Source (extrait) : Global Research.

Le monde est au carrefour de la crise sociale et économique la plus grave de l'histoire moderne.

 

 

Les gens du monde entier sont induits en erreur. On leur dit: "Ça va empirer". Angela Merkel a déclaré sans la moindre preuve que "70% de la population allemande pourrait contracter un coronavirus si l'on ne fait pas plus pour arrêter sa propagation".

Dans plusieurs pays, l'économie a fermé. Les supermarchés, centres commerciaux, bureaux, usines, écoles, universités sont au point mort. Les gens sont confinés chez eux. La peur et l'intimidation prévalent.

Entre-temps, coïncidant avec le verrouillage du coronavirus en Italie, 30 000 soldats américains ont été envoyés dans l'UE, dans le cadre des jeux de guerre US-OTAN «Defend Europe 2020» contre la Russie, dans le cadre du plus grand déploiement militaire depuis la Seconde Guerre mondiale. "Le défenseur pourrait-il devenir l'envahisseur ...?"

Soyons clairs : la pandémie de coronavirus n'est pas la «cause» de cette crise économique et sociale en cours. C'est le «prétexte» pour la mise en œuvre d'une «opération» soigneusement conçue (soutenue par la désinformation des médias qui déstabilise les économies nationales, appauvrit de larges segments de la population mondiale et sape littéralement la vie de millions de personnes. Nous avons affaire à un «acte de guerre».

Bien que COVID-19 soit une préoccupation de santé publique importante, le verrouillage associé à une campagne de peur en cours ne constitue pas un moyen efficace de lutter contre le virus, c'est-à-dire en fournissant une assistance médicale et des services de santé ciblés aux personnes touchées.

Que se passe-t-il ensuite: les effets potentiels d'un gel continu du commerce américain avec la Chine

La géopolitique est complexe. Comment les événements économiques se dérouleront-ils ? Nous allons essentiellement nous concentrer brièvement sur les relations américano-chinoises.

Ceux qui ont formulé la «guerre économique non déclarée» des États-Unis contre la Chine n’ont pas envisagé le contrecoup potentiel de l’économie américaine.

C’est un «Harakiri économique», c’est-à-dire «Suicide American Style»

Dans quelques mois, si les relations commerciales et les transports normaux entre les États-Unis et la Chine ne reprennent pas, les impacts sur les économies nationales des pays occidentaux pourraient être dévastateurs.

Une grande partie des produits présentés dans les centres commerciaux américains, y compris les grandes marques, sont «Made in China».

Le "Made in China" est l'épine dorsale du commerce de détail aux États-Unis qui soutient de manière indélébile la consommation des ménages dans pratiquement toutes les grandes catégories de produits: vêtements, chaussures, quincaillerie, électronique, jouets, bijoux, articles ménagers, fournitures médicales, médicaments et médicaments sur ordonnance, Téléviseurs, téléphones portables, etc.

Le "Made in China" domine également la production d'une large gamme d'intrants industriels, de technologies de pointe, de machines, de matériaux de construction, d'automobiles, de pièces et d'accessoires, etc., sans parler de la sous-traitance étendue des entreprises chinoises au nom des conglomérats américains.

Alors que les États-Unis ont un appareil financier puissant et sophistiqué (qui a la capacité de manipuler le commerce et les marchés boursiers dans le monde), la véritable économie américaine est en ruine.

La production n'a pas lieu aux États-Unis. Les producteurs ont abandonné la production.

Le déficit commercial des États-Unis avec la Chine contribue à alimenter l'économie de consommation axée sur le profit qui repose sur des biens de consommation «fabriqués en Chine». Pendant ce temps, la Chine détient une grande partie de la dette publique américaine qu'ils peuvent facilement convertir en actifs réels du jour au lendemain.

À ce stade de la crise des coronavirus, les décideurs politiques de Pékin sont pleinement conscients que l'économie américaine est fragile et dépend fortement du "Made in China". De plus, la Chine a dépassé les États-Unis dans plusieurs domaines de haute technologie, dont la 5G.

Et avec un marché intérieur de 1,4 milliard de personnes, couplé à un marché d'exportation mondial dans le cadre de l'initiative «Belt and Road», l'économie chinoise aura le dessus.

Le messianisme de la dette et son « toujours plus ». Le problème financier de 2008 n’a évidemment JAMAIS été réglé dans le système du « jusque là ça va », qui fonctionne à remettre de la dette pour combler la dette et éviter d’atteindre le « point zéro » (le sol).

Les fous qu’aveugle le désir partent à la guerre pour gagner leur vie et se remplir le ventre. Tous craignent de « perdre la vie » comme on a peur de perdre son porte-monnaie ou sa petite vérité. Et pour le profit, combien se retrouvent esclaves ?
C’est la chair (bonne) que tu aimes, pour la manger, pour la toucher et la regarder comme le corps de l’autre. Mais, pourquoi ne désires-tu pas alors la chair lorsqu’elle est purifié du mental ?

La Liberté tu désires, tu ne peux la voir ni la toucher comme tu touches un corps. Ce que tu peux voir et toucher n’est pas le mental ni la Liberté. À quoi bon, alors, ces étreintes inutiles et de possession, comme de la nourriture à ingurgiter.
Il n’est guère surprenant de ne pas concevoir que le corps d’autrui est naturellement impur (actuellement).
Tu refuses de toucher la terre souillée d’excréments, pourquoi veux-tu toucher le corps d’où les excréments proviennent ?
Non seulement tu ne méprises pas ta propre saleté, mais toi, sac d’excréments et d’immondices, assoiffé d’immondices, tu en désires d’autres !

La Terre entière est agitée par des fous, qui se démènent faussement à l’existence de leur ego.
Comment peux-tu te complaire dans le charnier des villes de choses viles peuplées de squelettes ambulants ?
En tant qu’enfant, on ne peut accumuler des richesses. Une fois adulte, où trouvera-t-on son plaisir ? La vie passe à la poursuite, et de la nourriture, et de nos jours à la poursuite du gain pour alimenter son « pouvoir d’achat » ; et en temps de crises, il y en aura toujours que cela enrichira dans l’infernale dualité winner-loser, les losers étant ceux qui réduit à la misère enrichissent les winners. Heureusement tout de même que, plus on est vieux, et moins on est prisonnier du désir !!!

Il est certain que « TOUT PASSE » et c’est enfoncer des portes ouvertes que de dire que « rien ne sera comme avant ». Il est seulement nécessaire de le dire À L’ATTENTION DU CAPITALISME…