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Pouvoir ou possession être possédé Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 20-06-2019 23:23

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Asservissement, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gnostiques, Gratuit, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Maux, Méditation, Mental, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pèlerin, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Tore, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
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Pouvoir ou possession être possédé
par son pouvoir d’achat :
Ce qui n’est pas naturel mais acquis,
ne peut pas être permanent et ne vaut
pas la peine que l’on s’efforce de l’obtenir
(réf. Ramana Maharshi, entr. 20).
Une chose achetée ou fabriquée a toujours une fin.

Pas besoin de messes noires ou de séances
dans une secte, ou en psychiatrie,
ou de grimoire d’Université pour être possédé,
le centre commercial bétonné, le supermarché bétonné
du village ou de la cité suffit.

L’essentiel, c’est le Sujet.
En l’absence de Sujet ou de Pour-Voir,
il ne peut pas y avoir de fonctionnement
des cinq sens.

Sans Sujet il n’y a pas d’objet.
Éliminer les identités séparées du sujet et de l’objet.
L’objet est irréel. La séparation ou l’ego
constitue l’objet.
Le mental fabrique sujet et objet et ainsi divise.
MENTAL : celui qui ment à AL le Divin… Celui qui pense que…
 
 
 
Le pouvoir et pouvoir d’achat : LE MENTAL BONDIT VERS SES JOUETS FAVORIS, LES OBJETS EXTÉRIEURS VENDUS PAR PAR CEUX QUI « VEULENT RENDRE SERVICE ET QUI SE DÉVOUENT POUR VENDRE DU PLAISIR » : comme les Talmudistes, ces vendeurs de « bonheur absolu et permanent », ces faiseurs de BESOINS, d’où « être dans le besoin » et faire ses besoins… S’ILS VENDENT DU PLAISIR ILS VENDENT AUTOMATIQUEMENT SON CONTRAIRE : LA DOULEUR, TOUT CE QUI COÛTE « BONBON » OU EST INUTILE ET UN BESOIN CRÉÉ ARTIFICIELLEMENT PAR TALMUDISTERIE-EGO !!!

« Le monde est appréhendé par les sens dans les états de veille et de rêve ; il est l’objet de perceptions et de pensées, les deux étant des activités mentales. Si l’activité mentale du rêve et de l’état de veille n’existait pas, il n’y aurait pas de perception du monde ni la conclusion qu’il existe. Dans le sommeil profond, cette activité est absente ; donc les objets et le monde n’existent pas pour nous dans cet état. En conséquence, la « réalité du monde » ne peut être créée que par l’ego, par son émergence du sommeil [c’est bien le problème des Google-transhumanistes qui veulent nous foutre dans LEUR monde : grégarisme, grégarisme et contrôle des masses…] ; et cette réalité est engloutie ou disparaît lorsque l’âme reprend sa propre nature dans le sommeil profond » (Ramana Maharshi, entr. 25).


Pouvoir ou possession être possédé : lorsque vous adhérez à un seul système philosophique, religieux ou politique, vous êtes obligé de condamner les autres.

Pouvoir ou possession être possédé : « Demandez à l’homme le plus fortuné du monde, s’il connaît son Soi. Il vous dira « non ». Que peut-on connaître si l’on ne connaît pas le Soi ? Le savoir humain est bâti sur une fondation si fragile. […] Y a-t-il quelqu’un qui ne soit pas conscient de lui-même ? Chacun connaît le Soi, et pourtant ne le connaît pas. Étrange paradoxe » (R. Maharshi, entr. 43).

Dans le même entretien : « En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler, cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l’instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même ».

Concernant LA SOLITUDE (qui ne semble pas à la mode en cette époque du « tout connecté ») : « La solitude est partout. L’individu est toujours seul. Ce qu’il doit faire, c’est la découvrir en lui-même et non la chercher en dehors de lui » (entretien 44).

ICI ET MAINTENANT.


« La Réalité est toujours là et éternellement la même. Elle est aussi dans l’expérience de chacun de nous. Chacun sait qu’il est. « Qui est-il ? » Et subjectivement : « Qui suis-je ? » Le faux ego est associé aux objets ; il est même son propre objet [c’est moi l’ego qui souligne]. L’objectivation est l’erreur. Seul le sujet est la Réalité. Ne vous confondez pas avec l’objet, c’est-à-dire avec le corps [et donc avec le pouvoir d’achat]. Cela donne naissance au faux ego, puis au monde et à vos activités dans ce monde, d’où résulte la souffrance [donc fabriquée, pour ensuite vendre des productions « anti-souffrance »]. Ne pensez pas que vous êtes ceci, cela, ou comme cela, ou un tel ou une telle. Débarrassez-vous seulement de cette erreur. La Réalité se révélera d’elle-même » (R. Maharshi, entretien 46).
« En trouvant la source du ”Qui suis-je ?”, vous réalisez l’état de la Conscience absolue », dit le Maharshi à l’entretien 53. Un absolu en forme de paradoxe puisque « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la Réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction », explique le Maharshi à l’entretien 28. Chercher sa propre identité est comme le voleur décrit ci-dessus : une entreprise vaine en son principe parce qu’il semble impossible d’identifier ce qui est Réel, ce Seul Réel étant précisément ce qui n’a pas de double, pas de division en sujet-objet (LA SÉPARATION, du Thème de l’éjection du Paradis ou Jardin, ou Tapis volant……)

« Vous n’êtes pas conscient de vous-même quand vous dormez, mais vous l’êtes à l’état de veille. Quand vous êtes réveillé, vous dites que vous avez dormi. Vous ne le saviez pas en état de sommeil profond. L’idée de la diversité a donc pris naissance en même temps que la conscience du corps ; cette prise de conscience du corps s’est produite à un certain moment ; elle a un commencement et une fin. Ce qui a une origine doit être quelque chose. En quoi consiste ce quelque chose ? C’est la conscience du ‘je’. Qui suis-je ? D’où est-ce que je viens ? En trouvant la source, vous réalisez l’état de Conscience absolue. […] Le monde n’est pas extérieur. Les impressions ne peuvent pas avoir une origine externe, parce que le monde ne peut être connu que la conscience. Le monde ne dit pas qu’il existe. Ce n’est que votre impression, même sur elle n’est pas cohérente ni continue. Dans le sommeil profond, le monde n’est pas connu ; il n’existe donc pas pour l’homme qui dort. Par conséquent, le monde est la suite de l’ego. Trouvez l’ego. La découverte de sa source est le but final », dit le Maharshi à l’entretien 53.

Dans le même entretien, et comme le temps : « Le monde peut-il exister sans quelqu’un qui le perçoive ? Qui est apparu en premier ? La conscience d’être ou la conscience du monde ? LA CONSCIENCE D’ÊTRE EST TOUJOURS LÀ. ELLE EST ÉTERNELLE ET PURE. La conscience du monde apparaît et disparait. Elle est transitoire [puisque monde des accidents et des opinions]
- Question : Le monde n’existe-t-il pas pour les autres même losque je dors ?
- Maharshi : Un tel monde se moque aussi de vous de vouloir le connaître sans vous connaître vous-même. Le monde est le produit de votre mental. Connaissez d’abord votre mental et ensuite voyez le monde. Vous réaliserez qu’il n’est pas différent du Soi ».

« La mer n’est pas consciente de ses vagues. De même, le Soi n’est pas conscient de son ego » (R. Maharshi, entr. 47).

- Visiteur : Vous êtes Bhagavan [Vénérable]. Par conséquent, vous savez quand j’obtiendrai le jnana [connaissance, sagesse]. Dites-moi quand deviendrai-je un jnani [sage] ?
- Maharshi : Si je suis Bhagavan, il n’y a pour moi personne d’autre que le Soi - par conséquent ni un jnani ni un ajnani [ignorant]. Si je ne le suis pas, je suis comme vous et je n’en sais pas plus que vous. Dans un cas comme dans l’autre, je ne peux pas vous répondre ». (R. Maharshi, entretien 48). Important ce court entretien.

LE PROGRÈS LIÉ AU TEMPS ET AU POUR-VOIR ET AU CHIFFRE : Qui n’a pas entendu un jour dans sa vie ici-bas, surtout dans le politisme galopant de l’Occidental : « Nous ne constatons pas de progrès ! ». À ce propos le Maharshi répond dans l’entretien 49 : « On ne peut parler de progrès que lorsqu’il s’agit d’obtenir des choses nouvelles [cas du capitalisme où il faut créer sans arrêt des besoins, selon le principe des Talmudistes (1)]. Mais ici, il s’agit de supprimer l’ignorance et non d’acquérir la connaissance. Quel genre de progrès peut-on attendre dans la recherche du Soi ? ».

Dans le même entretien : « Vous dormez dans votre lit à Tiruvannâmalai et vous rêvez que vous vous trouvez dans une autre ville. Pour vous, la scène est réelle. Votre corps reste cependant ici étendu sur votre lit. Une ville peut-elle rentrer dans votre chambre ou bien pouvez-vous quitter icelle en laissant votre corps derrière vous ? Les deux éventualités sont impossibles. Par conséquent, le fait que vous restiez ici et que vous voyez en même temps une autre ville sont tous deux irréels. C’est à votre mental qu’ils apparaissent réels [ce qui rejoint le cas de personnes qui « rencontrent des soucoupes volantes » ou des « enlevés » prétendant avoir été enlevés par des extraterrestres]. Le ‘je’ du rêve s’évanouit peu après, pour laisser place à un autre ‘je’ qui décrit ce même rêve. Ce dernier ‘je’ n’existait pas dans le rêve. Les deux ‘je’ sont donc irréels. C’est le substrat du mental qui poursuit toujours son activité, faisant surgir quantité de scènes. Un ‘je’ différent s’élève avec chaque pensée et disparaît en même temps qu’elle. D’innombrables ‘je’ naissent et meurent ainsi à chaque instant. Le mental qui subsiste est le véritable problème. C’est lui le voleur [celui qui veut posséder] dont parlait Janaka [un roi sage et renommé]. Démasquez-le et vous serez heureux ».

PRIÈRE DU CENTRUM CENTRI ou PRIÈRE DU CŒUR.

« Faire descendre son mental de la tête dans son Cœur », comme disaient les Pères.
« Qui suis-je ? » destiné à faire perdre son individualité, Version de la Philocalie : « Commence à faire correspondre les mots de la prière de la façon suivante : au premier battement dis ou pense : Seigneur ; au deuxième battement : Jésus ; au troisième : Christ ; au quatrième : aie pitié ; au cinquième : de moi. Répète cela à l’infini… », est-il écrit dans le Récit d’un pèlerin à la recherche de la Prière, texte qui fut le livre de chevet de Dostoïevski et abrégé populaire de la Philocalie, manifeste du vagabondage mystique et forme de méditation.

Version de l’antah-pranayama (contrôle interne de la respiration) :
- Nâham chintâ (l’idée « je ne suis pas le corps » ou « Je ne suis pas cela ») est le rechaka (l’expiration).
- Ko ‘ham (qui suis-je ?) est le pûraka (l’inspiration).
- So ‘ham (je suis Lui) est le kumbhaka (la rétention).
« En se livrant à cet exercice, la respiration est contrôlée automatiquement », dit le Maharshi à l’entretien 54. À l’entretien 154 le Maharshi dit que « pour celui qui n’est pas encore assez avancé pour suivre cette méthode, la méditation provoque la suspension de la respiration et le mental cesse de s’agiter. Le contrôle du mental entraîne spontanément le contrôle de la respiration ; ou, plus exactement, conduit au kevala-kumbhaka (la rétention spontanée de la respiration, sans prêter attention à l’inspiration et l’expiration)
À celui qui ne peut pas pratiquer cela non plus, on recommande le contrôle de la respiration pour ainsi calmer le mental. Mais ce calme ne dure que le temps pendant lequel la respiration est contrôlée, il n’est donc que passager. […] Un homme déjà avancé passera directement au contrôle du mental sans perdre le temps à pratiquer le contrôle de la respiration ».



Note.
1. Les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci en 1840 : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali : Les juifs, le monde et l’argent). PRINCIPE DE L'ÉVOLUTIONNISME LE BESOIN CRÉÉ ÉTANT COMME UN « MOUVEMENT PERPÉTUEL ».
 
 

Dernière mise à jour : 20-06-2019 23:56

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