Par principe : tout ce qui concerne la Santé et
qui vient d’une multinationale du capitalisme et
de son régime républicain ne peut qu’ÊTRE À JETER.
Et tous les vaccins tournant autour du COVID-19
SONT HAUTEMENT SUSPECTS PUISQUE
« NOUVEAU VU À LA TÉLÉ ! » comme tout ce
qui vient du QUANTITATIF MATÉRIALISTE est
À JETER COMME L’UNIFORME OU LA PENSÉE NORMÉE OU
L’OPINION PUBLIQUE EST À JETER : LA PERTE OU
APOCALYPSE, LA PUTRÉFACTION, LE FLÉAU, DIGESTION,
ABANDON : Renoier, Noyer, Tuer.
Alors Nous ne seront pas loin de la Blancheur puis
de l’Or Rose du Pommier, la Fontaine de jouvence…
RISQUES AVEC LE VACCIN COVID PFIZER MODERNA (vaccins OGM : nanoparticules de lipides dans lesquelles sont emprisonnées l’ARN codant cet antigène, soit encore des virus génétiquement modifiés dits
« désarmés », c’est-à-dire rendus notamment incapables de se répliquer par élimination d’une partie de leur matériel génétique (ADN ou ARN), lequel est remplacé par le matériel génétique d’intérêt que l’on souhaite introduire dans les cellules de l’hôte [doc.
pdf du Dr. Christian Velot]).
Le risque est L’AUGMENTATION DE LA VIRULENCE DU VIRUS COMME JAMAIS, et pourquoi pas jusqu’à décimer la race humaine (comme dans un scénario à la Hollywood). Idem, les virus devenus
« Supermen » peuvent se recombiner ou s’accoupler avec des virus naturels et engendrer des effets Hollywood genre
« Love and Monsters » avec les petiotes chouses devenues des monstres de plusieurs mètres. Les risques de recombinaisons de virus OGM ou artificiels avec les virus naturels sont réels.
Pfizer, Moderna et Anthony Fauci plombé de médailles SONT DES APPRENTIS SORCIERS DIGNE DES FILMS CATASTROPHES HOLLYWOODIENS, mais c’est peut-être l’humanité entière qui se trouve prisonnière dans l’ego de ces gens là.
L’être humain est un spirituel prisonnier de sa dualité pur-impur ou dedans-dehors.
PUR = ce qui n’est pas mêlé à un élément impur : IL N’Y A DONC PAS ÉCHANGE… POUR AVILIR, PROFANER, RENDRE MALADE.
PURETÉ = SANTÉ OU « ENDIEUSEMENT » (bonheur, félicité, s’envoyer en l’R, Amour).
IMPUR = ce qui dérange comme le dévergondé ou le terroriste, ou l’opposant au régime étatique dérange
« l’ordre établi » (le chaos en fait). L’impur va engendrer la maladie : Mal-à-dit quand le D.I.T. signifiait encore déité.
IMPUR = REJET (on rejette les migrants… on rejette les cadavres…), parce que ça Nous rappel que naître ici-bas sera suivie d’une mort (sauf pour les Juifs des Google transhumaniste qui veulent
« vivre éternellement » ici-bas).
Mais il est certain que la phobie du cadavre est très répandue chez l’humain occidental, surtout habitué à un confort outrancier d’un winnerisme colonisateur par rapport à d’autres populations.
PUR = LUMIÈRE, NON DUALITÉ : RIEN NE PASSE, RIEN À RÉPARER (pas de Chute ou de péché), RIEN À UNIR : ELLE PASSE, COMME LE VENT, COMME L’EAU.
LUMIÈRE = RIEN. Comme il y a
« Lumière » et
« Lumière » certains parlèrent
« d’illuminés » (ou illuminisme)….
À l’ère informatique du grégarisme informe et atique du tout connecté et
« vivre ensemble » très peu de personnes ont conscience de cette société fourmilière, cette hypertrophie du social et de l’entassement des masses maintenant dans l’urbain-béton :
LES MASSES ORGANISÉES. Même le collectivisme ou socialisme de l’Église médiévale n’a que rarement atteint, voir jamais atteint, le degré de pression des individus (les dividus en fait).
Par exemple Nietzsche repris dans son Zarathoustra le mythe du Superman (en fait le Soi), le mythe SEULEMENT du scénario du Réalisé ou Bienheureux, car Nietzsche a situé son
« Superman »… ICI-BAS (corporellement), comme tenteront de le faire les Juifs Google transhumanistes ; c’est pour ça que Nietzsche ne pouvait qu’être anti-chrétien, car son Superman est encore un mélange pur-impur collé à la conscience conceptualisante. On connaît à quel point et dans quelle formes très spécifiques cette destiné allait frapper Nietzsche, tant moralement que physiquement. Et que répondit la génération suivante ? Mais par un socialisme des plus aliénant : un grégarisme collant les êtres les uns aux autres, et sous COVID les collant par informatique ou technotronique et bientôt PAR CONNEXION VACCINALE… SOIT UN TOTAL ÉTOUFFEMENT DE LA PERSONNALITÉ, d’une part ; et d’autres part
Une Réalisation du Soi ou du Christ totalement blessé. TEL EST LE BILAN DEPUIS SURTOUT L’APRÈS 1914-18.
La fausse route de Nietzsche fut son identification avec le WINNERISME SI MARQUANT DEPUIS L’ÉTABLISSEMENT DE CE PAYS NOMMÉ
« ÉTATS-UNIS », lequel est lié à ce même WINNERISME NOMMÉ MONDE ANGLO-SAXON et sa City financière de Londres nombril du capitalisme.
Nietzsche a CRU que le Soi était mort, variation de ceux qui annoncèrent
« Le Grand PAN est mort ».
POURSUITE DU PUR OU DU SURHUMAIN comme tente de le faire les labos Moderna Pfizer, Pasteur et autres… comme les Juifs Google transhumannistes.
Depuis les
« lumières » du siècle des perruques poudrées leur conscience est devenue
« Ce que je sais », donc triomphe de l’opinion ou du mental :
IL N’Y AVAIT AUCUNE AUTRE PSYCHÉ OU CONSCIENCE, QUE L’EGO, L’EGO, L’EGO ; en plus étalé en long et en large dans une Encyclopédie telle celle des Diderot et Cie (un matérialisme qui éclate à la gueule dans absolument toutes ses gravures et qui prophétise la révolution industrielle au 19è siècle occidental).
Quand, à partir du 17è siècle occidental apparurent des sociétés secrètes ou sectes, telle la judéo-maçonnerie de Cromwell, le politisme s’installait avec la décadence de la spiritualité et la course au matérialisme et à l’utilitaire (productivisme).
Pourquoi ? Parce que la raison d’être des sectes ou société secrètes est de CONSERVER ce qu’est l’être humain sur le plan politique : la connaissance de l’humain en lui-même, qui va devenir l’actuel socialisme grégaire et société fourmilière pilotée par son État profond, avec ce mental si rationnel et utilitariste, et dehors le MERVEILLEUX, il sera laissé à un « spécialiste » du merveilleux industriel produit par l’entertainment américain et par la consommation.
LA DUALITÉ PUR-IMPUR VA PRODUIRE NON SEULEMENT LE PÉCHÉ, MAIS SON CONTRAIRE : LE RACHAT DU PÉCHÉ, dont les Hébreux-Juifs s’empareront pour devenir le « peuple-prêtres » ou « peuple élu », les MÉCANOS DES AUTRES HUMAINS QUI SERAIENT DANS LES PÉCHÉS, PAS LES « ÉLUS » DE L’ARCHE D’ALLIANCE, DONC DE L’ACHAT : SANS PÉCHÉ IL N’EXISTE PAS DE RACHAT OU DE REPENTIR ! CE QUI EST FORT ENNUYEUX POUR FOURGUER UNE RÉDEMPTION, UNE RÉPARATION !!!
Donc sans péché originel pas de Rédemption, pas de religions du Salut ! Avec ce système on évite de prendre conscience de ce qu’est vraiment l’impur associé à un Dieu qui produirait l’impur, le mal (« volonté de Dieu »), afin de produire ceci ou cela ! Voir les êtres humains confrontés à leurs profondeurs mentales les sombres et terribles opinions !
- Question : Pourquoi le samsara – la création et la manifestation sur le plan du « fini » – est-il plein de souffrance et de mal ?
- Maharshi : C’est la volonté de Dieu.
- Question : Pourquoi Dieu veut-il qu’il en soit ainsi ?
- Maharshi : C’est impénétrable. Aucun mobile ne peut être attribué à ce Pouvoir – ni désir ni finalité ne peuvent être conférés à ce seul Infini, cet Être omniscient et omnipotent. Dieu n’est pas affecté par les activités qui se déroulent en Sa présence ; tout comme le Soleil face aux activités du monde. Il n’y a aucun sens à vouloir attribuer à l’Unique une responsabilité ou une motivation, avant qu’il ne devienne le multiple. Mais la volonté de Dieu, régissant le cours prescrit des choses, fournit une bonne solution au problème du libre arbitre (vexata quaestio). Si notre mental est agité par le sentiment d’imperfection et d’insatisfaction de ce qui nous arrive ou de ce que nous avons commis ou omis, alors il est sage d’abandonner le sens de la responsabilité et du libre arbitre et de nous considérer comme l’instrument prédestiné de l’Omniscient et Omnipotent afin d’agir et de souffrir selon Son bon plaisir. C’est Lui qui se charge de tous les fardeaux et qui nous donne la paix.
(Entretien 28 du 4-2-1935).
Donc en suivant cet entretien du Maharshi, on ne peut pas juger par le mental lié à l’ego du
« bien » et du
« mal ». Cependant la division fait toujours ses ravages quand les uns disent :
« Fais ce que dois » (nécessaire au social politisé) ; quand les autres disent :
« Fais ce que voudras » (nécessaire à la société et à son social de consommateurs ou utilisateurs, société actuelle du libéralisme).
TERRIFIANTE DUALITÉ, et impossible à résoudre par un vaccin qui ne ferait que robotiser l’humanité, car le drame de l’humanité est quelle est divisée en facteur de composition de dividus chercheurs que leur géométrie mental a construite pendant ces 10.000 ans de la voie de l’Agriculture.
De ce fait, il n’existe aucune vérité qui, représentant la Rédemption pour les uns, ne signifierait enfer pour les autres. DEPUIS LES 10.000 ans TOUT L’UNIVERSEL CHUTE DANS LE GOUFFRE SANS FOND DE CE DILEMME, inhérent au Moi-Collectif/Moi-Individuel.
Ainsi : QUI EST-CE QUI AGIT, pour le bien ou pour le mal ? Pour le matérialiste, ce sera le FAIRE/FER, l’acte (juste ou injuste, pur ou impur) ; et QUEL EN EST LA CAUSE ? Mal et Bien sont les deux faces du même symbole : la VIE. Certains ont dû déjà dire qu’il n’est de bien qui ne puisse susciter de mal, ni de mal qui ne puisse engendrer de bien. (Voir le signe du
Taiji)
« Dieu » produit-Il la
« permanence d’une erreur ? d’une chute ? ». Parce que cette erreur semble permanente : ses attributs ne changent jamais. « Les choses erronées n’ont pas la caractéristique de changer : ce qui change, ce sont les fictions que l’on produit à leur sujet. Voilà pourquoi l’erreur est permanente en tant que telle », dit le
Lankâvatâra, chapitre
Compendium de tous les enseignements, 43.
Idem 43 : « Mahâmati, la distinction entre les idées justes et les idées fausses à l’endroit de l’erreur donne lieu à l’existence de deux familles : la famille des êtres sublimes et la famille des sots. La famille des êtres sublimes se divise en trois branche : les Auditeurs [premier Disciple, adepte du petit véhicule], les Bouddhas-par-soi [pratiquant du petit véhicule qui atteint la Libération de sa personne en méditant sur le cycle de la production interdépendante de toutes les réalités], et le véhicule des Bouddhas [ceux qui réalisent que tout n’est que l’expression des idées fictives qui jaillissent de leur propre mental sans que rien n’existe réellement hors de ce mental] ».
Le
« rachat des péchés » semble à l’époque du délire technologique passer par LE VACCIN : on transfert ses péchés dans un vaccin ou un médiateur par le moyen de la contrition (
”c’est ma faute…” ou repentir), ou de l’attrition (du latin
attritio : frottement, donc avec le feu et le sexe… Et sens du regret par crainte des peines).
Péché et sans péché = repentir et non-repentir, qui rejoint permanence et impermanence (voir ci-dessus et ci-dessous). « Le vaccin s’occupe de tout », comme
Amazon, et que c’est tout confort !!!
Toujours à 43 : Réponse du Bouddha :
« Toute illusion n’est pas cause de méprise, car ce n’est pas l’illusion qui forme les résistances ni elle qui se trouve au cœur des idées fictives. Mahâmati, l’illusion est l’effet des formules magiques d’un autre [l’extérieur] et non le produit de ses propres propensions à inventer des fictions. Voilà pourquoi les illusions n’engendrent pas de résistances [la Création remplie de souffrance et de mal comme mentionné ci-dessus dans l’entretien 28].
Mahâmati, toutes ces catégories d’erreurs ne sont que des croyances auxquelles s’agrippent les sots - en aucun cas les êtres sublimes ».
Conclusion en vers par le Vénéré des mondes :
Les êtres sublimes ne voient pas d’erreur [ou de chute]
Car au sein de l’erreur il n’est rien de réel.
Or du fait que l’erreur elle-même, c’est le réel (1),
Au sein de l’erreur encore, le réel est vrai.
Être libre de l’erreur mais avoir encore
Des idées de caractéristiques,
C’est toujours une erreur, une taie [voile, masque, persona, rideau]
Sur l’œil qui n’est pas encore tombée.
Note.
1. « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936.
RIEN, JAMAIS, NE VIENT À L’EXISTENCE. IL N’EST DONC NI PERMANENT NI IMPERMANENT. (
Lankâvatâra, chapitre
Permanence et impermanence de l’Ainsi-Venu).
Résumé de ce chapitre par le Vénéré des mondes :
Bien que libre de la permanence et de l’impermanence,
Il manifeste la permanence et l’impermanence :
En voyant toujours le Bouddha de la sorte,
On ne souscrit à aucun fausse vue.
S’il était permanent ou impermanent,
Toutes ses œuvres se révéleraient vaines.
Qui ne sacrifie pas aux idées fictives [de cette société du spectacle]
Se passe des notions de permanent et d’impermanent.
Tout ce que l’on peut affirmer à son sujet
N’est qu’erreur et source de confusion.
En lui, ne voyez que votre mental :
Vous ne soulèverez plus la contestation [ou tyrannie de l’opinion].