Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Les Commodités ou Lieu d’aisance, de confort
Les Commodités ou Lieu d’aisance, de confort Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 11-04-2020 00:47

Pages vues : 5701    

Favoris : 53

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Histoire, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Trouvère, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
savonlechat.jpg
 
 
Les Commodités ou Lieu d’aisance, de confort
l’utilitarisme, permet effectivement la
prolifération des parasites :
Claude Bernard disait de Béchamp :
« Béchamp a raison, le microbe n’est rien,
c’est le terrain [le patient] qui est tout.
Pasteur est un fou [et un killer] ».


« C’est le terrain qui est tout » : c’est donc
LA CIVILISATION VRAIE QUI EST TOUT.
La ci-vile-isation aliénante va faire
des humains de la bouffe à virus.
 
« C’est le terrain qui est tout » : la démence
technologique et mercantile actuelle favorise
directement la pollution du TERRAIN et permet
les attaques de virus.
Les gens sont zombifiés par le confort et la
technologie en un monstrueux gâchis qui détruit tout.
Le système immunitaire des humains est cassé
par la démence et le confort technologique.
Le prétexte Covid 19 EST SUREMENT UN EXERCICE
MILITARO-POLITIQUE pour le contrôle mondial des masses.
Les humains toujours tournés vers l’EXTÉRIEUR vont
demander des protections en toujours plus de confort,
TOUJOURS PLUS DE SOUMISSION PAR PEUR DE LA MORT :
LA PEUR DE MANQUER DE VIE ET DE VIVRE(s).

Le vivre ensemble grégaristique est une monstrueuse
escroquerie identique au « peuple-roi » de
l’après 1789 et son « pouvoir du peuple » ;
les traitres, les électeurs et contribuables
sont parmi nous, l’égalitarisme cette fièvre
capitaliste est un terrible piège.
Les gens sont des sots qui tournent le dos dès
qu’on leur met le nez sur la vérité.

Dans la ci-vile-isation de démocratie basée sur
les conflits d’intérêts ceux qui possèdent les
médias contrôlent les cerveaux à l’aide de
F(R)ICTIONS : tyrannie de l’opinion.

Les héritiers (Nous) de ce monde des pots de
chambre et de la « raison ».
Les héritiers au pouvoir d’achat.


Page dédiée aux citoyens déféquants et urinants (ce qui heureusement est encore laissé libre… mais aux lieux dédiés, pas n’importe où hein !…).

Les masses sont zombifiés par le confort technologique et l’extérieur fourgué par les « spécialistes », dont le second derrière et le derrière des banques est l’État. Les masses voyant ce qu’il y a de plus claire et de plus vrai opinionent et ne sont pas d’accord : elles fuient ce qui leur convient le mieux ; et au contraire, ce qui brille davantage et satisfait ses regards, les masses sont d’accord et marchent quand c’est ce qu’il y a de pire pour elle et un danger permanent pour le Soi et la Félicité naturelle.
Si on veut suivre le sentier transportant vers la Paix, il devient vitale de fermer les yeux comme marcher dans les ténèbres pour éviter les ennemis de tous les jours de plus en plus nombreux. Ainsi : « Ne laissez pas entrer dans le Laboratoire une seule mouche pendant les moments délicats ! » (Fermez les “bouches”). Protégez votre Tabernacle contre les déluges du langage et de ses noms-les-formes (protégez-vous des médias et de l’État et de l’uniforme de la pensée unique identique aux parasites ; protégez-vous du langage des capitalo-républicains).

Être protégé dans son Tabernacle contre le déchaînement de toutes les langues de ce monde, et surtout de la langue anglaise la langue par excellence du capitalisme et de son business.
ÊTRE PROTÉGÉ DANS SON TABERNACLE = RÉDUCTION EN EAU (Fluidité, Transparence : l’Eau rafraîchit et convient le mieux).


LIEUX D’AISANCE OU DE TOUT CONFORT DES BOURGEOIS ACCÉDANT AU POUR-VOIR EN 1789.
Au milieu du 19è siècle en pleine révolution industrielle sous la poussée des banques juives des Rothschild et des séfarades frères Pereire (Leur Yahvé les a envoyé sur sa planète au bon moment), l’appartement du bourgeois ou habitant des villes, le citoyen, comprend obligatoirement un espace de SPECTACLE ET DU SE-FAIRE-VOIR (on dit bien ”une personne en vu”) : le salon et la salle à manger ; puis vient l’espace « confiné » ou caché : l’espace privé ou familiale comprenant les chambres ; puis vient l’espace de rejet : la cuisine et les lieux d’aisance (la salle de bain est ignorée).
Spectacle de la vie mondaine et de la vie de couple, l’appartement capitaliste doit assurer aussi les fonctions de transformation et d’expulsion. On y accommode les aliments, et il faut se débarrasser des eaux sales et des déjections. Or le bourgeois issus des perruques poudrées et de leur « raison » ne fonctionnant que par la rationalité encyclopédique, on constate une étrange rupture. Ici LA VIE EST REMISE EN CAUSE, COMME SI LE CORPS ÉTANT SALE. La nouvelle classe au Pour-Voir a considérablement abaissé son seuil de réception à tout ce qui touche et qui est considéré comme « sale » (d'où la prolifération des bagnes et "maisons de corrections” ou "colonies horticoles” pour jeunes délinquants.

Ainsi au 19è siècle les « spécialistes » (spatialistes) font construire les cuisines au loin, comme les lieux d’aisance… Pour ces spatialistes, cuisine = fumée, odeurs, graisse, noirceur et chaleur et sueur du fourneau donc tout ce qui affecte l’apparence, le spectacle du bourgeois ; ces lieux d’aisance ne seront fréquentables que par les gueux, les losers, que par les Gilets Jaunes (de l’époque). Ce sera seulement à la fin du 19è siècle que les spécialistes (hygiénistes) et paroissiens de Louis Pasteur dénonceront les cuisines des appartements des capitalistes ou bourgeois comme des repaires de mouches et de nids à poussière où se tapis le bacille de Kock - la mode étant, non au bizarre Covid 19, mais à la tuberculose - ils en réclameront la transformation.

Paradoxalement, même de façon alliénatoire, les capitalistes faisant en Bourse de grosses commissions, ils auront en horreur les grosses commissions se produisant dans les lieux d’aisance ou de nécessités corporelles vitales. Les « spatialistes » implantent les cabinets d’aisance n’importe où dans l’appartement, même en annexe de la cuisine, très proche où se trouve le seau hygiéniste. Les domestiques (les Gilets Jaunes), si nombreux à cette époque des bourgeois où la technologie ne faisait pas encore ses ravages, n’ont-ils pas aussi la fonction de VIDER, D'OUVRIR, D'OUVRIER ? IL N’Y A AUCUN INTÉRÊT POUR UN WINNER VOUÉ AU WINNERISME ET AUX MÉDAILLES, AU « BEAU », AU « PUR », À LA « VÉRITÉ », SURTOUT S’IL A REÇU LE PRIX NOBEL OU LE PRIX DE ROME, À SE PENCHER SUR D’AUSSI VILS DÉTAILS COMME DE LA PROPRETÉ DE LA CUVETTE DES CHIOTTES !

BIENVENUE BACILLE ET COVID 19è siècle et PROGRÈS DE L’OCCIDENTAL CIVILISÉ et VILE-VILLES :
rues étroites, sombres, malpropres, mal pavées, habitations noires, infectes, sans aération, privées de lumière, tristes et pauvres demeures des Gilets Jaunes d'époque obligés de travailler, matin au soir, dans des conditions d’hygiène les plus lamentables. (Observation dans la ville de Lyon en 1861, par deux médecins : M.J Marmy et F. Quesnoy, Topographie et statistique médicales du département du Rhône et de la ville de Lyon, 1866).
Ce n’est pas mieux dans nombre de grandes viles françaises : Lille, Bordeaux, Marseille, Montauban, etc. À Paris sous Louis-Philippe, les rues de la capitale étaient coupées longitudinalement par un ruisseau placé au milieu de la chaussée (à Pompéi il y avait des trottoirs et le ruisseau y circulait en contrebas de chaque côté de la rue, c’était déjà plus propre). Évidemment le capitaliste Haussmann et Eugène Belgrand (un nom prédestiné…) allaient arranger ça… ON ALLAIT CACHER LA MERDE COMME ON CACHE SON ARGENT DANS DES COFFRES, DANS DES ACTIONS DANS DES SOCIÉTÉS ANONYMES OU DANS DES PARADIS FISCAUX, OU DANS L’ÉCONOMIE DE LA DROGUE OU CELLE DE LA FABRICATION D’ARMES.
Notez que sous Haussmann et le second Empire, il y eut une prolifération de prostitution masculine : dans les lieux d’aisance des Halles de Paris : dès les 9 heures du soir, une foule d’hommes s’y précipitent malgré les arrestations quotidiennes pour « attentats à la pudeur » ; mais à minuit, à la prise de travail des forts des halles, iceux leur donnent la chasse et les battent… (Réf. Pierre Hahn, Nos ancêtres les pervers. La vie des homosexuels sous le second empire).


La technologie actuelle n’aliène plus les corps, il y a maintenant une relative hygiène générale, du moins en Occident, ELLE ALIÈNE LE MENTAL DES HUMAINS, CE QUI EST PIRE QUE LE MANQUE D’HYGIÈNE PHYSIQUE.

De façon aliénatoire, pour les capitalistes faisant en Bourse de grosses commissions, LA FONCTION DE DÉFÉCATION DOIT S’INSTAURER : « Il n’y aura d’amélioration possible à espérer, qu’en obligeant les enfants à contracter, à l’école, des habitudes de propreté dont ils feront plus tard leur profit [boursier et de pouvoir d’achat], en les observant partout ailleurs, et en les reportant dans les maisons que, devenus grands, ils seront un jour appelés à habiter pour leur propre compte » (Annales d’hygiène publique et de médecine légale, 1878).

Les sièges des cabinets des Occidentaux ci-vile-isés et industrialisés étaient en bois. Les sièges « à la turque » et en pierre furent unanimement condamnés par l’Assemblée : un des participants raconta qu’un élève avait glissé, et sa jambe enfoncée dans le trou fut dégagée difficilement et avec fractures par le concierge. AH ! LE FAMEUX TROU… LE TRAJET DE L’ANUS DU CITOYEN DÉFÉQUANT AUX CHAMPS D’ÉPANDAGE, TOUT CELA CACHÉ AU SPECTACLE DU BOURGEOIS. L’ARGENT EST CACHÉ MAIS COMME LA MERDE, IL CIRCULE PARTOUT À COUPS DE CHASSE D’EAU… BREF, UNE HISTOIRE DE PLOMBERIE ET D’ALCHIMISTES…

CIVILISATION = OPTIMISME NAÏF HÉRITÉ DES PERRUQUES POUDRÉES DU 18è SIÈCLE ET DES HYGIÉNISTES DU 19è (qui tentent de maitriser leur corps, donc leurs intestins), ET DE LA TECHNOLOGIE DE L’APRÈS 1914-18 ET JUSQU’À CE HUI. Optimisme idolâtré comme le but à atteindre, comme le montre un Nietzsche ou les surréalistes, ou les fictions à la Superman et autres héros anglo-américains par exemple.


Le « Nous sommes en guerre » du Macron est exactement la guerre ou l’ordre sexuel bourgeois, dans ses interdits (le confinement), et dans ses répulsions à la Louis Pasteur : la guerre aux microbes ou la répulsion de ce qui parait « sale » ou « terroriste », étranger au mental du bourgeois ou de Macron ; et cette « guerre » ou répulsion, cette « guerre contre le terrorisme » du 11 septembre 2001 correspond parfaitement aux exigences des perruques poudrées et à leur Encyclopédie et au final à leur raison !!!
COVID 19 = ABOUTISSEMENT À LA CLITORIDECTOMIE SOCIALE : le clitoris ou pénis en miniature sert seulement à la volupté laquelle n’entre pas dans le processus de procréation, son ablation devient tout confort s’il se révèle une gène permanente d’excitation du matin au soir et même la nuit !!! En d’autres mots, le virus empêche de jouir de son pouvoir d’achat et de ses productivisme et projectivisme…

Le « Nous sommes en guerre » du Macron est le cris de la bourgeoisie conquérante de 1789 : le méchante virus qui empêche de commercer à la juif !
La « paix » ou « confort social » (lien social) c’est non seulement le pouvoir d’achat POUR TOUTES LES CLASSES SOCIALES CE QUI COMPREND LE TOUT CONFORT DE LA MICTION ET DE LA DÉFÉCATION QUI FONT PARTIE DES « VALEURS » DE CETTE RÉPUBLIQUE NÉCESSAIREMENT CAPITALISTE.
Le « Nous sommes en guerre » du Macron renvoie sans faille À LA TERREUR DU BOURGEOIS FACE AU NATUREL, À LA TERREUR DU JUIF FACE À LA NATURE (ils ne jurent que par leur désert), ainsi le Macron ou le bourgeois a peur de la liberté et du sensible bien plus présent sous l’Ancien Régime. (Le Juif découvre le règne du Végétal seulement à partir du Moyen-Âge).

TOUTE MISE EN ORDRE PAR UN « SERVICE D’ORDRE » QUELCONQUE ENTRAÎNE LA DUALITÉ WINNER-LOSER ou PUR-IMPUR : REJET D’ÉLÉMENTS OU DE TERRORISTES, OU DE MICROBES NON APPROPRIÉS, DONC TOUT CE QUI DÉRANGE COMME UNE « MAUVAISE HERBE » DÉRANGE SA PELOUSE BIEN TONDUE, COMME EST DÉRANGÉ L’HUMAIN ET SON EGO (son corps ou son mental c’est la même chose). Comme si la saleté ou la puanteur dérangeait (d’où d’ailleurs la fabrication des parfums pour MASQUE-masquer…). Le Macron bourgeois avait fixé au 19è siècle les normes de l’habitation « convenable » par une stricte spécialisation (spatialisation) ou division de chaque pièce, comme sa division du travail et des horaires, BREF, L’ORDRE, L’ORGANISATION, L’IDENTIFICATION ET LA MISE EN SCÈNE. Le Macron bourgeois va parachever son œuvre par le cabinet intérieur ou fosse d’aisance ou de confort branché, en réseaux Facebook, sur un système qui rejette, au très très loin, comme de rejeter les terroristes ou les microbes, HORS DE L’ESPACE DU CITOYEN, DONC HORS DE L’URBAIN MAINTENANT SOUS CONTRÔLE DU TOUT NUMÉRIQUE OU DU « TOUT INTELLIGENT », SOUS LA HOULETTE DES SPÉCIALISTES COMME LES DÉMIURGES DE L’UNIVERS DES JUIFS-GOOGLE : CE SERA LE TRIOMPHE DU MENTAL KILLER.
L’ORDRE SEXUEL MACRON-BOURGEOIS CORRESPOND VRAIMENT AUX EXIGENCES DE LA RAISON ET DE SON « ÉTAT DE DROIT » (et tout digitale, ”tout intelligent" et ”homme augmenté")

BIENVENUE EN CE MONDE DE MICTION ET DE DÉFÉCATION MACRONNIÈNE.

M’ENFIN ! QU’EST-CE QUE LA NATURE DU SALE ? OU DU MICROBE ?

Le « Sale » rejoint LE FLÉAU, LE GRATUIT, L’AMOUR, L’APOCALYPSE, LE TERRORISTE, LA PERTE, CE QUI RÉVÈLE, bref : ce qui ne peut pas être identifié, ce dont l’humain ne peut pas coller dessus un nom-la-forme. Non-identifiées comme les sociétés anonymes avec ses actionnaires anonymes avec leurs merdes qui circulent cachés dans des tuyaux d’algorithmes bancaires.
SEUL EST « SALE » OU TERRORISTE CE QUI EST « INNOMMABLE » : terme de VÉRITÉ car il exprime sans faille en un seul mot l’idée de non-identification et par là même de rejet comme on rejette la merde, de dégoût qui renvoie à l’IMMONDICE et DONC À LA VÉRITÉ.
INNOMMABLE SERA DONC LA GRATUITÉ, L’AMOUR (véritable : ni senti-ment, ni morale, ni coït), COMME SERA INNOMMABLE LE SEUL RÉEL : refuser le Seul Réel au profit d’une aliénation à l’extérieur et au moindre Pour-Voir imposé par cet extérieur, comme le virus impose la fièvre et le confinement du malade. Nul doute que l’INNOMMABLE, LE REFUS DU GRATUIT ne soit qu’un aspect principal parmi d’autres du refus du Seul Réel, donc un mécanisme de défense comme de se défendre contre le sale et le virus et le terroriste qui entre en jeu, EN REPRÉSENTATION, dès que le Seul Réel est perçu comme cru-EL (pas cuit : un EL ou Divin direct, sans masque, sans préservatif, sans fiction, sans temps).

Covid 19 = Refus du Gratuit, Refus du Seul Réel.

AUCUN VIRUS, AUCUN MICROBE, AUCUNE CHOSE RÉELLE N’EST SALE ET LE COVID 19 EST BIEN RÉEL ET NE PEUT ÊTRE SALE, en ce sens le Macron est un sot, un ignorant total entouré des mêmes ignorants spécialistes à l’envers ; tous des killers de la paroisse de Louis Pasteur et de sa pasteurisation moralisante, égalisante, stérilisante.
Mais dans nôtre société du spectre-spectacle IL N’Y A QUE DES SALOPERIES DE SPECTACLES, DE REPRÉSENTATIONS, D’ILLUSIONS ET DE MENSONGES ; SALOPERIES DÉS LORS QU’ICELLES AYANT PERDU LE CONTACT AVEC LA SEULE INSTANCE QUI PUISSE LES IDENTIFIER : LE SEUL RÉEL, ELLES NE SONT PLUS DANS LEUR ’EST’ ET SONT DONC DES SALOPERIES, DU SALE, DE L’IMMONDE, DU FAUX, DE LA FICTIONS.
CROIRE AUX CHOSES OU EN FAIRE DE LA FICTION DESSUS, C’EST DE LA SALOPERIE, SURTOUT SI ON LA PROPAGE EN RÉSEAUX PAR L’OPINION, DONC LE COVID 19 N’EST PAS RESPONSABLE DES MORTS D’HUMAINS ! LES RESPONSABLES, CE SONT ENCORE ET TOUJOURS LES HUMAINS EUX-MÊMES ! Le professeur Didier Raoult est finalement le même sot que Macron (un peu moins cependant car il casse la pensée unique).

En société du spectacle toutes les choses prises pour la réalité sont des saloperies, du sale, depuis que l’écriture a fait que nous sommes passés d’une pensée sur les choses à UNE PENSÉE SUR LES REPRÉSENTATIONS DES CHOSES, SOIT UNE PENSÉE SUR LA PENSÉE (de la fiction), selon le principe de la raison des perruques poudrées. Et à ce hui la conception de la réalité et de nous-mêmes est détruite non seulement par la fabrication du monde sur le papier, mais maintenant par numérisation informatique (c’est d’ailleurs pour ça que certains parlent négativement qu'ils croient positif de « réalité augmentée » ou de « ville intelligente ») ; l’enfer du nombre et de la quantité : l’évolutionnisme mortifère en un MESSIANISME MORTIFÈRE, INVERSÉ. Et après les Macron vont avoir peur d’un minuscule et chétif virus s’attaquant à leur auguste ego menaçant de les faire mourir, alors qu’en régime capitalo-républicain IL EST INTERDIT DE MOURIR (voyez ce qu’en pensent les Juifs-Google et leur rêve mercantile d’immortalité, ici-bas).
En mai 1968 il était « interdit d’interdire » ; avant, nous étions encore sous l’anathème hygiéniste de l’Église de Rome pour qui la satisfaction du corps vue comme une MORALE : c’était le Diable (par exemple la masturbation était accusée de provoquer de nombreux maux).

RAPPEL : « Le sexe c’est dans la tête », me disait un psychiatre ! Évidement, puisque le sexe est une conception du mental ; c’est d’ailleurs en ce sens qu’il n’existe ni homme ni femme (comme le mentionne Ramana Maharshi), mais il y a production, comme en usines, de garçons et de filles, et aussi d’hermaphrodites.
« La Vraie Nature des choses est sans production, sans destruction, comme le nirvana ». (Stances du milieu par excellence, Examen critique du ‘moi’ 18, 7).
LE SALE N’EST PAS SALE, car il s’agit de voir la Vraie Nature des êtres sans la dualité sujet-objet, donc EN NE LES VOYANT PAS, EN NE LES JUGEANT PAS, EN NE SE FAISANT PAR D’OPINIONS SUR EUX.
À peine inquiet, lorsque en hiver 2002 serré dans un wagon en marche du métro parisien j’avais à 10 centimètres de moi un pauvre dont le manteau gris sombre était couvert de vermine ocre clair qui gambadait à l’aise dessus ; à peine inquiet que l’une des petiotes chouses me saute dessus… Je m’interroge toujours sur POURQUOI EN CETTE CIVILISATION DU « PROGRÈS », SURTOUT ICI EN OCCIDENT SI ORGUEILLEUX ET POLICE DE L’ORDRE, CET HUMAIN ÉTAIT RÉDUIT À UN ÉTAT DE PRAIRIE À VERMINE ???

Ainsi LA CACA ÇA N’EXISTE PAS : « Ne comportant ni identité ni diversité, ni anéantissement ni éternité, telle est l’ambroisie de la doctrine des Éveillés protecteurs du monde » (Stances du Milieu par excellence 18, 11). À ceux qui sont très éveillés revient la connaissance de la non-production ou du non-agir de toutes choses, et à ceux qui écoutent un enseignement revient la connaissance de leur destruction. Quant à ceux qui n’enseignent ni ne sont enseignés, leur connaissance leur vient HORS DE TOUT CONTACT, DANS L’INSTANT, SANS LA DUALITÉ PUR-IMPUR OU SALE-PROPRE (ce qui fut le cas de Jean Coulonval le 25 octobre 1941 : l’Éveil dans l’Instant ou Ici et Maintenant).


[En référence pour les commodités à : Les Lieux - Histoire des commodités, de Roger-Henri Guerrand].
 
 

Dernière mise à jour : 11-04-2020 02:09

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >