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Exister c’est détruire le Seul Réel Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 03-05-2021 00:25

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Mieux, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Numérisation, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, Religions, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Yokaï

 
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Exister c’est détruire le Seul Réel
On ne peut pas vivre dans l’Instant sans
le tenir constamment à rebours : la tâche
épuisante du Faire/Fer illustrée par Sisyphe
poussant son rocher, poussant toujours
l’ESPACE-TEMPS (rocher ou pierre : ce qui dur).
POUSSER ou REPOUSSER = MESSIANISME, PROJET…
D’où le rêve de « s’envoyer en l’R »
ÊTRE, PADAM : LE PIED, STATION, DEBOUT,
DROIT DANS SES POMPES, comme l’Axe I,
comme dans le Ici et Maintenant.
 
 
Le rocher qui retombe toujours illustre aussi la plupart des entreprises de la carotte du messianisme et ses projets, dont la principale carotte n’est pas de révéler la vérité, puisque ce serait faire manger à l’âne la carotte attachée à distance de sa tête pour le faire avancer, mais bien de lui faire oublier le Seul Réel ; de faire passer le cru-EL, le pas cuit du Seul Réel (EL) comme une carotte-messie pour faire oublier ce Seul Réel, pour adoucir l’épreuve de l’Instant inaccessible en une palanquée infinie de variétés de remèdes pour échapper au Seul Réel, CE QUI AMÈNE AU FINAL OU À LA « FIN DES TEMPS » À UN EXORCISME HALLUCINATOIRE DU SEUL RÉEL, DU GENRE : « CE QUI SE DONNE DANS L’INSTANT NE PEUT PAS ÊTRE RÉEL, CAR ÇA VA PROVOQUER LE TOUT, PAN OU LA PANique, CE QUI NE DEVRAIT PAS !!! Car demeurer dans l’état de conscience du Seul Réel D’INSTANT EN INSTANT, même au cours d’activités diverses, c’est être NATUREL [sahaja](1).

Sisyphe et son rocher = SAISIE et dualité Dedans-Dehors (le rocher). Le ‘je’ ou ego = la saisie et dualité Dedans-Dehors : le ‘je’ est créé par le social et ses conventions, lesquelles rendront possible l’individualité, le ‘moi’, le désir du dehors, et l’identité : L’IDENTITÉ EST TOUJOURS UN ACTE PUBLIC, DONC DE REPRÉSENTATION ILLUSOIRE. L’IDENTITÉ EST TOUJOURS DANS LA SAISIE EN DUALITÉ DEDANS-DEHORS, SOIT DANS LE MAL ABSOLU.

Avant le 18è siècle et en France le fameux « siècle des lumières », l’imprimerie maintient le I pour le ‘je’. Le I Axe…
I pronom, adverbe (mot invariable) de lieu ; pronom, substitut personnel et non-personnel : ”Ce fist Brengain, qu’i dut garder” (Tristan).
Le I Axe va se transformer en J, celui du ‘je’, par HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule) en s’accrochant à son passé, sa mémoire donc son monde spatio-temporel, et va dé-naturer par le ‘je’. La rectitude du I de la manifestation, O, le cercle engendré d’Instant en Instant par l’Axe I de sa Source, le Soi, est opérationnel mais trans-formé, méta-morphosé (méta : milieu, morphé : forme) en un « spa(é)cialiste » : LA PERSONA ou personnel, le ‘je’, le MASQUE (en Occident à partir de 2020 il en faudra un second : le MASQUE SANITAIRE…). Ainsi le ‘je’ devient à ce hui DOUBLEMENT UN JEU INVERSÉ DU IL (ou EL ‘L’ du Divin impersonnel sans le dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif).

Donc ce qui « sécurise » et engendre l’identité, le ‘moi’, l’ego, est toujours un acte socialo-public : extrait de naissance, numéro de sécurité sociale, numéro sur un fichier électoral ou de police, etc., je suis le numéro un mon voisin est le deux, etc., les témoignages de la concierge et du voisin, ou les fameuses preuves….
Dans le conventionnel du social la personne humaine est fabriqué comme UNIQUE, SINGULARITÉ, donc fabriqué comme une singerie du Soi : « la personne morale », c’est-à-dire UNE COPIE DE L’UNIQUE SOUS FORME D’UNE ENTITÉ INSTITUTIONNELLE APPARTENANT À L’ÉTAT ET À L’ÉTAT CIVIL QUI, SEUL, GARANTIT CE ‘MOI’ (comme un extrait de naissance…).
CELA VEUT DIRE QUE LA PERSONNE N’EXISTE QUE SUR LE PAPIER ADMINISTRATIF ÉTATIQUE (ou maintenant la personne n’existe que sous forme de zéros et de uns dans des ordinateurs).
La personne n’existe donc que de façon « PLAUSIBLE », JAMAIS DANS L’INSTANT, oh non, non !

JAMAIS DANS L’INSTANT qui démontre la fragilité du « plausible » de la personne : chaque fois que, à la suite d’un accident ou d’une crise quelconques, on se trouve hors d’état d’établir son « identité », son ‘je’ ego, si on est sans papiers (d’identité) il est inutile de crier à un membre de l’État que l’on est « soi-même » : le fonctionnaire veut « des preuves », des infos, du traçage, des datas, car « il ne croit pas… » alors QU’IL EST UN DES PREMIERS CROYANTS….
UN DES PREMIERS CROYANTS PAR PEUR DU SEUL RÉEL : IL LUI FAUT LE DOUBLE DU SEUL RÉEL, LE DOUBLE DE L’UNIQUE, IL PRÉFÈRE LA CROYANCE, LA COPIE À L’ORIGINAL.

LE CONTRAIRE du « Je suis CE JE SUIS ».
SE FAIRE ENTENDRE DANS L’ÉTATISME RÉPUBLICAIN C’EST POUSSER SON ROCHER DE SISYPHE : « Suis-je moi, est-ce bien moi qui vis, moi que ne garantit aucun papier de l’État ? »
Bref, à ce hui et depuis un moment, c’est l’État, sa république qui ferait vivre les personnes : dans ce monde du chiffre et de la technique, VOUS DEVEZ COMPTER DANS LE CORPS SOCIAL, VOUS DEVEZ ÊTRE INTÉGRÉ, NOYÉ DANS CE CORPS SOCIAL, NOYÉ DANS CETTE RÉPUBLIQUE. Pourtant il n’en est rien comme le Christ l’a dit : « Qui perd sa vie la gagne », signification que le corps social n’est que fumisterie, étouffoir par le Moi-Collectif unique ; par son grégarisme qui est une variation du Thème Pouvoir, le social et son pouvoir est un éteignoir de la chandelle.

Qu’est-ce que la peur de la mort ?
C’est DOUTER DE SA PROPRE EXISTENCE !
C’est la crainte de ne plus avoir de FEU (de jus, ne plus « être au courant ») !
C’est la peur que le FEU se retourne contre lui-même, se dévore lui-même.
C’est la peur, QU’ENFIN, l’Être se totalise, qu’il devienne le TOUT, PAN et en devienne PANique dans l’Instant de sa destruction (destruction de son ego) apportant la preuve absolue de son existence.
C’est le paradoxe même de la Réalisation du Soi.
S’il me faut un DOUBLE, une RE-PRÉSENTATION, pour témoigner de mon existence, et s’il n’est de double que de papier et maintenant d’ordinateurs, il me faut conclure que mon Soi est du papier et appartient aux fabricants d’ordinateurs, conformément au rêve des transhumanistes qui pensent l’inconscient collectif façon conscience globalisante en la réduction de cette conscience sur une puce informatique.


Le Soi, l’UN, est devenue non pas l’UN, le Singulier, mais le GROUPE, le « Vivre ensemble » (avec distanciation physique covidesque…), le social de ce monde technologique du tout connecté transhumaniste en une conscience d’informations qu’il faudrait récolter, partout, genre de petites vérités pour en former une grosse, et que ce serait ça la RELIGION, LE SUPER TOUT CONNECTÉ, UNE SUPER CONSCIENCE COLLECTIVE OU UN MOI-COLLECTIF, L’ACTUELLE INDISTINCTION, déjà effective….
Pour dire ‘je’, il faut un Dehors, une autre personne, et avoir été habitué dès l’enfance au « je veux, je suis, je fais, etc. » face aux parents nourriciers (Dans un rêve, je n’ai jamais dis ‘je’).
Cette société de consommation est bien la guerre de la dualité source de conflits permanents : pour être frustré (privé de…) il faut la SAISIE en dualité Dedans-Dehors. La Chute façon Ancien Testament est une frustration, une privation de la saisie ou plutôt la fabrication de cette saisie, la fabrication de cette dualité ! Or la Vérité n’est pas un objet de la saisie…

Avec les transhumanistes et leur « augmentation » ou évolutionnisme juif, leur monde sera réduit au DOUBLE. L’unique n’existera plus, le Soi n’existera plus : L’ANGOISSE DE VOIR DISPARAÎTRE SON OMBRE (de la Caverne… de Platon) est liée à l’angoisse de prendre conscience que l’on est incapable d’établir son existence par soi-même, en d’autres mots : que l’on est incapable de réaliser le Soi (2).
Le curé d’Ars disait : « Si on se voyait sans masque [à ce hui, les deux : la persona et le masque covidesque], on mourrait ». L’ÉVEIL total serait comme la révélation de la signification de la mort elle-même. LES DEUX MASQUES SONT DEVENUS LE SUMMUM DU SÉCURITAIRE ÉTOUFFANT AMPLIFIÉ PAR LE COURANT RÉPUBLICAIN, CAPITALISTE ET TRANSHHUMANISTE.
Ces deux masques empêchent donc la survenue d’un Feu absolu : sans flamme ni cendre, qui portera le VIDE au cœur même de l’ÊTRE, le totalisant à l’Instant de sa perte, à l’Instant de l’enlèvement de ses deux masques.
Connaître soi-même par soi-même est effectivement… mortel !
Mais, de quelle mort s’agit-il ?
Il s’agit de la NUIT OBSCURE : la Vraie nuit, c’est la Lumière, comme l’énonce une devise Alchimique : Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore ; l’équivalent du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
COMME LA VÉRITÉ LA TRANSPARENCE EST IMPÉNÉTRABLE, ON NE PEUT LA SAISIR (et ça en crispe beaucoup).

LE CONTRAIRE du « Je suis CE JE SUIS » = le doigt qui montre la lune :
« Les habitudes acquises depuis l’absence de commencement
Forment comme des reflets dans le miroir du mental.
Pour qui peut s’y regarder selon le Réel,
Les objets perdent toutes leurs caractéristiques.

De même que le sot regarde le doigt
Qui désigne la lune et non la lune [que le doigt montre] ;
De même ceux qui s’attachent à mes paroles
Ne voient pas ma Vraie Réalité.

La conscience [conceptualisante ou raison] est comparable à un grand danseur,
Le mental est son assistant et son maquilleur,
Les cinq consciences sensorielles les accompagnent,
Et dans la conscience mentale [la raison] s’incarnent les spectateurs.
(Lankâvatâra, chapitre L’instantanéité).

Le doigt et la lune (que montre le doigt), ce qui engendre une pensée ou possession par les sens (la lune montrée), ce qui engendre la dualité sujet et objet ou le dedans et dehors ; désigner la chose du doigt : alors les sots refusent d’admettre que la lune soit visible, ils préfèrent regarder le doigt qui montra la lune plutôt que le DIRECT : la lune elle-même.
Regarder le doigt est l’équivalent de LA CONSTRUCTION DE LA VÉRITÉ OU « ÉTABLISSEMENT DES FAITS », ÉTABLISSEMENT DES PREUVES.
Ici la lune est le ‘Je’ ou Soi, la Singularité, le Seul Réel qui ne se montre pas, qui ne se saisie pas.
Shakespeare écrivait que « Les choses sont faites du même tissu que les rêves », ou « Nous sommes faits de l’étoffe des songes », actuellement les songes, ce sont les ordinateurs et leur virtuel qui enferment l’individu hyper découpé en suites de zéros et de uns… Le citoyen est réduit à une « information », dont seul l’ordinateur fait vérité ! L’illusion même du monde est abandonné au profit du ‘moi’, un ‘moi' d’ordinateur, un ‘moi’ de tout connecté technologique. Les informations du tout connecté effaceront le Seul Réel du ‘Je’ : le souvenir du numérique remplace le souvenir du spatio-temporel : mieux vaut donc des data centers certains à la place d’une vie incertaine ou non sécurisée !… Ne réalisant par leur Soi les êtres humains ne s’appartiennent plus, ils sont la possession des firmes fabricantes de ces data centers. Ils deviennent des sujets, des objets de l’invention maléfique de l’ordinateur conséquence de 1789 comme déjà expliqué en d’autres pages. La trace informatique fait office de double ou de preuve de l’ÊTRE, c’est-à-dire de son manque ! Son incapacité à dire « Je suis CE JE SUIS », bref : son incapacité, sa Chute.

En bref, qu’est-ce que c’est cette indistinction actuelle ou ce grégarisme même soupe pour tous ? C’est l’amplification, la multiplication en évolutionnisme d’une ABSENCE À JAMAIS D’AUCUN INSTANT VRAI.
AMPLIFICATION = ABSENCE À JAMAIS D’AUCUN ICI ET MAINTENANT.
L’original n’est pas identifiable et donc n’offre AUCUN SÉCURITÉ pour l’humain d’ordinateur : si je ne me retrouve pas moi-même, je me retrouverait encore moins dans mon ordinateur ou dans mon smartphone !
Le double ou le ‘moi’ d’ordinateur est un « moins que rien ». Ce qu’exprime si bien le langage vulgaire quand il déclare sans y prendre garde : « On ne se re-fait pas ! » : SANS VOS MASQUES, VOUS ÊTES RIEN.
Indistinction actuelle COMME LA RÉPÉTITION DU POLITISME DES « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE » (à chaque ouverture du robinet à propagande de Franceinfo, la preuve coule à flot, surtout dans son émission phare : « Les informés » : C’EST LA NOYADE). La dualité jour-nuit n’est pas près de s’éteindre…. L’existence de l’habitude de l’humain par le social n’est pas prête de disparaître puisque c’est amplifié par le capitalisme et sa technologie…


Notes.
1. « À moins que l’ego, l’identification au corps, ne meurt, il est impossible à quiconque de réaliser l’état naturel et permanent de l’absorption dans le Cœur. Tant que l’état naturel [sahaja] ne s’est pas unifié à son Cœur, il n’y a pas de libération pour l’individu [jiva], quels que soient les autres états dont il fait l’expérience » (Padamalai 46, 47, Le Soi. Enseignements recueillis par Muruganar (1890-1973), un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi, aussi poète et écrivain).

2. Encore le Paradoxe de la Réalisation, parce que le ‘Je’ est toujours dans l’Instant, Ici et Maintenant : « À vrai dire, la conscience est toujours avec nous. Chacun sait : « Je suis » !
Personne ne peut nier son propre être. L’homme, en sommeil profond, n’en est pas conscient ; quand il est éveillé, il semble en avoir conscience. C’est pourtant toujours la même personne. Il n’y a aucun changement entre celui qui dormait et celui qui est éveillé. En sommeil profond, il n’était pas conscient de son corps. Ce n’est qu’au réveil qu’il en prend conscience. La différence réside donc dans l’émergence de la conscience du corps et non dans quelque changement de la conscience réelle.
Le corps et la conscience du corps apparaissent et disparaissent ensemble.
Tout cela revient à dire qu’il n’y a pas de limitations au cours du sommeil profond, alors qu’il y en a à l’état de veille. Ce sont ces limitations qui constituent la servitude ; la sensation : « Je suis le corps » est l’erreur. Ce faux sens du ‘je’ doit disparaître. Le vrai ‘Je’ est toujours là. Il est présent, ici et maintenant. Il n’apparaît ni ne disparaît jamais. Ce qui est doit perdurer à jamais. Ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître. Comparez l’état de veille et le sommeil profond. Le corps apparaît dans un état, mais pas dans l’autre. C’est pourquoi le corps doit périr. La conscience, étant préexistante, survivra au corps. En fait, il n’est personne qui ne puisse dire : « Je suis. » La cause de tous les malheurs est la fausse croyance : « Je suis le corps. » Cette fausse croyance doit disparaître.
C’est cela la Réalisation. La Réalisation n’est pas l’acquisition de quelque chose de nouveau et ce n’est pas non plus une faculté nouvelle. C’est simplement la suppression de tout camouflage [de tout masque].
- Major Chadwick : J’essaie de me débarrasser de mon corps.
- Maharshi : Un homme se débarrasse de ses vêtements et devient libre et léger. Le Soi est illimité et n’est pas confiné au corps. Comment peut-on se débarrasser de son corps ? Où l’homme le laisserait-il ? Où qu’il soit, le corps restera toujours le sien.
(Ramana Maharshi, entretien 96 du 13-11-1935. Major A.W. Chadwick : Anglais arrivé en 1935 et proche disciple du Maharshi ayant vécu à l’Ashram jusqu’à sa mort en 1962).

[En haut de page : dessin à la plume de Michel Roudakoff]
 
 

Dernière mise à jour : 03-05-2021 01:15

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