Ecrit par Sechy,
le 19-06-2020 23:59
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La fraternité est un concept mental
« La fraternité n’est pas une idée révolutionnaire »
( Alvaro de Campos).
Fraternité dans l’air du temps et du GRÉGARISME
des Black Lives Matter.
Si les « vies noires » « comptent »,
les vies de TOUTES LES FORMES DE VIE COMPTENT, Y
COMPRIS CELLE DES PETIOTS CHOUSES
(microbes, insectes, etc.)
Ce sont les opinions qui divisent et qui font des guerres,
des opinions qui peuvent devenir de dangereux
grumeaux-grégaire qui suppriment tous le Soi.
« La fraternité n’a ici-bas de pire ennemi que l’égalité »
( Gustave Thibon, Diagnostics, page 37)
« Unie dans la diversité », dit l’Union européenne marchande
singeant la fraternité de façon religieuse.
Union européenne marchande parce qu’on peut diviser sans
fin un corps indifférencié, car réduit à l’égalité de tous,
sans distinction de race, ni de couleur de peau, ni de mœurs.
C’est donc le même paradoxe que la Réalisation du Soi :
faire pousser simultanément l’atomisation (l’individu)
et l’uniformité (égalitarisme, social, le collectif et le
« vivre ensemble » de la technologie du smart informatique).
Cette mode de l’après 1789 singeant l’Amour du Christ-Jésus ou du Soi : l’ALTRUISME, L’AUTRE, LE SOCIAL et la philanthropie facile de l’oligarchie. Bref, un TRUISME, à ne surtout pas confondre avec la Tautologie qui n’a nécessairement pas l’idée de banalité ou d’évidence, comme l’écrit un dictionnaire comme Le Robert !!!
Il ne s’agit pas de croire, ou de ne pas croire à la vie éternelle, ni de croire ou de ne pas croire « à la Nature », (à SA Nature, la Vraie), car cette Nature EST et n’est pas une affaire de croire ou de ne pas croire ! CROIRE EST FICTIONNEL ET FRICTIONNEL (voir toutes les guerres d’opinions qu’engendrent les religions et la politique croyance par excellent….) ; pourquoi diable irai-je défendre l’altruisme et me sacrifier pour les autres, ou pour l’humanité ? PARCE QUE L’ALTRUISME ET L’OPINION DE SACRIFICE NE SONT PAS NATUREL PAR ESSENCE : LA FOI, LA VÉRITÉ, N’A PAS À ÊTRE DÉFENDUE : ELLE EST, OU ELLE N’EST PAS.
C’EST LA MÊME CHOSE, NATURELLE, QU’ON NE NAÎT PAS POUR ÊTRE « MARIÉ », CETTE CONCEPTION DU MARIAGE ET DE LA FAMILLE N’EST QU’UNE OPINION FABRIQUÉE PAR UNE CROYANCE. IDEM : ON NE NAÎT PAS POUR ÊTRE FRANÇAIS, ITALIEN, CHINOIS, OU RICHE OU PAUVRE, DONC ON NE NAÎT PAS POUR ÊTRE SOLIDAIRE, MAIS SEULEMENT POUR ÊTRE LA SINGULARITÉ : ÊTRE SOI-MÊME, ÊTRE LA VIERGE NOIRE, L’IDIOTÈS. DONC LE CONTRAIRE D’UN « SAUVEUR DU MONDE » OU D’UN POLITIQUE DE PROFESSION QUI SE CONTENTE D’ENTRETENIR SON EGO, ET NULLEMENT DE « SAUVER LES AUTRES ». ( ”Je ne peux pas manger pour vous”, disait François Michelin). Ainsi l’ÊTRE, SINGULARITÉ par nature, peut être étiqueté d’égoïste.
Donc faut-il s’entraider les uns les autres ? ou être « solidaire » ? comme si c’était un devoir alors que depuis 1789 Nous n’avons que des droits !? Mais aussi bien le « droit » que le « devoir » (ou solidarité) sont des concepts du mental.
Potentiellement Nous sommes la Réalité, mais aussi longtemps que Nous serons gêné par l’autre, par son « social », par sa « fraternité », Nous serons prisonnier du spatio-temporel ou de la dualité intérieur-extérieur, et Nous ne pourrons seulement avec conscience de cela que par la raison ou l’idéation qui fonctionne nécessairement dans le temps qui coule. LORSQUE JE SERAIS DÉBARRASSÉ DE L’AUTRE, DONC DE TOI, JE SERAIS LIBRE DE RETOURNER LA LUMIÈRE : LA PARAVRITTI (en sanskrit : mental pur (1)).
DÉBARRASSÉ DE L’AUTRE, DÉBARRASSÉ DES F(R)ICTIONS, DÉBARRASSÉ DES SOUFFRANCES QUI ME SONT TOMBÉS À CAUSE DE TON CIRQUE DU SOCIAL ET DE TON POLITISME. JE SERAIS ALORS À MÊME DE ME LIBÉRER DU RELATIF OU DUALITÉ SUJET-OBJET, CAUSE-EFFET.
JE NE SERAIS PLUS UNE PARTIELLITÉ, UN INDIVIDU (plutôt un dividu) À CÔTÉ D’AUTRES INDIVIDUS (le social, la ”fraternité”). Je ne serais pas non plus perception d’une collectivité, un social, une famille, une classe, une multitude nommée par la marchandisation du sociale : « diversité ». Je serais au-delà du spatio-temporel et de la quantité, de la diversité. En ce ‘Je’, dans la non-différenciation du sujet et de l’objet s’efface le dilemme politique de l’opposition de l’individuel et du collectif, toile de fond de tous les conflits depuis le Néolithique.
Être toujours dans l’UN, rien de duel ou de relatif n’existe, par conséquent le social est aussi une f(r)iction, une croyance ; l’instinct grégaire de l’humain est une croyance apprise depuis des millénaires.
- Question : Quand la souffrance durera ?
- Maharshi : Elle durera tant que l’individualité n’aura pas disparu [donc tant que n’aura pas disparu le ‘moi’ et l’autre, tant que n'aura pas disparu le social actuel qui amplifie l’individualité pour faciliter la société de consommation]. Si les bonnes et les mauvaises actions sont celles de Dieu, pourquoi devriez-vous penser que le plaisir et la souffrance n’appartiennent qu’à vous seul ? Celui qui fait du bien ou du mal récolte la joie ou la peine. Laissez donc la souffrance à sa place et ne vous en chargez pas ». (Ramana Maharshi, entretien 420 du 4-6-1937).
- Question : N’existe-t-il pas un moyen d’échapper aux malheurs du monde ?
- Maharshi : Il n’y a qu’un seul moyen. Il consiste à ne jamais perdre de vue son propre Soi, quelles que soient les circonstances.
L’investigation « Qui sui-je ? » est l’unique remède à tous les malheurs du monde. Elle est aussi parfaite Félicité » (Ramana Maharshi, entretien 532 du 15-10-1938).
« Aidez-vous vous-même ; mais cela aussi se fait selon la volonté de Dieu. Chaque action s’effectue par Lui seul. Quant à la prière pour le bien des autres, elle ne paraît désintéressé qu’en apparence. Si vous analysez le sentiment qui la motive vous y découvrirez, là aussi, de l’égoïsme. Vous désirez le bonheur d’autrui afin d’être vous-même heureux [ce que certains appellent ”fraternité”, ”social”]. Ou bien encore, vous voulez bénéficier du mérite d’avoir intercédé en faveur des autres [le winnerisme]. Dieu n’a pas besoin d’un intermédiaire [donc n’a pas besoin de « peuple élu » ou « peuple prêtres » comme les Juifs qui se prennent pour des « réparateurs »]. OCCUPEZ-VOUS DE VOS AFFAIRES ET TOUT IRA BIEN [c’est moi qui souligne] » (Ramana Maharshi, entretien 594 du 15-12-1938).
Dans ce même entretien : « Aussi longtemps que vous croyez qu’il y a les autres, différents de vous [le social ou fraternité], vous priez pour eux. MAIS LE SENS DE LA SÉPARATION EST L’IGNORANCE. ET CETTE IGNORANCE EST LA CAUSE DU SENTIMENT D’IMPUISSANCE. COMMENT VOULEZ-VOUS ALORS AIDER LES AUTRES ? Vous dites « par la prière à Dieu » [ou par le faire/fer des Black Lives Matter] ; mais Dieu connaît son affaire et n’a pas besoin de votre intercession en faveur des autres [ou du social].
Aidez-vous vous même afin de pouvoir devenir fort. On y parvient par une soumission totale à Dieu [la Putréfaction ou Renoncement]. Cela signifie que vous vous offrez à Lui. APRÈS UNE TELLE SOUMISSION, VOUS NE POUVEZ PLUS CONSERVER VOTRE INDIVIDUALITÉ. VOUS OBÉISSEZ À SA VOLONTÉ. AINSI, LE SILENCE EST LE PLUS ÉLEVÉ DE TOUS LES ACCOMPLISSEMENTS.
« Le Silence est l’océan dans lequel toutes les rivières de toutes les religions se déversent », dit Thâyumânavar. Il ajoute aussi que la religion védique est la seule qui associe religion et philosophie ».
L’être humain ne s’occupe pas de ses affaires mais de celle des autres (surtout maintenant c’est l’État qui s’occupe des affaires de ses serfs). Résultat : CHAOS. Parce que l’humain a en lui les forces brutes, imprévisibles et violentes et irrésistibles incluses dans la Nature, lesquelles ont toujours intrigué et fasciné à la fois puisque l’humain les retrouve en son mental non purifié, qui sont aussi les énergies de la Terre-Mère.
L’ordre pensé par l’humain, c’est le Satam ou Diable, le Grand Architecte ou Grand Administrateur, le faiseur de CHAOS ; l’ordre conceptualisé par l’humain n’est que désordre car toute chose EST (sans pourquoi)
La fraternité n’a ici-bas de pire ennemi que l’égalité.
L’hystérie collective marche à fond amplifiée par le technologie grégaristique et egrégorienne de l’infirmatique: CROIRE, CROIRE-CRÉDIT-CRÉDO, à un être humain, à une opinion courante, c’est construire un dogme et lui attribuer une valeur fixée, malgré l’expérience la plus tragique, dans l’hystérie, et cette paranoïa individuelle et collective. C’EST LA DÉFINITION MÊME DE CETTE MODE DE LA POLITIQUE COMMENCÉE EN 1789 OÙ L’OPINION SERA TRIOMPHANTE ET DONC L’EGO, L’INDIVIDUALITÉ AUSSI. LES MÉTINGUES, LES DÉFILÉS AVEC PANCARTES, CHANTS ET DRAPEAUX, CARACTÉRISENT TOUTES LES MANIFESTATIONS DES FOULES EN PROIE À UN MÊME CULTE (d’un homme, d’une cause, d’une idéologie), UNE MÊME FRATERNITÉ DESTRUCTRICE ; à y ajouter maintenant les réseaux sociaux. C’EST UNE LITURGIE. CE SONT LES DÉLIRES DES FOULES, NAZIES, SOCIALISTES, GAULLISTES, ESTUDIANTINES (mai 1968) OU RÉCENTES DEPUIS LE 11 SEPTEMBRE 2001 et les réseaux sociaux, dont le premier fut construit par un Juif, il n’y a pas de hasard…..
Toute opinion prétend stabiliser, en le déifiant, de la temporalité, du vent, de l’illusion. C’EST UNE SINGERIE DU RELIGIEUX. Comme le disait Gustave Thibon : « Dieu, s’il n’est pas la Lumière qui transfigure, devient le masque qui déguise » (cité par son ami Jean Coulonval), soit il devient la PERSONA AMPLIFIÉE en 2020 SOUS MASCARADE SOCIALE DU COVID19 !!!
Toute opinion politique sera une pseudo-gnose (une « vérité absolue » déguisée en opinion).
La langue anglaise est la langue de la circulation des marchandises internationalisées. Langue anglaise qui donne l’illusion d’être « la bonne », et que les autres ce serait de la merde, ou du faux !!! (L’informatique, jusqu’à présent sa programmation utilise l’anglais, interdit l’utilisation des accents français dans nombre de programmes, par exemple dans un fichier jpeg ne je peux pas utiliser une suite de mots comportant des accents…). Bref, le dogme reste OCCIDENTAL ET ANGLAIS QUASIMENT COMME SI ÇA CRÉAIT UNE RELIGION.
Et oui (comme dit clairement dans la vidéo), les CAUSES actuelles sont identiques au symptôme commercial et égoïste inversé (par rapport à la Vraie Singularité du Soi) du : « votre santé, vous et vos proches, votre député, votre voyante, votre assurance, etc. » : les causes apportent un confort ou quelque chose, comme la croyance d’appartenir à un extérieur comme « les autres » (un groupe, une paroisse, une fratrie, un parti, etc.). Bref, les causes, de lutte contre le racisme et les autres causes à la mode contre ceci ou cela, sont des produits à acheter comme on achète sa chemise, ou une place pour un spectacle d’un chanteur en vogue, tout étant devenu marchand, objet de désir et de CHOIX (choisissez votre famille, votre parti, etc., puisque vous êtes libre en Laïcité…).
Et encore oui, les metingues et autres délires des foules sont, pour certains, un jeu, notamment de casser ses propres jouets comme un enfant enragé…
Et oui, la masse c’est le grégarisme par essence : L’AGGLUTINATION PAR LA CARACTÉRISTIQUE DOMINANTE DU PSYCHISME D’UN GROUPE, QUI AGGLUTINE LES ÂMES EN PAQUETS VISQUEUX, GLUANTS OU DE GRUMEAUX, comme les paquets d’œufs de crapauds qui se trouvent au bord des étangs, il sera dangereux d’être têtard qui veut vivre seul en tête à tête avec les lois de sa vie de têtard, sans la protection tout confort de son paquet de gélatine, d’où le « vivre ensemble » quasiment institutionnalisé par les « valeurs » de la république de 1789 et sa démocratie ! Car il y aura toujours un méchant goujon ou une truite-terroriste pour le bouffer. Chez les humains ignorants, le grégarisme de son social se nourrit du SENTI-MENT, DONC DE TOTALEMENT FAUX, ILLUSOIRE, TRAGIQUEMENT TEMPOREL. L’individu noyé dans la masse EST TOTALEMENT DÉPERSONNALISÉ, IL N’A PLUS AUCUN SOI OU PLUS AUCUNE CONSCIENCE INFINIE, IL EST DEVENU LE TÊTARD BOUFFÉ PAR LA TRUITE-COLLECTIVISME-VIVRE-ENSEMBLE (abandonner sa volonté propre pour adhérer au dogme du sens commun conventionnel en vogue).
L’individu-têtard dans sa gélatine sera totalement influençable par cette gélatine pensée unique du moment ; le têtard ne pourra plus agir par lui-même (paradoxe du « diviser pour régner », car le grégarisme ne divise pas mais colle ensemble les grumeaux, il y a donc une division en forme de colle…).
Nous avons bien plus facilement que sous les rois de l’Ancien Régime, des chefs de hardes, des fabricants d’opinions que c’est maintenant si facile par le smart informatique et du tout connecté, les inventeurs de « ismes » comme si proches les Hitler, Staline, Mussolini, De Gaulle, et les pachydermes politiques oligarchiques actuels (les pachas), TANT TOUT LE MONDE VEUT SON PETIT CONFORT ÉGOÏSTE (contraire de la Singularité) car confort intellectuel et sentimental et être rassuré, dorloté dans une harde ou une paroisse ou un parti. L’Église de Rome caricature sa religion en en faisant une question de raison, ce qui est aussi con que d’analyser un cercle carré…
Note.
1. Mental pur : « La vritti appartient au mental rajasique (actif). Le
mental sattvique (mental au repos) est libre de vritti. Il est le témoin
du mental rajasique [ce que j’appel : « être COUR »]. Il est sans aucun
doute la vraie Conscience. On l’appelle encore mental sattvique parce
que la connaissance en tant que témoin n’est qu’une fonction de la
conscience réfléchie ( âbhâsa). Une telle connaissance suppose
l’existence du mental. Le mental est âbhâsa [reflet] ; par lui-même
[Retournement], il est inopérant. C’est pourquoi on l’appelle mental
sattvique. Tel est l’état du jivan-mukta [Libéré vivant, ou Réalisé
vivant]. On dit également que son mental est mort. N’est-ce pas un
paradoxe de dire qu’un jivan-mukta a un mental et que ce mental est mort ? C’est pourtant une concession qu’il faut faire lorsqu’on parle avec
des ignorants.
On prétend aussi que le brahman est le mental du jivan-mukta. Comment
peut-on parler de ce dernier comme brahmavid (celui qui connaît le
brahman) ? Le brahman [l’Être absolu] ne peut jamais être un objet de
connaissance. C’est cependant ainsi que l’on s’exprime en général.
On suppose un mental sattvique chez les jivan-mukta et chez Ishvara.
”Autrement, disent-ils, comme le juvan-mukta peut-il vivre et agir ?”
C’est pourquoi l’existence du mental sattvique doit être considérée dans
ce genre de discussion.
Le mental sattvique est, en fait, la Conscience absolue. L’objet vu et
celui qui voit finissent par se fondre l’un dans l’autre [vécu de rares
fois en peinture en aquarelle par le scribe de cette page] et seule
demeure, suprême, la Conscience absolue. Ce n’est pas un état de shûnya
[vide] ou d’ignorance. C’est la svarûpa, le Soi réel [la Vraie Paix].
Certains disent que le mental s’élève en premier de la Conscience, suivi
par la conscience réfléchie ( âbhâsa, conscience conceptualisante). Pour
d’autres, l’ âbhasa s’élève d’abord, suivie par le mental. En fait, les
deux sont simultanés ». (Ramana Maharshi, entretien 68 du 21-7-1935)
Dans cet entretien le Maharshi dit que le temps et l’espace ne sont que
des concepts du mental. Bien-sûr le Soi est au-delà du spatio-temporel,
les distances n’existent pas.
[Le panneau en haut de page indique au public de ne pas saloper ce lieu car ça dérangerait les Kappas]
Dernière mise à jour : 20-06-2020 00:56
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