien qui soit connu. C’est alors la Connaissance à jamais inconnue ! (même à coups de big data transhumanistes). Ce qui rejoint l’adage alchimique : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore ».
Connu-inconnu ou connaissance-ignorance n’existent plus dans la fusion dans le Soi.

RAPPEL : le mot Yoga veut dire non attachement au mental et aux sens, donc se connaître soi-même par soi-même. Le seul service au monde auquel le Yogi doit s’attacher est de rejeter le corps en tant que source de toute souffrance.
Et le seul RITUEL qui importe au Yogi est donc de se connaître lui-même au moyen de l’investigation quant à la nature du ‘je’ ou ego.
Le mot Yoga est généralement assimilé au contrôle et à la suppression du mental et des sens par la maîtrise du souffle, la méditation et autres. Mais le sens plus profond est bien la pratique du non-attachement au monde du mental et des sens.


Fixation cavalante : « Un mental vide qui ne pense pas à sa vacuité [il n’existe plus de sensation ou « expérience » de vacuité] », dit Le Secret de la Fleur d’Or.
Quand le jnani ou Réalisé vivant découvre la nature illusoire du mental et des sens, leur existence prend fin ; alors il cesse de connaître objectivement (par dualité sujet-objet) et devient simplement la connaissance qui n’a nul « autre » à connaître (nul autre que le Soi, il n’y a plus de dualité). État de suprême Félicité qui ne s’en va ni ne vient. Car même la Félicité sans mélange doit avoir, comme pour le temps, quelqu’un qui connaît pour être connue, mais le Réalisé vivant transcende cela et entre dans un état « sans jouissance » de l’état de Félicité qui l’a précédé. Ce n’est pas un état en tant que tel, C’EST TOUT CE QUI EST, équivalent du SILENCE, car ne pouvant être décrit par aucun langage passé ou futur.

« Le yoga est non-attachement au mental et au sens ; la divine jnana [Connaissance] est Cela qui est indicible ; c’est l’état de n’être rien d’autre que le Soi, l’état dans lequel on ne goûte même pas l’état élevé où la Félicité suprême n’apparaît ni ne disparaît », dit Kannudaiya Vallalar dans la Strophe 189.


À suivre…

[En référence à : Ozhivil Odukkam (La résorption dans le Soi), de Kannudaiya Vallalar]


Note.
1. Attachement à l’épouse, à la famille, ne sera pas seulement la cause de toutes sortes de souffrances mentales et physiques, mais aussi du fait des actions accomplie par attachement, ce qui donnera un interminable cycle de naissance-mort qui attachera le chef de famille. Le « navire » (famille) sur lequel il comptait assurer son salut causera sa perte.


Tout ce que le capitalisme sait faire, grâce aux Hébreux-Juifs et leur évolutionnisme, et leur monde OÙ ON DÉSIRE QUELQUE CHOSE (et non un monde où l’on obtient quelque chose, ce qui signifierait LA FIN DU CAPITALISME, donc pour éviter ça on met des distances, on invente l’espace-temps ou monde des accidents).
Le transhumanisme comme la démocratie fondée sur l’ego (tous des « rois », tous des capitalistes puisque « tous égaux ») est une putréfaction À L’ENVERS (parce que tout sera encore lié, attaché à quelque chose, même si l’argent, la monnaie est réduite à des nano-trucs informatiques, voir à une conscience d’attachement comme une future programmation qui pourra faire prendre au robot humain son programme pour sa « maman »).
Le transhumanisme est une putréfaction à l’envers parce qu’il procède inversement au questionnement QUI SUIS-JE ? Il construit la toiture avant d’avoir construit les fondations. Une toiture toujours plus perfectionnée ; mais seulement une toiture !

« De même que pour le roi la grandeur consiste à amasser des possessions sans limite [en évolutionnisme], pour ces jnanis [Réalisés] elle consiste maintenant à réduire à un atome et à éradiquer tout attachement à quelque existence que ce soit, surpasserait-elle même celle dont jouissent Vishnu et Brahma », dit Kannudaiya Vallalar dans la Strophe 188. Puisqu’en démocratie nous sommes tous devenus des rois, nous sommes tous devenus égaux, alors nous sommes tous des capitalistes dont la grandeur consiste, comme celle de l’ancien roi, à amasser des possessions sans limite, ce que les cancéreux du pouvoir nomment « Croissance », et principe du DÉSIR issu direct de chez les Hébreux-Juifs et leur évolutionnisme.
Ce principe du DÉSIR et principe du capitalisme extraordinairement résumé par les frères Abraham et Simon Oppenheim qui, en 1840, déclarait ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent, page 451). Vous avez là aussi la SOURCE du drame de l’Or décrit plus haut. On a là un extraordinaire exemple de la créativité talmudiste… En corrélation avec l’antienne talmudiste énoncée page 340 du livre d’Attali : « Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’’est bon aussi pour ceux qui les entourent », ce qui constitue le publicitaire « Vivre ensemble » allant si bien avec la mode capitaliste des attentats, du terrorisme et du « tout connecté ». Attali ajoute : « et les communautés vont chercher partout à mettre en avant les services qu’elles peuvent rendre ». Monsieur Attali : des services gratuits ? ou payants ?…

Être « Cour », dans tous les sens possibles du mot, pour échapper à l’illusion, à l’autre. S’échapper de la prison des autres qui décident de nos vies pour nous, qui nous programment littéralement. S’échapper du Super Grégarisme ou Super Égrégore de la City de Londres et de ses banques ; parce qu’il s’agit bien uniquement de cela. Ces autres en très petit nombre qui auront un droit de vie ou de mort sur le reste de l’humanité et de toutes les autres formes de vie qui resteront. Le futur du monde de la City de Londres (s’il arrive à terme) ce sont des dogmes sociaux (lois) et financiers (calculs et programmation) qui décideront qui doit vivre ou mourir, et quand. Vous avez maintenant de la bouffe OGM, vous aurez prochainement des HGM (humain génétiquement modifié), c’est inévitable à court temps (voir la japanimation Chobits). Nous arrivons dans une société totalement industrialisée avec mise en action du zéro-défaut : trier les humains défectueux et les détruire comme on détruit les ratés dans une chaîne de production. Ce n’est pas nouveau, on enfermait déjà les fous depuis le Moyen-Âge ; sous Louis 14 ça va furieusement s’amplifier ; et ça va encore s’amplifier sous la monarchie de Juillet sous l’excuse « d’isolement thérapeutique et d’une bienfaisance laïque » (on enfermait au nom du « soin ». Depuis le Moyen-Âge ce sera la porte ouverte à l’EUGÉNISME, évidemment reposant sur l’argent, autant dire que ça remonte même au départ de la catastrophe du Néolithique !
Bref : IL FAUT FORMATER LES HUMAINS POUR QU’ILS SOIENT PRODUCTIFS. AH ! NON MONSIEUR, PAS DE GRATUIT CHEZ NOUS !
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 19-08-2018 00:58

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