CAUSISME = FEU, RELIGIONS MONOTHÉISTES, VIANDE GRILLÉE ET THERMODYNAMIQUE (technologie et machines tournantes). LE FEU ET LE BÛCHER SONT L’ÉVOLUTIONNISME PAR ESSENCE (voir la mode de la
« bûche de Noël », la mode de l’Holocauste et du Juif errant comme le vagabondage du mental….).
Tout ce qui a une cause ou naissance aura naturellement un effet ou une mort. Et tout naissance est violence, anti-confort….. (surtout celle de la page blanche…)
Ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître, et politiquement ou socialement 1789 apparu nouvellement.
Seul ce qui est Réel doit exister toujours.
FEU = CIVILISATION : la seule invention ou découverte du FEU sera la CLÉ ou Pierre d’angle de tout ce qui s’appelle « civilisation » ; ce Feu qui à nôtre époque est devenu d’une banalité gigantesque. Ce FEU qui va donner la trinité : société(s), propriété(s), État.
Évolutionisme à la Juif
(1) va créer l’enfer de l’opinion : « Il n’y a pas de limite aux polémiques. […] Pourquoi perdre son temps avec de telles polémiques ? Tournez simplement votre mental vers l’intérieur et employez votre temps d’une manière utile.
Quand on parle de l’union de l’individu avec le Suprême, le Suprême est connu par ouï-dire [dualité sujet-objet] alors que l’individu est directement expérimenté. VOUS NE POUVEZ FAIRE USAGE QUE DE L’EXPÉRIENCE DIRECTE [dans l’Ici et Maintenant].
PAR CONSÉQUENT, CHERCHEZ QUI VOUS ÊTES [c’est moi qui souligne] ». (
Ramana Maharshi, entretien 332 du 18 janvier 1937).
Les polémiques n’ont pas de fin, comme la chaîne sans fin des causes-effets : l’être humain devient fasciné par la dualité cause-effet du FEU : L’APPEL DU BÛCHER ET DE SA LUMIÈRE : LA DESTRUCTION DEVIENDRA UN RENOUVELLEMENT (comme le supplice de la Réincarnation avec nouvelle naissance, nouvelle mort, et ainsi de suite, en torture évolutionniste).
Comme les polémiques il n’y a pas de limites aux références ou Big data que bouffent par camions entiers un Wikipédia ou un scolaire Pierre Hillard devenu un VOYEUR du mondialisme cherchant LA vérité parmi un puzzle de références ou vérités partielles cueillies un peu partout ! Surtout si on cherche LA vérité à l’extérieur, DANS L’HISTOIRE
(2), DONC DANS L’OPINION qui sera la résultante d’expériences réalisées dans l’espace-temps pour sa face externe, et pour le besoin de l’ego dans sa face interne. Conséquence : toute opinion est comme une construction géométrique dans les paramètres sont d’une part la géométrie mental de l’humain (hérédité, éducation, social, tendances, etc.), et d’autre part l’expérience extérieure des événements vécus. Or les appétits, les besoins de l’intellect d’une part, et d’autre part l’espace-temps de l’expérience par les cinq sens étant indéfiniment divers selon les lieux géographiques et sociaux et de culture différente, il n’existe pas deux opinions identiques ; alors il est illusoire et vain de recherche
« la paix » dans une prétendue possibilité de l’unité d’opinion, comme le prétend le mirage de la démocratie à la grec, et comme le prétend l’Union européenne et son slogan trompeur :
« Unie dans la diversité ».
La vie actuelle est nécessairement une confrontation permanente entre les besoins, les désirs du mental et l’extérieur si présent, tout ce qui affecte les cinq sens, que ça forme le principe de la démocratie toujours en conflits permanents d’intérêts. Personne ne jugera ces conflits, un Dieu le fera-t-il ?
Si je dis par mon ego que tout ce qui me plait est bon, je n’aurai nullement la Paix avec mes voisins parce que ce qui est bon pour moi ne l’est pas nécessairement pour eux. Et si je dis que je me soumet au
« réel », soit à mes expériences considérées à tort comme
« objectives », je ne trouverai aucunement la paix, parce que mes voisins vivent des expériences autres que les miennes et leurs conclusions seront différentes. Ce que le langage mondialisé par l’argent appelle « opinion », c’est l’une ou l’autre de ces deux formes de jugement binaire de l’humain, donc un équilibre toujours instable, toujours précaire entre la dualité sujet-objet ; et ce qu’on appelle
« opinion publique » n’est que le reflet de la quantité, ou de la statistique qu’on ne peut tenir en aucune façon pour un critère de vérité (comme le pratique les élections au suffrage dit faussement
« universel »).
Il n’existera jamais une
« opinion vraie » ; ce ne sera jamais plus que
« Ma vérité », alors que le Vrai ne peut pas être un objet de possession car dès que le Vrai est vu, donc possédé par les sens, la Vrai cesse d’être vrai par copie puisque bouffé par l’ego. La Vérité ou Soi est Seul a pouvoir transcender le conflit entre sujet et objet, entre
« J’aime » et son contraire
« J’aime pas », si hystérique dans les réseaux sociaux entrainant ainsi la dualité en tyrannie d’opinion toujours en évolutionnisme.
Svetashvatara Upanishad 6, 20 :
« Seulement lorsque les hommes seront capables d’enrouler le Ciel comme un parchemin, verra-t-on alors la fin de leurs misères sans qu’ils aient besoin de réaliser la Divinité ».
Nous ne sommes plus au temps des Croyants ou de ceux
« qui ont la foi », parce que désormais les Croyants sont dépassés ; il faut des Sachants.
Les Sachants sont ceux que le christianisme appelle la
« Communion des Saints », la Communion des ‘Je’, ce qu’improprement on appel
communisme, mot totalement perverti par les 74 années de l’URSS, et maintenant de la Chine devenu capitaliste winner. Comme écrit plus haut à propos de l’opinion, un ‘je’ ou ego ne peut pas être une total, un globe, un infini, puisqu’il se définit par rapport à un ’toi’, ou un voisin, un social donc, et il sera limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’. Comme l’exprime le christianisme, il ne peut pas y avoir deux Dieux, car alors chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas infini ; même problème du Vrai qui ne sera plus vrai dès qu’il sera vu et différencié de son Originel.
IL EN EST AINSI DE CHAQUE INDIVIDU OU EGO QUI NE PEUT ÊTRE UN INFINI, D’OÙ LE PRINCIPE DU CONFLIT D’INTÉRÊTS INHÉRENT À LA DÉMOCRATIE COPIÉE SUR LES GRECS.
Par contre, dans la Réalisation du Soi, le ‘Je’ vécu dans la plénitude ne sera jamais un individu à côté d’autres individus comme une patate parmi d’autres patates dans un sac à patates. Le ‘Je’ du Libéré vivant ne sera pas non plus une collectivité ou la perception d’un communisme comme on assimile trop en tout confort le
« communisme des peuples primitifs » qui ne connurent pas l’étatisme pendant des millions d’années.
Le ‘Je’ ou Soi est Essence pur ou accès à l’éternité lorsque s’efface la dualité sujet et objet ou l’opposition du Moi-Individuel et du Moi-Collectif, base de tous conflits politique depuis que l’État a été inventé.
Qu’est-ce que le Vrai Communisme ? Il porte le nom d’UNIVERSEL (
katholikos en grec, ou taoïcité en Asie pour certains, ou Réalisation du Soi en Inde). L’emploi du mot
« catholicisme » dénote un dogme ou une fixation, une constante, un système ou un concept comme tout « isme »….
UNIVERSEL sera le Triangle :
‘Je’
‘Moi’ ’Toi’
En CIRCUMINCESSION (et non en évolutionnisme juif comme l’écrit Jacques Attali
(1)).
CIRCUMINCESSION ou TRINITÉ comportant le ‘Je’ comme l’exprime si bien le Maharshi à l’entretien 106 du 29 novembre 1935 : « Le Soi est connu de chacun, mais pas clairement. Vous existez toujours. Le fait d’être est le Soi. « JE SUIS » est le Nom de Dieu. De toutes les définitions de Dieu, nulle n’est mieux exprimée que celle de la Bible (
Exode 3) : « Je suis ce JE SUIS ». […] Mais aucune [des autres déclarations] n’est aussi directe que le nom de Jehovah = JE SUIS. L’Être absolu est ce qui EST [le Sans Pourquoi]. C’est le Soi [ou Instant, le Ici et Maintenant]. C’est Dieu. En reconnaissant le Soi, on connaît Dieu [on devient un Sachant]. En fait, Dieu n’est rien d’autre que le Soi ».
En Occident et en Europe le Sachant est représenté par une
”femme lisant dans son lit” : aller au Pieux ou être dans l’
Axis Mundi, être bien dans ses pompes, être DANS SON LIT, et quelqu’un qui n’est pas bien sera A-lité : privé de son lit, privé de sa Félicité naturelle. Le LIT DE LA RIVIÈRE OU DU FLEUVE : « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source », écrivait Jean Coulonval dans
Synthèse et Temps Nouveaux ; c’est-à-dire que le Réalisé doit maîtriser le Dragon ou l’ego et non le tuer pour la bonne raison qu’il n’existe pas, comme l’énonce si souvent le Maharshi.
CIRCUMINCESSION de la Trinité universelle : Première figure fermée comme le triangle :
- Dieu le Père ou Ishvara.
- Dieu le Saint-Esprit ou l’atman (le ‘Je’ et ‘je’).
- Dieu le Fils ou le Guru.
Dieu apparaît à son adorateur sous la forme d’un Guru (Fils de Dieu afin de lui indiquer l’immanence du Saint-Esprit, c’est-à-dire lui révéler que Dieu est immanent en tous lieux et que le Soi doit se réaliser, « ce qui est la même chose que réaliser Dieu », dit le Maharshi à l’entretien 90 du 06-11-1935.
À l’entretien 86 le Maharshi dit que le Christ c’est l’ego (ensemble ‘Je’ et ‘je’), la croix c’est le corps : « Lorsque l’ego est crucifié et périt, ce qui survit est l’Être absolu (Dieu) [
”Moi et mon Père nous sommes Un”] et cette glorieuse survivance est appelée Résurrection ».
« Conscience du Christ et réalisation du Soi sont une seule et même chose », dit le Maharshi à l’entretien 88.
Quant au FEU, telle la thermodynamique et sa civilisation, il est devenu si intime qu’il passe pour
« universel », mais en FAUX UNIVERSEL TANT IL EST DUALITÉ : AMOUR-HAINE, BIEN-MAL, PARADIS-ENFER, etc. Il va briller au paradis et cuire en enfer. Soit il réconforte, soit il torture. Le FEU est la dualité même, et comme l’opinion il peut se contredire !
ALLUMER UN FEU ET LA DUALITÉ COMMENCE,
LA CAUSALITÉ COMMENCE AVEC, COMME L’OPINION, UNE CHAÎNE SANS FIN : LE FEU DU SOCIAL, METTONS UNE BRAISE CONTRE UNE BRAISE ET AINSI DE SUITE POUR FORMER UN RÉSEAU SOCIAL. De là vont surgirent le Moi-Individuel et le Moi-Collectif. Le FEU sera le social par excellence plutôt qu’un
« secret » de la Nature… Pourquoi ? PAR LA LOI OU PAR LE RESPECT DU FEU, on brûlait il n’y a pas si longtemps ceux qui ne respectaient pas le dogme de l’Église de Rome ; si on touche la flamme, au bout de très peu de temps on est obligé de retirer son doigt, CE QUI N’EST PAS UN RESPECT NATUREL, CAR NE JOUANT AUCUN RÔLE DANS LA VRAIE LIBÉRATION PUISQUE RETIRER SON DOIGT DU FEU EST LIÉ AUX SENS, AU MENTAL OU CORPS. LE RÉFLEXE VA D’AILLEURS ÊTRE PROGRAMMÉ CHEZ LES ENFANTS POUR LES
« SOCIALISER », MAINTENANT POUR LES CITOYENISER…
LA SENSATION (sentiment, émotion) SERA ALORS LA PREMIÈRE « LOI » SOCIALE », d’où l’emploi démentiel des dangereux gaz lacrymogènes en cette période de mutilation de Gilets Jaunes.
INTERDICTION, FEU ET SOCIAL SONT CES PRINCIPES ÉTATIQUES CIVILISATIONELS.
LE FEU SERA LE PRINCIPE D’UNE INTERDICTION GÉNÉRALE (comme les gaz lacrymogènes pour Gilets Jaunes ou manifestants) :
L’INTERDICTION SOCIALE EST LIÉE AU PRINCIPE DU FEU : ON NE DOIT PAS LE TOUCHER, base de l’interdiction, base du gaz lacrymogène ; ensuite, comme de tout avec le mental de l’humain, ça va se complexifier. Ainsi,
dès lors que les inhibitions sont par principe des interdictions sociales, connaître le FEU sera LA CONNAISSANCE DE LA DÉSOBÉISSANCE SUBTILE OU SAVANTE. « Forcer la porte de l’Athanor et entrer dans le mystère du Feu, et sans pratiquer de dualité ». Le
« Mystère du Feu » en Alchimie s’appelle
« La Philosophie du Feu », ou
« Régime du Feu ».
COMME L’OR ET LES EXCRÉMENTS SONT CACHÉS, L’INCENDIAIRE SERA LE PLUS CACHÉ DES CRIMINELS, COMME L’ALCHIMISTE SERA LE PLUS CACHÉ DES SACHANTS EN LABORATOIRE.
COMME L’OR, ET L’ARGENT, LE FEU SERA NOMADE : PRINCIPE DU MENTAL QUI VAGABONDE : la rêverie de l’enfant
« au coin du feu », ou celle du penseur la tête entre ses mains. Près du Feu, on ne reste jamais debout, on s’assoit. La thermodynamique sera considéré comme généralisée, comme la cuisson dans le chaudron de cuivre pendu à la crémaillère de la cheminée, cuisson et chauffage de la pièce en même temps.
Le Feu sera donc social avant tout, le RÉSEAU (se réunir autour d'un feu de camp chez les Scouts à la veillée).
CIVILISATION = FEU = TOUT CONFORT : on ne mange plus cru mais cuit ! CE SERA LA CONQUÊTE DU SUPERFLU, LA NAISSANCE TIMIDE DE L’ÉVOLUTIONNISME : CUIRE. ALORS CETTE CONQUÊTE DU SUPERFLU ET DE SON ÉVOLUTIONNISME SERA PROCHE DU MESSIANISME ET DE S’ENVOYER EN L’R AVEC DES DROGUES OU DES RELIGIONS OU DES DOGMES TOUT CONFORT. L’ÊTRE HUMAIN DEVIENDRA UN ÊTRE DES DÉSIRS, LESQUELS, GRÂCE SURTOUT AUX JUIFS TALMUDISTES QUI VEULENT
« RENDRE SERVICE », TRANSFORMERONT EN UN ÊTRE NE VIVANT PLUS QUE POUR DES BESOINS SUPERFLUS TOUJOURS EN CROISSANCE À L’INDÉFINISSABLE.
Notes.
1.
Les Juifs, le monde et l’argent, de Jacques Attali, page 18 : « Pour la première fois [ce qui naturellement fabrique un causisme avec une naissance et aussi une mort], une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique elle fixe un sens au progrès [donc uniquement une flèche du temps ou un temps dans un seul sens] ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et l’enfer du causisme et de l’opinion] ». Attali donne ainsi un bonne définition de l’évolutionnisme propagé par sa paroisse.
2. L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, une constante, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !
L’histoire ou le mot-à-dire : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE
(a), et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « e-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau :
Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens
« moderne » de l’histoire).
Cette judéo-maçonnerie spéculative née en 1717 est si imprégnée à 80% d’opinions de la liturgie judaïque que dans la liste des 25 degrés exécutés par le «
Conseil des Empereurs d’Orient et d’Occident » en 1758, un des degrés porte, dans les degrés du
Rite de Perfection le nom de
”Grand Patriarche Noachite” (20°) ; et dans les degrés du
Rite Écossais Ancien et Accepté le nom de
”Noachite ou Chevalier Prussien” (21°). Le
Noachisme de la tradition juive mâtinée de rabbinisme étant à l’origine des actuels droits de l’homme… Les Juifs qui copièrent tout sur la Tradition et les Sagesses de l’Égypte ancienne (dont des partis de leur
Ancien Testament…) comme l’écrit justement le judéo-maçon du 33è degré
C.W. Leadbeater dans :
Rites mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, pages 113-114.
(a). David R. Olson :
L’univers de l’écrit - Comment la culture écrite donne forme à la pensée :
« Mais il semble peu douteux que l’écriture et la lecture aient joué un rôle essentiel dans la genèse d’un bouleversement, par lequel nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée [donc le RE et une distance entre]. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier », dernière page.
Page 220 : « Les signes ont été considérés au Moyen-Âge comme faisant intrinsèquement partie des choses, tout comme leur nom ; au XVIIè siècle, les signes deviennent des
”modes de représentation”. Les représentations finissent par être radicalement distinguées des choses représentées. Pour représenter de manière fidèle, la langue doit être amenée le plus près possible des mots ».