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Le Pécheur vit sans Présent, sans Instant Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 22-11-2021 21:27

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
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Le Pécheur vit sans Présent, sans Instant
Ça s’appelle « Réforme », ou « procrastination » :
genre des DORG (Demain On Rase Gratis).
Une obsession du temps qui coule,
qui pourrait porter le nom de « Lendemain ».
Lequel, comme le messie, n’arrive jamais
puisqu’il n’est pas le lendemain de ce
jour-ci mais toujours le jour d’après, et quel
que soit le jour considéré.


MONTER SUR LE TRÔNE ou « faire ses besoins ».
La Réalisation du Soi.
 
 
Le pécheur est naturellement dans la dualité
sujet, celui qui tient la canne à pèche ou le
filet, et l’objet : le poisson. Et troisièmement,
à l’ère industrielle il tient l’ouvre-boîte !

« Le mal que l’on voit chez l’autre, c’est son
propre mal. La distinction du bien et du mal est
à l’origine du péché. On projette hors de soi
son propre péché et, par ignorance, on le
surimpose sur l’autre. La meilleure voie, c’est
celle qui permet d’atteindre l’état dans
lequel il n’y a plus de distinction [aucune
saisie possible, aucune opinion]).
(Ramana Maharshi, entretien 453 du 8-2-1938).

« Celui qui est imprégné de l’idée ”Je suis le
corps” est le plus grand des pécheurs car il
commet un suicide. L’expérience « Je suis le Soi »
est la plus haute vertu ».
(Ramana Maharshi, entretien 536 du 15-10-1938).

« Toute souffrance est due à la fausse notion
« je suis le corps ». S’en défaire, c’est le
jnâna [connaissance, Connaissance, sagesse] ».
(Ramana Maharshi, entretien 633 du 23-2-1939).

FLÉAU : le messie arrive effectivement, et
c’est l’apocalypse (sens de révélation ou
COINCIDENCE ABSOLUE AVEC SOI-MÊME,
AVEC L’INSTANT, AVEC LE SOI OU
CONSCIENCE INFINIE.
Une Réalisation du Soi  où l’existence est
enfin identique à Elle-même ; si bien que
que disparaît la fiction, ce qui engendre
une caricature de fiction pouvait s’appeler
FÉLICITÉ : l’envie de montrer « aux autres »
la Félicité, le Bonheur, la Paix, comme le
curé qui fait sonner les cloches de son église
pour annoncer une bonne nouvelle, ou pire :
une catastrophe !
C’est dire que Félicité est synonyme d’Instant.
Évidemment dans le PÉCHÉ, c’est le MANQUE :
l’expérience cruelle de la vie dans le
spatio-temporel en l’absence d’Instant qui
devient imp(t)rouvable, sinon par le biais
et la nostalgie du déjà loin et déjà passé !

Et comme dans le PÉCHÉ, c’est le MANQUE,
LES JUIFS VONT SAUTER SUR L’OCCASION POUR
METTRE EN VALEUR LEUR TEMPS ET FAIRE DU
COMMERCE, DU SOCIAL, DE LA RÉPUBLIQUE (1).

FLÉAU : voir, enfin, les choses telles qu’elles
sont, et c’est la disparition absolue
du capitalisme, parce que le capitalisme est
LE CONTRAIRE DE L’ÉPHÉMÈRE, IL EST UNE F(I)CTION
d’ailleurs se traduisant dans son transhumanisme
qui rêve d’« immortalité » dans le spatio-temporel !
Le capitalisme par essence se croit « immortel »
comme l’Oiseau Phénix transhumaniste.
Le capitalisme déteste l’incertitude,
son argent voudrait vivre dans l’Instant,
dans la Vérité (du chiffre, du compte).
Évidemment c’est tout le contraire puisqu’il
repose sur le messianisme.

LE MESSIE NE DOIT JAMAIS ARRIVER, L’ARGENT
DOIT ÊTRE LE MOTEUR IMMORTEL, DÉFINITION DU
CAPITALISME ET DE LA VIE ÉCONOMIQUE MODERNE.

L’ARGENT colle admirablement avec l’OPINION.


ARGENT : du latin argentum (argent, métal et monnaie), de arguere : montrer, prouver, démontrer, rattaché à une racine indo-européenne exprimant l’éclat-éclair, la blancheur [de l’Instant réunissant les 7 couleurs de l’Arc-en-Ciel].
Argent (métal) en gaulois : arganton, mot d’après un nom de lieu Arganto-magus, devenu Argenta (Orne) et Argenton (Creuse, Indre), etc. Nom de région : Argentia, devenu l’Argence (Aveyron, Charente), etc. Comparable au vieux gallois et vieux breton argant, vieil irlandais argat ; voir l’actuelle Argenteuil (Yvelines, etc.). Remonte au vieux nom de l’argent argntom, dérivé de la racine arg- blanc brillant, voir le sanskrit rajatâm. (Réf. Dic. Français-Gaulois, de Jean-Paul Savignac).

Le messie ne doit jamais advenir, comme le A privatif de devenir le signale, de même que le A privatif de A-ffaire et faire = privation de faire, comme l’indique le VIRTUEL, L’USURE, L’ARGENT DES AUTRES OU L’ARGENT POUR L’ARGENT totalement détaché des besoins premiers de la vie physique ; le faire est donc dans les affaires détaché du ‘faire’ originel nécessaire aux besoins vitaux.

« Les A-ffaires, c’est l’argent des autres », surtout chez les Juifs tels les frères Abraham et Simon Oppenheim, qui en 1840 déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent).
« Les A-ffaires, c’est l’argent des autres » c’est l’USURE : l’intérêt de l’argent, ou l’argent de l’argent, la COMMISSION, la rente, et donc l’argent des autres, le virtuel, l’illusion d’illusion, LA SAISIE : trouver son intérêt, trouver ce qui rapporte, par le Dehors, par l’autre… Autre variation, déformée, de réaliser sa Vraie Nature PAR LA SAISIE, PAR CE QUI EST TROUVABLE, OU FABRIQUÉ, ARTIFICIEL (comme la manipulation des frères Oppenheim).

Concernant le mot affaire, un proverbe dit : « Occupez-vous de vos oignons [ou de vos affaires] ». L’oignon à structure feuilletée peut se comparer à l’ego, que l’expérience spirituelle du Retournement de la Lumière épluche couche après couche, jusqu’à LA COINCIDENCE ABSOLUE AVEC SOI-MÊME,
AVEC L’INSTANT, AVEC LE SOI OU CONSCIENCE INFINIE : TOUT EST DEVENU MAÂT OU DIRECT, DANS LE BLANC DE L’INSTANT ET LE ROSE DU POMMIER…. (Au plan magique, les Anciens Égyptiens se protégeaient de certaines maladies avec des tiges d’oignons…)

OIGNON fait pleurer quand on l’attaque, donc quand on attaque l’ego… Quand on s’attaque au Seul Réel, c’est CRU-EL (de AL ou EL signifiant le divin), et CRU, sans cuisson par le feu vulgaire et donc considéré comme « indigeste ». La Chair écorchée et sanglante, soit la chose elle-même dénuée de tous ses MASQUES ordinaires, soit la peau, est réduite à son unique réalité, aussi saignante qu’indigeste pour un estomac habitué à la thermodynamique… Ainsi le Seul Réel est CRU-EL, indigeste, dès lors qu’on le dépouille de tout ce qui n’est pas Lui pour ne le considérer qu’en Lui-même : telle une condamnation à mort qui coïnciderait avec son exécution, privant le condamné de l’intervalle nécessaire à la présentation d’un recours en grâce, le Seul Réel ignore, pour le prendre toujours de court, toute demande en appel. Dans le spatio-temporel, en cas de condamnation à mort, l’exécution ne suit pas nécessairement la condamnation, alors que dans le Seul Réel la condamnation suit automatiquement la condamnation dans la NON-DUALITÉ : sujet condamné devient dans l’Instant l’objet condamné. LE SEUL RÉEL EST SANS OPINION : SOIT INDISCUTABLEMENT RÉEL ; PAS DE DIALECTIQUE OU DE FICTION DANS LE SEUL RÉEL.
Le Pour-Voir.
« Une fois Jésus guérit un homme aveugle. Quelque temps après cet homme devint méchant. Le rencontrant quelques années plus tard, Jésus remarqua sa méchanceté et l’interrogea sur la raison de son comportement. L’homme répondit que lorsqu’il était aveugle il ne pouvait pas commettre de péché. C’est seulement après sa guérison qu’il était devenu méchant et il rendait Jésus responsable de sa méchanceté ». (Ramana Maharshi, entretien 20 du 30-1-1935).

« Un homme implore le Maître de lui pardonner ses péchés. Celui-ci lui répond que ce serait suffisant s’il prenait soin de ne plus être troublé par son mental ». (Entretien 94 du 9-11-1935)

« Être homme est péché. Ce sentiment d’être homme n’existe pas dans le sommeil profond.
C’est la pensée du corps qui fait naître l’idée de péché. La naissance de la pensée est en soi péché ». (Entretien 164 du 24-2-1936).

UNE DÉFINITION DU MOT « ÉVEIL » :
- Question : Pourquoi le monde dort-il ?
- Maharshi : Uniquement à cause du péché.
- Question : Peut-il être détruit ?
- Maharshi : Oui.
- Question : On dit qu’il ne cesse qu’une fois que l’on en a pris conscience.
- Maharshi : Pourquoi alors la dévotion à Dieu ?
- Question : Comment peut-on détruire le sommeil ?
- Maharshi : Ne prêtez pas attention à ses activités et à ses effets.
- Question : Comment y arriver ?
- Maharshi : Seulement par la recherche du Soi.
(Entretien 356 du 8-2-1937).

Désir = manque : le rocher de Sisyphe : toujours roulant vers le bas et toujours remonté, comme l’est l’instabilité du désir, comme l’opinion toujours instable, toujours remise en question, et la perpétuité de la lutte contre la tyrannie qui alimente l’égrégore : satisfait, roulé, sublimé, l’Oiseau Phénix ou l’Argent renaît toujours sous quelque nouveau packaging. Par son propre poids ou son propre ego, il retombe et pèse ; le désir de l’humain est d’essayer toujours de s’envoyer en l’air, de s’élever au ciel ou de posséder ses désirs et les amplifier au niveau supérieur, conformément à l’évolutionnisme. Rocher de Sisyphe = la loi de succion, ce qu’on croit avoir été découvert par Newton : la loi d’attraction universelle, puisque le premier acte du nom-la-forme, du microbe en passant par la moisissure jusqu’au marmot de l’humain, tous sucent ce qu’ils peuvent saisir, posséder ; ils croient que c’est leur « Salut ». Donc le produit du Salut est distribué par le cul !… C’est probablement pourquoi en radiesthésie l’Or métal vibre comme les excréments, et que la finance parle de « commission » et de « besoins » (comme ”faire ses besoins”) ; nous sommes en pleine religion du pipi-caca qui amène à égalité tous les humains, car qui n’a pas besoin de « faire ses besoins » et de « monter sur le trône » ? (La nourriture prânique permettrait de se passer de ce besoin).
En montant sur le trône, l’être humain fait ses besoins, son HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule), sont TEMPS DE DIGESTION, D’ASSIMILATION. Le trône dressé dans le ciel de l’Apocalypse, entouré des quatre animaux symboliques, représente l’absence de temps qui coule, sorte de NON-NAISSANCE, de NON-DUALITÉ : SEUL EXISTE L’INSTANT, PERSONNE NE PEUT S’ENFUIR DE L’INSTANT, C’EST L’APOCALYPSE, LA LEVÉE DU RIDEAU OU DU VOILE, ON ENLÈVE LE MASQUE….
Voir le trône de Shiva supporté par quatre animaux représentant les quatre âges du monde.
Les excréments symbolisent LA PUTRÉFACTION, LE NOIR DE LA POURRITURE, LA NUIT OBSCURE. LA FLEUR DE LOTUS POUSSE SUR DE LA POURRITURE.
Trône = richesse (du roi) et réduction ou résumé de l’Univers. (Voir I Rois 10, 18-20).
Ainsi, l’expression « Monter sur le trône » (pour faire ses besoins naturelles) n’est pas dénuée de réalité puisqu’elle indique effectivement la Vraie Égalité, et non celle de devenir riche en détruisant et sa planète, et ses frères et sœurs noms-les-formes engendrées par le mental, et rejetées, et par la bouche en y entrant ou en y sortant sous forme de paroles, ou par ailleurs….

RAPPEL : L’excrément, c’est de l’engrais, et donc considéré comme RÉCEPTACLE DE FORCE, ainsi les excréments de l’humain devraient être récupéré précieusement car ILS AURAIENT EN FAITE PLUS DE VALEUR QUE L’OR DE WALL STREET. L’association des ordures ou des immondices à l’idée de péché se retrouve chez les Aztèques. Dans leur conception figure Tlazolteotl, Déesse de l’amour charnel, de la fécondité et de la confession. Tlazolteotl signifie mangeuse d’ordures ou déesse des immondices, parce qu’Elle dévore les péchés (Réf. Dic. des symboles de Chevalier et Gheerbrant). Les excréments en radiesthésie vibrent comme l’Or métal, pour les Bambaras les excréments sont considéré comme « résidu du monde », principe où naquirent tous les êtres vivants ; à rapprocher de la couleur rouge, qui est aussi celle des Rothschild : signe rouge, en haut allemand rot : « rouge » et schild : « signe », « bouclier ». Pour les Bambaras le rouge est symbole de force vitale et est associé aux cadavres et aux mouches (le même mot veut dire mouche et rouge). Dans la même logique, de nombreux mythes amérindiens font de la charogne, dont de la Putréfaction du cadavre le CREUSET, LA MATRICE où se régénère la vie. Pour les Indiens Cashinaua, les premiers hommes du monde actuel sont apparus, après le déluge, sous la forme de vers éclos dans les cadavres des géants qui formaient l’humanité précédente. Les champignons éclosent aussi sur de la décomposition organique ; ainsi pour le peuple Toungouse de Sibérie, l’âme humaine à la mort, après s’être envolée vers la lune sous forme de papillon, se réincarne sur Terre sous la forme d’un champignon. Bref, l’excrément est un concentré de forces biologiques bien connu des « mouches à merde » mais propre à régénérer, et ces mouches, et bien d’autres noms-les-formes…
À rapprocher du rouge sombre de la VIANDE GRILLÉE.

Péché par loi de succion
Vraie égalité :
religion du pipi-caca,
tout le monde dans le
PÉCHÉ DE LA CONSOMMATION
PÉCHÉ DE LA SAISIE :
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie ».
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
Dans l’introuvable le pipi-caca disparaît, et la pollution avec, car comment même en 2021, on mange certainement le pipi-caca de Néron sous forme de nano-machin dans notre nourriture ! Comme nous respirons un peu de l’air des poumons de César assassiné en l’an 44 avant J.-C. car il exhala comme chacun de nous un « dernier soupir », soit un rejet dans l’atmosphère, et pour la dernière fois, environ un litre d’air ayant circulé dans ses poumons. Or nous respirons à chacune de nos inspirations et quelque soit notre place sur la planète, quelques-uns des électrons qui entraient dans les molécules de l’air composant ce « dernier soupir » de César. Molécules contenant indubitablement « l’esprit de César », son ‘Je’, son Soi…. Il ne peut qu’en être de même pour l’excrément de Néron au moment de ses « dernières crottes » qui se retrouvèrent dans la terre, puis dans les légumes poussant dans la terre, etc., et jusqu’à 2021…. Ainsi chaque centimètre cube d’espace de notre planète viendrait se retrouver au bout d’un temps, au cours d’une sorte de COMMUNION bien plus réelle que la « fraternité » socialiste et judéo-maçonnique et du « vivre ensemble ».
C’EST POURQUOI IL EST POSSIBLE DE DIRE QUE LA RELIGION NATURELLE EST CELLE DU PIPI-CACA, CELLE DE LA PUTRÉFACTION, mais hélas certains en ont fait le capitalisme-libéralisme et ses « grosses commissions ».
Dans cette COMMUNION VRAI SOCIAL, les uns et les autres, les ‘Je’ de mes ancêtres, mon propre ‘Je’ et le ‘Je’ de mes descendants !
NOUS NOUS SOMMES CONNUS, NOUS NE SERONT JAMAIS SÉPARÉS
(voir à ce sujet le beau et très intéressant film CONTACT, avec Jodie Foster).

Donc Nous qui nous sommes connus, ne serons jamais séparés ! Même Néron, ou César, est de ma Famille ! Nous serons réunis non pas tant par nos corps, dont les électrons ne constituent dans le centimètre cube considéré d’une minuscule parcelle style nanomachin : NOUS SERONS RÉUNIS, CE QUI EST L’ESSENTIEL, SUR LE PLAN DE LA CONSCIENCE INFINIE, PUISQUE CHAQUE ÉLECTRON AYANT APPARTENU À NOTRE CORPS (ou au moins à notre ADN-Argile….) est porteur de notre ‘Je’ ou Soi éternel. Notre ‘Je’ se retrouve ainsi réunis et en VRAIE COMMUNICATION détruisant le dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif pour réaliser éternellement la COMMUNION DES SAINTS, ou RÉALISER LE GRAND ŒUVRE ALCHIMIQUE, CAR CE QUI EST ÉCRIT ICI EST LE TERME DU LABOUR ALCHIMIQUE, DONT L’ESSENTIEL EST CONTENU DANS CE SEUL MOT : « PUTRÉFACTION », car il s’agit de délivrer, ou « d’extraire » le ‘Je’ enfermé dans sa Matière, dans son corps de nom-la-forme (par exemple dans une Pyrite de Fer…). « Communion des saints » signifie la pluralité des ‘Je’, d’où nécessairement le « Je suis ce JE SUIS » EN LIAISON avec le « QUI SUIS-JE ? » de Ramana Maharshi ou le « Connaître toi-même par toi-même »  plus proche des Anciens Grecques pré-socratiques. Comme cela nous devrions enfin comprendre la place que nous avons dans l’Univers, qui est Nous, et nous libérer de cette angoisse écrasante d’un Univers dont l’échelle du spatio-temporel est sans commune mesure avec notre misérable vie pécheresse de consommateur de chieur pipi-caca. Notre Conscience infinie, grâce à Néron et à César, et les milliards de milliards de tant d’autres noms-les-formes y compris évidemment extraterrestres contiennent ces particules éternelles appartenant à TOUTE ce qui n’est ni ceci (espace-temps), ni cela (non-espace-temps).
VOILÀ CE QUI EST LA VRAIE IMMORTALITÉ, ET PAS CELLE ARTIFICIELLE RÊVÉE PAR LES TRANSHUMANISMES.

Le ‘Je’ de Ramana Maharshi fut bien plus « visible » et réel que le litre d’air du « dernier soupir » de César, car le « dernier soupir » du Maharshi est décrit : « À 8 h 47, une expiration… et aucune inspiration. Pas de lutte, pas de spasme, aucun signe qu’il mourait. À ce moment même, une comète d’une lumière éclatante traversa lentement le ciel, se dirigea vers Arunâchala et disparut derrière le sommet.
La forme visible de Bhagavân s’était absorbée dans la Réalité suprême d’Arunâchala.
La comète a été vue dans toute l’Inde du Sud. Des fidèles à Madras se doutèrent alors de ce qui s’était passé et se précipitèrent à Tiruvannâmalai ; Henri Cartier-Bresson, qui avait pris les fameuses photos des derniers jours du Maharshi, accourut pour vérifier si l’heure de la comète coïncidait bien avec le mahânirvāna de Shrî Râmana.

« Ils disent que je vais mourir. Mais je ne pars pas.
Où pourrais-je aller ? Je suis là ».


(Extrait de la préface à l’enseignement de Ramana Maharshi. Notez que le E.T. du film de Spielberg dans la dernière séquence fait comprendre au jeune garçon que lui aussi, en touchant le front de Elliott, E.T. est toujours LÀ ; « Où pourrait-il aller ? »… TOUT EST DANS LE MENTAL).


Note.
1. La NORME JUIVE de leur dualité winners-losers (élus/non-élus) résumé page 18 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent : « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus, Ouroboros] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps [dans un seul sens et concept du mental par l’idéation] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, l’opinion, la démocratie et le consommateur et forcément des limites]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent et du salariat, de la marchandise idole et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute [et inventer la liberté]. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps [la carotte du messianisme et de leur ”Jour du jugement dernier”…] ».
« Mettre en valeur »…. Là est le problème !!!
 
 

Dernière mise à jour : 22-11-2021 22:21

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