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Ecrit par Sechy, le 04-03-2021 21:57

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Ampoule, Anarchie, Araignée, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Ouvrier, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Pieuvre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Rire, Royauté, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Washingtonisme, Yokaï

 
 
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Pour commencer
Nous pourrions employer le I
l’Axe, comme dans le français du
Moyen-Âge, le I indique le Point Focal
ou Origine : « Menez m’I » (Queste du
Saint Graal ou Réalisation du Soi).
Ainsi le I ou Axe sera non-dualité,
non-possession en pronom substitut
non personnel remplaçant le pronom
personnel et possessif
ego du ‘je’, tu,
il (elle, lui) nous, vous, ils (elles, leur)

 
En langue anglaise le ‘je’ se dit I…
Paradoxe de cette langue si impérialiste de
possession qui fait sa Fric/Flic politique de
pluie et de beau temps partout sur le globe…



Le I de EVE : IEVE, IAVE : eau.
Le I en pronom démonstratif neutre : Ice, Iço, Iceo : Ce, Cela : « Sire, se jo fis iceo, se est felenie en mes mains ». « A ice », alors. Por ice : c’est pourquoi.
Icel, Icelui, Icil : démonstratif du spatio-temporel qui remplit à la fois les fonctions actuelles d’adjectif : « En iceli tens deliteus », et de pronom : « Bonauré tuit icil du espeirent en lui ».
Iceo : pronom démonstratif neutre (Ice, ce, cela).
Icest : démonstratif renforcé ; icestui. Icist : cas sujet (C’est) et démonstratif de rapprochement).

Dans le même Thème du I de l’Axe Nous avons Idee (forme ou re-présentation des choses ; Idiote : du latin idiota : sot, et du grec), mais aussi Singularité, latin Idiotès : Unique ou simple, particulier. Idle, Idfre, Idele, du latin chrétien idolum ou idola, pluriel pris au sens féminin du grec ; Idole, Dieux païens (pour les religions abrahamistes).
Même Thème avec Idoine : capable : « En lui ot chevalier ydone ».
Même Thème avec Ierre : route ; Igal, Iguel, Ingal : égal, de nature même, égalité, valeur. Et Iglise : église (du latin chrétien ecclesia, du grec). Ignel : rapide, léger. Il : pronom personnel du latin populaire illi, pour ille, démonstratif et nominatif. Le Ils au pluriel ne date que du 14è siècle…

Démonstratif de rapprochement ou de spatio-temporel :
- Masculin singulier : Cist (cas sujet), Cis, Cit ; Cest ; Cestui, cesti.
- Masculin pluriel : Cist (cas sujet) ; Cez (cas régime).
- Féminin singulier : Ceste (cas sujet) et neutre : cest (12è siècle) ; Ceste (cest (12è siècle) ; Cesti (cestei).
- Féminin pluriel : Cestes (cez) ; Cestes (cas régime).

Démonstratif d’éloignement ou de spatio-temporel :

- Masculin singulier : Cil (cas sujet), Cel (cil), Celui (celi).
- Masculin pluriel : Cil (cas sujet) ; Cels (cas régime), ceux, ceals.
- Féminin singulier : Cele (cas sujet), cil (12è siècle) ; Cele (cel 12è siècle)
- Féminin pluriel : Celes (cas sujet) ; Celes (cas régime).
(Réf. dic. du Français du Moyen-Âge, Larousse).

À partir de l’actuel ‘je’ ego possessif l’humain va effectivement utiliser sa loi de succion tellement bien appliqué « TIRER SON ÉPINGLE DU JE (jeu) » : le ‘je’ possessif c’est le consommateur et l’usager dans sa maturité absolue envers sa soumission au régime capitaliste et républicain l’A-trait, le Re-trait, le Re-gard (dans cette société du ‘moi’ et du spectacle de ce ‘moi’). Et plus l’usager par son ‘je’ de consommateur garde, possède, et plus il se différencie (d’I, comme écrit ci-dessus), du processus ; plus il O-pose sa Ré-fér-en-ce du Ré-EL à ce I ou EL, l’Axe du I soit la proposition MAÂT ou direct. Comme ça va se construire ce Moi-Individuel ou personnalité LE DIABLE SUR TERRE OU PRINCE DE CE MONDE : LE OUI PAR RAPPORT AU NON, LA DUALITÉ OU LE BINAIRE DE L’INFORM-ATIQUE, LE N DU NO (arrêt) au sens du latin verberacion, du latin verberatio (frapper, fouet, coup, correction), dans le Thème Verbe : suite de mots prononcés par les cordes vocales humaines, et aussi habilité à se faire entendre et comprendre.
Certain que l’informatique « JETTE UN FROID », contrairement à la devise du « réseau social » informatique Facebook qui avance : « Facebook vous permet de rester en contact avec les personnes qui comptent dans votre vie »
Dans ce monde winneriste en dualité winner-loser ou Oui par rapport à Non, le Normal par rapport à la Nature, la Culture par rapport à la Vie, etc., tout est en train de va-ciller (ne pas voir ou « ciller », battre des cils ou cligner de l’œil à cause d’une lumière trop aveuglante).

Dualité qui vient de Mémorisation par le mental : le killer qui met I à mort (met-mort-I-sation) en possédant un autre ‘je’ que le I ou IET. Soit en organisant, administrant, élaborant (du E) son Nid dans l’objet en oubliant le I du Sujet, objet qu’il prend pour le Soi en oubliant le Sujet.
Cela va engendrer PORTEUSES ET SOUS-PORTEUSES vibratoires (aussi au sens d’égrégores) à n’en plus finir, soit INTERférer (Faire/Fer du E, soit le Désir, l’Entrave (en travers, en faux, en artifice) du tissage de la trame noms-les-formes). Ainsi les rêves n’ont pas de différence avec ce que les Terriens appellent « veille », ou « journée ».

L’ego est le CAPTIF MÊME DE L’EGO ET DE SON MONDE QU’IL CROIT À L’EXTÉRIEUR : Capt-I-V-I-té : possédé, par sa propre possession de la manifestation artifice : Mon-d’E, qui corresponde au sens de Dé-mon !
La vie de l’humain est faite de VIDE (VI depuis E), ce qui ne pouvait qu’engendrer la trinité corps-sens-mental et sa LOI DE SUCCION : A-VIDES, pulsion réelle terrifiante et fiente-chaos s’expriment en BOUFFEZ-VOUS OU EXPLOITEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES. LA GRATUITÉ OU AMOUR EXPRIMÉ PAR LE MOT CHRIST EST OUBLIÉ PAR MÉMORISATION DEPUIS LONGTEMPS ! AINSI VONT LES ABSURDITÉS, CRUAUTÉS, MÉCHANCETÉS, MENSONGES, VULGARITÉS dans le sens Juif de rachat du paradis par le travail (tri-vial) et non labour ou labeur, mét-ier ou tri-mer, etc., par la VOIE LONGUE OU « HUMIDE » (sens du Labour alchimique), la Voie non-Maât ou indirecte.

POUR COMMENCER :
Le « roi » ou I c’est effectivement NOUS TOUS, mais pas à la mode « démocratie république » actuelle fondée sur les conflits d’intérêts liés à l’ego et ses possessions et donc limitée forcément par ses propres possessions qui n’ont pas de fin puisqu’après un pas je puis en faire deux, et ainsi de suite dans cette géométrie euclidienne de la ligne droite et de l’évolutionnisme. De plus dans ce régime de la possession des « gens de bien(s) » le roi est l’institution du culte du narcissisme, et dans « l’égalité », censé être représentée par l’Axe du I, le PIVOT (de l’Arbre de Vie).

Ce Pivot I Chiffre 9 dans l’alphabet comme le 9 Chiffre du Ciel en Chine ! Soit englobant tous les possibles, sans limite : Pierre de Touche alchimique (preuve par 9…), et aussi 9+2=11 le NOMBRE DU TAO (=2 pour laisser l’ouverture au 3 INHÉRENT, participant de la TRINITÉ UNIVERSELLE).

Ce Pivot, égalité aussi, est à rapprocher du mot gaulois IXSO, IXSI : selon une inscription (Châteaubleau, L-93, ligne 6-7) : ateri xsi, à lire ateri ixsi (Père à moi-même, c’est-à-dire ”ô mon propre père” et (L-90) : mon gnat’ixso ”mon fils à moi-même”, comparable au latin ipse « moi-, toi-, lui-même ». Réf. Dictionnaire Français-Gaulois, de Jean-Paul Savignac. À rapprocher du CHICOT ou TROU, STARGATE, PORTE de l’Éveil défini par le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement
au-delà, l’Éveil, ainsi), du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante.

Le fameux TROU, la STARGATE du « Gate gate pâragate… » se retrouve jusque dans le CHICOT (comme la dent manquante ou cassée qui ne servira plus), le RIEN DU TOUT. Voir aussi l’espagnol chiquito (petit), l’auvergnat tches, ou tchet (mie en vieux français, rien) ; voir le français chiche, le grec kykkos (pépin).
Dans toutes les langues le mot CHIC est en rapport avec MAÂT : ce qui est direct, dans l’Instant, a-temporel, le POINT C'EST TOUT, soit : l’adresse, la facilité, l’aisance, le savoir-faire, le NON-AGIR, LE NON CALCUL ; on dit aussi « avoir du chien », de la prestance, de la créativité, etc., rejoint le ZÉRO INDIEN ou énergie libre.
Voir la Déesse égyptienne ISIS, parfois surnommée « la Chaise », à cause de sa chaise-PIVOT posée sur sa tête : les Anciens se représentaient leur planète comme une toupie portée par un pivot très fin. Pivot-chaise qu’on voyait autrefois chez les montagnards Auvergnats, qui s’en servaient pour traire leurs vaches. C’est la lettre T, « la chaise » (le CRUCIFIX ORIGINAL), et la POINTE comme L’AURORE DE LA COULEUR D’OR ROSE DU POMMIER… SOIT LE SYMBOLE DE TOUS LES POSSIBLES, AUCUNE LIMITE. Isis est Vierge-Mère avec sa sœur Nephtys formant les DEUX PLEUREUSES : Eau de Vie de la sphère du mental, et Eau de Mort-Colle de la passivité négative qui corrompt pour donner la vie (Putréfaction ou Renoncement).
OR ROSE DU POMMIER OU AURORE = LIBÉRATION (”la jeunesse du Jour”).

ISIS = CHAISE = AURORE, LETTRE X, POINTE DU JOUR (son chic chicot) et en hébreux « Mir-iam » : LE RIEN DU TOUT : être et non-être à la fois, l’Instant ou « actualité » (au sens où le temps n’existe pas : tout est Maât, direct, sans HOTC : Histoire-Opinions-Temps qui coule).
La cathédrale de Chartres vénère encore la Vierge Noire sous la forme druidique d’une Pierre noire sur laquelle on lisait : VIRGINI PARITURÆ (voir ci-dessous le Le FIL, emblème de la « mort   qui était NOIR (QV veut aussi dire « noir » en hébreux). Image qui n’a pu appartenir qu’aux Gaulois qui voulaient enfanter sans cesser d’être vierge ! (rapport à Gaïa ou Terre-Mère et toujours l’EAU PRIMORDIALE). Les Gaulois étaient en rapport avec cette VIERGE NOIRE : CULTE DE KERRIDWEN, avec la racine KR en rapport avec la Pierre Noire, la STARGATE, le TROU du Trouvère, la Pointe ou le Trou du CHICOT. Voir plus de détails du culte de Kerridwen sur ce site. La conclusion du site en lien parle de « Déesse Blanche », je dirais plutôt « Déesse Rose »….. Parce que NOÊL = OR-ROSE : tous les ans à Noël, la Virgini Parituræ se transformait en poule noire (Putréfaction) et avalait chastement un pépin de grenade   elle accouchait dans l’Instant (le Blanc) d’une ŒUF D’OR : NOËL : le Nouveau Soleil ou « le Front brillant ».
Alors le culte de Kerridwen s’est conservé en France sous deux formes distinctes : invocation dans les anciennes cryptes des églises romanes sous la protection d’une Vierge Noire ; on l’invoque à minuit dans les carrefours déserts sous la forme d’une poule noire qui pond des œufs d’Or.

VIERGE NOIRE = NIGRA SUM, SED FORMOSA
(Elle est noire mais belle). La Vierge Noire est inconnue dans le protestantisme, mais partout en nombre d’endroits sur la planète sa mémoire est encore très présente.

Le I de l’Axe renvoie au FUSEAU, FUSÉE : dans les spiritualités originelles, nombre de divinités, notamment Ariadne, dont le nom signifie « Fuseau » renvoie au I, I-mmobile comme  le Centre du cyclone est immobile. FUSEAU, FIL, FIL D’ARIANE et autres Dieux du fil et de la corde forment une catégorie de divinités ayant conservé le nom de « funestes » ; le fil représente en effet le dernier degré de d’épuisement du jour et de la vie ou de la mort ; ainsi toutes les divinités infernales ont leur têtes ceinte d’un fil ou d’une bandelette et tiennent à la main une lance ou une mince baguette de myrte, qui a même signification.

LE FIL DE LA VIE OU DU JOUR OU L’AURORE AU DOIGT DE ROSE : TOUT DEVIENT POSSIBLE : LE BLANC DE L’INSTANT ET LE ROUGE DU ZÉRO INDIEN FONTAINE DE JOUVENCE QU’ALIMENTE L’EAU PRIMORDIALE.

En France, à Paris, Nous avons l’extraordinaire charitable chance d’avoir Nostre fuseau : LA TOUR SAINT JACQUES…

I de l’Axe, de l’épine, de l’épée, de tout ce qui a une extrême ténuité, de là les noms : Tanit (l’épuisement), Tenia (la bandelette), Asun, Asnat, Athena l’épine ou l’aiguille qu’on donnait pour femme au Dieu Fil.
Dieu Fil qui se retrouve sur les vases grecs, avec radical de « Covocle » : KO, KV, KVS (structure consonantique pour palier aux lettres tombées en désuétude par leur équivalent latin (le C et le F, par exemple, pour le qoppa et le digamma). Donc Covocle en latin « Ceux ». Il s’écrit par l’ancienne forme du J et de l’X (voir plus haut le mot gaulois IXSO proche de la sonorité ISIS ; LE X QUI EST UNE CROIX RAPPELANT LE TROU (de tous les possibles). Ainsi la « croix » se lisait crux en latin, et stavros en grec ; frigus en latin devenait en grec kryos, etc. Tous ces mots signifient : formé, croisé, et par extension : FIL. TISSAGE ; L’Alchimie est dite : « Travail de femme », ce Tissage de modèle de vie : un « jeu d’enfant », une broderie ou les Traits de Fil sont appelés « POINTS ». L’expression « Broder » signifie aussi amplifier un récit, en rajouter… Ce qui peu facilement amener à « Tirer son épingle du ‘je’ », comme déjà écrit plus haut, donc en remettre, selon la loi de succion et de possession….

Le Dieu Kp, Ceus ou Çiva (Shiva) est représenté sur les vases grecs sous la forme d’un monstre marin et en Inde Shiva est représenté avec le Trident des divinités de l’EAU : Neptune, Chalchiutlicue, Satan, Shiva le destructeur et fécondateur soit les deux en même temps comme les « Deux Pleureuses » Isis et Nephtys dans l’Arbre de Vie de l’Énnéade d’Héliopolis, en correspondance avec la Kabbale. (Isis en ”Eau de vie” ou sphère du mental, et Nephtys en ”Eau de mort” ou ”colle” pour recoller ou redonner la vie et centre des émotions et passivité négative). Voir aussi le Caducée d’Hermès. De là Nous arrivons aux VIBRATIONS PORTEUSES ET SOUS-PORTEUSES : les divinités de l’Eau et poissons avec une queue ondulée qui indique l’origine de son nom hébreu : QV : force ou torsion (voir l’œuvre de Viktor Schauberger et les Vortex). C’est en effet cette force de torsion qui fait monter et descendre le fuseau auquel on comparaison la lumière solaire. Le FIL, emblème de la « mort » était NOIR (QV veut aussi dire « noir » : force, torsion [trés important...]). Le soleil fait une NAVETTE au-dessus de la Terre, ce qui forme une sorte de TRAME (THÈME) : la Terre. Navette chargée de Fil à minuit; qui devient nue ou dépouillée à midi, d’où le nom de Kovolkli (dépouillé de fil, du grec Anadyomène : dépouillé, dévoilé, nue et « sortant du bain ou de la mer ». Vénus Anadyomène est toujours représentée entièrement nue, tandis que la Vénus de Milo (lumière solaire) n’ayant parcouru que la moitié de sa course ascendante, est drapée jusqu’à mi-corps.

Çiva (Shiva) = ARCHE (theba ou thiva en hébreux), Çiva (Shiva) = « esquif » ou « ship » en anglais. On nommait ainsi ces embarcations en forme de fuseau, dont se servaient encore au 19è siècle les Groenlandais. La poupe est indiquée par une tête de serpent (Çiva), et la proue par une tête de sanglier ou de cheval (Vishnu). Dans les pays scandinaves ces embarcations servaient de cercueil, ce qui a donné lieu à la légende de l’Arche de Noé (NV, du latin nudus, voir aussi Novo : Cham fut maudit pour avoir moqué la nudité paternelle) et à la barque de Charon. On trouve cette Arche sur tous les sarcophages égyptiens, mais elle est d’origine boréale, comme le culte d’Osiris lui-même (et sa civilisation elle-même… (1)).

OR ROSE DU POMMIER OU AURORE = LIBÉRATION (”la jeunesse du Jour”) : la « Splendeur du Jour » comme l’indique le « Livre de Sortir au Jour » (Livre des Morts, des Anciens Égyptiens) est le moyen de RE-trouver la Vie éternelle. Alors, pour les adorateurs de Shiva ou Çiva (dont Ramana Maharshi (2)), la Mort n’est qu’une épreuve au-delà de laquelle se trouve la Vie éternelle ; le christianisme a conservé le baptême comme un souvenir de cette purification par la mort. De là le rapprochement avec le VAMPIRE : souvenir devenu chaotique de l’ancienne source de vie ou résurrection par le Principe humide : tout mort qui réussissait à boire à la source au Royaume de Charon, pouvait revenir sur Terre, mais pour tourmenter les vivants en qualité de Vampire. C’est pourquoi chez Charon on ne leur donnait que des cruches percées ! Et dans les enfers, la soif doit être terrible !!! (Voir les cruches percées des Danaïdes).

Tant que l’être humain n’aura pas résolu le dilemme Moi-individuel/Moi-collectif, il ne pourra pas comprendre la non-dualité ou Union du passé et du futur ou de la vie et de la mort. Il ne pourra pas comprendre la dualité des Hébreux-Juifs, ces dualistes qui se croient « élus » de leur Dieu et qui CROIENT que les non-élus, les ÉTRANGERS, n’ont été créés que pour être dépouillés (de leurs biens), ce qui semble logique, vu que les Hébreux-Juifs sont des gens du désert où il n’y a précisément : rien ; en espagnol : CANADA (« Ici, rien »). Donc tout pour eux et rien pour les autres : spiration (aspiration) d’un côté et expiration de l’autre…… Mais chez les Hébreux-Juifs ça prend la forme de la dualité winners-losers… Riches toujours plus riches et pauvres ou losers toujours plus losers…..


Notes.
1.  Ivan Aleksandrovich Gulyanov (Goulianoff), 1749-1841, écrivit en 1839 une « Archéologie égyptienne ou recherche sur les expressions des signes hiéroglyphiques et sur les élémens de la langue sacré des Égyptiens ». Goulianoff procéda en sens contraire par rapport à Champollion, curieusement il est, presque, de la même génération que Champollion. Dans ses travaux, Goulianoff réfute les travaux de Champollion, travaux alors soumis à une ample critique de la part des « scientifiques » de l’époque. Il fallut attendre la publication de Champollion en 1839, sa Grammaire égyptienne, pour que l’autorité lui fut reconnue.

Dans l’étrange récit de Ossip Senkovski (1800-1858) et lointain héritier d’un Savinien de Cyrano de Bergerac, dont il possède au plus haut degré l’esprit frondeur sinon libertin : Voyages fantastiques du baron Brambeus ; il est écrit, page 93, que les Hiéroglyphes de l’Égypte ancienne proviennent DE L’OCÉAN ARCTIQUE, car transmis par un peuple ayant échappé au déluge (celui de NOVO ou Noé), soit LA FAMEUSE ÉCRITURE ORIGINELLE COMMUNE À TOUS LES TERRIENS OU VÉRITABLE TÉLÉPATHIE, à l’époque où régnait un climat de douceur sur toute la planète, là où les communautés humaines se partageaient des pays de zones tropicales, qui de nos jours sont en partie transformées en Sibérie septentrionale, et pour partie englouties par l’océan Atlantique ; on peut ainsi penser à ce peuple originel qu’étaient les Atlantes et leur Atlantide. Mondes et civilisations ne sont que Isis-Nephtys ou Shiva : naissance-mort-naissance perpétuelles. Ainsi Osiris pourrait bien être d’origine Boréale : AU SENS DU PALÉOLITHIQUE aussi bien que celui d’un climat tempéré et de riches forêts, et avec un climat tropical alors qu’actuellement il fait froid dans ces régions, qui sont de plus peu habitées, ce qui n’était pas le cas au temps du Paléolithique. Peut-être même faut-il faire remonter l’écriture Hiéroglyphique formant la Vraie Télépathie au temps du « Jurassique » : pendant la Pangée (PAN le Tout), les continents étant des sortes d’embarcations en forme de fuseau, comme décrit plus haut à la partie FUSEAU-NAVETTE, puisque Tout bouge d’Instant en Instant…. ET NOSTRE MONDE EST EN TRAIN DE S’EFFONDRER, À TOUS POINTS DE VUE……

2. Le rôle de Shiva, une des trois divinités de l’hindouisme et incarnation de dissolution et de transformation (putréfaction) fut central dans l’existence de Ramana Maharshi.
 
 

Dernière mise à jour : 04-03-2021 23:12

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