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OPINION : OPINER DU BONNET et réchauffer Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 06-11-2021 23:03

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
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OPINION : OPINER DU BONNET et réchauffer
le climat, réchauffer l’opinion et la
guerre de tous contre tous.
Naturellement en PREMIER l’opinion passe
par le reconnaissance de soi ce qui implique
LE Paradoxe engendré par l’ego faiseur de
problèmes : « Cherchez qui pose les questions
et vous trouverez le Soi », dit le Maharshi à
l’entretien 13a du 7-1-1935.
 
Et à l’entretien 28 du 4-2-1935 : Le ‘Je’
rejette l’illusion du ‘je’ et cependant
demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe
de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà
réalisés n’y voient aucune contradiction ».
Paradoxe de saisir ce qu’il est impossible
de saisir, et la prise en charge de soi-même
réside paradoxalement à le RENONCEMENT même
à cette prise en charge.
C’est là que peut se construire l’opinion :
LA CONSTRUCTION D’UN DOUBLE, qui engendre que
l’unique, le ‘Je’, ne soit pas seulement
lui-même et rien d’autre : pas de Soi qui ne
soit que le Soi ; pas de Ici et Maintenant
qui ne soit qu’Ici et Maintenant.
Opiner du bonnet ou de la tête = OSCILLER,
et implication de la dualité Dedans-Dehors.
« Pas de Soi qui ne soit que Soi » peut
engendrer le cancer du pouvoir.


Malvenu dans la République du « Sans contact » puisque tout le monde est le « roi », le souverain absolu appelé « Citoyen », c’est-à-dire ne relevant que de lui-même, et même pas de Dieu ; IL EST DONC « HORS SOL », car il « délègue » ses pouvoirs, ses désirs, par élection, à qui bon lui semble comme il choisit la couleur de ses caleçons et de ses soutifs, ou le nature de son sexe… Parce que maintenant, il est un USAGER, un SPÉCIALISTE.
Malvenu dans cette république du césarisme (1).


Un Libéré Vivant ou un Sage, un non-roi donc un non-citoyen, est sans opinion, sans idée.


Sentiment = le policier du mental : « En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler, cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l’instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même », explique Ramana Maharshi à l’entretien 43 du 28-3-1935.
De la même manière, même entretien : « Chacun connaît le Soi [ou l’Instant], et pourtant ne le connaît pas. Étrange paradoxe ».
Et à l’entretien 615 du 24-1-1939 : « Un voisin avait anticipé la visite d’un voleur dans sa maison. Il avait pris des précautions pour l’attraper en plaçant des policiers en civil pour surveiller les deux bouts de la rue, l’entrée et la sortie de sa maison. Lorsque le voleur s’était présenté comme prévu, les hommes de guet s’était précipités sur lui pour l’attraper. Le voleur, jugeant d’un coup d’oeil la situation, s’était mis à crier : « Au voleur ! Attrapez-le, attrapez-le ! Il court par là ! là ! » Et ce faisant, il était parvenu à s’enfuir.
Il en est ainsi avec l’ego. Partez à sa recherche et vous ne le trouverez pas. C’est la meilleure façon de s’en débarrasser ». (Entretien 615).

Le seul inconscient collectif possible est énoncé dans l’entretien 92 du 7-11-1935 :
« Les perceptions sensorielles ne peuvent donner qu’une connaissance indirecte et non une connaissance directe. Seule notre propre conscience est connaissance directe : c’est l’expérience commune à tout le monde. Aucune aide n’est nécessaire pour connaître son propre Soi, c’est-à-dire pour être conscient.
L’unique totalité, infinie et indivisible (le plenum), devient consciente d’elle-même en tant que ‘Je’. C’est son nom originel. Tous les autres noms, tels que OM, ne viennent qu’après. La Libération consiste uniquement à rester conscient du Soi. Le mahâvâkya « Je suis le brahman » en est l’affirmation qui fait autorité. Bien que l’on ait toujours l’expérience du ‘Je’, l’attention doit y être dirigée [Retournement de la Lumière]. Alors seulement, la Connaissance émerge. C’est pourquoi l’on a besoin de l’enseignement des Upanishad et des Sages » (entretien 92 du 7-11-1935).
« Le mental changeant (c’est-à-dire le mental associé à rajas = activité et à tamas = obscurité) est communément connu comme le mental. Dépourvu de rajas et de tamas, il est pur et brille par lui-même. C’est la réalisation du Soi. C’est pourquoi on dit que le mental est le moyen pour l’atteindre » (entretien 100 du 19-11-1935).

Dans le même entretien 615 : « Saisissez d’abord l’ego et demandez ensuite comment il peut être détruit. Qui pose cette question ? C’est l’ego. L’ego serait-il d’accord pour se détruire lui-même ? Cette question est la meilleure façon d’entretenir l’ego et non pas de le détruire [comme dans l’exemple du policier ci-dessus]. Si vous cherchez l’ego, vous constaterez qu’il n’existe pas. Voilà la façon de le détruire ».
PAS DE MEILLEUR VACCIN QU’AVEC AUCUN VACCIN… COMME PAS DE MEILLEURE LIBERTÉ AVEC AUCUNE INVENTION DE LIBERTÉ, OU PAS DE MEILLEURE VALEUR SANS AUCUNE INVENTION DE LA VALEUR.

La « paille et la poutre » s’inscrit dans le Paradoxe du ‘Je' : on se rend « ennemi » ou « indésirable », « étranger », en cherchant à ne pas l’être, et que demander à l’autre de convenir qu’il est aussi indésirable revient à vouloir supprimer son indésirabilité même. Ce « soi-même » coïncide ici avec tomber dans la dualité Dedans-Dehors, le Dehors étant l’autre ; de sorte qu’en croyant critiquer sa faute, en lui remontrant qu’il est autre, une autre ‘je’ qu’il se croit, j’espère secrètement qu’il est autre qu’il n’est, conceptualisant qu’il pourrait bien être non pas lui-même mais un autre. Mon opinion sur l’autre serait donc aussi illusoire que l’illusion d’une copie de l’unique ; et en insistant, je ne ferais qu’entrer dans l’illusion d’une copie du ‘Je’, au moment où je prétends le représenter chez l’autre et lui en faisant reproche : tombant ainsi moi-même dans le travers que je voulais lui signaler. Ce paradoxe du double rejoint le problème de la colère (interne ou externe) quand on se trouve dans l’impossibilité de prouver à l’autre qu’il a tort, d’où s’ensuit l’impossibilité de se prouver à soi-même qu’on a raison…
RENONCEMENT = COÏNCIDENCE AVEC L’INSTANT (par exemple celui de la mort : « La mort est un rendez-vous avec Soi : il faut être exact au moins une fois », écrivait André Ruellan, dans Manuel du savoir-mourir, page 37. Dans la mort il n’y a plus de dualité sujet et objet, ni de cause et d’effet.

L’opinion ne peut se situer que dans la dualité Dedans-Dehors : la conception de l’Être en soi issue de l’expérience de l’existant dans le spatio-temporel si on se prend pour un corps. Si bien que dans ce concept, aucun dogme ou doctrine ne peut être immuable parce qu’elle a se source dans le temps qui coule. C’est pourquoi la doctrine socialiste et républicaine est perpétuellement souple, toujours en réformes, se pliant aux circonstances. De là ses contradictions inévitables.
Personne n’est plus sectaire qu’un libre penseur rationaliste qui ne connaît que l’opinion, parce que toute idée tenue pour « vérité », à tort ou à raison, constitue un dogme et en joue le rôle, Or, les opinions, si proches qu’elles soient, sont toujours contradictoires par quelque côté. C’est le culte de l’opinion ou de la « raison » qui a conduit au désir d’une « UNITÉ D’OPINION » : et ce désir d’Unité, dans ses profondeurs, ne vient pas d’une volonté de suprématie, sauf dans l’oligarchie, mais d’une besoin profondément spirituel de trouver la Vraie Paix. Même Paradoxe que l’entretien 28 cité au début et rêve de réaliser un CENTRE IMMUABLE. L’être humain étant le TOUT, l’athéisme ou laïcité n’a jamais été qu’une forme de spiritualité, mais pour la laïcité à la française ça prend la forme d’une véritable religion.

Cas actuel du délire « réchauffement climatique ».

Dans ce monde des capitalistes et "néolibéraux” où TOUT SE CALCUL, SE CHIFFRE, les « réalités environnementales », il était logique que le concept de « valeur » fasse des siennes, aussi bien dans la propriété privée et aux biens communaux. DEPUIS 1789 EN FRANCE ET APRÈS APRÈS 1914 DANS LE MONDE OÙ CHACUN EST DEVENU LE ROI, IL EST AUSSI DEVENU UN OBJET : UNE VALEUR MARCHANDE, AINSI CEUX QUI EN TIRENT BÉNÉFICE AURONT INTÉRÊT À MÉNAGER, MANAGER, LE PACKAGING ! Car dans cette conception de la réalité, la destruction environnementale est nulle tant qu’icelle n’a pas été économisée, d’où la psychose du « réchauffement climatique ». Une banquise non capitaliste, ça n’existe pas ; une forêt amazonienne non capitaliste, ça n’existe pas.
LE POSTULAT FONDAMENTAL EST QUE L’APPROPRIATION PAR LE FÉTICHISME DE LA MARCHANDISE DE LA NATURE, ET DONC DU CLIMAT, EST LA CONDITION DE SA PRÉSERVATION. DE LÀ DÉCOULERONT QUE LES « BIENS COMMUNS » SERONT MAUVAIS, PARADOXE, ET QU’IL FAUT ENCOURAGER LE « VIVRE ENSEMBLE » ET SON SOCIALISME.
CAPITALISME VERT DONT LES VOITURES ÉLECTRIQUES FONT LA PARTIE DE MÊME QUE LE RÉCHAUFFISME CLIMATIQUE SONT L’ACTUELLE DÉMENCE DU CAPITALISME ET DE SON RÉGIME RÉPUBLICAIN.

EN ADMETTANT UNE RÉALITÉ NATURELLE DE CE RÉCHAUFFISME, QUI EN EST RESPONSABLE ? MAIS LES PROMOTEURS ET ACTEURS DU CAPITALISME : NOUS, PAR NOS ÉLECTIONS ET POUVOIR D’ACHAT, MAIS EN PREMIER LA CHEFFERIE DU SYSTÈME ÉCONOMIQUE DE LA FINANCE INTERNATIONALE : LA CITY DE LONDRES.
GAFAM ET AUTRES BILL GATES SONT DEVENUS DES ÉTATS DANS L’ÉTAT : L’EXTENSION GIGANTESQUE DE L’APPROPRIATION PRIVÉE QUI A POUR CONSÉQUENCE LA DESTRUCTION DE LA RICHESSE DE NOUS TOUS.
L’imbécile promesse de la tyrannie économique capitaliste prétend « sauver la planète » par l’extension de ce même capitalisme qui est en train de la détruire, d’où le changement de packaging en un énième « Great Reset » avec en vu le comble de la possession : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux », le comble de la possession : « ”Un jour je m’éteindrai libre de toute possession, le nirvana m’adviendra”. Prendre les choses ainsi, c’est le comble de la possession », dit Nagarjuna à la Stance 16,9.
C’est-à-dire que l’erreur des aspirant à la Vraie Liberté est de croire sans arrêt à leur ego : CROIRE à une solide personnalité, laquelle implique la dualité sujet et objet, ou ‘moi’ et ce qui n’est pas à ‘moi’.
Ce « Great Reset » annoncé comme le messie juif est identique au conte de fée : « Un jour mon prince viendra ». Soit le rêve transhumaniste, le rêve d’éternité. À ce Great Reset et à tous les DORG (Demain On Rase Gratis) il y a une mise en garde dans la Bhagavad-Gîta IV,18 : « Celui qui dans l’action peut voir l’inaction, et qui peut voir l’action continuant encore dans la cessation des œuvres, icelui est parmi les humains l’humain de délivrance authentique et de discernement ; il est en yoga [Union avec l’Un] et il est l’Ouvrier universel aux nombreuses possibilités [Zéro Indien, énergie libre, etc.] ».
Et en BhG IV,20 : « Ayant abandonné tout attachement aux fruits et à ses actions, à jamais satisfait, sans aucune sorte de dépendance, il n’agit pas, bien que par sa nature il s’engage dans l’action ».

Mais, qu’est-ce qui éprouve se désir d’éternel, et à l’état de veille ? Ce ne peut qu’être la croyance à l’ego et à l’individualité, devenu le roi ! Le mot « ÉTERNEL » ne peut que concerner UN TOTAL. Or un individu, ou un ego, un citoyen, n’est pas un total, un in-fini, puisqu’il se définit par rapport à un ‘toi’, et qu’il est donc limité pas ce qui le différencie de ce ‘toi’. C’est ce que la théologie exprime en disant qu’il ne peut y avoir qu’un seul Soi ou Dieu, car s’ils y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas in-fini, le TOUT. Il n’y a donc pas d’éternité individuelle, LE TRANSHUMANISME ET SON RÊVE D’ÉTERNITÉ ICI-BAS EST UNE GIGANTESQUE ESCROQUERIE DU CAPITAL, UN MESSIANISME DU CAPITAL POUR FAIRE MARCHER LES RICHES OU « PREMIERS DE CORDÉE », POUR LES FORCER À INVESTIR DANS DES TECHNOLOGIES DÉMENTES COMME LE NOUVEAU FACEBOOK EN META-MACHIN QUI SE LANCE DANS LA COURSE À LA TÊTE CONTRE LE MUR.
L’individualité n’existe que par la croyance à l’ego à l’état de veille, dans le sommeil profond le monde n’existe pas. « Dans le sommeil profond, l’homme ne possède rien, pas même son propre corps. Et au lieu d’être malheureux il est parfaitement heureux. Chacun désire dormir profondément. La conclusion en est que le bonheur est inhérent à l’homme et n’est pas dû à des causes extérieures. Pour ouvrir les réserves du bonheur parfait, il faut réaliser le Soi » (Ramana Maharshi, entretien 3 du 15-5-1935).

« Mais dans le sommeil profond, il n’y a aucune perception. Peut-on dire pour autant que l’ego ne s’y trouve pas ? Pour avoir conservé le souvenir d’avoir dormi, il faut bien que l’ego ait existé. Qui est-ce qui a dormi ? Vous ne vous êtes pas dit durant votre sommeil que vous dormiez. Vous le dites maintenant, une fois réveillé. L’ego est donc le même durant l’état de veille, de rêve et de sommeil profond. Trouvez la Réalité sous-jacente à ces trois états. C’est là la véritable Réalité. Dans cet état, il n’y a plus que ÊTRE, il n’y a plus « toi », ni « moi », ni « lui » ; plus de présent, ni de passé ni de futur. Cet état est au-delà du temps et de l’espace, au-delà de toute expression ». (Ramana Maharshi, entretien 17 du 24–2- 1935).
« Il n’y a qu’une seule conscience qui subsiste dans les trois états de veille, de rêve et de sommeil profond. Dans le sommeil profond, il n’y a pas de ‘je’. La pensée ‘je’ s’élève au moment de l’éveil, et alors le monde apparaît. Où était ce ‘je’ pendant le sommeil ? Existait-il ou n’existait-il pas ? Il devait bien exister, mais pas de la façon dont vous le ressentez maintenant. Le ‘je’ de l’état de veille n’est que la pensée ‘je’, alors que celui du sommeil profond est le vrai ‘Je’ qui ne cesse pas d’exister. C’est la Conscience. Si vous la connaissez, vous verrez qu’elle est au-delà de toute pensée ». (Ramana Maharshi, entretien 43 du 28–3-1935).
PAS DE LIBÉRATION INDIVIDUELLE, c’est pourquoi le Libéré ou Bouddha n’existe pas en tant qu’individu, il n’est pas un « étant » (un roi), ce qu’exprime le paradoxe de Lin-Tsi en Chine du 9è siècle : « Si vous rencontrez le Bouddha, tuez le Bouddha ». Donc cela pourrait s’appliquer à TOUTE CHEFFERIE D'UN ÉTAT…. À L’ÉTAT DE VEILLE OU DE SON VIVANT, on ne peut concevoir le « Bienheureux » ou le « Messie », s’il existe ou s’il n’existe pas ; de ce fait il n’y a aucune différence entre le nirvana (le contraire du samsara : l’Éveil) et le samsara (cycle des naissances et des morts, monde des phénomènes des noms-les-formes), cela ne veut pas dire qu’ils sont identiques !!! On ne peut discuter ou opinioner de CELA sans tomber effectivement dans la tyrannie de l’opinion : comment peut-on discuter de limite, comme d’une « limite de l’Univers », ou d’une « naissance de cet Univers », puisqu’il est Nous ?  (Rejoint le policier et le mental cité plus haut). Le concept de Big Bang ne saurait se construire que dans la dualité sujet-objet, dont l’objet s’appellerait « phase ».
Inventer le social et que les gens seraient « ensemble », donc LIÉS, ENCHAÎNÉS, et qu’il faudrait les délivrer ou qu’ils se délivrent aux-mêmes, C’EST FABRIQUER LA LIBERTÉ, SOIT FABRIQUER LE COMBLE DE SON CONTRAIRE : L’EMPRISONNEMENT. De même que l’idée de ne rien posséder est le comble de la possession ou de l’invention de la possession (un riche individu peut en tout confort commencer à se déposséder en léguant sa fortune…) !
Le libéralisme ou néo-machin et sa démocratie mercantile c’est l’enfer sur Terre, la dictature effective. Le libéralisme ce sont par exemple les GAFAM, richesse privée et individualisme augmenté ayant pour pré-condition la destruction de la richesse commune ou de la Vraie libération, comme exprimé plus haut, puisqu’il n’y a pas de libération individuelle comme nous le fait croire le capital et son « pouvoir d’achat », ses marchandises et son salariat. Une firme qui vend de l’eau en bouteille aura plutôt intérêt à ce que disparaissent les fontaines publiques. Au train ou vont les choses de la techno-capitalisme l’air pur devenu rare sera vendu aussi en bouteille !
LA DÉMENCE DU CAPITALISME DICTATURE EST DE PRÉTENDRE METTRE EN GARDE CONTRE LE CONCEPT DE « RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE » PAR L’AUGMENTATION DE CE MÊME CAPITALISME QUI SE PRÉTEND MAINTENANT « VERT » (comme VERTueux) QUI DÉTRUIT TOUT. Dans cette gigantesque aliénation en inversion du Seul Réel, les néolibéraux nous fourguent leur possession privée comme étant la solution à un désastre environnemental qui est pourtant le résultat des accumulations privées antérieures et la condition augmentée d’une appropriation marchande également augmentée dans cet enfer où tout se vend et s’achète. Comme pour ses injections aux ARNm, remède dans la dépendance toxique, en étendant le mal plutôt que de le soulager car les piqués aux ARNm sont condamnés à se faire piquer chaque année de façon cyclique et jusqu’à leur mort, principe du prétendre « sauver » par ce même mal de civilisation qui rend malade, parce que dans le cas de l’artifice politique SRAS-CoV-2 donnant le COVID-19 issue d’un labo de l’université de Caroline du Nord entre 2006-15 puis récupéré par le Pentagone à des fins d’armes bio., y compris les injections à ARNm - il y a bien amplification du corps, amplification de l’ego, ET POSSESSION APRÈS L’INJECTION : VOTRE CORPS AMPLIFIÉ NE VOUS APPARTIENT PLUS, VOUS ÊTES SOUS LA DÉPENDANCE OU SOUS PROGRAMMATION DU CAPITAL (par des injections cycliques comme celles répétées de l’antienne de la « grippe annuelle » ; VOTRE INDIVIDUALITÉ EST AUGMENTÉE, NORMAL, VOUS ÊTES DÉSORMAIS LE CLIENT ET ROI DEVENU OBJET (d’expériences en ingénierie politico-sanitaire dans le cas du SRAS-CoV-2).

« Le monde n’est pas extérieur. Les impressions ne peuvent pas avoir une origine externe,

parce que le monde ne peut être connu que par la conscience. Le monde ne dit pas qu’il existe. Ce n’est que votre impression, même si elle n’est pas cohérente ni continue. Dans le sommeil profond, le monde n’est pas connu ; il n’existe donc pas pour l’homme qui dort. Par conséquent, le monde est la suite de l’ego. Trouvez l’ego. La découverte de sa source est le but final ». (Ramana Maharshi, entretien 53 du 15-6-1935).
Dans ce même entretien : « Le monde peut-il exister sans quelqu’un qui le perçoive ? Qui est apparu en premier ? La conscience d’être ou la conscience du monde ? La conscience d’être est toujours là. Elle est éternelle et pure. La conscience du monde apparaît et disparaît. Elle est transitoire ».


- Maharshi : Dans le sommeil profond vous existez ; au réveil, vous existez toujours. C’est le même Soi dans les deux états. Ce qui fait la différence est seulement la conscience et la non-conscience du monde. Le monde apparaît avec le mental et disparaît avec lui. Ce qui apparaît et disparaît n’est pas le Soi. Le Soi est différent, il donne naissance au mental, le soutient et le résorbe. Ainsi le Soi est le principe sous-jacent.
Quand on vous demande qui vous êtes, vous placez votre main sur le côté droit de la poitrine et vous dites : « Je suis ». Là, involontairement, vous indiquez le Soi. Le Soi est donc connu. Mais l’individu est malheureux parce qu’il confond le mental et le corps avec le Soi. Cette confusion est due à une fausse connaissance. Seule l’élimination de cette fausse connaissance est nécessaire. Le résultat de cette élimination est la Réalisation.
- Question : Comment puis-je contrôler le mental ?
- Maharshi : Qu’est-ce que le mental ? À qui appartient-il ?
- Question : Le mental erre constamment. Je ne peux pas le contrôler.
- Maharshi : La nature du mental est précisément d’errer. Mais vous n’êtes pas le mental. Le mental émerge puis s’immerge. Il est impermanent, transitoire, alors que vous êtes éternel. Il n’y a rien d’autre que le Soi. Rester le Soi est la solution. Ne faites pas attention au mental. Si on cherche sa source, le mental s’évanouit, laissant le Soi non affecté derrière lui.
(Entretien 97 du 19—11-1935).

Le problème de la libre pensée et du libéralisme s’est augmenté en Occident à la Renaissance avec les besoins nouveaux d’étudier la matière selon des disciplines intellectuelles autonomes libérées des opinions de la théologie chrétienne, et a effectivement produit la liberté d’opinion  personnelle et la république de 1789. Mais en prenant le pouvoir, elle se niait du même coup, vrai nihilisme. Car en triomphant, la liberté de pensée signait son arrêt de mort, car il est évidemment impossible à un gouvernement d’un État de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord. Cet État aura donc la nécessité de recourir à la manipulation des masses pour leur arracher du consensus, pour leur arracher leurs opinions…

L’opinion religieuse, politique, philosophique, scientifique, imagine un oiseau à la convenance du nid ou moule, comme l’énonce le Mathnawi, Livre deuxième 3292 : « Le mot est comme le nid, et le sens est l’oiseau ; le corps est le lit de la rivière, et l’esprit est l’eau qui y court ». Renoncer à l’opinion, c’est renoncer au conditionnement social ; c’est avoir échappé aux étiquettes opinions que le social colle sur vous.
Les seuls complotistes en ce monde, ce sont LES GROS EGO AUX GROS BESOINS ET GROSSES COMMISSIONS des Bilderberg et autres CFR, FMI, BRI, Club de Rome, NSA, Cartel de la Drogue, Industrie de l’armement (voir le complexe militaro-industriel français : Thales [Thomson-CSF], la technotronique du contrôle de l’humanité…), Davos, etc., et leur City de Londres nombril de leur finance internationale et LEUR MISE EN VALEUR DE LEUR TEMPS. Cette haute classe égoïste veut ROBOTISER ET « SANS CONTACT » LES ÊTRES HUMAINS POUR LES AVOIR SOUS LEUR CONTRÔLE (covidisme, transhumanisme ou ingénierie politico-sanitaire, arnaque du pétrole biotique « fossile », réchauffisme climatique et capitalisme vert sous prétexte de « protéger l’environnement », sans oublier l’arnaque de la chimie destructrice non par le cancer, mais par l’industrie de Big Pharma).

Cela remonte au 1789 français avec la mécanisation des âmes, le viol des foules. Historiquement, la science de la mécanisation sociale à progressé tout au long du 19è siècle européen parallèlement à la mécanisation industrielle ; ce qui ne pouvait qu’inévitablement produire l’ordinateur.
L’actuelle démocratie fonctionnant sur l’ego et la possession par conflits d’intérêts, est condamnée à la frustration permanente par ses propres limitations ; elle ne peut mener qu’à la stérilité. Pour être harmonieuse, une communauté humaine doit être basée non pas sur le conflit inhérent à la démocratie marchande et à l’ego, mais sur la coopération, non pas sur la possession et l’intérêt ou le calcul mais sur la GRATUITÉ, le DÉSINTÉRESSEMENT.

TRÈS IMPORTANT et déjà écrit sur le site de nombreuses fois :
À l’ère stérile des spécialistes et spécialités et de la quantité liée à l’évolutionnisme, la liberté ne peut commencer que par LA QUALITÉ : les métiers vitaux POUR LA BASE DE LA VIE ne sont pas multipliables à l’infini, cas actuel d’un manque alimentaire, car tout est possédé par des grosses industries multinationales alimentaires, qui font, qu’en cas de terrorisme, de catastrophe nucléaire ou naturelle, de gigantesque piratage informatique ou de panne mondiale d’électricité, le manque alimentaire sera flagrant, car les réserves ne permettent probablement que de tenir environ une semaine. Or, la fausse spécialisation actuelle au contraire résulte de l’égalitarisme, de l’uniformité, de la robotisation de l’humain ou rêve d’« unité d’opinions », et par là même, la fausse spécialisation ne connait pas limites : on peut diviser sans fin un corps indifférencié ! Ce qui peut facilement donner le mouvement anglo-américain du transhumanisme qui rêve d’une « immortalité » dans le spatio-temporel, allant avec la logique juive de sa « mise en valeur du temps » (2) !

EN RÉSUMÉ : BALAYER LE CONCEPT COMMERCIAL DU LIBÉRALISME DÉCOULANT DE 1789 POUR RE-TROUVER LE NON-CONCEPT CAR NATUREL DE LA COMMUNAUTÉ ORIGINELLE, QUI PEUT SE RÉSUMER PAR : « MIEUX VAUT PLEIN DE PETITS MOTEURS QU’UN GROS QUI PEUT CASSER » : des millions et des millions de petites Communautés solidaires réparties sur la planète, SURTOUT PAS DES VILLES SYNONYME DE ”CITOYEN”, MAIS SANS ÉTAT, SANS SALARIAT, SANS FÉTICHISME DE LA MARCHANDISE. Comme déjà écrit plus haut : Pour être harmonieuse, une communauté humaine doit être basée non pas sur le conflit inhérent à la démocratie marchande et à l’ego mais sur la coopération, non pas sur la possession et l’intérêt ou le calcul mais sur la GRATUITÉ, le DÉSINTÉRESSEMENT.

TOUJOURS SE RAPPELER QUE LE POUVOIR EST UNE MALADIE MENTALE : CELLE DE L’EGO, CELLE DÉPENDANTE DE LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS.
« Qu’est-ce qui a poussé l’assassin à commettre le crime ? Le même pouvoir lui infligera également la punition. Que ce soit la société ou l’État, tous deux ne sont que des instruments entre les mains de ce pouvoir…. », dit le Maharshi à l’entretien 17 du 24-1-1935. Le ou les pouvoirs SONT LA DUALITÉ MORTIFÈRE : « Les pouvoirs sont connus soit par ouï-dire, soit par démonstration. C’est la preuve qu’ils n’existent que dans le domaine du mental », dit le Maharshi à l’entretien 18 du 26-1-1935.


Notes.
1. CÉSARISME : Système politique étatique, gouvernement d'un dictateur qui s'appuie ou tente de s'appuyer sur le peuple (absolutisme, dictature). Le césarisme des Bonaparte (réf. dic. Le Robert).

2. La NORME JUIVE de leur dualité winners-losers (élus/non-élus) résumé page 18 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent : « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus, Ouroboros] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps [dans un seul sens et concept du mental par l’idéation] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, l’opinion, la démocratie et le consommateur et forcément des limites]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent et du salariat, de la marchandise idole et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute [et inventer la liberté]. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps [la carotte du messianisme et de leur ”Jour du jugement dernier”…] ».
« Mettre en valeur »…. Là est le problème !!!
 
 

Dernière mise à jour : 06-11-2021 23:58

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