Même un psychiatre doit laisser son patient LIBRE
de décider en fonction de ses tendances, de sa
maturité intellectuelle et spirituelle, de sa
formation, de son origine, donc aider à
affronter la vie.
Toute contrainte, toute manipulation mentale
ou suggestion et toute persuasion, même au nom
de la santé, et de soi-même, et « des autres »,
ne sera rien d’autre qu’un obstacle colossal
à l’expérience la plus décisive de toutes,
qui est la SOLITUDE, L’IDIOTÈS, LA SINGULARITÉ
avec son Soi, avec la Conscience non-locale,
avec le Centrum Centri ou quel que soi le nom
qu’on choisisse pour LA désigner selon sa
maturité spirituelle.
L’ÊTRE est le SEUL pour découvrir ce qui le porte,
le SEUL à découvrir son VAISSEAU lorsqu’il n’est
plus en état de se porter lui-même. Seule
cette expérience absolue peut permettre à l’ÊTRE
de se totaliser à L’INSTANT DE SA PERTE :
APOCALYPSE, FLÉAU, RENONCEMENT ou PUTRÉFACTION
apportant la preuve absolue de son Existence en
une base ou une SOURCE indestructible se son ÊTRE.
C’est pourquoi Nous en sommes arrivé à une phase mondiale décisive inconnue depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, la phase où un petit nombre d’humains, voir UN SEUL, veut entrainer tous les autres dans son même EGO. Cette phase passe par la SANTÉ UNIQUEMENT DU CORPS et assimilé à la
« liberté », or les vendeurs de
« liberté » sont les seuls au monde qui ne savent pas ce que ce mot/maux signifie,
LA LIBERTÉ EST INCONCEVABLE PAR LA RAISON HUMAINE parce que NOUS SOMMES LIBRE ORIGINELLEMENT, PAS DE PÉCHÉ ORIGINEL : PAS BESOIN DE VACCIN POUR ATTEINDRE CETTE LIBERTÉ : ON N’ATTEINT PAS QUELQUE CHOSE QUI EST DE TOUTE ÉTERNITÉ !
Nous avons heureusement et charitablement des chercheurs sur le mystère du corps humain comme le Dr. Christian Velot, Généticien moléculaire à l’université de Paris-Saclay, Président du conseil scientifique du Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie Génétique (CRIIGEN), qui mettent en garde les Terriens de cette menace de fabrication d’un humain unique et génétiquement modifié, un
« robot », avec tous les dangers potentiels pour les générations futures que cela pourrait engendrer, par ces vaccins OGM tel que ceux qui sont en développement contre cet épisode SRAS-CoV-2 générant le ou la COVID-19.
Un
document pdf a été rédigé pour le grand public, donc il n’est pas besoin d’avoir une « maturité » de chercheurs pour le parcourir.
Le capitalisme étant la rentabilité et la compétition par principes les laboratoires Pfizer, Moderna, etc. se livre à des compétitions d’ego en mettant par dessus bord tout principe de précaution, quand un vaccin
« normal » demande au minimum dix années de recherches.
Les vaccins contre le COVID-19 construits en un temps incroyable (moins d’un an) ne peuvent qu’être EXPÉRIMENTAUX, parce qu’ils utilisent la technologie ARNm ou ARN messager, qui sont en phase d’être mis à la disposition des gouvernements pour une vaccination de masse mondiale, après avoir court-circuité toutes procédures d’usage antérieure grâce à une expérimentation humaine des plus suspectes, avec des possibles effets secondaires graves et des mutations génétiques potentiels absolument inconnues depuis l’humain de cette Voie de l’Agriculture.
Seuls les généticiens neutres dans les conflits d’intérêts inhérents au principe de cette démocratie mercantile, sont conscient du danger réel de mutations génétiques qui doit être pris en compte.
Comme il y a trop de bouches à nourrir sur la planète, la technologie nécessairement liée au capitalisme et à ses finances ne peut qu’entreprendre la finalité accélérée de son PLAN EUGÉNISTE.
L’ego avec son intellect est la définition même du DIABLE, accident issu du SAINT CHAOS. Ce Diable par l’OUBLI (U-bli) va faire prendre le corps pour le Soi. Va faire prendre des vessies pour des lanternes ou des mots pour des choses :
FAIRE CROIRE AUX MASSES MÊMES INTELLIGENTES QU’IL Y A QUELQUE CHOSE (toujours cet utilitarisme).
QU’EST-CE QUE C’EST UN VACCIN ?
Car VACCIN = MARQUAGE, comme un baptême (Thème du
« Signe de la Bête », un baptême inversé), comme LAVÉ ou
IMMUNISÉ CONTRE LE PÉCHÉ ORIGINEL. Le Vaccin est un échappatoire sous forme du Thème du Sacrement destiné à laver ses fautes du passé, donc dans l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule).
RÉDEMPTION : par le vaccin retrouver la SANTÉ ou demeurer ne bonne SANTÉ, assimilé à la LIBERTÉ (du corps et aussi avoir une bonne santé amène un mental paisible : pas de révolte du peuple). Santé : puis-sante… impuis-sante… intéres-sante… suffi-sante… plai-sante… inces-sante… apai-sante… crois-sante… satisfai-sante…
C’EST UN CONFORT EN FORME D’ÉCHAPPATOIRE À L’INSTANT, AU ICI ET MAINTENANT. On se fait vacciner (son corps) et ainsi on est rentable et compétitif pour le capitalisme ; on pratique le yoga à coups de professeurs rémunérés fort cher ; on suit des régimes végétariens ou autres ; on apprend des textes de spiritualité de la littérature mondiale, tout cela parce qu’on ignore son Soi, c’est-à-dire parce qu’on n’est pas ACCORDÉ AVEC SOI-MÊME au plus profond et qu’on NE CROIT PAS qu’il puisse provenir quelque chose d’utile de son propre Soi. Alors cet humain qui demande un Dieu-Sécurité, un Rédemption sous la forme d’un vaccin pour le protéger de la mort, parce que c’est cela que ça signifie, partir à la recherche de la Liberté aux quatre coins du monde, et plus ça vient de loin à L’EXTÉRIEUR, des extraterrestres pourquoi pas, et plus c’est extravagant, et mieux ça vaut.
Voilà ce qu’est devenu un VACCIN : UN DIEU, LE LIBÉRATEUR, et sans moufter, sans se casser le cul comme tout ce que fourgue la juiverie financière internationale qui veut « rendre service » selon son antienne talmudique, puisque selon Attali, page 166 de : Les Juifs, le monde et l’argent : « Le malheur du peuple juif [sic] est donc un malheur pour tous les hommes », puisque c’est le « peuple prêtres » ! Antienne talmudique : « Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les entourent », pages 340, 359 et 365, là encore dans cette logique de « peuple-prêtres » qui s’occupent de tout (un ”Christ” ou une ”République” à eux seuls...)… COMME UN VACCIN et SES PETITS MOTEURS NANOMACHINES.
Les vaccins deviennent de PETITS ROBOTS dans la logique des nanomachins : « produire l’antigène de l’agent infectieux directement par les cellules de l’hôte (de la personne que l’on cherche à vacciner) en lui injectant l’ADN ou l’ARN codant la protéine virale en question ». C’est en somme l’application du Thème de l’HOMÉOPATHIE : donner au malade, à dose infinitésimale, la substance qui, prise chez un humain sain à doses fortes, produit des symptômes semblables à ceux observés sur le malade (principe des très hautes dilutions connu des Anciens).
« L’introduction de ce matériel génétique dans les cellules de l’hôte nécessite d’utiliser des
« véhicules » appelés vecteurs. Ces vecteurs sont soit dérivés de petites molécules d’ADN circulaire bactérien, appelées plasmides, et dans lesquelles a été introduit l’ADN viral codant la protéine antigénique, soit des nanoparticules de lipides dans lesquelles sont emprisonnées l’ARN codant cet antigène, soit encore des virus génétiquement modifiés dits
« désarmés », c’est-à-dire rendus notamment incapables de se répliquer par élimination d’une partie de leur matériel génétique (ADN ou ARN), lequel est remplacé par le matériel génétique d’intérêt que l’on souhaite introduire dans les cellules de l’hôte. Dans ce dernier cas, on utilise alors la capacité naturelle des virus en question à injecter le matériel génétique qu’ils contiennent dans les cellules humaines » (réf. au Dr. C. Velot du document pdf).
SIMPLE, ce vaccin contre le COVID-19 risque de rendre l’humanité comme une
CRÈCHE POUR ENFANTS CRÉTINS, où nul ne sera capable de porter lui-même une cuillère à sa bouche parce que les nanomachines intérieurement le feront à leur place. L’humain-covid sera totalement EXTÉRIEUR. Maître Eckhart et de nombreux autres sages disent :
« Ce n’est pas au-dehors, mais à l’intérieur : TOUT À L’INTÉRIEUR » (évidemment pas à coups de nanomachins intérieurs NOUVEL EXTÉRIEUR…).
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou Eucharistie].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
Les projets de vaccins contre la Covid-19.
Selon la liste de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) actualisée au 22 septembre 2020, 38 candidats vaccins font l’objet d’essais cliniques (de phase I, II ou III).
Six d’entre eux utilisent le virus inactivé, tous les autres reposent sur des approches biotechnologiques et consistent à injecter soit a) une protéine du virus (antigène) ; b) des particules pseudo-virales ; c) l’ADN ou l’ARN codant l’antigène.
- A : Dans le cas où le vaccin consiste à injecter une protéine du virus, celle-ci est produite en laboratoire par des cellules transgéniques dans lesquelles a été introduit une construction génétique contenant le gène viral correspondant et permettant son expression en grande quantité dans les cellules en question. Ces cellules sont alors cultivées à grande échelle dans des fermenteurs (bioréacteurs) et la protéine est extraite des cellules et purifiée. Cela concerne 13 des 38 vaccins en cours d’essais
- B : Une particule pseudo-virale (VLP en anglais :
virus-like particle) est en fait la capside sans le génome viral, obtenue par l’assemblage spontané de la protéine de la capside elle-même produite en laboratoire dans des cellules transgéniques. Dans ce cas précis (1 seul des 38 vaccins testés), il s’agit de cellules de plantes.
- C : Les 18 vaccins restants consistent donc à introduire du matériel génétique viral dans les cellules de la personne à vacciner (l’administration est essentiellement intramusculaire, voire intradermique dans deux des cas). Il s’agit soit d’ARN emprisonné dans des nanoparticules de lipides (6 cas), soit d’ADN inséré dans un plasmide (4 cas), soit encore d’ADN ou d’ARN délivré par un virus génétiquement modifié désarmé (8 cas).
« Le fait qu’un vaccin utilise un virus inactivé ne signifie pas une absence de risques.
L’effet immunisant de ce type de vaccins est moindre qu’avec un virus atténué. Il nécessite donc des injections répétées et l’ajout d’adjuvants, présentant potentiellement des effets toxiques, pour potentialiser l’effet immunogène ».
Considérations générales relatives à l’évaluation des risques liés à ces vaccins (ADN ou ARN COVID-19).
« Le recours à des vaccins délivrant du matériel génétique viral (ADN ou ARN) est nouveau ou récent. L’utilisation de virus génétiquement modifiés comme vecteurs, notamment à des fins de thérapie génique ou d’immunothérapie a montré à quel point les effets indésirables sont variés, non maitrisés et peuvent être graves. Si les tentatives de l’immunothérapie sont relativement récentes, les échecs de la thérapie génique depuis près de 35 ans sont là pour nous le rappeler. Ces échecs s’expliquent en grande partie par la recherche du scoop [société du spectacle ou winnerisme] au détriment de l’efficacité et/ou la biosécurité. Une telle démarche ne permettra jamais de répondre à l’attente et aux besoins en terme de soin ». (Doc. C. Velot).
« Mais l’utilisation de ces mêmes vecteurs à des fins de vaccination revêt encore une autre dimension. En effet, la thérapie génique ou l’immunothérapie concernent non seulement un nombre limité de personnes mais des personnes gravement malades. Par conséquent, non seulement les éventuels effets secondaires concernent un nombre restreint d’individus mais la gravité de leur état de santé et la situation d’urgence sanitaire dans laquelle ils se trouvent permet sans doute d’accepter une certaine prise de risques. Dans le cas de vaccins, nous sommes dans une démarche de prévention. Cela concerne donc un nombre considérable de personnes dont la grande majorité est en bonne santé (en tout cas vis-à-vis de la pathologie de laquelle le vaccin est censé nous protéger). Des effets secondaires non maitrisés auraient donc des retombées considérables, surtout dans une campagne de vaccination de masse telle que celle destinée à lutter contre la Covid-19. Ces retombées pourraient être désastreuses sur le plan sanitaire bien sûr mais également sur le plan environnemental (dans le cas par exemple de la propagation de nouveaux virus recombinants : voir section IV.3.1.). Et le fait qu’il s’agisse d’une démarche de prévention n’autorise aucune prise de risque ». (Doc. C. Velot).
« Par conséquent, ces candidats vaccins nécessitent une évaluation sanitaire et environnementale approfondie incompatible avec l’urgence, qu’il s’agisse de celle résultant de la pression des autorités décisionnelles et sanitaires ou celle des profits des industries pharmaceutiques embarquées dans cette course au vaccin. Dans sa note de cadrage du 23 juillet 2020 sur la stratégie vaccinale contre la Covid-19, la Haute Autorité de Santé (HAS) déclare :
« Dans le cadre de la pandémie de Covid-19, l’enjeu est donc de concevoir un vaccin le plus efficace et le plus sûr possible en un temps record ».
Cette allégation est un non sens et une aberration de la part d’une autorité telle que la HAS.
Les dangers liés aux caractéristiques des vecteurs viraux génétiquement modifiés ou à leur éventuelle dispersion ou dissémination doivent être traités dans le cadre d’une évaluation des risques environnementaux extrêmement contraignante.
Au contraire, les articles 2 et 3 du tout récent règlement européen 2020/1043 selon lesquels tout essai clinique de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes et destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19 échappe aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement ouvre la porte au plus grand laxisme en terme d’évaluation et va totalement à l’encontre du principe de précaution.
De plus, ce règlement, remet en cause, de fait, la législation de confinement qui s’applique aux micro-organismes et aux virus génétiquement modifiés. Cette règlementation définit 4 niveaux de confinement (identifiés de 1 à 4, le confinement étant d’autant plus contraignant que le chiffre est plus élevé). La manipulation de virus pathogènes exige un confinement minimal de 2, très souvent de 3, voire 4. Les dispositions du règlement 2020/1043 ouvrent la porte à un confinement zéro avant même d’avoir apporté la preuve de la sécurité sanitaire et environnementale des virus génétiquement modifiés en question ». (Doc. C. Velot).
CONCLUSION : Sans le vaccin COVID-19, à 90% obligatoire, le politisme du Nouvel Ordre Mondial de la première phase de son Plan arrivé à maturité depuis des millénaires s’effondre.
RAPPEL : Nous sommes dans un monde totalement utilitariste dans L’UTILITAIRE NOMMÉ
« BONHEUR » ou
« LIBERTÉ », pour preuve : L’ÉVOLUTIONNISME DOUBLÉ DU TRANSHUMANISME : UNE RÉDEMPTION MATÉRIALISTE COMME UNE ASPIRATION À LA SAINTETÉ MAIS INVERSE, À CAUSE DE L’EGO, DE SON LANGAGE PRÉSENT QUI N’EST PAS FAIT POUR EXPRIMER DES CHOSES AUSSI EXTRA-ORDINAIRES ET RARES COMME LES SYMBOLES DU THÈME DE L’AMOUR OU GRATUITÉ, Y COMPRIS L’IMAGINATION CRÉATRICE D’UN IBN’ARABI, SOIT POUR EXPRIMER LA SPIRITUALITÉ (laquelle ne peut passer que par le
SILENCE…).
Mais l’Imagination créatrice est une source de Zéro indien ou ÉNERGIES MUTANTES…
L’utilitaire fait que la passion devient désir, l’amour devient famille ou fédération ou
« vivre ensemble » et le feu vulgaire devient un foyer, surtout utilitaire pour la métallurgie… C’est l’utilitarisme, la normalisation rationalisation, la socialisation qui passe nécessairement par des LOURDEURS (ou du grégaire) ; lourdeurs que voudrait alléger notamment un vaccin tout confort : on est piqué une fois et on n’y pense plus et on poursuit son Faire/Fer dans le régime (sauf si effets secondaires, momentanés, ou durables)…
Pour les
« sauveurs » ou
« rédempteurs », le vaccin serait
« comme un FEU » (un moteur) : le foyer qui réchauffe, qui réconforte comme une femme ou comme une religion, COMME UNE INTENSITÉ D’ÊTRE (du corps seulement, et seulement au niveau de la conscience conceptualisante ou raison).
VACCIN = FEU INTIME….
ET SI CE FEU (vaccinal) ÉTAIT COMPARABLE AU NUCLÉAIRE ? BONJOUR LES DÉGÂTS…………
VACCIN = MARQUAGE, comme un baptême, LE VACCIN COVID-19 EST LE GRAND BAPTÊME CAR NOUS SOMMES EN GUERRE DES HÉBREUX-JUIFS CONTRE LES PAÏENS, soit une GUERRE TOTALE CONTRE NOUS-MÊMES.
Le 11 septembre 2001 fut un 1789 bis avec principe de haute technologie destiné à fabriquer le monde actuel du COVID-19 selon le canon de la City de Londres et de Wall Street.
Nous sommes en GUERRE TOTALE : IL FAUT ÊTRE AU MINIMUM DEUX POUR COMMENCER UNE GUERRE D’OPINIONS… ET UNE CROYANCE EST UNE OPINION ET UNE FORME DE RELIGION (relier au minimum deux individus). NOUS SOMMES EN COURT-CIRCUIT PERMANENT PARCE QUE RIEN N’EST RÉDUIT EN EAU (IL N’Y A QUE DES DIVIDUS, et non des ”individus” comme appelés improprement à ce hui sous 1789). Seul le « fait avec l’Eau » produit quelque chose sans dualité parce que dans l’INSTANT : il y aura FLUIDITÉ. FLUIDITÉ = RÉDUIT À CELA. RIEN NE SE PASSE S’IL N’EST RÉDUIT EN EAU, en PERTE….. (Eau ou Conscience infinie non localisable : Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout).
[En haut de page : le diable, lithographie par Eugène Delacroix, pour Faust. Il y a
« Lumière » et
« Lumière »… Et le mental est le diable, issu lui aussi du Saint Chaos, du Soi ; ce diable en quête de FAIRE/FER ou de travail comme un salarié ayant perdu son job, car la GUERRE se passe aussi entre ce qui est caché et ce qui est supposé
« conscient » : on peut parler en Occident de
« Travaux d’Hercule » à propos de la dualité inconscient-conscient, à cause de ce mental qui complique le TOUT. Alors c’est le diable qui va s’occuper de ce qui est compliqué et qui va le compliquer encore plus, faisant que l’être humain en oublie son Soi et pendant plusieurs millénaires…. C’est sans doute pourquoi cet humain commença à
« parler », puis à
« écrire », pour
« communiquer »… à l’autre ?….. J’EN DOUTE TOTALEMENT, À ME BASER SUR L’EXPÉRIENCE DE LA MORT DE MA MÈRE CONFRONTÉ À L’AUTRE : À SAVOIR L’HÔPITAL… POURQUOI ? TOUJOURS À CAUSE DE L’UTILITARISME, et le diable aime à organiser, à administrer, donc à RENDRE UTILE, À RENDRE SERVICE : ser-vice, et pour servir il faut être au minimum DEUX… même si on se sert soi-même… À l’hôpital, seul compte l’utilitaire ; de l’humain cette institution moderne n’en à rien à foutre]