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Retournement de l’Univers ou de l’ego Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 23-11-2019 22:10

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Asservissement, Axe, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Champignon, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Enfer, Excréments, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Inquisition, Instant, Intérêt, Intérieur, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Magie, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Paradoxe, Pèlerin, Peur, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Shiva, Silence, Simple, Social, Soi, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Univers, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
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Retournement de l’Univers ou de l’ego
Svetashvatara Upanishad 6, 20 :
« Seulement lorsque les hommes seront capables
d’enrouler le Ciel comme un parchemin,
verra-t-on alors la fin de leurs misères sans
qu’ils aient besoin de réaliser la Divinité ».


Nous ne sommes plus au temps des Croyants
ou de ceux « qui ont la foi », parce que
désormais les Croyants de ce monde des
chaînes de la causalité sont dépassés :
il faut des Sachants,
DU ROUGE (originel de Brahma).

Les jours des CENDRES
sont arrivés, soit celui de
l’extinction de l’activité mentale
et symbolisme de l’Éternel Retour
ou Éternel Retournement de la Lumière.
 
 
Les Sachants sont ceux que le christianisme appelle la « Communion des Saints », la Communion des ‘Je’, ce qu’improprement on appel communisme, mot totalement perverti par les 74 années de l’URSS (voulu par le socialisme des Juifs  (1)), et maintenant de la Chine devenu capitaliste winner. Et à propos de l’opinion, un ‘je’ ou ego ne peut pas être un total, un globe, un infini, puisqu’il se définit par rapport à un ’toi’, ou à un voisin, un social donc, et il sera limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’. Rien de plus superficielle que la « couverture sociale », tout dans la surface, jamais dans la profondeur…
Comme l’exprime le christianisme, il ne peut pas y avoir deux Dieux, car alors chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas infini ; même problème du Vrai qui ne sera plus vrai dès qu’il sera vu et différencié de son Originel. IL EN EST AINSI DE CHAQUE INDIVIDU OU EGO QUI NE PEUT ÊTRE UN INFINI, D’OÙ LE PRINCIPE DU CONFLIT D’INTÉRÊTS INHÉRENT À LA DÉMOCRATIE COPIÉE SUR LES GRECS.
Par contre, dans la Réalisation du Soi, le ‘Je’ vécu dans la plénitude ne sera jamais un individu à côté d’autres individus comme une patate parmi d’autres patates dans un sac à patates. Le ‘Je’ du Libéré vivant ne sera pas non plus une collectivité ou la perception d’un communisme comme on assimile trop en tout confort le « communisme des peuples primitifs » qui ne connurent pas l’étatisme pendant des millions d’années.
Le ‘Je’ ou Soi est Essence pur ou accès à l’éternité lorsque s’efface la dualité sujet et objet ou l’opposition du Moi-Individuel et du Moi-Collectif, base de tous conflits politiques depuis que l’État a été inventé.

Qu’est-ce que le Vrai Communisme ? Il porte le nom d’UNIVERSEL (katholikos en grec, ou taoïcité en Asie pour certains, ou Réalisation du Soi en Inde). L’emploi du mot « catholicisme » dénote un dogme ou une fixation, une constante, un système ou un concept comme tout « isme »….

UNIVERSEL sera le Triangle :
      ‘Je’
‘Moi’    ’Toi’

En CIRCUMINCESSION (et non en évolutionnisme ou rédemption façon messianisme juif comme l’écrit Jacques Attali page 18 de « Les Juifs, le monde et l’argent »).
CIRCUMINCESSION ou TRINITÉ comportant le ‘Je’ comme l’exprime si bien le Maharshi à l’entretien 106 du 29 novembre 1935 : « Le Soi est connu de chacun, mais pas clairement. Vous existez toujours. Le fait d’être est le Soi. « JE SUIS » est le Nom de Dieu. De toutes les définitions  de Dieu, nulle n’est mieux exprimée que celle de la Bible (Exode 3) : « Je suis ce JE SUIS ». […] Mais aucune [des autres déclarations] n’est aussi directe que le nom de Jehovah = JE SUIS. L’Être absolu est ce qui EST [le Sans Pourquoi]. C’est le Soi [ou Instant, le Ici et Maintenant]. C’est Dieu. En reconnaissant le Soi, on connaît Dieu [on devient un Sachant]. En fait, Dieu n’est rien d’autre que le Soi ».
En Occident et en Europe le Sachant est représenté par une ”femme lisant dans son lit” : aller au Pieux ou être dans l’Axis Mundi, être bien dans ses pompes, être DANS SON LIT, et quelqu’un qui n’est pas bien sera A-lité : privé de son lit, privé de sa Félicité naturelle. Le LIT DE LA RIVIÈRE OU DU FLEUVE : « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source », écrivait Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux ; c’est-à-dire que le Réalisé doit maîtriser le Dragon ou l’ego et non le tuer pour la bonne raison qu’il n’existe pas, comme l’énonce si souvent le Maharshi.

CIRCUMINCESSION de la Trinité universelle : Première figure fermée comme le triangle :
- Dieu le Père ou Ishvara.
- Dieu le Saint-Esprit ou l’atman (le ‘Je’ et ‘je’).
- Dieu le Fils ou le Guru.
Dieu apparaît à son adorateur sous la forme d’un Guru (Fils de Dieu afin de lui indiquer l’immanence du Saint-Esprit, c’est-à-dire lui révéler que Dieu est immanent en tous lieux et que le Soi doit se réaliser, « ce qui est la même chose que réaliser Dieu », dit le Maharshi à l’entretien 90 du 06-11-1935.
À l’entretien 86 le Maharshi dit que le Christ c’est l’ego (ensemble ‘Je’ et ‘je’), la croix c’est le corps : « Lorsque l’ego est crucifié et périt, ce qui survit est l’Être absolu (Dieu) [”Moi et mon Père nous sommes Un”] et cette glorieuse survivance est appelée Résurrection ».
« Conscience du Christ et réalisation du Soi sont une seule et même chose », dit le Maharshi à l’entretien 88.


Retournement de l’Univers ou de l’ego ou AGONIE DU PÈRE (« Père, pourquoi m’as-tu abandonné » (Matthieu 27, 46)

Quand le Père agonise sans laisser d’héritage alors la tendresse du Fils se déploie dans toute sa pureté et son énergie digne du Zéro Indien ou Source infinie inépuisable. Soit le mot GRATUITÉ, enfin réalisé : un Amour sans condition (qui ne porte aucun fruit et donc qui n’est pas conditionnée par la dualité cause-effet) et de même une fidélité sans fruit ou sans récompense, ou par un appel sans écho à une perfection exilée hors du Seul Réel. L’agonie du Père : quand le Feu se retourne contre Lui-même, soit contre son propre ego, alors enfin l’être se réalise dans l’Instant par la perte ou l’intensité de destruction (crucifixion) soit la Preuve suprême, ou la Preuve la plus claire de son existence ou de sa Réalisation, de sa Vraie Libération (sens du mot Christ (2)).
Si l’être humain a chuté, ou « péché », on ne doit pas tomber dans la thermodynamique qui est marié totalement avec l’évolutionnisme faisant dans le DORG (Demain On Rase Gratis), soit faire « remonter » l’humain vers l’endroit où il est tombé. Mais ce CONTRAT est artifice, car ce « retournement » n’est nullement une obligation, nullement un traitement par le mental ou la raison, car seule la GRÂCE peut faire « avaler » le Paradoxe de la Réalisation du Soi. L’égrégore, le grégarisme et l’état de l’humain robotisé peut sans cesse faire chuter la Grâce.
Comme déjà écris, NOUS NE SOMMES PLUS AU TEMPS DES CROYANTS ET DE LEUR RÉDEMPTION OU SALUT, lesquels font dans l’utilitarisme au même titre que le capitalisme anglo-saxon !!! Alors il y aura des déserts d’incertitudes et des gros risques pour cette Grâce toujours GRATUITÉ OU AMOUR, toujours ÉTERNELLE, mais TOUJOURS EXPOSÉE AU REFUS, LE REFUS DU GRATUIT, LE REFUS DU SEUL RÉEL PARCE QUE CONSIDÉRÉ COMME CRU-EL….

C’est le Paradoxe de la Réalisation du Soi, la racine même de l’intuition de l’Être, qui amène le Zéro Indien où tous les possibles sont à l’infini. Car la contradiction ou Paradoxe est LE moteur de l’inconscient, LE filtre de toute connaissance pré-scientifique. (Le Feu disperse et cohère).
La contradiction ou Paradoxe est, pour l’inconscient, non une « tolérance d’erreur » mais UN BESOIN, CAR LE PARADOXE EST LE MOTEUR LIBÉRATOIRE DE LA VULGARITÉ OU PENSÉE MONDIALISÉE. Et la créativité est le domaine de l’INTUITION. ÉCHAPPER AU SOCIAL ET À SA COUVERTURE QUI UNIFORMISE NOUS TOUS, CAR NOUS SOMMES TOUJOURS DIFFÉRENTS DE CE QU’ON LAISSE PARAÎTRE DANS CETTE COUVERTURE SOCIALE SI SUPERFICIELLE.
La contradiction ou Paradoxe est CE QUI MAINTIENT AU CHAUD CE QUI A DE LA VALEUR, LE NON-VULGAIRE.

La TRIPUNDRA (trois lignes d’argile ou de craie blanche tracées sur le front, à l’aide ensemble des trois doigts (index, majeur et annulaire)). À chacune des trois lignes correspondent neufs divinités, Brahman, Vishnu, Rudra, et en même temps le Trident de Shiva, les trois temps, etc.

Dans le Shiva-purâna au chapitre 24 il est dit que ces trois bandes doivent être tracées suivant le Jâbâla-Upanishad (Upanishad du Sage Jabala), afin de re-trouver le symbole du FEU-CENDRE-PUR ou PRINCIPE DU RENONCEMENT, LA PUTRÉFACTION : passer par l’étude et la discipline, puis aborder la période du maître de maison (grihastha), puis aborder celle des habitants des forêts (vanaprastha). « Puis après l’avoir accomplie, l’ermite des forêts peut choisir de renoncer au monde en devenant un pèlerin-mendiant. Ou, le cas échéant, on peut passer de l’étape d’étudiant en Brahman directement à celle de Renonçant, ou de n’importe quelle autre étape à cette étape ultime. Il est même possible de renoncer immédiatement à sa vie dans le monde le jour-même où le dégoût surgit, que l’on soit ou non l’un de ceux qui observent les vœux préalables au renoncement, que l’on ait ou non accompli les ablutions prescrites pour clore la période d’étudiant en Brahman, que l’on ait ou non entretenu sans discontinuer le feu sacré du bûcher funéraire de son épouse défunte, que l’on ait ou non maintenu le feu sacré (anagnika).

Certains législateurs prescrivent le sacrifice nommé Prajapatya, dont la divinité tutélaire est Brahma, pour un deux-fois né (un Brahmane), avant qu’il n’embrasse l’état de Renonçant. Mais il reste libre de ne pas honorer cette clause. Il est néanmoins tenu d’accomplir le sacrifice dédié à Agni [Feu], l’Agnihotra. Car Agni est le souffle de vie, Prana. Par ce sacrifice, il renforce son énergie vitale. Il accomplira ensuite le sacrifice Traidhataviya, par lequel la triple forme que prend Agni en lui, à savoir les trois attributs de l’énergie universelle (gunas), se trouve renforcée. À l’issu de ce dernier sacrifice, il inhalera profondément la fumée du feu sacré, tout en récitant le mantra suivant :
”Ô Feu, à ta source est le Souffle de Vie ! Né du Fil de Brahman (sutratman) au moment opportun, tu libères tout ton éclat ! Puisses-tu, connaissant l’Atman [le Soi, le soi] en tant que ta Source ultime, te fondre en Lui ! Puisses-tu accroître cette richesse qu’est pour nous la Connaissance transcendante !”
Oui, en Vérité, telle est la Source du Feu, à savoir le Souffle de Vie. Ainsi, ce mantra signifie ”Puisses-tu t’en retourner à Ta Source, le Prana ! Svaha ! Salut !”
S’étant procuré du Feu sacré dans un village, provenant du foyer d’un lettré versé dans les Védas, on inhalera le Feu comme décrit juste avant. Si l’on ne peut pas se procurer de Feu sacré, on offrira en substitut des oblations d’eau. Car l’eau, en Vérité, est toutes les divinités. Récitant le mantra : ”OM ! À tous les Dieux, j’offre ces oblations, à tous les Dieux ! Salut !”, on tendra l’oblation vers tous les Dieux, puis prélevant une petite portion mélangée à des ghee, on l’ingurgitera, pour son effet bénéfique. Le mantra salvateur, OM, est l’essence des trois Védas et on doit le réaliser. OM est Brahman, il doit être l’objet du culte ».
« Il est bien ainsi, ô révéré Yajnavalkya ! » dit alors Janaka ». (Jâbâla-Upanishad 4).

Cérémonie d’ONCTION DES CENDRES dans l’Atharvashiras Unapishad 5 (Upanishad initiale de l’Atharva)
LA VOIE DU NORD.
Ténu comme la pointe du cheveu, au milieu du cœur,
Omniprésent, est le Dieu suprême, tout d’Or.
Le sage qui le voit comme résidant en Lui,
Lui seul parvient à la Paix, et aucun autre.
Abandonnant colère, convoitise et désir,
Fuyant le monde, racine du filet de la causalité,
Rendant sagement à Rudra tout ce qu’il a acquis,
il connaît alors Rudra en tant qu’unicité, en tant qu’éternel, le plus ancien des fluides vivifiants et des énergies, et la plus ancienne des ascèses. Ce que l’on appelle le Feu, ce sont des CENDRES ; ce qu’on appelle le Vent, ce sont des CENDRES ; ce qu’on appelle l’Eau, ce sont des CENDRES ; ce qu’on appelle la Terre, ce sont des CENDRES ; ce que l’on appelle l’Éther, ce sont des CENDRES : cet Univers entier, ce sont des CENDRES ; ce mental, ce sont des CENDRES, ces yeux, ce sont des CENDRES ! Car tel est le vœu du Maître du bétail, Pashupati, que tous ses membres soient couverts de cendres ; cette coutume est devenue la forme de prière des Pashupatas, afin que la Création toute entière soit libérée de ses entraves.

Et à Atharvashiras Unapishad 6 :
À Rudra, qui est dans le Feu, dans l’Eau,
Qui a pénétré dans les plantes et les lianes,
Qui s’est transformé en toutes ces créatures,
À ce Rudra, salutations, comme à Agnir.
À Rudra, qui est dans le Feu, dans l’eau, qui a pénétré dans les plantes et les arbres, par qui le monde est soutenu, par qui la Terre est soutenue en une forme double ou triple, et aux Serpents (nagas) qui demeurent dans l’Espace intermédiaire, oui, à ce Rudra, Salutations, encore et encore !

« Les personnes de toutes les castes et de tous les stades de vie doivent tracer la triple ligne sur le front et enduire leurs corps de Cendres avec les mantra énoncés dans le Jâbâla-Upanishad 4, et si elles n’utilisent pas de mantra, elles doivent le faire avec révérence », dit le Shiva-purâna 9, chapitre 24. Il dit aussi que c’est Shiva qui est représenté par les Cendres, qui sanctifie directement les trois mondes [veille, rêve, sommeil profond].

La TRIPUNDRA correspond au trois Lettres AUM : Terre (Dharma), Espace intermédiaire (soi immanent), Ciel (Soi suprême ) ; Tripundra aussi dans veille, rêve, sommeil profond ; et puissance : d’action, de volonté, de connaissance ; et de temporalité : matin, midi, soir…


Notes.
1. Jacques Attali écrit, page 481, dans Les Juifs, le monde et l’argent : « Chacun d’eux [les masses juives] constituera l’une des matrices de la modernité : le socialisme, la psychanalyse, l’américanisation, le sionisme ». Dans la même page Attali titre : La matrice du socialisme : le judaïsme russe jusqu’en 1917. En page 488 : « Certains dans les ghettos, à Varsovie, à Vilna, à Odessa, commencent à rêver d’un socialisme juif ; d’autres évoquent l’avènement d’un socialisme russe ; d’autres encore songent à un socialisme mondial. Il est fondée, en 1880, l’ORT, organisation de soutien des travailleurs juifs de l’industrie et de l’agriculture : « il s’agit de montrer qu’ils sont capable de produire ». Construction du « socialisme russe » grâce aux banquiers juifs américains (page 496 du livre d’Attali). Page 498, Attali explique qu’en 1906 sera créé un parti sioniste en Russie : Poulei Zion (les Travailleurs de Sion), d’orientation marxiste, qui prônera l’installation d’un État juif et socialiste en Palestine.

2. Chréstos, dans ce vocabulaire, désignait un disciple en probation, un candidat hiérophante. Lorsqu'il en avait atteint la stature par l'initiation, de longues épreuves et la souffrance, et qu'il avait été "oint" (c'est-à-dire, "frotté d'huile", comme l'étaient les Initiés et mêmes les idoles des Dieux, en tant que dernière touche de l'observance rituelle), son nom était changé en Christos, le "Purifié", en langage ésotérique ou langage des mystères. A dire vrai, en symbologie mystique, Christés, ou Christos, signifiait que la "Voie" (le Sentier) était déjà foulée et le but atteint, quand les fruits du dur labeur, unissant l'éphémère personnalité d'argile à l'indestructible individualité, la transformait par là en un immortel EGO [le Soi] ». Extrait de l’article CHRESTOS (gr.) dans le Glossaire Théosophique (inachevé) de H.P. Blavatsky.

[En haut de page : le YS, du Y correspondant au F de Feu mais totalement dénaturé, et ainsi correspond au V de Vérité : V-ers I, pour sortir des méfaits du Feu qui nous a projeté jusque dans les guerres et le nucléaire. Et la lettre Z est elle-même le couronnement du I de ”Un Point c’est Tout”. Le S pour Science, Sagesse et aussi Sensation, comme le Feu mal compris et transformé en Thermodynamique… Et aussi le S de l’Essence en formes et vagues : voir les monogrammes du Christ-Jésus : IHS et XPS…]
 
 

Dernière mise à jour : 23-11-2019 22:48

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