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DÉMOCRATIE IMPOSSIBLE Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-06-2021 00:14

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Bouteille, Brique, Capitalisme, Catastrophe, Caverne, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Logique, Matrice, Méditation, Mental, Messianisme, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Porte, Pouvoir, Privilège, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Transhumanisme, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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DÉMOCRATIE IMPOSSIBLE
 
 
Aliénation par le sécuritaire et la démocratie.
La démocratie ou le social(isme), c’est l’opium des politistes (1) du régime.
Pourquoi rêver à des solutions valables pour tous les Terriens,
comme semblent le rêver tous les Bill Gates et Klaus Schwab de la Terre ?
Parce que la vie ne naît pas au niveau du spatio-temporel mais des
ESSENCES qui sont éternelles.


La démocratie où depuis 1789 le citoyenisé est devenu le « roi », le « responsable », puisqu’il peut voter ! il se croit être devenu le TOUT, l’Homme-Dieu. Or, seul un total peut connaître un Total. Mais le ‘je’ de la « liberté d’expression » de l’Homme-Dieu et roi et usager ne peut être un Tout, une globalité, un in-fini, puisqu’il se définit par rapport à un ‘toi’, qu’il est donc limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’. D’ailleurs c’est exprimé par la théologie constatant qu’il ne peut y avoir qu’un seul Dieu car, s’il y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas in-fini. Il en est ainsi du ‘moi’ de chaque consommateur en démocratie qui ne peut être un in-fini, un Tout.
Seul le « Je suis ce JE SUIS », permet un non-partiellité à côté d’autres. Le ‘Je’ ou Soi n’est pas non plus perception d’une collectivité comme le rêve l’oligarchie actuelle. Le ‘Je’ est au-delà des accidents et de la quantité spatio-temporel.
   
La démocratie est construite sur les conflits d’intérêts et est la frustration même par ses limitations, car l’humain se construit ses opinions comme un carrelage de carreaux noirs et blancs des loges judéo-maçonniques. Il ne peut y avoir de Paix en démocratie, car il ne peut y avoir deux êtres humains qui puissent vivre la même série d’événements, ou vivre le même événement de façon identique. Chaque humain est dans sa façon de penser, de sentir, un résultat de la vie corporelle et mentale, de sa vie à lui. Il est fabriqué, moulé dans un cadre sensible, social et temporel. IL EST CONDITIONNÉ. IL N’EST PAS LIBRE. Ce qu’il appelle « liberté », ce n’est que le droit (droits de l’Homme) de rechercher les conditionnements qui l’arrangent le mieux, dont il jouit le plus (évolutionnisme, le « isme » étatique l’autorise même à voter), ce qui n’est pas possible sans contredire ce qui convient à l’autre. Résultat : de perpétuels conflits entre individus, partis ou mouvements politiques, classes ou nations.

Le drame de la démocratie, c’est qu’elle est par son mondialisme facilité par sa technologie liée au banques, à l’argent et à l’idolâtrie de la marchandise, identique à un HLM MONDIALISÉ, soit un bétonnage de la planète en un empilage ressemblant à un empilage de cageots à légumes, où deux voisins de palier sont plus étrangers l’un à l’autre que deux paysans éloignés de quelques kilomètres. Ce sont des pourrissoirs, et au mieux des nids à conflits permanents (et des parfaits lieux pour l’économie de la drogue).

La démocratie des politistes du régime, c’est la domestication d’une sorte d’animal perfectionné, augmenté façon transhumanisme, limité à un salaire, au droit de voter, qui ne confère que le droit de passer à la paye, chez les boucher et boulanger (et de nos jours au supermarché ou chez Amazon) ; c’est donc le simple droit d’exister, d’être un ego consommateur ou « l’usager », mais non pas d’Être : et les « droits de l’Homme » des politistes du régime (1) ne sont absolument pas une liste de recettes pour Être, mais seulement un livre de cuisine pour consommer : rechercher les conditionnements qui les arrangent le mieux.

Deux solutions :
- L’actuel mise en place du Nouvel Ordre Mondial ou dictature d’une oligarchie qui dit la vérité du jour et de ce que sera le lendemain, qui décide du dogme à tout instant remis en question. C’est Sisyphe qui pousse son rocher, symbole du désir et du toujours plus en évolutionnisme. C’est une Église et un pape à l’envers. C’est la Grande Réinitialisation d’un Klaus Schwab ; c’est l’uniformisation de tous, d’où le rêve oligarchique de contrôler, de surveiller tous les humains.
- La Réalisation du Soi par le « Qui suis-je ? », pour aboutir au ÊTRE, et non plus sur l’actuel Avoir (du consommateur). Le EST qui n’est pas existant parce qu’étant au-delà de l’espace, du temps, et du mouvement ; au-delà du corps ou mental. C’est la Réalisation. C’est la non-différence - alors que le régime capitalo-républicain vend sa différence (son « droit à la différence ») avec ses LGBT, etc., comme il vend ses marchandises - c’est la non-dualité, la non-pluralité ou non-quantité.

Cette démocratie du Nouvel Ordre Mondial capitalo-républicain encourage la diversité faisant qu’il y a autant d’opinions ou de « liberté de pensées » qu’il y a de Terriens sur la planète : donc cette démocratie est construite sur le culte des opinions en un agrégat d’individus de plus en plus isolés de par leur civilisation technologique qui devrait pourtant produire le contraire ! Or il n’en est rien : paradoxe, parce que ça ne concerne que l’encouragement à l’ego ! L’opinion est un vagabondage du mental qui s’élabore au fil des jours, toujours instable, en évolution perpétuelle en fonction seulement des circonstances dans un espace géographique ou HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule), et un certain état des choses matérielles et sociales que chaque consommateur trouve à sa naissance ici-bas ; un HOTC toujours particulier ou idiotès, singularité, qui le sent et le pense selon des sentiments et pensées qui lui sont propres, comme prédestinées, mais qui peuvent être façonnées ou amplifiées par un dressage sentimental et intellectuelle qu’on appelle « éducation ».

Adhérer à un courant ou égrégore politique, c’est se fondre dans un corps psychologique et intellectuel, différent d’autres courants politiques dont on se fait ennemi : c’est participer à la nature profonde dont on se fait ennemi, à quelque niveau qu’ils se situent, et donc les entretenir, les nourrir. C’est aussi se faire malaxer le cerveau par les maîtres à penser du mouvement politique. Tous les courants politiques dépendant nécessairement de l’étatisme étant basés sur l’opinion, sur une logique, si correcte en apparence que soit cette logique, ces courants partent toujours de prémisses qui sont nécessairement, par définition, des postulats incontrôlables, adoptés pour le seul motif de la satisfactions de penchants sentimentaux forts obscurs (les vasana ou tendances latentes du mental). Ces prémisses prennent valeur de dogmes, qu’on en soit conscient ou pas. Et ce dogmatisme sera d’autant plus intraitable qu’il est plus ou moins inconscient, parce que tout danger de n’y plus croire va créer la PANique devant le vide, devant la possibilité de ne plus avoir de raison de vivre. Alors par loi de succion on comble le vide, ON SÉCURISE.
SEUL LE LIBÉRÉ VIVANT N’EST PAS DOGMATIQUE : IL NE CROIT PAS, IL SAIT : IL EST DANS L’INSTANT.
Tout cela fait comprendre pourquoi le régime républicain mondialisé (« universel ») où l’opinion a atteint son ultime maturité dans sa « liberté d’expression » (et de voter) en se parant des prédicats de l’absolu religieux dans une vision globale (symbole ou grégaire : coller entre eux), ne pouvait qu’aboutir à une fausse synthèse de tout l’existant, une inversion, une réalisation en creux, à l’envers, une catholicité qui n’a jamais été faite, parce que la Réalisation du Soi ou du « Royaume des Cieux est en Vous » est encore tellement rare.

Chacun en naissant a le besoin d’Être, et non d’avoir ! Donc le besoin de devenir le « Je suis ce JE SUIS ». Le Divin ce n’est ni plus ni moins que CELA. Il n’est personne qui n’ait éprouvé plus ou moins consciemment ce besoin, et pour ceux qui le nient, ce n’est qu’une réaction de sécuritaire, de démission, devant les devoirs qui pourraient en découler !

« En fait, il n’est personne qui ne puisse dire : « Je suis ». La cause de tous les malheurs est la fausse croyance : « Je suis le corps ». Cette fausse croyance doit disparaître. C’est cela la Réalisation. La Réalisation n’est pas l’acquisition de quelque chose de nouveau et ce n’est pas non plus une faculté nouvelle. C’est simplement la suppression de tout camouflage ». (Ramana Maharshi, entretien 96 du 13-11-1935).
« Il n’est personne qui aspire à la Libération, personne qui soit libéré. Telle est la vérité suprême ». (Mândukya-kârikâ, II, 32), cité par le Maharshi à l’entretien 383 du 5-4-1937, à propos de l’approche en Advaitavâda [non-dualité]. En inventant la liberté on engendre du même coup son contraire, comme la valeur engendre le voleur (changement de la lettre a en o…).
« Où est tout le monde ! Il n’y a pas non plus de libération. Elle pourrait exister seulement s’il y avait asservissement. Mais en réalité, il n’y a pas d’asservissement et, par conséquent, pas de libération non plus ». (Entretien 264 du 20-10-1936).

De par l’ego, en démocratie le verbe « être » c’est Janus aux deux visages opposés. Si je dis « Je suis français » ou « Je suis cadre chez Coca-Cola », ou « Je suis un footballeur professionnel », cela veut dire que je suis un individu né en un endroit déterminé dans l’espace et dans le temps, que les circonstances ont fait que pour manger j’ai dû travailler en entreprise et non ailleurs.
Mais si je dis « Je suis un homme », je mets en avant mon corps, par-dessus le fait que là encore je suis né à tel endroit et que je peux exercer tel métier. Dans le second cas qui se distingue à peine du premier, je fais abstraction des adjectifs pour ne considérer que le squelette autour duquel se constitue le corps, les chairs des accidents, des adjectifs ou des noms-les-formes dans l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule).
Le Janus absolu est évidemment l’opposition entre le « Je suis un footballeur professionnel » et le grand ‘Je’ du Soi : « Je suis ce JE SUIS ». FAUTE DE DISTINGUER CES ABSOLUS DEUX VISAGES OPPOSÉS, TOUTE DIALECTIQUE OU OPINION DES HUMAINS ENTRE EUX, DONC TOUTE LIBERTÉ D’EXPRESSION EST COMME UN COMBAT DE NÈGRES DANS UN TUNNEL !

Comme dit le Maharshi ci-dessus : « En fait, il n’est personne qui ne puisse dire : « Je suis » : « Lorsque les fontanelles se ferment, l’enfant est coupé des Anges », dit un dicton picard, c’est-à-dire que par la Réalisation du ‘Je’ les fontanelles (”petites fontaines”) s’ouvrent et le « crâne » (C.R.N. comme le Christ qui fur crucifié sur le Golgotha, le « Mont du Crâne », et ce Christ était COURONNE : C.R.N.) se découvre comme la POINTE ULTIME, LA CHAISE D’ISIS; le Christ ou ‘Je’ est ce Centre qui n’existe pas mais sans lequel le ‘Je’ ne peut pas exister, comme la Circonférence ou la sphère ne serait pas sans ce Centre qui est nulle part. Ce Centre, ce sommet, n’ex-iste pas : il est seulement le EST, car sans Lui il n’y a pas d’existant, pas de ‘Je’ ni de ‘je’.
Il est tout entier mon ‘je’ comme Il est tout entier le ‘Je’, la Circonférence partout de chaque humain, comme tous les rayons sont issus d’un même Centre.
Ce ‘Je’ forme le noyau ou Cœur qui fais que JE SUIS, l’essence de tout ce qui est sa manifestation, et ce Cœur est le même pour toutes les formes de vie. En Lui se trouve le « Rien du Tout » (l’Un et l’Infini sont une même chose comme le Zéro Indien).


Note.
1. Les politistes, au sens de personnes faisant fonction de professionnels ou de « spécialistes » salariés dans l’étatisme du régime républicain sous gouvernement représentatif (spécialistes aussi appelés « politique politicienne »). La mode des « spécialistes » qui salopent le monde. Ces spécialistes de l’État dans un gouvernement représentatif font, que ce qui définit la représentation (si spectacle actuellement : voir l’utilisation du mot-valise : « variant »…), ce n’est pas qu’un petit nombre d’individus gouvernent à la place des peuples (Auvergnats, Bretons, Provençaux, Bourguignons, etc.), mais c’est le fait qu’ils soient désignés par élection exclusivement, dans la dualité winner-losers, les losers seront évidemment ceux qui n’ont pas voté pour les winners, et qui en seront déçus en passant de l’état de winner potentiel à l’état de loser effectif ou radical !…
Depuis l’Antiquité grecque, le régime républicain mondialisé n’a pas changé ou plutôt il se situe dans la tradition des « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE ». LES SPÉCIALISTES DÉTRUISENT LE MONDE : les Grecques anciens le savaient (les Athéniens), puisqu’ils eurent recours à la démocratie fondamentale par TIRAGE AU SORT, ce qui détruisait le traditionnel des « Plus ça change… » en assurant la saine rotation des charges, alors qu’avec les « Plus ça change… » on entrait de plein pieds dans la mode des spécialistes ou du professionnalisme politique, si présent et si mortifère en ce moment de tout connecté et tout spectacle. La Vraie Démocratie par tirage au sort assurait surtout le droit égal de prendre la parole, un des principes fondamental de la Démocratie authentique, mais qui reste tout de même liée au concept de l’invention de l’État.
(En référence à Bernard Manin : Principes du gouvernement représentatif, page 61).

L’élection par vote est typiquement l’amplification de la dualité winners-losers : l’élection favorise l’élitisme ou la compétition, donc le winnerisme ; l’élection légitime le POUR-VOIR (pouvoir) et, après le passage par la compétition, elle fabrique chez ceux qui sont devenus les WINNERS un sentiment de faire/fer, évidement par l’opinion et sa dialectique en HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule), le silence étant le principal ennemi des « spécialistes » salariés du gouvernement représentatif.
L’élection vient aussi du monde romain et fera ses ravages jusqu’à ce jour, notamment avec le simple exemple d’un Patrick Mignola : « Quod omnes tangit, ab omnibus tractari et approbari debet » (le QOT [codex justinien] : Ce qui touche tout le monde doit être considéré et approuvé par tous). Là-dedans se trouve déjà le mondialisme actuel ! Et la perle de Patrick Mignola relevé sur Franceinfo le 22 juin 2021 : « Quand on a raison tout seul c’est peut-être qu’on a tort ». Depuis les Romains Nous sommes donc DANS LA QUANTITÉ, LE PRODUCTIVISME ET NULLEMENT DANS LA QUALITÉ : C’EST LE GRÉGARISME QUI COMPTE, ET NULLEMENT LA PERSONNE, QUI, pourtant est encensé en tant que consommateur-citoyen-usager et jouisseur en libéralisme !!!
Le droit romain sera remis à la mode en Occident à partir du 12è siècle : en 1295 le roi d’Angleterre Édouard 1er est le premier à utiliser le QOT dans une ordonnance où il convoque le parlement. Philippe le Bel en 1302 emploiera le QOT dans une convocation des états généraux. (Réf. Bernard Manin, pages 117-119).
Avec ce QOT on est typiquement dans la dualité winners-losers : l’ego d’en haut doit rencontrer l’approbation ou le consensus des ego d’en bas, pour devenir une décision « légitimé ».

Donc, ce n’est pas le QOT ou la quantité qui apportera la Vraie Paix, mais bien LA PERSONNE, le ‘Je’, par qui toute chair et souffrance se guérit ; soit l’inverse du QOT qui se prolonge par la technologie du tout connecté. Il n’y a pas deux humains qui aient vécu les mêmes choses et aient senties de la même façon. Il y a seulement des groupes qu’on appelle « peuples », qui ont des façons dominantes de sentir les mêmes choses et les mêmes événements.
Par la mode du chiffre et de la technologie utilitariste, par effets statistiques, le pouvoir a voulu les fixer, les coaguler dans des concepts du mental et des groupements qu’on appelle « parti » ou « mouvement » ; et de chacune de ces dominantes, il s’est trouvé un individu pour en tirer un mode de vie ou une philosophie, un dogme qui en serait l’ossature. De la chose du mental, on a voulu conclure au germe, par imitation de la démarche de la science de la Matière (Absence de dualité Dedans-Dehors) ! Et en un dogme devenu : confort, sécurité ou refuge, il est extrêmement difficile de s’en dégager et d’imaginer comment celui qui ne le partage pas peut percevoir un autre langage.
RIEN NE PERMET DE PENSER QUE NOS « MANIÈRES DE COMPRENDRE » SONT CULTURELLEMENT UNIVERSELLES.
Avec le QOT et mondialisme actuel, le parti ou le général prend le masque de l’universel par une singerie qui atteint sa perfection dans le WINNER : LE NUMÉRO UN, ET LE ZÉRO, pour former l’informatique actuelle et les comptages-comptines de demain, les « opinions publiques » de demain.

Le winnerisme des spécialistes du gouvernement représentatif est une usine de l’État producteur de FAUSSE ÉLITE, les peuples en sont conscient et ne vont plus voter, car pour eux la seule VRAIE ÉLITE est L’ÉLITE NATURELLE : la valeur authentique de la Personne, son ‘Je’, parce que la Personne est transcendante par rapport à la société, C’EST LA PERSONNE QUI DONNE UN SENS À LA SOCIÉTÉ, ET NON LE CONTRAIRE COMME L’AFFIRME LE QOT DE JUSTINIEN ET DE LA RÉPUBLIQUE SOCIALISANTE, GRÉGARISANTE, ÉTOUFFANTE.
C’est la Personne qui confère Vraie Valeur aussi bien à l’individu qu’à sa communauté : le ‘Je’ se dissolve comme un grain de sel dans la mer : mais au même moment, l’infini de la mer SEMBLE CONTENU DANS LE GRAIN DE SEL. Le ‘Je’ a transmuté le ‘je’ de l’ego : le ‘je’ personnel devient identique au ‘Je’ du Tout y compris de l’humanité globale, où l’on vit l’identité de l’être individuel et de l’être global, où se dissout l’antagonisme du Moi-Individuel et du Moi-Collectif. On n’a plus à y sacrifier son ‘Je’ à la durabilité du collectif. On n’a pas à nier le collectif pour affirmer son ego possédé.
 
 

Dernière mise à jour : 26-06-2021 00:41

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