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Sainte Chimère ma Destinée Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 31-01-2019 22:46

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Apocalypse, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chan, Chimère, Christ, Confort, Corps, Cul, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gratuit, Humain, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Jardin, Juif, Klan, Langage, Liberté, Lucifer, Maux, Méditation, Mental, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Pagan, Panique, Paradis, Pierre, Plume, Porte, Puce, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Serf, Simple, Social, Soi, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Toupie, Vérité, Vide, Vieux, Yokaï

 
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 Sainte Chimère ma Destinée
 
 
Page précédente : Capitalisme et Temps bouffent tout
Voir aussi la page : Sainte Chimère
Voir également la Chanson du Cavalier de Lorca (en rapport avec le Paradoxe de la Réalisation du Soi)

La Destinée d’un retour vers l’Origine selon l’effort d’une mémoire concernant le corps ou mental : ”Le destin est le résultat des activités passées ; il concerne le corps. […] Le libre arbitre et le destin durent aussi longtemps que le corps. Mais la sagesse [jnana] les transcende tous deux” dit le Maharshi à l’entretien 193. Ce qui rejoint le Paradoxe de la Réalisation du Soi : engagement dans une fuite mythique dans le gouffre sans fond de la Sainte Chimère ma Patronne, car parvenue aux confins du Big Data la quête de connaissance de soi ne tarde pas à se perdre dans une régression à l’infini selon le processus du LABYRINTHE OU DE SAINTE CHIMÈRE ; étant donné qu’il manquera toujours la SINGULARITÉ ou VRAIE NATURE tant recherchée tel le Saint Graal : la racine ultime de son Être, le CENTRUM CENTRI ou CENTRE DU LABYRINTHE : là où le TOUT prend sa Source, qui ne peut que demeurer inaccessible sous les débris de l’oubli.
 
Au final, rien ne subsiste jamais que l’unique fait d’être chahuté inexorablement par ce déluge de samsara (cycle des naissances et des morts, monde phénoménal des noms-les-formes), qui, pour la conscience indienne, désigne non seulement la perte de sens de l’existence ici-bas, mais encore le non-sens de toutes :
Samsara = Jungle inextricable, Gouffre sans fond de Sainte Chimère : s’égarer dans le mouvant perpétuel ou dans les buissons de Sainte Ronces plein d’épines (ma plante préférée), soit la multitude de parcours possibles dans l’espace-temps dont aucun ne semble plus qu’un autre mener vraiment mener « quelque part ».

Alors, Qu’elle est la Cause enveloppante en entrelacements ou loi de formation orientant la Destinée ?
RÉPONSE : La loi de la Destinée prend pour substance la Liberté humaine même formant le Centrum Centri.

Destinée : une existence construite en secret, comme certains judéo-maçons spécu construisent en secret leur république, À NOTRE INSU, VOIRE CONTRE NOTRE VOLONTÉ. Peut-on alors rendre compte de la Singularité d’une destinée, soit d’une histoire interne d’une vie, une HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule) où nous faisons pour nous-même et pour les autres qu’en enchaînant des soi-disant sens au sens, et où nous découvrons l’insaisissable fil formant l’intrigue de notre vie - ce fil qui ne nous lâche pas ?
Quel est le moteur de la cause ?
Quel est le principe réglant la forme qu’affecte la relation de l’ego et du monde dans le déroulement d’une destinée ?
Existe-t-il un loi de correspondance qui serait un clé pour la compréhension de l’histoire humain en son ensemble ?
Et si Sainte Chimère se laisse apprivoisée, par quelle voie l’humain peut-il ressaisir le mécanisme intérieur de la destinée ?
En ce monde sous tyrannie de l’argent, quel jeu est-il laissé à la « liberté » (qui je rappelle est nôtre état naturel) ?
Actuellement nous sommes sous la tyrannie de l’opinion, donc du CHOIX (qui sert tant ce régime capitalo-république et commercial de pouvoir d’achat). L’être humain peut-il transformer le destin en destinée, c’est-à-dire accéder à la responsabilité de sa destinée propre (conduire son Vaisseau en toute liberté, sans freinage de thermodynmique, et rêve des Google-transhumanistes) ?


Comme nous sommes tous AINSITÉ, donc ALPHA ET OMÉGA ou CENTRUM CENTRI : NOUS SOMMES NOUS-MÊMES (nous sommes le Soi ou Liberté).


Dans le Yoga Vasistha la destinée libératrice ou spirituelle de l’individu y apparaît comme un drame dont il est lui-même l’enjeu, à l’épreuve de lui-même, dans et par l’identité du joueur du jeu et de l’enjeu ; la Liberté est à la merci de lui-même et certainement pas à la merci de l’extérieur et d’un État ou système politique ou philosophique, scientiste et religieux quelconque ! Un service d’ordre ça n’existe pas car ce genre de « service » n’engendre que désordres à l’infini.

Parce que Sainte Chimère témoigne d’une projection de l’être vers tous les possibles, et que le propre de TOUTES FORMES DE VIE EST D’OUVRIR SUR L’IMAGINAIRE D’UN AVENIR ESPÉRÉ À SON ÉCHELLE, GRÂCE AU GOUFFRE SECONDAIRE NOMMÉ « ABSENCE » QUI VA OPÉRER COMME LE PIÈGE, LA CHIMÈRE, D’UNE FAUSSE PRÉSENCE (illusion), c’est Sainte Chimère qui devient le POTIER SUR SON TOUR de l’individualité psychique en devenir à la fin de l’Œuvre du Potier-Chimère, cet argile-ADN de poterie essence métamorphique.

Le drame en ce monde étant lié à l’ego : quoique l’on se re-présente être, on s’imagine l’être réellement devenu (voyez le cas du Macron-Rothschild…), même si tel n’est pas le cas, tout comme l’on s’imagine en rêve être devenu une star, on en endosse son rôle sur l’écran du rêve (en réf. du YV VIb 173, 33).
Étant donné que toute la vie ici-bas se meut dans l’irréalité qui est l’imaginaire, icelle introduit une suite sans fin de fantasmes ou fantasmagories, le mystère de la condition humaine est que l’humain est cette SINGULARITÉ capable de s’auto-fasciner, à la façon d’un acteur qui se laisse, en y songeant ou en y rêvant, fasciner par le personnage qu’il doit jouer, et qui se laisse captiver par lui comme par un autre ‘je’ (pas un double, un autre, UN PERSONA, UN MASQUE : l’ego se prend alors au JEU ‘je’ dès lors qu’il se joue à lui-même le théâtre de ses identifications imaginaires et c’est le cas de Macron, bien plus fortement que ses prédécesseurs, comme un Hollande rendant hommage au judéo-maçon Jules Ferry, voir ses premières minutes de son « élection » marchant vers une pyramide…). De sorte que toute existence est voué au ‘je’ (jeu) comme un chat jouant avec un petit canard) ; ce n’est d’ailleurs pas un hasard si en informatique et en réseaux dit « sociaux » et facebookistes les jeux de rôles connaissent des fortunes, soit des micro-fictions hybrides qui mélangent fantasmes et « réalité » à la manière fictionnelle hollywoodienne ; micro-fictions où le participant est au cœur du scénario et dont le pouvoir de fascination sur le public est considérable, à tel point que le politisme étatique du régime capitalo-républicain s’en est emparé et fonctionne désormais aussi comme cela (voyez l'affaire Benalla...).

SAINTE CHI-MÈRE DES POSSIBLES et réserve de significations matrice première et chimérique puisqu’indéterminé, NON IDENTIFIABLE de tous les possibles d’existence, l’imagination du POTIER est à la fois pouvoir premier qui permet à une image de prendre forme appelée à orienter le devenir de l’individualité amorçant une HOTC : MATRICE DE LA DESTINÉE, comme impossibilité de reculer comme l’humain moderne est intégré à l’HOTC en évolutionnisme (il est prisonnier de cette HOTC)
DESTIN = TEMPS : le Potier met un temps à former sa poterie alors que dans son mental la Poterie est dans l’Instant. Bref, l’imagination ou Sainte Chimère en tant qu’origine d’où procède les initiatives du sens de la vie, est la puissance motrice de notre présence au monde. Cependant, c’est à l’insu de chacun que la force du Potier et son imagination le présente comme un BOULIMIQUE DÉMIURGIQUE faisant de lui le Potier de sa propre destinée, LE CRÉATEUR DE LA POTERIE QUI SERA SON MONDE. L’imaginaire de Sainte Chimère étant comme la Stargate, la CROISEL (creuset et lampe en forme de Croix) où l’initiative humaine utilise des possibilités inhérentes à la Signature de l’être. L’être humain, même quand il n’en a aucunement conscience, imagine son être dans le monde au moment même où il le vit, et même, comme le Potier, COMME UN BLOC DE CALCAIRE (1) AVANT DE LE VIVRE. Étant que tout est lié et délié, l’expérience, d’Aquarelle et de sculpture sur Pierre par exemple, fait apprendre que les phénomènes sont en relation avec les phénomènes matérielles ; encore un fois c’est terriblement flagrant en Aquarelle et en sculpture sur Pierre. Dès lors que l’émetteur mental et le récepteur physique sont placé en possibilité émission-réception, IL N’Y A PLUS DE DISTINCTION DE NOMS-LES-FORMES parce que la relation n’a pas de lieu, aucun espace-temps… (et le Calcaire pour mon cas le faisait savoir dangereusement !)

Étrange correspondance entre l’Instant et la circonstance du faire/fer qui devient EAU (un), qui devient « ailleurs en forme d’avant », comme expliqué avec mon bloc de Calcaire ; si bien que l’ignorance de ce fait nous fera inventer le HASARD (qui n’existe pas puisque seulement issu d’un jeu de dès…).
Ainsi, ce que j’imagine au dedans de moi, je vais, par l’intermédiaire du bloc de Calcaire, en jouir à l’extérieur (la forme de la sculpture) ; et nul mécanisme ou extérieur ne pouvant me libérer et me délivrer de ce que j’imagine, parce que c’est la Lumière de l’Essence de mon Être. Le paradoxe et de la Destinée et de la Réalisation du Soi, dans la mesure où il a pour ressort un projet créateur, une pré-vision faisant advenir son « objet » (self-fullfilling prophecy) en renfermant une sorte de « mémoire de l’avenir » ; un « feed-back » en forme de « foi » (cette Foi qui « soulève des montagnes »). Lié à la CROYANCE : si je crois qu’une chose est pénible, elle le sera ; l’inverse est identique. Le monde prend le visage même de la croyance que l’on projette sur lui ; de nos jours c’est le CRÉDIT-CRÉDOT-CROYANCE-CONCEPT DE L’ARGENT ET DES « DROITS DE L’HOMME », DONC D’AUCUNE VALEUR !

« Toute chose devient comme la conscience se la représente intérieurement du seul fait de la nature propre qu’elle lui assigne [comme dans le cas de mon Calcaire] » (YV III 60, 19).
Le réel physique et à la mode du social avec ses cinq sens se focalise en repérant les points d’ancrage en fonction d’inducteurs de valeur, et ILS CHOISISSENT dans la multitude des possibles, les éléments utiles à son existence. Cela va fourbir l’actuel HUMAIN-SÉCURITAIRE, la macronie et maintenant ses lois quasiment anti-manifestations ; CELA VA FOURBIR QUE DEPUIS MAINTENANT DES MILLÉNAIRES CHACUN VOIT MIDI À SA FENÊTRE : le paysan quand il en existait encore voyait ses champs avec l’émotion due à la valeur qu’il lui prêtait ; l’artiste voit ses couleurs, et l’humain actuel ne fait que projeter sans arrêt sa psychose obsessionnelle du sécuritaire ou tout confort ! C’est une constante invention de symboles et d’équivalences très raffinée, mais encore inconsciente.
Les couleurs ne sont que la production de notre imagination et Sainte Chimère.

L’illusion des crédit-crédo-croyance fabrique ce qui est appelé « réalité », laquelle en retour dictera par la saloperie de la cause imaginale ce que chacun est voué à voir apparaître comme venant à sa rencontre dans son expérience de la « réalité ».
Dans le Yoga Vasistha, la fonction du mental ne détermine pas seulement l’aspect particulier sous lequel ce monde apparaît, mais plutôt de manière radicale, le monde même dans lequel vit le sujet, donc le contenu de son expérience, selon que chacun de nous, selon sa nature ou signature et l’étendue de son imagination, s’active au niveau de réalité qui lui est dû et à cette même réalité qu’il s’octroie (donc aucunement la même pour tous comme c’est le cas maintenant).
« Pour tout être vivant, il est constant que le résultat venant à se manifester se conforme à la manière dont l’Énergie se lève (en lui) » (YV III 45, 14).

RAPPEL : l’Essence (ou l’Être) d’une chose ce n’est pas avoir une opinion sur cette chose, du genre : « Cela est » (comme si c’était le seul « cela est », car le fait de le nommer en fait une dualité sujet-objet…). Croire en la Vérité ce n’est pas vivre dans l’Instant la Vérité ; c’est la tuer.

Comme le temps n’existe que s’il y a quelqu’un pour l’observer, chaque regard fabrique un monde, puisque ce monde fait la partie de notre vision du monde. Ainsi l’humain ne peut, à la vérité, former des perceptions qu’à la mesure de sa nature : « Quoi que ce soit que le mental imagine avec une foi intense (qu’une chose est) et tout ce à quoi il pense d’une certaine manière, il en perçoit durant tout ce temps le résultat correspondant sous cette même forme. Dans le monde les choses sont vaines et fausses, mais elles se laissent appréhender conformément à ce que l’on a décidé qu’elle sont ; le mental peut imaginer un nuage dans le ciel comme étant un éléphant femelle, et, en s’imaginant qu’il est soi-même un éléphant mâle, se mettre à le poursuivre. C’est pourquoi considère tous les objets du monde comme étant de nature imaginaire [et adaptés aux cinq sens] » (YV IV 21, 56cd-59). AINSI N’APERÇOIT-ON JAMAIS RIEN D’AUTRE QUE LA FORME DE LA CROYANCE QUE L’ON OPINIONNE À L’ÉGARD DE TOUTES CHOSES.

PRIÈRE À SAINTE CHIMÈRE AL-Chimère.
Saint Chimère, Sainte Marmite au Couvercle noir, constituant le contenant-contenu de « couleur » noire aux reflets rouges et verts du gouffre sans fond, LE TOUJOURS PLUS OBSCUR DE PLUS ON AVANCE, L’ÉTERNELLEMENT OBSCUR ET ÉTERNELLEMENT MYSTÉRIEUX en direction de l’Origine, INATTEIGNABLE À JAMAIS, LE NON-IDENTIFIABLE.

”Puiser de l’Eau et couper du Bois”.


Lien et fichier pdf sur les 214 clés du chinois mandarin.

Les pots façonnés par le Potier, NOS ŒUVRES, sont le samskara (tendance innée, l’impression). Marmite, Pot, symbole de fertilité-féminité. Les Fali donnent à leur première épouse le nom de la grande marmite servant à la préparation de la bière de mil ; à la seconde épouse, celui de la jarre où l’on conserve l’eau ; à la troisième épouse, le nom de la marmite commune, et à la quatrième celui du vase à long col servant au transport de l’eau (réf. dic. des symboles, de Chevalier et Gheebrant).


À suivre…


Note.
1. Forme ACCORDÉE, et SUR MON DESTIN, et SUR MON IMAGINATION AVANT MÊME MON IMAGINATION (donc dans l’Instant) expérimenté en sculpture sur pierre d’un bloc de Calcaire : accord, bon ou mauvais, entre la Pierre objet et le Sculpteur sujet moi-même, et s’il n’y avait pas entente, l’objet-Pierre me le faisait savoir en me renvoyant des éclats anormaux dans la figure : ce n'est pas moi qui commandait mais le bloc de Calcaire ! Et, comme en Alchimie de laboratoire, nécessité de s’équiper de protection, sous peine de graves accidents pouvant conduire à la mort avant l’heure.
Le bloc de calcaire était mon Maître ; comme en Aquarelle je n’étais que le SERVITEUR DE L’EAU. Cela est fondamental. Le ciseau de sculpture sur Pierre ou le pinceau de l’Aquarelliste ne sont RIEN, cependant il faut en prendre un soin maximum.
 
 
 
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Dernière mise à jour : 01-02-2019 23:39

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