Potentiellement JE SUIS DIEU OU LE SEUL RÉEL, mais, aussi longtemps que je serai gêné par ton social en réseaux républicains et par toi, je serai condamné à cette prison du spatio-temporel et je pourrai seulement avoir connaissance de cela par le
legendrisme (voir plus bas). Lorsque je serai libéré de toi et ton social en réseaux, je serai libre de me retourner, de RETOURNER LA LUMIÈRE (Réalisation du Soi) pour vivre en harmonie avec la nécessité cosmique, libéré des conflits de ta démocratie du chiffre d’affaires, libéré de toutes les souffrances qui me sont tombées dessus depuis 1945 où ton cirque de la City et du citoyenisme avait largement déjà commencé. Je serai alors délivré de la relativité.
RETOURNER LA LUMIÈRE = EXAMINER LE MENTAL, ALORS SES ACTIVITÉS CESSENT AUTOMATIQUEMENT (R. Maharshi, entretien 345).
CE MONDE NE SERA VRAIMENT LIBRE QUE S’IL SE LIBÈRE DU MONDE, DE SON AGITATION, DE SES CONTRATS (le social).
AINSI CE MONDE NE SERA VRAIMENT LIBRE QUE LORSQUE
EN PREMIER, IL SE DÉBARRASSERA DU BOULET, ICI : L’ÉTAT FRANÇAIS RÉPUBLICAIN ABOMINABLE. Seulement après, nous pourrons commencer à aller de l’intérieur vers l’extérieur, alors que jusqu’à présent la soumission à l’État républicain français et mondialisé par l'argent nous pousse à aller uniquement vers l’extérieur (dont la laïcité marchande, celle du CHOIX-DÉSIR-CROYANCE).
CE MONDE NE SERA VRAIMENT LIBRE QUE S’IL SE LIBÈRE DE L’IGNORANCE, DU JUGEMENT OU OPINION, DU CHOIX.
CE MONDE NE SERA VRAIMENT LIBRE QUE S’IL SE LIBÈRE DU KILLER SOCIAL POUR, ENFIN, RETROUVER LE VRAI SOCIAL.
LEGENDRISME : Pour le psychiatre et juriste Pierre Legendre, État (de droit) et société = raison, donc conventionnel et causalité et même fonction du mental. Ainsi il est urgent de se libérer de l’État causalité et de sa bande organisée double cause, qui va fourbir l’historicisme du ventre et du bas-ventre, avec pour religion la croyance-espérance (des joueurs au Loto), le choix, le désir, bref : LE MERCANTILISME, résumé en un seul mot :
IGNORANCE. Ainsi
« chacun est un suicidé. L’état éternel, naturel, plein de Félicité, a été étouffé par cette vie d’ignorance. Sous cet aspect, la vie actuelle est le résultat du MEURTRE DE L’ÊTRE PUR ET ÉTERNEL. N’est-ce pas une forme de suicide ? Par conséquent, chacun est un suicidé », dit Ramana Maharshi à l’entretien 53.
LEGENDRISME = RÉSEAU-RAISON OU IDÉATION ÉCHANGE DE « SUJETS » DIFFÉRENCIÉS, DONC ILLUSIONNÉS. Nous sommes bien dans l’historicisme, le HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui soule et qui coule :
HOTSC : L’HUMAIN ATTEND DIEU DANS LE TEMPS ET EST S(C)OULÉ DANS CETTE ATTENTE EN FORME DE COMMENCEMENTS SANS FIN [bouclage temporel]). Alors évidemment le legendrisme ne peut faire que dans la dualité : ou bien vous être pour, ou bien vous êtes contre et alors vous serez enfermé à l’asile de fous pour folie ou manque de construction ; il vous manque des briques, de l’argent, de la raison des
« gens de bien » tels les Bernard Arnaud de ceux qui fabriquent le
« service d’ordre » (industriel) soit le régime ; en d’autres mots : votre mental se défait (
dé-mentia), vous n’êtes pas bien construit.
MAIS, PAR RAPPORT À QUOI ??????? COMME IL N’Y A PAS DE CONSCIENCE SANS OBJET ET SANS SON COMPLÉMENT LE SUJET, PAR RAPPORT À QUOI
MONSIEUR LEGENDRE, À QUEL TITRE SOMMES-NOUS TOUS SEMBLABLE D’UN POINT DE VUE COGNITIF ?
Le legendrisme ne fabrique que des contrats, du conventionnel, DE LA COUVERTURE SOCIALE, JAMAIS LE VRAI SOCIAL.
C’est maintenant la planète presque entière qui est devenue une CARICATURE d'asile de fous, tant les Terriens sont devenus des aliénés, privés d’eux-mêmes par la religion universelle de l’argent et du social puisque l’argent constitue l’harmonie de ce social.
Comme pour Legendre l’État c’est la raison, et que c’est la raison elle-même le killer de ce monde, je dis :
LE MOINDRE MAL EST EN PREMIER : À BAS L’ÉTAT ET SON CHIFFRE D’AFFAIRES !
Monsieur Pierre Legendre : existe-t-il un mental quelconque ? « Ce que vous appelez mental est une illusion. Elle trouve son origine dans la pensée ‘je’ [l’ego]. En l’absence de sens grossiers ou subtils, vous ne pouvez être conscient ni du corps ni du mental. Pourtant, il vous est possible d’exister sans ces sens. Dans un tel état, ou bien vous dormez, ou bien vous n’êtes conscient que du Soi. Cette conscience du Soi est toujours présente [elle est l’Instant ou Ici et Maintenant]. Restez ce que vous êtes véritablement et cette question [celle de l’ingénieur
Arvind Bose sur l’éventuelle
« destruction du mental »] ne se posera pas » (R. Maharshi, entretien 217). En voilà assez pour le legendrisme et son État de droit (ou de raison style
« lumières »).
CONTRATS : TOUT étant Conscience, et aussi les
« objets extérieurs », et qu’il n’y a pas de conscience sans objet ou réflexion (écho, dualité), alors, quelle est la Vérité de Dieu, du Soi, de
« l’Esprit-Seulement » chez le
Lankâvatâra ?
SANS CONTRAT PASSÉ AU MINIMUM ENTRE DEUX ENTITÉS, IL N’Y A RIEN ! J’ai déjà écris sur le site qu’il suffit de deux Anglais pour faire un match de football et de trois pour faire un Empire. Alors, il suffit de deux humains de même opinion pour
« passer un contrat » ou une entente entre eux et pour inventer une
« réalité ». C’est la preuve que ce
« réel » tel qu’il est inventé par l’humain est d’une extrême fragilité ! Question résistance électrique, il n’y a pas pire mauvais conducteur de la Réalité que l’être humain. Résistance, ça chauffe, ça calcul et ça refuse LE GRATUIT, donc la FLUIDITÉ.
Les objets de connaissance ne sont que des désignations conventionnel : je nomme ceci avec un plateau horizontal supporté par quatre bâtons verticaux :
« table », et pas un
« perroquet ». En l’absence de
« référence » il n’y a pas d’objet (d’où d’ailleurs la psychose de la référence dans le
Wikipedia pas neutre pour un dollar !!!). Comment voulez-vous qu’il y ait un objet extérieur sans conscience ? Comme le temps qui coule, il faut bien une personne pour en prendre conscience et ainsi l’inventer, sinon il n’existe pas ! Le
« temps qui coule » ne peut pas être un truc extérieur :
IL EST NOUS TOUS : ATEMPORALITÉ.
SANS CONTRAT PASSÉ AU MINIMUM ENTRE DEUX ENTITÉS, IL N’Y A RIEN : « DIEU CRÉA L’HOMME ; ET L’HOMME CRÉA DIEU. ILS SONT TOUS DEUX LES CRÉATEURS DES NOMS ET DES FORMES. MAIS EN RÉALITÉ, NI DIEU NI L’HOMME N’ONT ÉTÉ CRÉÉS ».
Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936. Ainsi
CRÉATION = CONTRATS ET DÉLUGES QUI EN DÉCOULENT.
CRÉATION = APORIE ET PARADOXE. Et EXISTER = MORT PAR SUJET-OBJET OU CAUSE-EFFET OU TEMPORALITÉ (il y a toujours un
”truc", même infime, entre la cause et l’effet).
Au lieu d’être soumis à l’Instant ou Dieu ou Vérité, nous sommes soumis aux circonstances, aux causes, à la saloperie de logique et à ses opinions, tous ces dualismes pourvoyeurs de guerres ; tous ces jugements et choix et diversités pourvoyeurs de guerres et surtout d’ignorance.
IGNORANCE = JUGER, OPINIONER.
SEUL ÊTRE ET NON-ÊTRE SONT ÉGAUX. Le drame va vraiment commencer en Occident à l’époque de la Renaissance avec le luthérianisme qui va produire l’américanisme du genre au 19è siècle dans l’Ontario en pleine industrialisation : « Une personne non instruite [le
« primitif » jugé ainsi par rapport au
« civilisé » : le blanc occidental] commet cinquante fois plus de crimes qu’une personne instruite ». C’est donc du pur historicisme. Et l’alphabétisme renvoie au social, au contrat : le conventionnel (comme l’exemple de la table cité plus haut), et bien-sûr ça renvoie nécessairement à l’économique !
Le luthérianisme ne fera qu’amplifier le
« mot à mot » attesté au 15è siècle, afin de détruire toute possibilité d’écart par rapport au puzzle de ces mots.
Le philosophiste Francis Bacon estimait ainsi les trois inventions ayant
« changé la face du monde » : l’imprimerie, la poudre à canon, l’aimant. Dans un sens il n’a pas fait erreur : imprimerie donnera la culture de masse et la pensée unique et un semblant d’égalitarisme ou de démocratie, la poudre à canon donnera les guerres à échelle mondiale, l’aimant donnera l’électromagnétisme : « électricité, ordinateur, et énergie pétrole pour faire tourner cela.
Alphabétisme = social, culture de masse et technologie. Ce qui va donner une certaine forme de pensée et de logique comme de nos jours avec la philosophie, la science, la religion, la politique, la technologie et la médecine, tous des ismes.
Seul le langage parlé distingue l’humain de l’animal. C’est mince, vu que l’animal ne fait pas de guerre et ne détruit pas toute la planète. Prochainement le
« tout petit et invisible » pourra détruire le gros de cette planète (relire
« La Guerre des mondes » de H.G. Wells).
Étant ici en Occident sous domination anglo-américaine, soit la culture du mentalisme, le monde objectivé ou du winner, ou de la
« raison », telle que l’exprime les Descartes et la philosophie empirique des John Locke, ça va donner une nouvelle logique et manière de compréhension que l’on retrouve dans les textes et ce qu’y apporte le lecteur, comme sa contribution propre (départ de cette tyrannie de l’opinion, que dénonçait déjà Coulonval en son temps dans son livre :
Synthèse et Temps Nouveaux). Le fait de reconnaître qu’il y a bien une contribution du lecteur à l’interprétation du texte est à l’origine d’un modèle de mental, comme de nos jours avec le virtuel et l’artifice presque partout, surtout l'artifice médiatique.
Avant la domination anglo-américaine nous étions sous domination des Grecs et des Romains, par DÉJÀ LE LANGAGE ÉCRIT : ACTIVITÉ DU LECTEUR, avec les outils d’une expression adéquat grâce aux mots écrits ; et surtout EN RÉSEAUX, LE PREMIER : circulation de l’écrit ; bref, la civilisation qui la première dans le Néolithique à être SOUS CONTRAT DE L’ALPHABÉTISATION au plein sens du mot, et à nous avoir par son réseautage transmis sa culture écrite. Alors qu’il ne reste rien de la culture des Gaulois vu que tout devait se passer oralement et qu’ils ont subit le colonialisme destructeur des Romains.
Luthérianisme et Renaissance et Réforme colonisait l’Allemagne d’alors : tentative protestante de convertir la
« populace » (les primitifs), l’arracher à ses habitudes et traditions et à ses modes de vie anciens, et l’amener « à l’orthodoxie la plus tatillonne, reposant sur la plus stricte conformité, les conventions OU CONTRATS ». Or ce ne sont pas les masses dépourvues d’instruction qui ont exigé que soit mise en place une
« instruction » obligatoire et
« universelle », qui serait
« instrument de leur libération » un peu comme la séparation de l’Église et de l’État en France pour instituer l’institution ou isme
« laïcité ». C’est l’oligarchie de l’époque voulant
« sauver » les pauvres qui a imposé ses ismes aux masses, dans l’espoir et désir d’y FORMER DES TRAVAILLEURS RENTABLES ET PRODUCTIFS, DOCILES, DÉJÀ DU CITOYENNISME À LA RÉPUBLICAINE ET AU LIBÉRALISME DU CAPITALISME (les
« valeurs de la république »).
Enfant de la dernière guerre puisque né en 1945, je puis dire que le social est une tragédie, même si les enfants ne sont plus à quarante par classe du primaire comme de mon temps rue Ampère à Paris 17è.
VRAI SOCIAL = AMOUR OU GRATUITÉ : la Source, la Fontaine de Jouvence : on voit en premier un miroir, on s’y penche puis on y boit. Enfin on se laisse couler en elle et on se retrouve en se perdant, c’est ÇA LA GRATUITÉ et non la soumission au pouvoir d’achat et à la City de Londres et ses banques infernales.
Le Vrai Social est déjà chez les petits enfants. À partir de l’adolescence et jusqu’à l’adulte arrive le faux social : la couverture social :
ON FAIT SEMBLANT, DONC ON FAIT COMME TOUT LE MONDE, SELON LE « SERVICE D’ORDRE ». Ainsi il est salutaire de distinguer le lieu commun de l’égrégore de l’époque et le lieu commun puisé dans le Soi ou ZÉRO INDIEN, soit distinguer ceux qui puisent à l’eau de tuyau ou pensée unique et ceux qui s’abreuvent au flot vivant, comme les Gilets Jaunes.
Monde de l’AVOIR et se faire avoir dans ce monde de la république.
ENFER DU CHIFFRE D’AFFAIRES À LA FOUQUET’S ET AUTRES COUILLES EN OR
GENRE
BERNARD ARNAUD (affairiste et faiseur pilleur de Marcel Boussac)
Il y a une parenté entre le Vide et le chiffre d’affaires ou CALCULS
tels la chasse aux femmes (ou aux hommes pour les gays), pour le désir
de vitesse ou du Tout tout de suite, l’enivrement pour le record et la
soif de l’argent en tant que signe, le calcul pour
« arriver à » ou le
culte du winnerisme. Plus un ‘je’ est éloigné du ‘Je’ universel, plus il
est condamné à bouffer du chiffre : la quantité ou inventaire remplace
l’invention ou la qualité…. Le Chiffre si repérable dans l’obésité de
l’Américain du Nord (ils ont tous les chairs « flottantes », même les
grand(e)s maigres aux yeux bleus).
Le Bernard Arnaud et sa goinfrerie du chiffre d’affaires sait depuis son
berceau que la goutte se perd dans l’océan ; mais il ignore que l’océan
SE PERD AUSSI DANS LA GOUTTE, SOIT LA FLÈCHE DU TEMPS EN UNE OPINION
COMME UNE AUTRE PUISQUE INVENTION DU TEMPS QUI COULE.
Demandez à Bernard Arnaud s’il connaît son Soi. Il vous dira « non ».
Que peut-on posséder si on ne connaît pas son Soi ? Le savoir humain est
pire que la fragilité d’une toile d’araignée. (Pour faire référence à
l’entretien 43 de Ramana Maharshi).
Avec le genre Bernard Arnaud l’humanité est DÉJÀ plongé dans ce climat
politique à la fois devenant de plus en plus rigoureux et fixiste de
« nuques raides », genre Castaner, et également le plus corrupteur (voir le récent haut
de l’iceberg avec l’affaire Benalla si symbolique de nôtre époque de
corruption mondialisée).
La république de Bernard Arnaud et de son peuple au pouvoir d’achat est
ce mélange que commence à dénoncer les Gilets Jaunes : un mélange de
vraie pauvreté et de fausse opulence déguisée en
”pouvoir d'achat”, soit LA MISÈRE MENTEUSE DE LA
SUPER MENTEUSE TRINITÉ LIBERTÉ-ÉGALITÉ-FRATERNITÉ, STIGMATE SOCIALISTE
DE L’APRÈS 1789, SOIT LE LIBÉRALISME ou la guerre de tous contre tous.
Dans un organisme malade comme la république de Bernard Arnaud et de son
libéralisme, l’unité est dégénérée en État de droit (hyper
centralisation), et la pluralité dégénère en libéralisme de laïcité. La
centralisation et le libéralisme s’appellent mutuellement, soit
l’appelle réciproque de l’unité dans la diversité, slogan de l’Union
européenne. Cette connexion cancéreuse se retrouve dans tous les
domaines de l’activité humaine. FAUTE DE POUVOIR UNIR, LE RÉGIME
RÉPUBLICAIN CENTRALISE (comme pour la répression des Gilets jaunes). Un corps malade est asservi aux exigences du
moins sain de ses organes, entendez les propos des membres de la bande
organisée du pouvoir aussi bien étatique que médiatique ; une nation
cancéreuse est gouvernée par la lie de ses habitants.
L’enfer est typique du slogan de l’Union européenne : centralisation
extrême et diversité libérale extrême. Ainsi le mal appelle le mal,
voyez les coups de la bande organisée contre la bande inorganisée et
libre des Gilets jaunes : remède artificiel qui à son tour sera
immanquablement un coup factice, qui aggravera le mal ; surtout après la
énième diarrhée de loi républicaine et celle à venir pour renforcer
cette république et son capitalisme moribond.
Bernard Arnaud et son oligarchie sont ces mêmes entités
économico-financières qui, sans comprendre le sens du mot politique
(vrai sens de celui qui connaît qui est l’Être humain), font du
chaos-politique ; ce sont les mêmes personnes qui ont financé les
Lénine-Staline, Mussolini, Adolphe Hitler, Mao en Chine. Cette même
oligarchie tire les ficelles des cancéreux du pouvoir un peu partout
actuellement.
CE MONDE NE SERA VRAIMENT LIBRE QUE S’IL SE LIBÈRE DU MONDE : NE PLUS
UTILISER CE MONDE (anglo-américain notamment et ses paroisses). Coluche
dans le sketch est déjà une forme de refus de ce monde.
SE LIBÉRER DE CE MONDE : faire une GRÊVE DIONYSIAQUE : tous les esclaves
des industries du CAC 40 se mettent à rêver éveillés sur le tas, que du
délire, de l’orgie, une gigantesque fêtes dionysiaque éclatante dans
l’Instant depuis le gouffre sans fond de l’humain-machine et qui se
propagerait dans le monde entier et jusqu’à l’oligarchie même, qui
transformerait l’Occident, puis l’Orient, en un gigantesque VRAI asile de
fous….. et pourquoi pas avec des « primitifs » ou des losers comme
infirmiers-psychiatres ?…