PASS PASSABLE singerie du « Gate gate pâragate
pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé
au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
Ce qui est Réel n’est pas passable et encore
moins « passable sanitairement », LE RÉEL EST
PAR NATURE INVISIBLE, SINGULIER, SANS DOUBLE.
Le Réel n’est pas passable puisque non
représentable.
Le Réel est SIMPLE, sans copie, il n’est pas
passable puisque NON-RECONNU, car le passable ou
reconnaissance implique le RE de RE-présentation,
l’acteur, l’image que sa propre représentation exclut.
Pour être passable le Réel doit faire dans
le MESSIANISME OU RELIGION DU SALUT : QUI NE
DOIT JAMAIS ADVENIR. Le pouvoir de tout messie
consiste en son absence, comme la Carotte attachée
à distance de la tête de l’âne pour le faire
avancer ne doit jamais être croquée.
C’est le POUR-VOIR : le prisonnier de la Caverne ne
gagne rien à en sortir car il sera aveuglé par la
lumière extérieure, il préfère revenir au « réel »,
aux choses qu’il peut VOIR ou appréhender avec
ses cinq sens.
Ce Réel ou Centre qui est nulle part et la
Circonférence qui est partout.
PASS PASSABLE, POUR-VOIR = IDENTITÉ (la copie, le même que,
ou deux objets identiques, le social en pensée unique ;
l’égalitatisme fiévreux républicain est ce passable).
LE VRAI PASS N’EST AUCUN PASS.
Identique au célèbre exemple du doigt qui montre la lune :
« Les habitudes acquises depuis l’absence de commencement
Forment comme des reflets dans le miroir du mental.
Pour qui peut s’y regarder selon le Réel,
Les objets perdent toutes leurs caractéristiques.
De même que le sot regarde le doigt
Qui désigne la lune et non la lune [que le doigt montre] ;
De même ceux qui s’attachent à mes paroles
Ne voient pas ma Vraie Réalité.
La conscience [conceptualisante ou raison] est
comparable à un grand danseur,
Le mental est son assistant et son maquilleur,
Les cinq consciences sensorielles les accompagnent,
Et dans la conscience mentale [la raison]
s’incarnent les spectateurs.
(Lankâvatâra, chapitre L’instantanéité).
Le doigt et la lune (que montre le doigt), ce qui engendre une pensée ou possession par les sens (la lune montrée), ce qui engendre la dualité sujet et objet ou le dedans et dehors ; désigner la chose du doigt : alors les sots refusent d’admettre que la lune soit visible, ils préfèrent regarder le doigt qui montra la lune plutôt que le DIRECT : la lune elle-même.
Regarder le doigt est l’équivalent de LA CONSTRUCTION DE LA VÉRITÉ OU
« ÉTABLISSEMENT DES FAITS », ÉTABLISSEMENT DES PREUVES.
MAIS LA RÉALITÉ EST INUTILISABLE PAR LE PAUVRE MENTAL, MÊME CELUI D’UN JUIF, OU PAR UN PAUVRE OCCIDENTAL QUI RAISONNE EN CAUSES ET EFFETS.
POURQUOI CHERCHER, ET AVEC QUEL MOYEN ?? PUISQUE
TOUT, EST DÉJÀ ICI ET MAINTENANT ! DE LA MÊME MANIÈRE, RIEN N’A BESOIN D’ÊTRE FAIT OU « RÉFORMÉ » (déformé) ET RIEN QUOI FAIRE AVEC QUELQUE CHOSE !
Comme pour le doigt et la lune, la Réalité est dans l’acte même de regarder, et non pas dans la conscience calculante et donc spatio-temporel qui pense qu’elle a vu, d’où la symbolique de regarder le doigt qui montre la lune au lieu de regarder DIRECTEMENT la lune montrée par le doigt !
Un autre exemple que le doigt qui montre la lune est le koan :
« l’oie dans la bouteille ». Au 9è siècle, un Seigneur, Li Gong, vient rendre visite à un sage nommé Nan Quan Pu Yuan, en lui demandant de l’éclairer sur la signification de l’histoire ancienne d’une oie dans une bouteille. Un paysan un jour introduisit un œuf dans une bouteille. Après avoir éclos, le paysan donna à manger au poussin qui venait de naître et qui se trouvait toujours dans une bouteille. Évidemment le poussin grandit jusqu’à ne plus avoir de place dans sa bouteille.
La question ultime se posa alors : comment sortir la petite oie de la bouteille sans la tuer et sans casser la bouteille ?
À ce moment, le sage Nan Quan Pu Yuan héla brusquement le Seigneur Li Gong tout en claquant violemment dans ses mains. Li Gong demanda : « Oui Maître !? »
Nan Quan Pu Yuan ajouta brutalement : « REGARDE, L’OIE EST DEHORS ! »
Certain que si vous restez prisonnier de la logique du spatio-temporel et de la dualité, vous allez et casser la bouteille, et par ce faire tuer l’oie avec les éclats de verre ! Pourquoi se limiter avec ce concept de
« dimension » (mesure, calcul, calibre, importance), lui aussi phénomène du PASS PASSAGE ?
Comme pour la lune, l’imbécile ou le rationnel continue de regarder le doigt ou la bouteille qui enferme l’oie au lieu de voir uniquement l’oie.
Autre histoire au même Thème :
« Le maître chan Wuye, de la préfecture de Fen [non loin du Fleuve Jaune], rendit visite à Mazu. Mazu, voyant son allure majestueuse et entendant le son de sa voix pareil au timbre d’une cloche, dit : « Quelle magnifique salle de Buddha ! Mais à l’intérieur il n’y a pas de Buddha ». Wuye se prosterna et dit : « En gros, j’ai épuisé le sens de la littérature des trois véhicules (auditeurs, Buddha, bodhisattva)). J’ai souvent entendu dire que, d’après l’école chan, le Cœur [le Soi] c’est le Buddha, mais vraiment je ne le comprends pas ». Mazu répondit : « Le Cœur qui n’a pas compris, c’est précisément cela et rien d’autre ». Wuye demanda à nouveau : « Quel est le sceau du Cœur [le
”Gate gate” ou Allé de l’Éveil] transmis secrètement par le patriarche venu de l’Ouest ? » Mazu dit : « Votre révérence est en train de faire du tapage ! Qu’elle s’en aille et revienne une autre fois ! » Au moment où Wuye allait sortir, Mazu l’interpella : « Votre révérence ! » Wuye retourna la tête, et Mazu dit : « Qu’est-ce que c’est ? » À cet Instant, Wuye comprit et fut éveillé. Il se prosterna. Mazu dit alors : « Quel gaillard obtus, pourquoi salue-t-il ? »
(
Les entretiens de Mazu, introduction, traduction et notes par Catherine Despeux. Mazu Daoyi (709-788) est un des plus grands maîtres chan (Zen) de la dynastie des Tang (618-907)).
L’oie dans la bouteille de nos jours ce sont les consommateurs enfermés dans la bouteille-ordinateur smartphone ou l’artificiel de ce monde sous tyrannie technologique qui va en évolutionnisme constant ; une oie maintenant digitalisée, découpée en suites de zéros et de uns… Le citoyen réduit à une
« information », dont seul l’ordinateur ou le QR code font vérité. Les informations du tout connecté effaceront le Seul Réel du ‘Je’ : le souvenir du numérique remplace le souvenir du spatio-temporel.
PAS, PASS PASSABLE : EN MARCHE (limite, bord). L’identité est paradoxe pur : désignant contradictoirement ce qui est Singularité (sans égal) et ce qui est égal à quelque chose d’autre (comme l’affectionne le socialisme du républicanisme). Ainsi il est impossible de penser le même sans penser dans l’Instant son propre contraire, ou de concevoir une identification numérisation qui ne passerais pas par l’outil obligeant à
« ne pas être identique » à son voisin,, en quoi se résume cruellement l’actuel PASS SANITAIRE qui remplace la carte d’identité qui, curieusement en France vient de se renouveler avec un QR code quasiment au même moment de l’instauration du pass sanitaire, ces
« pass » qui SÉCURISENT l’individu, plutôt le DIVIDU, en le rassurant qu’il est bien différent de son voisin ou de celui qui n’est pas
« spiké » aux ARN messagers. Ces
« pass » qui assurent et sous
« garantie de l’État », que vous êtes bien non identique à une autre personne grâce à votre
« hostie » (diplôme), ou
« Pass-absolution » en forme de certificat général de
« NON-IDENTITÉ ».
La Singularité se trouve dans l’impossibilité d’apparaître en tant que telle, sauf en passant par la RE-présentation ou par l’imagination comme une duplication qui la laisse deviner.
En « pass » (effet) Casimir LONGITUDINAL : « IL A VOIR CIEL NOIR SORTIR ÉTOILES DE TOUTE SORTE »…. Il s’agit ici de production de MOUVEMENT à partir de l’effet d’aspiration ou CENTRIPÈTE. Qui dit mouvement (spiration) dit énergie, il y a alors production d’énergie dans ce « passe a effet Casimir longitudinal » à partir de rien (vacuité + mouvement = mouvement amplifié jusqu’à « craquer » la limite d’une dimension, comme la déchirant facilement pour déboucher vers ce ciel noir aux étoiles scintillantes phénomène de « voyage » dépassant largement le « départ » ou lancement à partir de ce « passe effet Casimir longitudinal »).
PAS, PASS, PASSAGE : Padam en sanskrit signifie littéralement PIED, est est synonyme du Soi ; on dit bien « avoir chaussure à son Pied », ou « être bien dans ses pompes », comme Cendrillon…
Le « bonheur » est identique au « Passe Effet Casimir Longitudinal » (PECL) : on n’obtient pas le bonheur par le contact avec quelque chose qui est séparé de soi. La Félicité est la nature même du Soi ; et le bonheur tiré à partir d’autre chose est une partie du bonheur du Soi, une partie seulement. Tant qu’il faut un DEHORS ou un OBJET, pour être libre, IL Y A UN MANQUE, une limite. Mais quand on se trouve dans le Vide du Soi, le bonheur ou énergie libre est permanente. Mais en adhérant à des pensées de basses qualités, on attribue à l’aise la Félicité à des causes extérieures (cas de la thermodynamique...).
La réalité de nostre Nature véritable, laquelle est le Soi, elle est unité total, le TOUT non divisé. « L’ananda [Félicité] est notre propre réalité. C’est ce que vous êtes. Si vous plongiez, en toute connaissance, dans l’Atman [le Soi et soi], avec la conviction née de cette expérience, alors vous connaîtriez l’état du Soi ». Ramana Maharshi, Padamalai [une guirlande pour Padam], par Muruganar, 1890-1973, un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi).
Dans le PECL le
« mouvement » ou le
« voyageur » NE BOUGE PAS : IL EST LE CENTRE DE L’ÊTRE OU LE CENTRE NULLE PART, LE SILENCE, L’IMMOBILE, QUE RIEN N’AFFECTE JAMAIS.
Exemple donné par le Maharshi dans l’entretien 8 du 29-9-1935 :
« Pourquoi pensez-vous que vous êtes actif ? Prenez l’exemple concret de votre arrivée ici.
Vous avez quitté votre maison dans une charrette, pris le train, êtes descendu à la gare, remonté dans une charrette et vous vous êtes retrouvé dans cet ashram. Quand on vous a demandé ce que vous avez fait, vous avez dit que vous avez voyagé depuis votre ville jusqu’ici, n’est-ce pas ? Le fait n’est-il pas plutôt que vous n’avez jamais bougé et que ce sont les divers moyens de locomotion qui vous ont transporté tout le long de votre route ? De même que vous confondez ces mouvements avec les vôtres, vous faites ainsi pour les autres activités. Mais ce ne sont pas les vôtres. Ce sont les activités de Dieu ».
« Je reste fixe, alors que d’innombrables Univers scintillent dans mon mental sous forme de noms-les-formes ».
« Supposez que vous alliez à Londres. Comment faites-vous ? Vous prenez une voiture qui vous emmène au port, puis un bateau qui vous transporte jusqu’à Londres en quelques jours. Que s’est-il passé ? Ce sont les moyens de transport qui se sont déplacés, non pas votre corps. Cependant, vous affirmez que vous avez voyagé d’un bout à l’autre du globe. Les mouvements des véhicules ont été transposés à votre corps. Il en est de même pour votre ego. Les réincarnations sont des transpositions. Par exemple, quand vous rêvez, que se passe-t-il ? Rentrez-vous dans le monde onirique ou bien est-ce ce dernier qui se déroule en vous ? La dernière hypothèse, sûrement. Il en va de même pour les réincarnations.
L’ego reste inchangé au cours de celles-ci.
De plus, dans votre sommeil, le temps et l’espace n’existent pas. Ce sont des concepts qui naissent une fois que la pensée ‘je’ a surgi. Avant l’éveil de cette dernière, les concepts étaient absents. Par conséquent, vous êtes au-delà du temps et de l’espace. La pensée ‘je’ n’est qu’un ‘je’ limité. Le vrai ‘Je’ est illimité, universel, au-delà du temps et de l’espace. Ces notions sont absentes dans le sommeil. Juste au moment du réveil et avant de voir le monde objectif, se trouve un état de conscience qui est le pur Soi.
C’est lui qu’il faut connaître ». (Entretien 311 du 2-1-1937).
Un rappel pour éviter de crever avant l’heure à cause de tous ces
« sauveurs » qui « veulent notre bien » (entendre : « qui volent nos
biens »).
Nous en sommes arrivé à l’époque qui est passé du : SANS PAPIER (carte
d’identité) VOUS N’ÊTES RIEN pour aboutir à : SANS PASS SANITAIRE OU
SANS SPIKURE AUX ARN MESSAGERS VOUS N’ÊTES RIEN. Georges Courteline en
son temps l’avait déjà énoncé dans : La Lettre chargée. Émil Cioran
résume ce phénomène du « droit à la vie » : UNE PROTESTATION CONTRE LA
VÉRITÉ (le Vrai devient faux dès qu’il est vu ou identifié) ; c’est
SISYPHE POUSSANT PERPÉTUELLEMENT SON ROCHER : DONT LE PRINCIPE EST
RÉSUMÉ PAR TOUS LES « SAUVEURS » DE L’HUMANITÉ DE TOUS CES GENS QUI
VEULENT VOUS SPIKER « POUR VOTRE BIEN » ET ÉVIDEMMENT POUR CEUX DES
AUTRES, SOCIALISME EXIGE ! IL N’EST JAMAIS QUESTION DE RÉVÉLER AUX
MASSES LA VÉRITÉ, MAIS BIEN DE LA FAIRE OUBLIER, SOIT DE LA FAIRE PASSER
POUR CRUEL, POUR FAUSSE, COMME UN MÉDICAMENT, UNE MÉDECINE QUI VA
MENTIR POUR « TROMPER LA DOULEUR » et ainsi la faire cesser
momentanément, adoucir l’épreuve de l’instant ou Seul Réel par une
palanquée de remèdes qui ramènent au final à un exorcisme magique ou
hallucinatoire du Réel : COMME SI CE
QUI SE DONNAIT, ET GRATUITEMENT ET AVEC AMOUR, N’ÉTAIT PAS RÉEL. Tout
médecin ou « sauveurs » ne font coûte que coûte que d’établir que le
Réel n’est pas réel, puisque c’est de ce Seul Réel dont on souffre,
alors on fabrique un machin aux ARN messagers pour contrer le Seul Réel.
La Vérité n’est acceptable qu’à concurrence d’un certain degré de
cruauté, au-delà duquel elle est frappée de terrorisme (depuis septembre
2001) ou de virus (depuis la fin 2019) !!!
UNE GRANDE RÈGLE EN CES TEMPS PAR L’HUMAIN MORTIFÈRE D’EMPOISONNEMENT
MONDIALISÉ : Les politicards étatiques et vendeurs de liberté qui
travaillent à l’amélioration de la condition humaine ont principalement
cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque !
Ces mêmes « sauveurs » qui CROIENT que « les vaccins ont sauvés
l’humanité »… LE CROYANT : le propre de toutes croyances étant le
messianisme pour faire avancer l’âne comme avec sa carotte, lequel ne
doit jamais arriver et laquelle ne doit jamais être mangée, toutes
croyances sera donc SANS OBJET, c’est-à-dire INDÉRACINABLE,
INGUÉRISSABLE ! On peut éventuellement prétendre éclairer celui qui voit
trouble, jamais celui qui voit clair !
La croyance aux spikures à ARN messagers est indéracinable, C’EST DEVENU
UN FANATISME RELIGIEUX, Nous l’observons à longueur de journée sur le
moindre média d’État.