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Tous des rois, qu’ils disaient en 1789 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-02-2020 00:26

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Canada, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Conflit, Confort, Conscience, Corde, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Trouvère, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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Tous des rois, qu’ils disaient en 1789
Et en avant pour le socialisme…
À partir de cette date, le PRODUCTIVISME
MERCANTILE de l’ego et des objets
allait faire führer !
 
 
Bienvenue dans le rationnel ou raison des riches perruques poudrées et de leurs « lumières » qui vous promettent le DORG (Demain On Rase Gratis), soit l’esclavage du salaria ou « collaborateur », ou encore de l’« usager » (le consommateur).

Bienvenue en faculté spéculative à maturité, elle qui étouffe la concurrence pour rester winner.
 
Bienvenue dans ce monde des spécialistes, ces nouveaux rois qui proposent leurs services (moyennant finance), ces nouveaux rois qui veulent « aider » ou « donner » quelque chose à quelqu’un, aider n’importe qui à obtenir ou à faire ce qu’il veut, ce qui revient à satisfaire et à affirmer son pouvoir sur elle comme le fait l’opinion ou idéologie de cette république issue de 1789. Par conséquence, ce régime républicain et ses spécialistes, ces nouveaux rois, NE RENDENT PAS SERVICE À AUTRUI COMME CE REGIME LE PRÉTEND ci-dessous dans ses hymnes.
Surtout de nos jours, la seule façon de rendre « service » à quelqu’un C’EST DE LE DÉPOSSÉDER DE QUELQUE CHOSE, SOIT LE SOULAGER, LE DÉBOURSER ! AFIN DE DÉTRUIRE LA DOMINATION DE SA CROYANCE À SON EGO ILLUSOIRE PAR CE MOYEN DE DÉPOSSESSION.
C’est alors à deux entrées : dans l’une le sujet vous remerciera de lui avoir rendu un mauvais service ; dans l’autre il vous gardera rancune pour lui avoir rendu un bon service. Ou alors cas extrême : il commencera à comprendre !
Faire un sacrifice pour quelqu’un, c’est amplifier son ego, soit servir ses propres intérêts déguisés sous le masque si impersonnel et si tout confort de : « j'ai agis pour la France », ou si c’est pour un individu, ça va le blesser.
Accepter un sacrifice = l’accidenté en avantage !!!
Dans l’Instant ou Soi le mot sacrifice n’a pas de sens, car Amour ou Gratuité et sacrifice ne sont plus dualité : il n’y a que le Rien du Tout.

Hymne pour la Fête de la Souveraineté du Peuple :

(L’orthographe d’époque est respecté).
(Daté du 30 Ventose an VII et dehors le Soi ou Christ…. Désormais on calcul et on pèse et on mesure tout, ce qui est déjà de la graine informatique et du tout numérique en marche vers la robotisation de l’humain). Or, toute pensée est incompatible avec la Réalisation du Soi ou Libération (réf. entretien 30 de Ramana Maharshi).

Du Peuple Souverain on proclame la Fête.
Français, par le mot seul instruit,
Songe que, libre enfin, tu dois ta conquête [FAUX, seules des bandes organisées en réunions sont devenus les winners et sont alors atteintes du Pour-Voir].

Assurer la gloire et le fruit [winnerisme].
Il n'est qu'un pouvoir légitime,
Son but est l'ordre et le bonheur [mots vides de sens] ;
Le ravir au Peuple est un crime,
Lui seul en est dispensateur.
D'une main ferme autant que sage,
Peuple Français défend ses droits :
Aux vertus donne son suffrage,
Et respecte ses propres loix [engendre le chaos partout].

Guerriers que mille fois au champ de la victoire,
Guide l'auguste Liberté [qui n’a pas à être ”guidée” car ce serait comme ”guider la vérité” donc la posséder…],
Affermisses son temple, il est pour votre gloire
Celui de l'immortalité.
Pour garantir de toute atteite,
Un monument si précieux,
Formez à l'entour une enceinte
De vos lauriers majestueux.
D'une main ferme, etc.

Punissons les forfaits d'une Isle ambitieuse,
Et quand le monde aura la paix,
Puisse enfin, parmi nous, une Concorde heureuse
Fixer ses solides bienfaits [messianisme] !
L'unité d'un joug despotique
Est l'arme affreuse des Tyrans [et du capitalisme] ;
Mais l'appui d'une République
Est l'unité des sentiments :
D’une main ferme, etc.

Peuple, quand tu diras, c'est de l'Être Suprême
Que je-tiens mon autorité ;
Dans la bouche des Rois ce qui fut un blasphème
Sera pour toi la vérité [My God !…].
Tyrans, votre cause cruelle
Se fonda sur la trahison ;
La cause d'un peuple a pour elle,
Dieu, la nature et la raison [amplification de la tyrannie de l’opinion].
D'une main ferme, etc.

DISPARAISSEZ Tyrans, oppresseurs de la terre [FAUX, ils sont toujours là mais sous un autre packaging],
Qui partagiez l'encens offert aux Immortels :
Le Peuple armé de son tonnere,
Le Peuple a brisé vos autels [FAUX À CE JOUR DU 25 FÉVRIER 2020].

Assez long-temps des Rois la race enorgueillie
Nous avoir opprimé sous un sceptre d'airain :
Le trône à son tour s'humilie
Devant le Peuple Souverain [oui, chacun MONTE effectivement sur le trône pour faire ses besoins et certains font leurs grosses commissions en bourse…].

Quoi à de la Liberté la voix s’est fait entendre !
Quoi ! de l’Égalité les biens nous sont offerts [mythe messianique de la Carotte du DORG],
Et l’on voudroit encore prétendre
À nous remettre dans les fers.

Non ; nous avons brisé ces indignes entraves [FAUX, l’État, l’argent et le salariat sont toujours là],
Nous ne souscrirons point à de nouveaux affronts :
Nous n'irons plus, lâches Esclaves,
Devant les Rois courber nos fronts [on le fait encore à ce hui comme salariés devant l’oligarchie du capitalisme et de sa république et de ses entreprises et institutions].

Du trône anéanti l'oeil cherche en vain la trace [le trône est toujours en place et plus que jamais] ;
Le Peuple Souverain de ses fers indigné,
Dans un jour a détruit la race [winnerisme]
Des Tyrans qui l'ont enchaîné [FAUX les tyrans sont toujours là et font leur infâme business].

Lève-toi Peuple Franc, sois fier de ton ouvrage,
Vois briller en tous lieux tes drapeaux triomphans [winnerisme] ;
Viens, par un choix heureux et sage,
Assurer tes droits tout puissants [et dehors les devoirs…].

Tu les verras flotter au bord de la Tamise,
Ces étendards sacrés, effroi des oppresseurs ;
C'est - là que la paix est promise
A tes immortels défenseurs [winnerisme].

Liberté tutélaire, encor cette conquête [winnerisme] ;
Sur Neptune asservi fais luire un jour serein,
Et l’Univers fera la Fête
Du Peuple Libre et Souverain [FAUX, IL N’EST TOUJOURS PAS LE ROI].


Voici l’Hymne à l’Être suprême, un nouveau Dieu EXTÉRIEUR : la sainte république :

Source de vérité qu’outrage l’imposture [depuis comme « source de vérité » nous avons le Big Bang…],
De tout ce qui respire éternel protecteur [annonce le tout confort moderne et le « gaz de ville à tous les étages »…],
Dieu de la Liberté, père de la nature [ce Dieu extérieur et singerie de celui de l’Eglise de Rome],
Créateur et conservateur [le réconfort si vendeur à défaut du litre de rouge] !

O toi ! seul incréé, seul grand, seul nécessaire [pourquoi ”seul grand” et ”nécessaire” ? l’utilitarisme entre en piste],
Auteur de la vertu, principe de la loi,
Du pouvoir despotique immuable adversaire,
La France est debout devant toi.

Tu posas sur les mers les fondemens du monde
Ta main lance la foudre et déchaîne les vents ;
Tu luis dans ce Soleil dont la flamme féconde
Nourrit tous les êtres vivans.

La couriere des nuits, perçant de sombres voiles,
Traine à pas inégaux son cours silencieux ;
Tu lui marquas sa route, et d'un peuple d'étoiles
Tu semas la plaine des Cieux.

Tes autels sont épars dans le sein des campagnes,
Dans les riches Cités [celles des citoyens], dans les antres déserts,
Aux angles des vallons, au sommet des montagnes,
Au haut du ciel, au fond des mers.

Mais il est pour ta gloire un sanctuaire auguste,
Plus grand que l'Empirée et ses palais d'azur :
Dieu lui-même habitant le coeur de l'homme juste [pourquoi seulement « l’homme juste » ?],
Y goûte un encens libre et pur [incompatible avec ton  monde industrialisé et ses usines qui polluent tout].

Dans l'oeil étincelant du guerrier intrépide
En traits majestueux, tu gravas ta splendeur ;
Dans les regards baissés de la vierge timide
Tu, plaças l'aimable pudeur [faut dire ça à Benjamin Griveaux…].

Sur le front du vieillard la sagesse immobile
Semble rendre avec toi les décrets éternels :
Sans parens, sans appui, l'enfant trouve un azile
Devant tes regards paternels.

C'est toi qui fais germer dans la terre embrasée,
Ces fruits délicieux qu'avoient promis les fleurs :
Tu verses dans son sein la féconde rosée
Et les frimats réparateurs.

Et lorsque du Printems la voix enchanteresse,
Dans lame épanouie éveille le désir,
Tout ce que tu créas, respirant la tendresse [plutôt la violence et le chaos],
Se reproduit par le plaisir [du pouvoir d’achat].

Des rives de la Seine à l'onde hyperborée [coucou…],
Tes enfans dispersés t'adressent leurs concerts ;
Par tes prodigues mains la nature parée
Bénit le Dieu de l'Univers [le Démiurge donc].

Les sphères parcourant leur carrière infinie,
Les mondes, les soleils devant toi prosternés
Publiant, ses bienfaits, d’une immense harmonie
Remplissent les cieux étonnés.

Grand Dieu qui sous le dais fais pâlir la puissance,
Qui sous le chaume obscur visites la douleur,
Tourment du crime heureux, besoin de l'innocence,
Et dernier ami du malheur.

L'Esclave et le Tyran ne t'offrent point d'hommage ;
Ton culte est la vertu ; ta loi, l'égalité :
Sur l'homme libre et bon, ton oeuvre et ton image,
Tu soufflas l'immortalité [du capitalisme].

Quand du dernier Capet la criminelle rage,
Tomboit d'un trône impur, écroulé sous nos coups,
Ton invisible bras guidoit notre courage,
Tes foudres marchoient devant nous.

Aiguisant avec l'or [de Walle Street] son poignard homicide,
Albion sur le crime a fondé ses succès [son impérialisme] ;
Mais tu punis le crime, et ta puissante égide
Couvre au loin le Peuple Français [ici dualité effroyable winners-losers].

Anéantis des Rois les ligues mutinées,
De trente Nations taris enfin les pleurs ;
De la Sambre au Mont-Blanc, du Var aux Pyrénées,
Fais triompher les trois couleurs [winnerisme infernal qui se retrouvera partout et en 1918 et en 1945].

A venger les humains la France est consacrée :
Sois toujours l'allié du Peuple Souverain [le salarié, l’usager…] ;
Et que la République immortelle, adorée [donc NOUVELLE RELIGION],
Écrase les trônes d'airain [remplacés par l’argent virtuel ou digitalisé].

Long-tems environné de volcans et d'abymes,
Que l'Hercule Français terrassant ses rivaux [typique du winnerisme qui en découle depuis],
Debout sur les débris des Tyrans et des crimes,
Jouisse enfin de ses travaux ! [de son Faire/Fer qui rouille…]

Que notre Liberté [pourquoi ”notre” ? comme si on pouvait posséder la Liberté comme on possède une maison ou comme on « possède la foi » comme on possède un portefeuille ?], planant sur les deux mondes,
Au-delà des deux mers guidant nos étendarts,
Fasse à jamais fleurir, sous les palmes fécondes,
Les Vertus, les Loix et les Arts [et par ici les droits d’auteurs et la propriété intellectuelle capitalistes….] !

Tout ce texte sur l’Être suprême et républicain PARLE DE NAISSANCE, et croit que ce qui est né un jour durera « toujours » ; mais « continuer à vivre » n’a rien à voir avec « être éternel ». L’Être suprême et sa république ne sont que bidouillage du mental car né à un moment donné, et ce qui naît un jour meurt un autre jour. Et ce qui n’est pas né ne peut pas mourir ! La fiction de l’Être suprême est une fiction car dépendante du spatio-temporel. Nôtre difficulté va provenir quand on tente de se représenter quelque chose qui n’est pas né, surtout depuis que le mental est devenu le winner avec sa « raison » et la « POSSESSION DE TOUTES SES FACULTÉS » (SES PROPRIÉTÉS INTELLECTUELLES MAINTENANT RÉMUNÉRÉES… SES CALCULS ET LOIS….)

Cet hymne à l’Être suprême est dans cette tradition démocratique issue de certains Anciens Grecs et du droit romain du temps de son Empire, soit un formidable miroir aux alouettes, puisque à part le Japon qui est le seul Empire restant sur cette planète, tous les autres États se disent démocratie ou république, même les dictatures qui prétendent qu’elles n’en son pas ; car tout parti, en religion, en politique, en science et en économie TEND À IMPOSER À L’ENSEMBLE ET TENTE D’IMPOSER SES LOIS. C’EST POURQUOI TOUT « ISME » OU TOUT PARTI EST UNE DICTATURE DÉGUISÉE.
Si la république de 1789 posait la bonne question au début, cela a tourné à la Terreur exactement identique 128 ans après en Russie en 1917 ! Dans les deux cas ça a donné un monstre : un terriblement sournois toujours actif, et l’autre qui n’a vécu que 74 ans jusqu’à la chute de l’URSS en 1991. 1789 comme URSS posaient la bonne question, nous connaissons la suite….. énormément moins douloureuse en Europe à partir de 1945 !
ÊTRE ÉTERNEL = LE EST (Je suis ce JE SUIS).
 
 

Dernière mise à jour : 26-02-2020 00:41

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