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FLÉAU = fin des opinions Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-03-2019 02:34

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Apocalypse, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Cul, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gratuit, Histoire, Humain, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Jardin, Juif, Klan, Langage, Liberté, Lucifer, Maux, Méditation, Mental, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pierre, Plume, Porte, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Serf, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
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FLÉAU = fin des opinions
pour enfin en terminer avec
la « liberté d’expression »
qui est le contraire de la liberté :
LA DÉPENDANCE AU MENTAL.
LA DÉPENDANCE À LA FICTION.

VRAI FLÉAU : LA POLLUTION LUMINEUSE JUSQUE DANS
NOS MAISONS PARASITÉES PAR LA POLLUTION LED.

INDISCUTABLEMENT MATÉRIELLEMENT NÔTRE MONDE EST SOUS DÉPENDANCE…
DE LA CITY DE LONDRES, COMME EN 1717 AVEC LA JUDÉO-FM.

Vous n’êtes pas sans remarquer que l’éclairage
par LED est AGRESSIF, et certains parlent « d’efficacité
lumineuse incomparablement supérieure », donc en plein
mythe évolutionniste, du « sauvage » au « citoyen ».
Sûr que c’est supérieur à la bougie,
et à la lampe à filament, mais AGRESSIF ET CONFORME
À CE MONDE DU BIG BROTHER ET DE SON POUR-VOIR PARTOUT (1).
POUR-VOIR = AMARRAGE.

L’éclairage par LED est le symbole du
MARQUAGE DES INDIVIDUS, comme au 19è siècle
on faisait installer dans les rues de Paris
l’éclairage au gaz pour que la police
puisse repérer plus facilement les
« voleurs » mais surtout les contestataires,
idem avec l’urbanisme d’Haussmann :
« assainir » Paris, selon la mode « hygiéniste »,
soit celle du FRIC/FLIC.

ÉCLAIRAGE PAR LED = URBAIN PAR PRINCIPE ET DÉCOURAGER L’INSURRECTION (et le vol [de biens]).
 
 
MONDE OCCIDENTAL DE L’UTILITARISME ET DE LA CAUSE-EFFET.
Des millénaires d’éclairage à la bougie ou la torche, environ un siècle d’éclairage à l’électrodynamique dont personne ne sait encore ce que s’est ! Ya donc comme un problème !!! Bougie = réel ; Ampoule électrique = virtuel ou friction ! Je vais finir par faire un élevage de Luciole afin de m’éclairer gratuitement et naturellement…. Évidemment les degrés kelvin feront sale mine…
RAPPEL : L’immortalité est toujours symbolisé par un CORPS LUMINEUX. LUCiole, LUMière : contemplation. Chez quelques judéo-maçons adonhiramites et du rite écossais on retrouve ce sens, et du réseau, et de l’initiation ou du pontife : « Une cave m’est connu [hébergement ou emploi], une lampe m’a éclairé [initiation], une source m’a désaltéré [le boire et le manger mais surtout déjà la fameuse « liberté d’expression » car l’Église ne le voyait pas d’un bon œil tant elle tenait et tient encore à son dogme] ».


Page dédiée aux générations futures de paumés et aveugles par LED.
 
FICTION : du latin fictio, de fictus : feindre, illusionner. Étymologie de figure, le masque ou personna. Le masque ou con(u)verture (convention) sociale feinte par excellence. Je distingue fiction de Chimère à cause de l’imaginal, qui, selon Henry Corbin, est au cœur de la connaissance suivant la devise alchimique : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore », correspondant au : « Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil est ainsi », qu’exprime le mantra à la fin du Sutra du Cœur de la Connaissance transcendante. Exactement comme la NON-RAISON ou MÉTA-RAISON ou SUPRA-CONSCIENCE À LA FAÇON D’UN NASREDDIN HODJA et d’un Ibn’Arabi. La fiction actuelle s’entend comme l’éclairage par lampe LED : UN ÉBLOUISSEMENT QUE TU EN PREND EN PLEINE GUEULE MÊME SI TU VEUX TE PROTÉGER DE LA SOURCE LUMINEUSE, SOIT CE MONDE DES TÉNÈBRES ICI-BAS ET DE SON « TOUJOURS PLUS » ou « nouveau vu à la tété ! »

L’éclairage par LED est agressif et le Pour-Voir capitalo-républicain nous parle de « haine » ??? Mais qui est haineux et destructeur ? Si ce n’est la City de Londres et ses banques pour-voyeuses de mort et de toute cette industrie (1).

Les Occidentaux sont essentiellement UTILITARISTES : affirmer la création et le Big Bang est utilitarisme, comme d’affirmer l’existence réelle de quelque chose qui ne naît et ne cesse (voir la date de préemption dans leur mercantilisme des objets) ; c’est du big brother ou identification style être et non-être ou dualité winners-losers.
FLÉAU = LE RÉEL N’EST NI EXISTANT NI INEXISTANT ET NE PEUT DONC NI NAÎTRE NI CESSER.

« Ce n’est pas un pur inexistant parce qu’il se manifeste dans la multiplicité des formes comme dans les rêves ou les illusions magiques ; ce n’est pas non plus un simple existant, parce que ces formes n’ont pas de nature propre, parce qu’elle sont vues sans apparaître, perçues sans que l’on puisse les saisir. Voilà pourquoi j’enseigne que toutes choses ne sont ni des inexistants ni des existants. Quand on réalise qu’elles ne sont que des perceptions au sein de son propre mental, on s’en tient à leur nature sans plus divaguer à leur sujet. Toutes les constructions du monde alors s’apaisent à jamais : les idées fictives sont affaires de sots et rien d’autre ; il n’en est plus question chez les sages et les saints », dit le Lankâvatâra.

« Les êtres naissent et meurent comme des créatures de magie, lesquelles, en réalité, ne naissent ni ne meurent. De même toutes choses sont-elles libres de la naissance et de la cessation. […] Quant à cette « distorsion » [du mental], elle consiste à croire que les choses ont pour essence d’exister réellement sans voir qu’elles sont éteintes dans la paix. Et c’est bien parce qu’on ne voit pas qu’elles sont éteintes dans la paix qu’on ne peut pas échapper aux hallucinations et aux fictions qui s’ensuivent. Pour ces raisons, Mahâmati, la vue du sans-caractéristiques est la meilleure [la vue du Fléau], qui ne perçoit aucune caractéristique dans les choses [pas de jugement d’opinion et de choix].
Les caractéristiques sont causes de renaissance [comme l’opinion ou le débat qui est sans fin]. Sans caractéristiques, pas d’idées fictives, donc pas de naissance ni de cessation : voilà le nirvana.
Mahâmati, le nirvana désigne la vision telle quelle du mode réel [l’Instant], au terme du renversement de toutes les idées du mental et de facteurs intellectuels, la sublime sagesse réalisée à l’intérieur de soi-même avec laquelle on atteint l’état d’Ainsi-Venu. Voilà ce que j’enseigne comme étant l’extinction dans la paix du nirvana ».

Reprise en vers par l’Ainsi-Venu :

Toutes choses sont sans naissance,
Ce qui ne signifie pas que rien n’existe.
Les cités dans les nues, les rêves, les fantasmagories
Existent mais n’ont pas de causes réelles.

L’examen des phénomènes conditionnés [dans la « liberté d’expression »]
Les mondes libres de cause et d’absence de cause [oui, sinon : dualisme winner-loser],
Ou bien ce qui a un nom mais pas de sens ?
Pourriez-vous me l’expliquer ?

- Le sans-naissance n’est pas le néant,
Ni quelque chose qui dépend des circonstances,
Ni le nom d’une entité,
Ni un mot qui n’aurait pas de sens.

J’appelle « sans-naissance »
Ce qui est libre de causes et de circonstances,
Ce qui n’a pas de créateur et ne peut
S’établir en tant qu’Esprit-Seulement.

J’appelle sans-naissance la naissance
Non causée de toutes choses,
Lesquelles ne sont ni êtres ni néant
À l’écart de la discrimination et des idées.

J’appelle sans-naissance
L’absence de perceptions dans le mental,
L’autrement qu’imaginaire et dépendant,
Le renversement du support.

L’inexistence des objets extérieurs,
Le fait qu’ils ne soient pas perçues par le mental
Et la fin de toutes les croyances à leur sujet :
Voilà qui peut définir le sans-naissance.

Ainsi faut-il comprendre les expression
« Vide », « sans essence », et ainsi de suite.
Les choses sont dites « vides » non parce qu’elles sont
Vides mais parce qu’elles ne naissent pas.

En l’absence de causes et de circonstances,
Il n’est pas de processus d’existence possible,
Ainsi que les sots du commun l’imaginent
À l’aide des concepts d’un et de multiple.

Le discours relatif et conventionnel
Décrit la causalité comme un enchaînement [concaténation],
Mais à l’exception de cet enchaînement
Il n’est pas possible de trouver quelque naissance que ce soit.

J’enseigne que, outre cet enchaînement,
Il n’est pas de naissance et que rien ne naît,
Je suis donc libre de l’erreur des non-bouddhistes
Mais les sots du commun ne peuvent le comprendre.

Si quelque chose pouvait naître
Ailleurs que dans cet enchaînement,
La théorie de l’irréalité des causes
Réfuterait l’idée d’enchaînement.

Si, comme une lampe qui éclaire les choses,
L’enchaînement était extérieur à ses effets,
Il n’y aurait plus d’enchaînement causal
Au sein des choses, mais un autre moteur encore.

Ce qui ne naît pas n’a pas encore de nature propre,
Sa substance et son essence sont comparables à l’espace ;
La quête du réel hors de l’enchaînement [causal]
N’est qu’une fiction imaginée par les sots.

Or il est un autre type de sans-naissance,
Celui qu’atteignent les Êtres sublimes.
Cette production sans naissance n’est autre
Que la patience à l’égard du sans-naissance.

Il n’est pas un seul de tous les mondes
Qui ne résulte de l’enchaînement [causal].
L’homme qui peut le réaliser
Accède forcément à l’extase.

L’ignorance, la soif et les actes
Forment les maillons de la chaîne intérieure ;
Les graines, la boue, les roues et ainsi de suite
Forment, pour le dire, l’enchaînement extérieur.

S’il se trouvait quoi que ce fût
Qui naquît de causes et de circonstances
À l’écart de ces deux formes d’enchaînement,
Cela serait contraire à la logique des enseignements.

Si ne qui naît n’existe pas,
Que signifie la production interdépendante ?
Le solide, le fluide, le chaud et le mouvant
Sont des fictions des sots du commun.

Il n’y a que des causes, pas de choses réelles,
Voilà pourquoi j’enseigne l’inexistence de toute nature propre.


FLÉAU : parce que ça ne rapporte rien n’étant pas de la fiction : le mythe de l’éternelle jeunesse existe depuis des millénaires : en Inde, en Chine (avec les recettes taoïstes), dans la Bible (Genèse 6, Chute). Les Chérubins et la Flamme du Glaive fulgurant pour garder le chemin de l’Arbre de Vie (la non-fiction). Contrairement à la physique moderne, et comme l’expose ci-dessus le Lankâvatâra : « Toutes choses ne se détériorent pas ». Dans les contes populaires Russes, on trouve souvent :
1) L’Eau de Mort/Colle : pour recoller les morceaux d’un vaillant personnage coupé en rondelles.
2) L’Eau de Vie/Vie : pour lui redonner le souffle de Vie.
La non-fiction se retrouve par exemple dans le Discours 10 de L’Atlante Fugitive, de Michael Maïer :
A - Une lumière plus vive en obscurcit une autre moins intense.
B - Les membres engourdis par le froid sont restaurés si on les plonge dans l’eau froide, sans ajouter immédiatement de chaleur externe. Cependant le froid externe de l’eau doit être moins important que le froid interne dont sont affectés les membres. L’attraction du froid par le froid est moins dangereuse que le changement soudain en son contraire. Le froid par le froid se fait petit à petit comme par degré. C’est le principe de l’Homéopathie (Art de la Teinture), c’est aussi l’équilibre intérieur et extérieur de Jabir.


Note.
1. POUR-VOIR = AMARRAGE : ancrer quelqu’un. Voir le problème réel de la 5G sous dépendance de la City de Londres : « SERCO est la rotule impliquant la Couronne comme perpétrateur de ce  génocide des mieux préparés. La technologie 5G est une clef de leur plan et doit être stoppée à tout prix ». MONDIALISME = GÉNOCIDE PLANÉTAIRE : trop de bouches à nourrir, trop de Chinois…. comment contrôler, maîtriser ce monde.
De toutes façons, 5G ou autres, dès lors que des textes furent écrits, à partir de 2600 ans avant l’an zéro, les textes ne furent qu’administratif; donc matérialiste et déjà contrôle des populations ; leurs écrits constituaient seulement une « aide » pour aider et prolonger l’orale. En Occident et jusqu’à maintenant c’est l’imprimerie qui a façonnée nôtre mental maintenant sclérosé par la remplaçante de l’imprimerie : l’informatique : règne du Big data et Big Brother et du Pour-Voir puisque tout est agressé comme par l’éclairage à LED. Je plains les générations d’humains nées sous la mode des LED, ils deviendront bigleux ou quasi aveugles dans la moindre zone peu éclairée…. Cela va faire comme avec l’invention de la carte de géographie, laquelle est devenue FICTION (représentation ; depuis l’après Renaissance, être perdu c’est être en « un endroit de nulle part sans carte », on pourrait ajouter de nos jours : sans GPS ou sans sa nouvelle nourrice : le tétéphone portable. Même symptôme qu’avec les LED : des générations futures de paumés et aveugles vont apparaître.

[En haut de page : aquarelle de M. Roudakoff]
 
 

Dernière mise à jour : 26-03-2019 02:51

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