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Ecrit par Sechy, le 29-01-2020 00:11

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chimère, Christ, Circoncision, Conflit, Confort, Conscience, Corde, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Duoversel, Eau, Ego, Fétiche, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Ignocratie, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Marsyas, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Migrant, Morale, Mort, Mot, Narcisse, Nature, Nihilisme, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Trouvère, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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Comme tout est Conscience
Qu’est-ce que la Conscience ?
Même paradoxe que le mental qui ne peut
pas se supprimer de lui même comme de
vouloir « mesurer » l’Univers il faudrait
pouvoir en sortir pour se poser comme un
sujet étudiant un objet Univers, donc faire
dans la dualité sujet-objet.
 
Ce que les humains nomment « réalité »
(cette habitude conformiste de juger
par dualité sujet-objet),
ne sont que des OBJETS appartenant à une
forme de conscience (ordinaire) uniquement
fabriquée dans le spatio-temporel à partir
de désignations conventionnelles et
DÉPOURVUES DE RÉFÉRENCE QUI PRENDRAIENT LEUR
RACINE DANS LE « DÉBUT » DE LEUR HISTORICISME.
En l’absence de convention conventionnelle
ou OPINION, il n’y a pas d’objet ou de « réalité ».
En l’absence d’objet, il ne peut pas y voir
de sujet ou ego.

En l’absence de sujet et d’objet, il ne peut pas
y avoir d’historicisme et de « jour historique »
et de temps qui coule chers aux Hébreux-Juifs
(abrahamisme du monothéisme socialisateur).
Sans HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule)
LA FICTION-FRICTION EST IMPOSSIBLE (mais autre).

Car comme il n’existe pas de conscience sans objet
ni sujet, quelle est alors la Seule Réalité du Soi ?

Cette Seule Réalité, par convention paradoxale,
peut se nommer Conscience (infinie).
Et Elle n’a pas d’objet-objectif.

Cette Conscience infinie est-elle le Saint Chaos ?
À savoir si les caractères généraux et particuliers
de toutes choses sont semblables, ou différents ?

CE MONDE DE LA F(R)ICTION, DE LA CRUCIFICTION ET DU « DROIT » QUI PRÉTEND À LA « PAIX ».


Ou est-ce parce que l’extrême variété des caractères généraux et particuliers se « bouffent » les uns les autres en leur historicisme ? Est-ce parce que ces objets sont inaccessibles du fait qu’ils se trouvent derrière un voile ou rideau [paradis] ? Ou sont-ils trop éloignés, ou si proches ? Est-ce parce que le sujet est trop vieux, ou trop jeune ? Ou est-ce parce qu’il est aveugle ou atteint d’un autre manque sensoriel et mental ?

Depuis les Hébreux-Juifs, mais ils ne sont pas les seuls, c’est cet historicisme qui ronge le monde. Ces gens se croient les créateurs de l’histoire : voyez leur Ancien Testament si fiction et frictions. Il n’y a pas plus historicisme que le marxisme, le hegelisme et la shoah (shocking), en plus liée à une guerre !!! (Depuis Marx et Hegel toute l’énergie de l’humain tend à valoriser l’événement historique en tant que tel, soit seulement pour lui-même, cas typique de la shoah juive et du washingto-israèlisme géopolitique égocentrique, il n’y en a que pour eux).
HÉBREUX-JUIFS = HISTOIRE : leurs faits politiques deviennent des situations dans la dualité de l’être humain face, je dis bien FACE : à Dieu (juif), donc dans la dualité d’un sujet face à un objet Dieu (juif). Alors par résultat de 1+1=2, le produit ou fruit de leur karma prendra une VALEUR RELIGIEUSE, SUPERSTITIEUSE, sens de survivre à l’épreuve politique, sens de ceux qui prient leur Dieu pour ne pas mourir et pour que leurs enfants survivent.
Ainsi, les Hébreux furent, probablement dans les 10.000 ans du Néolithique, les premiers à SACRALISER LA F(R)ICTION : ON LE VOIT D’UNE MANIÈRE OUTRANCIÈRE DANS LEUR SHOAH ET CULTURE IDOLÂTRE DE LA SOUFFRANCE. CETTE CONCEPTION DE LA SOUFFRANCE, LA CHUTE, SERA REPRISE EN UN NOUVEAU PACKAGING (la crucifiction) PAR L’ÉGLISE DE ROME. Avec la conception de ces gens, le temps qui coule devenait historique et ne pouvait couler que dans un seul sens : ÉVOLUTIONNISME et MESSIANISME ou RÉDEMPTION (pour les humains actuels le temps est réel parce qu’il a une chronologie, donc UN HISTORICISME ou des FAITS, du « concret »), le temps n’était désormais plus réversible, parce qu’il y a événement historique et donc fiction-friction, ça chauffe, ça résiste, ça thermodynamique et ça fait des ravages et des guerres. NOTE : avec sa folle technologie informatique, l’humain actuel qui veut tout contrôler mais n’est pas capable de contrôler son Essence, veut tout accélérer pour mieux centraliser, pour mieux big brotheriser, comme pour MIEUX TOUT AVOIR SOUS SA MAIN (ou son cerveau). Il se tourne donc principalement vers l’extérieur mais jamais vers son intérieur…..

RAPPEL : historicisme : Abraham apparaît dans le temps qui coule, Moïse apparaît dans ce même temps, à un endroit et à une certaine date… Ils naissent à un moment ils vont mourrir à un autre…..


La république française de 1789 et jusqu’à ce hui est typiquement de l’historicisme, de la f(r)iction et du Fric/Flic : dualité avec le chef et les soumis, les adhérents ou conventionnés qui découvrent dans leur existence historique celle du chef, et non une origine de leur propre existence, mais le législateur des gestes et mode de vie qui leur sont provisoirement autorisés (le chef est le fabricant des âmes, lui seul a droit au ‘Je’, les autres ne peuvent que « voter », soit ils ne peuvent que repeindre d’une autre couleur le moteur, mais PAS CHANGER DE MOTEUR).
La civilisation après les Hébreux-Juifs tombe dans l’historicisme et la f(r)iction ; elle est prisonnier de son propre historicisme (surtout en Occident avec sa shoah et son historicisme de la guerre de 1939-45…)
L’être humain qui se veut historique est prisonnier de la dualité sujet-objet et de l’historicisme. Il n’est pas libre par rapport à sa propre histoire-f(r)iction. Il n’est pas un créateur quoi qu’il le prétende.


Quelle est la Seule Réalité du Soi ?
Un être unilatéral dont le complément en miroir n’existe pas, ou est inconnu. Aucun œil ne peut saisit le « corps » de la Vierge (d’où la conception de la Vierge Noire) ; il n’y a pas un ailleurs (un futur ou une « fin des temps ») sans fabriquer du même coup le temps qui coule, et pour cette fabrication il faut un 'je' ou ego. Le « monde » et tous les corps qu’il contient manque à jamais en leur complément en miroir : ILS SONT ÉTERNELLEMENT IDIOTÈS ou SINGULARITÉ, AUTISTE, PIERRE, VIERGE, DÉSINTÉGRATION. Toute chose ou personne sont idiotès dés lors qu’elles n’existent qu’en elles-mêmes, c’est-à-dire qu’elles sont incapables d’apparaître autrement que là où elles sont Ici et Maintenant, donc incapable de se refléter, de se copier. C’est Cela la Seule réalité qui ne peut être « autre », qui ne peut apparaître en copie dans un miroir.

Le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (ânanda).
Ce ne sont là que des mots [des conventions en idées reçues]. Il suffit que la personne devienne antamukti (tournée vers l’intérieur). Les shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938)

Catéchisme occulte ou singularité.
“ Qu’est-ce qui est toujours ? “ - “ l’espace, l’éternel, le sans parents “ - “ Qu’est-ce qui fut toujours ? “ - “ le germe dans la racine “.
“ Qu’est-ce qui, sans cesse, va et vient ? “ - “ le grand Souffle “.
“ Il y a donc trois Éternels ? “ - “ Non, les trois sont un. Ce qui est toujours est un, ce qui fut toujours est un, ce qui est et devient sans cesse est un aussi : et c’est l’Espace “.........
(La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, Préface)
Page d’archive préhistorique.
Un manuscrit archaïque - assemblage de feuilles de palmier rendues, par quelque procédé inconnu, inaltérables à l’eau, au feu et à l’air - se trouve sous les yeux de l’auteur. Sur la premier page l’on voit un disque blanc immaculé, sur fond noir.
Sur la suivante, il y a un disque semblable, avec un point au centre. L’étudiant sait que le premier représente le Cosmos dans l’Éternité, avant le réveil de l’Énergie encore assoupie, émanation de l’Univers en des systèmes postérieurs. Le point dans le cercle jusqu’alors immaculé, l’Espace et l’Éternité en “ repos “, indique l’aurore de la différenciation. C’est le Point dans l’Œuf du Monde, le Germe qu’il contient deviendra l’Univers, le Tout, le Cosmos illimité et périodique, ce Germe étant périodiquement et tour à tour latent et actif.
Le cercle unique est l’Unité divine, dont tout procède, où tout retourne : sa circonférence, symbole forcément limité de par les limites du mental humain, indique le PRÉSENCE abstraite, à jamais inconnaissable, et son plan, l’Âme Universelle, bien que les deux ne fassent qu’un. La surface du disque est blanche et le fond est noir : cela montre clairement que ce plan est la seule connaissance qui soit accessible à l’homme.
(D’après La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, début de la Préface)

IMPORTANCE : L’Un contenant le multiple ne peut prendre le nom que de GÉNÉRAL ou GÉNÉRALITÉ, et pas le nom d’ « universel » comme trop souvent employé par ignorance (par exemple « suffrage universel »). Le multiple n’étant pas l’universel et par conséquence l’Un, c’est typiquement une PARTICULARITÉ.
Le GÉNÉRAL ou GÉNÉRALITÉ (et pas l’universel) est constitué de ce qui est commun au multiple des espèces ou diversité. La « ressemblance » apparaît dans les « différences » de chaque ESSENCE. La Balance de l’Un et du Multiple peut s’appeler « Intégration » et la Désintégration est un autre nom de l’Idiotès ou Singularité.
Donc pas d’universel ici-bas car tous les êtres forment un GÉNÉRAL, une GÉNÉRALITÉ, et la différence entre les Sages ou Libérés et les fous ou prisonniers garantie la PARTICULARITÉ. Mais tous partagent la Félicité du Soi, ce qui est leur RESSEMBLANCE ; la variété de leur karma et fonction de leurs attachements se nomme LEUR DIFFÉRENCE. Les êtres naissent selon leur karma selon le fruit de leurs actes, devenus causes, cela suffit à parler d’INTÉGRATION. Et leur mental n’a aucune référence ou point d’appui, c’est pourquoi ILS NE SONT JAMAIS NÉS (ce qui renvoie à la DÉSINTÉGRATION).
Dans la GÉNÉRALITÉ se trouvent toute PARTICULARITÉ. Et tous partagent le même corps absolu : le Soi en non-dualité, ce qui fait leur RESSEMBLANCE. Cette Félicité naturelle se différencie en fonction de ses « activités », ce qui décrit leur DIFFÉRENCE, et par là-même leur INTÉGRATION ; et comme cela dépasse la dualité sujet-objet, il n’y a pas à chuter dans le faire/fer ni rien à entreprendre, c’est la DÉSINTÉGRATION, ou en un autre mot : L’APOCALYPSE.
   

Dernière mise à jour : 29-01-2020 00:29

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