Accueil arrow Yôkai arrow Dernières news arrow Le rêve d’Absolu de l’humain
Le rêve d’Absolu de l’humain Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 20-11-2021 23:27

Pages vues : 5327    

Favoris : 65

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
1dollar_reveabsolur.jpg
 
 
Le rêve d’Absolu de l’humain
qui se retrouve dans le transhumanisme
anglo-américain, soit chez le Citoyen :
« L’intellect-personne, qui tend par nature
par sa fonction ontologique, à figer, ossifier,
conférer un semblant d'absolu et de valeur
éternelle à une connaissance du sensible issu du
mental, qui pourtant, par nature, ne peut en avoir.
Cet ersatz d'absolu, je l'appellerai « opinion ».
L'opinion n'est jamais en sécurité, elle porte en
elle l'angoisse de pouvoir être remise en question.
Aussi est-elle toujours en position de défense,
ou d'attaque. Aussi, l'opinion est nécessairement
sectaire, intolérante. Tout ce qui n'adhère pas à
l'opinion, absolutisée collectivement sous le nom
de ”parti”, est ennemi ». (Jean Coulonval,
Synthèse et Temps Nouveaux).

ABSOLU : PARADIS ou ENFER (au choix).

 
 
Le rêve d’Absolu de l’humain, prisonnier
de la dualité pur-impur où le concept
de religion et de secte jouent un rôle
fondamental.
Le pur c’est de qui ne se mélange pas,
l’impur c’est ce qui dérange, comme
l’étrange(r)(1), comme l’inconnu,
comme le mystère, le non-identifiable,
l’innommable (dans tous les sens du mot),
et bien-sûr comme la mal-à-dit (quand
D.I.T. signifiait déité : maudire le pur).
La mort devient une impureté, surtout chez
les transhumanistes et les Bill Gates et
autres Laurent Alexandre, Raymond Kurzweil….

Guérir le deuil, c’est éliminer ce foyer
« infectieux », ce « sale », qui, par
les miasme de mort, atteint les sources
vives de la vie.
Or, cette infestation de la mort peut se
soigner PAR THERMODYNAMIQUE EN FROTTEMENT
RYTHMIQUE ENGENDRANT DES RÉSONANCES :
le bras qui frotte, les bois qui
battent, la voix qui chante, tous semblant
SE DIRIGER VERS UNE VALEUR, UN ABSOLU.
FROTTER = CHALEUR : on se frotte les
« uns les autres » (chose désormais impossible
avec les « gestes barrière »… impossible de se
soutenir les uns les autres en s’induisant
mutuellement et durablement par self-induction,
il faut maintenant faire appelle aux
« spécialistes »…).
FROTTER UNE ALLUMETTE, OU FROTTER SON POUCE
(comme Stan Laurel allumant son pouce…).

Avec le Covidisme, ses masques et ses
spikures ARNm, Nous sommes à l’envers
de la thermodynamique et de son « réchauffement
miragetique » : LA FROIDEUR DE LA VIEILLE FILLE,
freudistement, LA PROPRETÉ EST UNE MALPROPRETÉ,
UN ÉTAT IMPUR ! (2)

La main ou « Veuve poignet » de l’Homo faber
est un langage (des signes chez les sourds),
mais est surtout caresses que recherchent
chiens et chats domestiqués, et même certains
grands félins telles des lionnes qui étant
jeunes ont connues l’humain.
La méthode du frottement pour produire du
feu vulgaire c’est le sperme, la semence,
le feu de joie ou feu artificiel (externe).
frotter deux morceaux de bois c’est déjà
du transhumanisme primitif :
FÉCONDER SOUS SA FORME LA PLUS SEXUELLE
ET DONC SE PERPÉTUER EN « IMMORTEL » OU
EN NOMBRE DE DÉSIRS TOUS COMBLÉS.
Les transhumanistes n’ont rien inventé.
Le feu de joie est déjà une forme d’immortalité.

Le transhumannisme est d’ailleurs le même
orgueil luciférien que cette judéo-maçonnerie
spéculative style Grand Orient de France qui
voudrait reconstituer et voir simultanément
toutes les faces du polyèdre et qu’en cela
ce serait, selon eux, la « vraie religion »,
c’est-à-dire celle des voyeurs, le Pour-Voir.
Or la Connaissance est dans l’Instant,
pas dans le temps, pas dans les bagages.


« Les perceptions participent de l’état dans lequel on se trouve, quel que soit cet état.
L’explication en est que dans l’état de veille (jâgrat), le corps grossier perçoit les noms et les formes eux aussi grossiers ; dans le svapna (état de rêve), le corps mental perçoit les créations mentales sous leurs multiples noms et formes ; dans la sushupti (état de sommeil profond), il n’y a plus d’identification avec le corps et donc pas de perceptions ; de même, dans l’état transcendantal, l’identité avec le brahman met l’homme en harmonie avec toutes choses, et il n’y a rien qui soit séparé du Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 2 du 15-5-1935).

« Vous ne voyez les objets que lorsque vous oubliez votre propre Soi. Maintenez-vous dans le Soi et vous ne verrez pas le monde objectif ». (Ramana Maharshi, entretien 6 du 15-5-1935).

« Ne vous préoccupez pas de l’Europe ou de l’Amérique. Où sont ces deux pays si ce n’est dans votre mental ? Réalisez votre Soi et alors tout est réalisé ». (Ramana Maharshi, entretien 20 du 30-1-1935).

« Réalisez votre Soi et alors tout est réalisé » : parce que l’être humain est en son Être, en son Essence, un résumé, un TOUT ce ce qui existe et du Divin : le EST, ou CELA, le TOUT. C’est la nature ontologique de l’humain, comme le polygone dans un cercle. Alors, ce polygone, il essaie de le voir à partir de sa spécialité, dont il fait un centre (comme les biologistes), alors qu’elle n’et qu’une face du polyèdre de la connaissance absolue. Avec cette spécialité comme centre, il construit des « ismes » ou systèmes, des concepts, des sectes, des partis. Il possède des opinions ; il construit des trucs. (Pour référence à Jean Coulonval, lettre 6 à Aimé Michel, dans Synthèse et Temps Nouveaux).
 
Le « social » est maintenant devenu LA MATRICE, CELLE DU LIBÉRALISME ET CAPITALISME, CELLE DU « ISME » TECHNOLOGIQUE : il est frappant de voir l’UNIFORME mental des médecins (la plupart), ingénieurs, professeurs, cadres de bureau, tous uniformisé standardisé par leur style d’être social, par la MATRICE FAMILIALE ET SCOLAIRE UNIVERSITAIRE. ILS SONT TOUS DES RÉSULTATS DE L’ÉCOLE, DONC DU SOCIAL, QUI LEUR A APPRIS LEUR FONCTION SOCIALE, À PENSER CE QU’ILS PENSENT, À SENTIR CE QU’ILS SENTENT.

Ce rêve d’Absolu, est maintenant tenu par ceux qui sont cancérisé par le pouvoir en haut de leur pyramide, ceux qui prétendent, chose bien visible depuis le coup du COVID, unifier, uniformiser mentalement tous les Terriens en standardisant leur vie dans le temps et l’histoire (l’HOTC : Histoire-Opinions-Temps qui Coule) et leur comportement social par une sorte de transposition également bien visible maintenant sur le plan éducatif des méthodes de fabrications industrielles en séries, et en tout connecté. Cette massification mentale devient une mutation de la inversée : la quantité devient qualité, en vertu d’une confusion du spirituel et du mental, de l’universel et du général. Le perpétuel prend le masque de l’éternel (avec le transhumanisme c’est l’immortel qui prend le masque de l’éternel), le général prend le masque de l’universel, le psychologique celui du spirituel. C’est logique dans le socialisme où seule compte la matière, le spatio-temporel, se condamnant ainsi à ne concevoir comme mode de pensée que l’opinion qui se construit par le corps, le mental et donc dans le temps vécu (les médias parlent de « temps de parole » lors de l’hystérie républicaine d’élection présidentielle), par évolution dialectique qui se déroule entre un commencement, une naissance, que l’imagination peut reculer indéfiniment dans le passé, et un futur également indéfini. C’est dans cette géométrie euclidienne de la flèche du temps sans un seul sens que doit se réaliser l’absolutisme de la « mise en valeur du temps », soit le DORG, Demain On Rase Gratis. Le socialisme prétend être à la fois une physique, une métaphysique et une religion, mais il ne peut que faire dans les fantômes, les mirages, dans l’illusion totale genre Alpha et Oméga à la Teilhard de Chardin nécessairement dans cette « mise en valeur du temps ».

Toute opinion politique est sous-tendue par le besoin d’Absolu qui hante normalement tous les Terriens. Pour un Terrien donné, plus ses opinions sont solides, plus elles ont pour ferment le besoin d’Absolu, plus elles sont chargées d’affectivité religieuse, et plus elles sont dogmatiques et refusent d’être remise en question. Inversement, plus elles sont floues, sans fondations sentimentales et intellectuelles, et plus elles sont insignifiantes et inoffensives. Ainsi, plus une opinion est ferme, plus elle tend à s’imposer, à exercer sa dictature sur les cerveaux ; nous y somme en France sous le macronisme. Les opinions politiques ne peuvent qu’être ennemies entre elles, par nature, et ainsi tout État qui prétend admettre la pluralité des opinions et donc des partis, est totalement hypocrite, faux derche ; le régime républicain est de règne de l’opinion.
Qu’est-ce que c’est, finalement, l’État profond ? Évidemment en premier les industries multinationales et leurs banques qui manœuvrent les États, mais surtout leur courant de pensées qui ne peut pas dire aux masses : « Vous savez, je vous couillonne ». En régime démocratique, avec plein de partis ou de mono-opinion, la politique dans l’État républicain ne peut pas être autre chose que la fabrication du chaos : agiter les humains avant de s’en servir.

Il ne peut y avoir qu’un seul VIDE, ou un seul INFINI, car aucun ne pourrait alors être dit « infini » ou « universel », parce que ne contenant pas l’autre et étant limité par lui. Cela pour la même raison que, si l’on tient que le Soi est sans limite, il n’y en a nécessairement un seul, puisque, s’il en était deux, chacun étant limité par ce qui le distingue de l’autre, aucun ne pourrait être dit infini. À ce propos, se rappeler de l’escroquerie de cette république qui se dit « universelle » ou « indivisible » afin de singer le mot « catholique » (du grec katholikos : universel).

Aucune forme de Vraie Paix ne peut exister si elle s’en tient à cette seule forme de pensée qu’on appelle « opinion ». Il est parfaitement stérile de rechercher une opinion « vraie », ce ne peut qu’être un mirage. Ce ne sera jamais plus que « ma vérité » alors que la Vérité n’est pas un objet de possession. La Vérité, si elle EST, doit nécessairement transcender le conflit de la dualité sujet-objet.

L’Absolu c’est le EST, l’Ainsité, le « Je suis ce JE SUIS » : ET DONC QUI N’EST PAS NÉ, parce qu’Il est en Dehors de sa Création. Ce qu’on appelle l’Être : l’”Être-té”, plutôt que l’Être ; l’Êtreté que la « raison » limitée a symbolisé par la Trinité théologique, Sat (le Réel ou ex-istant) est au-delà de toute pensée ou spéculation], par lequel icelui manifeste le monde. Ce qu’on appelle l’ÊTRE n’est que l’ex-istant, LE POUVOIR À LA FOIS DE DIEU ET DU DIABLE, CELUI DE FAIRE QUE CE QUI EX-ISTE N’EST PAS D’EXISTENCE : LE MONDE N’A PAS ENCORE ÉTÉ CRÉÉ. Voilà pourquoi le Maharshi ou Sage dit souvent que « Vous n’êtes pas né », puisque Nous sommes le TOUT. Mais ne pas être né ne veut pas dire nihilisme ou néant, comme l’indique Nagarjuna à la Stance 1,1 : « Jamais, nulle part, rien qui surgisse, ni de soi-même, ni d’autre chose, ni des deux à la fois, ni sans cause ». Il n’y aucune utilité à ce que naisse ceci naisse de ceci. IL EST IRRATIONNELLE QU’UNE CHOSE DÉJÀ NÉE, de tout temps, naisse à nouveau, d’où le « Vous n’êtes pas né » du Maharshi. Pas de « causa sui ». Le causalisme genre Big Bang ou avec un Dieu créateur épisode « Genèse » est un concept-fiction occidental d’ingénierie sociale.

À la Stance 1,10 : « Étant donné que des entités dépourvues de nature propre n’ont pas [vraiment] d’existence, la formule « ceci étant, cela est » est inadéquate ». Donc si les choses ne sont pas nés et n’ont pas d’être en soi mais reste seulement sociale, relationnel, alors toute opinion de relation ou de « vivre ensemble » entre les choses est nulle. La relativité généralisée sous le nom de « Vacuité » ne veut pas dire néant ou nihilisme ; non-naître ne veut pas dire non-Être.

RÊVE D’ABSOLU DOIT BIEN SIGNIFIER : CHAQUE ÊTRE HUMAIN SOUFFRE DE NE PAS ÊTRE, SURTOUT CEUX QUI PEUVENT VOIR LA « COPRODUCTION CONDITIONNÉE » (le jeu infernal et infini de causes et conditions ou chaine sans fin de causes-effets, soit le jeu infernal de l’a-voir : privation de voir, mais pas dans le sens de pour-voir…). Bref, ceux qui voient l’origine de la souffrance, son arrêt et le sentier qui mène à son arrêt. Ça s’appelle aussi l’Éveil.

Mais, mais, mais, le rêve d’Absolu de l’humain devient maintenant celui des multinationales qui remplacent petit à petit les États : les multinationales font les lois à leur avantage évidemment.

Le rêve d’Absolu de l’humain : « Il convient d’adorer [sens du A privatif et dorer : ne pas dorer…] le Seigneur [le Soi] avec tout ce qui s’obtient sans effort [Zéro indien ou Énergie libre]. Il ne faut jamais faire le moindre effort pour parvenir à ce qu’on ne possède pas », dit le Yoga Vasistha, chapitre chapitre Deva Pûjâ, et définition de l’Art.

CELA ou le EST : quand les cinq sens ont cessé de fonctionner et que les concepts de plaisir et de souffrance ont disparu est le Soi ou Shiva [Conscience] - également désigné par des expression comme ‘CELA’, ou ‘VÉRITÉ’, ou ‘RÉALITÉ’. Cependant, CELA qui est quand toutes ces choses cessent existe même quand elles sont toutes présentes, comme l’espace illimitée. (En référence au Yoga Vasistha, chapitre Deva Pûjâ).
Dans le même chapitre : « Ne peut être considéré comme adoration que ce qui est accompli dans un état de sérénité semblable à celui de l’espace, quand le mental s’est totalement immobilisé [le vagabondage de l’idéation a cessé] sans le moindre mouvement de la pensée, quand il y a sans efforts absence de perversité [ou de calcul]. Établi dans cet état de sérénité, le sage devrait connaître une expansion infinie en lui-même tout en accomplissant naturellement ses actions au-dehors sans désir ni rejet. Telle est la nature de l’adorateur de cette Conscience. Dans son cas, l’illusion, l’ignorance et le sentiment de l’ego ne voient jamais le jour, même en rêve. Demeure dans cet état, ô sage, vivant toute chose à la manière d’un enfant. Adore le Seigneur de ce corps [l’intelligence ou Conscience qui l’habite] avec tout ce qui t’est apporté par le temps, les circonstances et l’environnement, et repose dans une Paix sublime, dénuée de désirs ».
 
Notes.
1. Est considéré comme « sale », impur, ou actuellement comme « terroriste », seulement ce qui n’est pas identifiable : RIEN NE PEUT ÊTRE RÉPUTÉ SALE OU « TERRORISTE » DÈS LORS QU’IL EST IDENTIFIÉ OU RECONNUE COMME « EST » (ex-istant), comme l’étranger une fois identifié n’est plus un étranger. Ainsi est considéré comme « sale » ou « terroriste », ennemi, virus, tout de qui est « INNOMMABLE » (terme extraordinaire qui en un seul mot contient l’idée d’indéterminée, l’idée de dégoûtant, et qui rend parfaitement compte du lien profond qui relie l’inexistence ou le caché à l’immonde, comme si Dieu étant « immonde », Diable… Cependant, CHAQUE CHOSE DU VRAI RÉEL PARTICIPANT DU EST OU DU CELA, OU DU SANS POURQUOI, NE PEUT PAS ÊTRE SALE PUISQUE N’ENTRANT PLUS DANS LA DUALITÉ PUR-IMPUR).
LORSQUE L’ÉVEIL EST PARFAIT, LORSQUE LA COMPRÉHENSION EST PARFAITE, SON OBJET S’ÉVANOUIT, LE SALE DISPARAÎT.

Sans oublier dans ce monde de la consommation, de l’égalitarisme, et de la pollution qu’il y a beaucoup de choses qui ne sont ni ceci ni cela et qui pourtant sont des COCHONNERIES DE LA REPRÉSENTATION, dès lors que re-présentation signifie copie, DONC MODELAGE DE L’HUMAIN, ou séparation de la seule « chose » qui puisse l’identifier, C’EST-À-DIRE LE SEUL RÉEL (absence de dualité sujet-objet, absence de Dedans-Dehors). Et le ni ceci ni cela du prochain « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » est une cochonnerie car devenu « INNOMMABLE », puisqu’il n’y a plus de possession… Le mot « INNOMMABLE » est du même Thème que le mot « FLÉAU » (de Dieu...).

Céline faisait remarquer que nous étions sous la tyrannie de l’opinion, qui consiste à donner son opinion ou son sentiment sur les choses en les transformants en artifice, en virtuel, en vérité possédée ; au lieu de les nommer dans leur mention crue, chose de plus en plus impossible en nostre monde d’aliénation technologique en tout connecté…

2. Dans ce qui est peut-être le meilleur film long-métrage de Laurel et Hardy : « Au far-west », dans la séquence d’introduction, dans le saloon, une vraie-fausse vieille et très sèche fille gifle son lubrique de mari qui admire Lola Marcel se tortillant sur une scène (le « foyer d’infection »).
 
 

Dernière mise à jour : 20-11-2021 23:52

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >