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Oh non non pas de monisme après la Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-09-2019 22:18

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Asservissement, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gnostiques, Gratuit, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Intérieur, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Magie, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pèlerin, Peur, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Silence, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Tore, Ulysse, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
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Oh non non pas de monisme après la
prière du soir (presque comme dans la chanson)
sinon, comme dans le monothéisme, on retombe
dans la dualité.
La non-dualité n’est pas un monisme
ni un monothéisme de plus !!!


Idem :
La naissance de l’être, quel qu’il soit,
est logiquement impossible (les sens ne
prouve rien et leur mental encore moins qui
ne sera qu’opinions).
En revanche, ce qui n’est pas opinion,
l’apparence, l’extérieur, est non seulement
possible, et existe bel et bien (surtout
vendeur pour certains), quoique aussi
totalement illusoire parce qu’insaisissable,
fallacieuse et constamment changeante,
COMME TOUTE OPINION ! COMME LA BOURSE !
 
C’est dans cet extérieur possible que se
trouvent les cinq émotions négatives si
utilisées pas l’oligarchie pour manipuler
les masses :
l’ignorance, la haine, le désir (si vendeur
pour le régime capitalo-républicain),
l’orgueil (qui fait aussi beaucoup de ravages),
la jalousie (également source de ravages).
Dans les émotions se trouvent aussi l’ignorance
si utile pour manipuler les masses et que les
inform-ations des médias de l’oligarchie et de
leurs réseaux sociaux entretiennent
savamment et sournoisement (ingénierie sociale)
sous le prétexte « d’être plus clair »
(« France-info et tout est plus clair », dit
le nouvel habillage de cette radio d’État).

Le regard du DÉSIR est un regard DISTRAIT, qui
glisse sur l’Instant pour se déporter sur l’AILLEURS.
Le désir regarde ailleurs comme tout le fétichisme.
Ce monde qui cherche sa Liberté n’y trouvera
jamais rien d’autre que ce qu’il y cherchait
réellement ou sans persona : RIEN DU TOUT…
Le Seul Réel ne peut qu’être ICI ET MAINTENANT.


Page dédiée aux plus horribles des créatures des pays des Rêves.

Les inform-ations actuels déversées en déluge d’heure et heure font le CONTRAIRE DE LA CLARTÉ, ELLES TROUBLENT DE MANIÈRE AMPLIFICATRICE. Or une INFORM-ATION ou UN TEXTE CLAIR EST PAR ESSENCE FAUX, IL EN JETTE, IL ILLUSIONNE COMME TOUS EYES CANDY QUI SE PRÉTEND « RÉVÉLER » ou « APOCALYPSER ».
SEULS LES TEXTES ABYSSAUX, CAR IMMACULÉS ET INSONDABLES, NON POSSÉDABLES PAR QUELQUES PERSONNES CROYANT « POSSÉDER LA VÉRITÉ », SEULS CES TEXTES QUI PERMETTENT DE SE PLONGER DANS L’ÉVEIL, DANS LE NOIR DU SAINT CHAOS, PEUVENT PURIFIER LE MENTAL, RIEN QU’EN LISANT CES TEXTES, EN LES RÉCITANT TOUT EN PRATIQUANT CE QU’ILS ENSEIGNENT.

Les ignorants ne vont pas croire un mot de ces textes insondables, ils vont douter du sens de la syntaxe et de l’étymologie des mots. Ils les critiquent violemment car ils n’en croient pas un mot sous prétexte qu’ils n’en avaient jamais entendu parler auparavant et qu’il s'impose d’en chercher l’origine exacte (l’adamisme, le Big Bangisme).
D’autre part, les ignorants n’osent approcher, honorer et vénérer ceux qui préservent, retiennent, comprennent et enseignent par les textes abyssaux, à moins qu’ils n’en cherchent, tout bonnement, les défauts.

Saisir l’apparence des choses ! Le sociel ! Oh que c’est dis-criminant !!!

Le Noir, la Vraie Nature, le non-ça, fait PANique, car le ça opposé au moi ou le noir de ce qui est caché opposé à ce qui est visible est de la dualité ombre-lumière ou intérieur-extérieur. Pour des Chrétiens et pour C.G. Jung l’ombre c’est le bouc-émissaire ou le paradigme, le modèle ou source. Le Noir n’est que la partie ignorée de nous-mêmes, NÔTRE VRAIE NATURE RENIÉE, REFOULÉE, RÉPRIMÉE ET SURTOUT NON RÉALISÉE, PAR IMPUISSANCE IMPOSÉE PAR LE SOCIAL ET SON GRÉGARISME MAIS LE PLUS SOUVENT PAR INCONSCIENCE OU IGNORANCE ; C’EST LE MANQUE À ÊTRE, À S’INSTANTER.
C’est le Pour-Voir qui demande à vivre sous la poussée énergétique du EST (« Je suis ce JE SUIS »), aussi appelé « numen » par des Occidentaux, mais à ne pas confondre avec l’inconscient collectif ou les « archétypes » de Jung qui fait du Soi une conscience conceptualisante qui puiserait dans son Big data enregistré depuis des millénaires !!! Or comme si souvent écrit sur le site : « La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties ». Si cela n’était pas le cas, et que la connaissance-conscience était un « gros disque dur », depuis « tout ce temps » (évolutionnisme), il y a longtemps que la Paix, la Liberté, seraient établis fermement sur la Terre. Évidemment il n’en est rien…..

L’inconscient c’est TOUJOURS LE MENTAL, caché par nature mais encore le mental. Par exemple le psychiatre Pierre Solié (1930-1993) qui exerça comme omnipraticien de 1957 à 1964 pour finir par se tourner vers la pratique de la psychothérapie de C.G. Jung, écrit dans : Médecines initiatiques, aux sources des psychothérapies : « L’Inconscient, c’est la brousse abyssale certes, mais aussi le Ciel Infini qui recouvre [il confond donc conscience conceptualisante ou « raison » et Conscience infinie ou Soi], et qui rejoint, le mât totémique (1), c’est le mysterium tremendum, la tremenda majestas, au-delà du Ça et du Sur-moi individuel (Freud), c’est le monde de l’Inconscient collectif (Jung) dans lequel baignent les êtres originels dont le Moi individuel, encore insuffisamment développé, peut assumer l’énergie numineuse. Et c’est précisément le rôle des paradigmes : saints, sorcier, chefs, parents, de l’incarner pour le groupe - ou l’enfants - et de la relativiser en l’humanisant ».

Bref, GROSSE ERREUR et ÉNIÈME DIVISION entre chefs ou dominants et dominés. Le Soi n’est pas la Brousse ou le Ça, même si Pierre Solié voit la Brousse comme « infinie » !!!
Autre passage de Solié : « La Symbolique (Lacan) c’est de l’Imaginaire numineux qui, à travers le totem ou son représentant humain (paradigme) se transforme en tabou, règle, loi, [constantes], éthique esthétique, magie, science, religion, langage en un mot, c’est-à-dire « tout ce qui sert à exprimer notre intériorité » (Noam Chomsky : La linguistique cartésienne)

Si le numineux est confondu avec l’inconscient collectif, il peut effectivement déclencher la PANique ou mysterium tremendum « l’indicible chose » (Lovecraft), le Ça de la Brousse terrifiante de Solié, « l’impensable » ou le « hideux silence » chez Lovecraft.
Numineux = « Je est un autre » : la Singularité + quelque chose. Toute en étant, elle EST, et a le privilège de n’être qu’Une, sans copie. Elle est donc « irremplaçable », ce qui n’est pas bon pour le commerce ! Car le mort ou la mort ne peut pas se remplacer : une fois fini, ou cassé, il n’y en a plus, c’est terminé : « Il mourut le vendredi, Le dernier jour de son âge ; S’il fût mort le samedi, Il eût vécu davantage » dit la chanson implacable sur le Maréchal de France Jacques II de CHABANNES Seigneur de La PALICE, né vers 1470, mort à Pavie en 1525.

Ainsi toute chose qui naît devient par essence périssable : LA VRAIE VIE EST ABSENTE DE CE QUI EST APPELÉ « RÉALITÉ » OU SIMPLEMENT « VIE ».
« JE EST UN AUTRE » : À L’UN LE RÉEL, AU SECOND LES EMMERDES ET SES DATES DE PÉREMPTION.
Le « Je est un autre » s’exprime de façon surprenante dans Démons et Merveilles de Lovecraft, à la fin de la première partie : Le témoignage de Randolph Carter, par la phrase cinglante, apocalyptique : « ESPÈCE DE CRÉTIN, WARREN EST MORT ! ».

Le Moi, celui qui parade dans le monde des accidents : il est unique et paradoxalement il ne peut pas se voir sans immédiatement tomber dans la dualité du sujet et de l’objet.
« Qui suis-je ? »…. moi qui prétend ÊTRE ??? Randolph Carter renvoie direct au NOIR DU RENONCEMENT OU PUTRÉFACTION et au curé d’Ars : « Si on se voyait sans masque [sans persona], on mourrait ». Parce ce qu’on se verrait comme le GRAND PAN, on mourrait de peur, de cette peur du vide, du TOUT sous la persona de la mort. On mourrait de peur de perdre nôtre fameuse individualité. Cette hyper Lucidité totale serait L’APOCALYPSE, LA CATASTROPHE, L’ÉVEIL SUPRÊME : NOUS MOURRONS FASCINÉS EN INDICIBLE TREMENDUM PAR NÔTRE PROPRE VIDE.

La relation entre PANique et le double est illustré par un film d’Alberto Cavalcanti : Dead of night (Au cœur de la nuit, 1945) : tous les faire/fer du film sont présentés comme de fausse reconnaissance, ce sera à la fin que les spectateurs découvrent avec angoisse que tout ce qu’on leur a montré comme répétant un insaisissable et onirique passé était en fait la prémonition d’un futur presque dans l’Instant ; naufrage abyssale du Seul Réel parce qu’il manque totalement le Ici et Maintenant. Voir le passage du ventriloque aux prises avec sa marionnette qui échappe au contrôle de son maître, scène de « Je est un autre » dont l’autre va étouffer son Je, CE QUI EST UNE IMPOSSIBILITÉ CAR JEAN COULONVAL L’EXPRIME EST SI SOUVENT CITÉ À PROPOS DE L’AINSITÉ (LE SEUL RÉEL) : « Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

Dans l’entretien 78, Ramana Maharshi dit que le paradoxe du ‘je’ (ego) qui veut saisir ou reconnaître le ‘Je’ qui est impossible sans tomber dans la dualité sujet-objet n’est pas un obstacle pour ceux qui sont réalisés.
RAPPEL : Le Vrai ou l’Unique cesse d’être vrai ou Unique dès qu’il est vu ou possédé. TOUT CE QUI SERA VISIBLE, LE POUR-VOIR, SERA ALORS FAUX (voir les choses en pleine lumière comme sortir de la Caverne de Platon : on en prend tellement plein la gueule, comme celui qui entend la réplique concernant Warren cité plus haut, qu’on en est annihilé, détruit, comme enlever le masque pour se voir tel que l’on EST, mentionné plus haut par le saint curé d’Ars !).

« Je est un autre » = con-damné à vivre avec des copies, des autres, des extérieurs ou illusions (l’apparence est du domaine du possible, mais sera totalement fallacieuse, trompeur comme l’étatisme de ses personnages politiques).


La PEUR qui rend si BÊTE (à concours [winnerisme], inform-ations et crétin, stupide).

Depuis 1945 et le 11 septembre 2001 la sécurité vendue par l’Empire USionistan et ses alliés aux Terriens est LA PARFAITE FAUSSE SÉCURITÉ PARCE QU’ELLE EST L’ALLIÉ DE L’ILLUSION ; ELLE EN CONSTITUE LA SUBSTANCE MÊME ET EST AU FOND L’ILLUSION EN PERSONNE, EN TOTEM, comme le dira Hécate dans Macbeth : « La sécurité est la plus grande ennemie des mortels » (mais ça rapporte beaucoup d’argent au complexe militaro-industriel et à Israël). La sécurité ou CONFORT (nourriture de la tyrannie  technologie).
De plus, cette sécurité illusoire est aussi la caractéristique d’un phénomène voisin mais distinct de l’illusion : LA BÊTISE ou IGNORANCE ; tout phénomène qui permet la parfaite manipulation des masses, surtout en y ajoutant l’émotion qui fait la partie du sécuritaire depuis qu’il existe une chefferie ou un État.



Note.
1. Totem et Fétiche : le totem est plutôt la dualité conscient-inconscient avec le fanion ou le logo comme repère d’appartenance à un clan ou une lignée (comme la circoncision au huitième jour de leur naissance pour les Juifs) ; et le fétiche est plutôt une singerie du Soi (le caché, l’introuvable, l’innommable, Dieu, la Vérité, le TRÉSOR ou la chose elle-même et Sans Pourquoi).
Totem sonne proche de tout (sens de Loi).
Fétiche sonne proche de « fait », de fabriqué, d’imité à l’image de quelque chose, ou plutôt QUI EST LA MANIFESTATION DE CE QUELQUE CHOSE. Fétiche serait comme la naissance de.
FÉTICHE : du latin facere (et fecit : a fait) et du portugais feitiço, de l’espagnol hechizo (qui possède le sens de sorcellerie ou jeter un sort pour « programmer » une personne contre sa volonté, soit exercer une influence irrésistible et extraordinaire sur quelqu’un, comme posséder la personne).
 
 

Dernière mise à jour : 13-09-2019 23:14

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