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Rien ne change, toujours le Pour-Voir 1 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 05-12-2021 21:50

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Histoire, Images, Jardin, Marchandise, Marxengelsisme, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Saisi, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
temps_echange.jpg
 
 
Rien ne change, toujours le Pour-Voir 1
Par exemple en justice humaine, on a
besoin de témoin pour raconter un fait :
une personne aura vu un chat blanc,
une autre aura vu un coq noir.
Toujours l’utilitarisme économico-politique
et dehors le pouvoir spirituel : il n’y
aucune harmonie dans cette « civilisation »
devenue aliénée, dont il devient
vital de se protéger,
et non se protéger
d’une grippe cyclique ou virus respiratoire…
Le mal est DANS la « civilisation ».
 
Pour le « scientifique », il faut un
appareil de mesure, lui-même construit
par un humain, afin d’appuyer une théorie,
sinon on ne le croira pas.
On a fabriqué des conventions : mètre étalon
en Platine, de peur que chacun fabrique la
longueur du mètre qui lui plait !
Il y a aussi le départ du temps de l’ère
Chrétienne. (L’an zéro, après l’invention
du zéro).
Alors Réalité ? illusion ? Peut-être pas
pour certains bien réveillés : c’est-à-dire
ceux qui embrassent le Soi (comme le
symbolise l’Ouroboros).

L’actuel Pour-Voir pourrait bien provenir de
la cosmologie et la métaphysique Mésopotamiennes
qui sont la Création d’un sens intense du
Concret pouvant facilement annoncer le
matérialisme actuel.
Aucune chose ne pouvait-être “réelle”
et vivante si elle n’était pas sexuée.
(Mircea Éliade : Alchimie Babylonienne).
Et à ce hui, sous symptôme de ”mariage
pour tous” et de genrisme, la sexualité
est augmentée dans la même logique de
l’augmentation de la possession comme
l’indique l’Agenda 2030 et son « Vous ne
posséderez rien et vous serez heureux »
singerie de la Stance 16,9 de Nagarjuna :
« ”Un jour je m’étreindrai libre de toute
appropriation, le nirvana m’adviendra”
.
Prendre les choses ainsi, c’est le comble
de l’appropriation ».
Le « Un jour » est du messianisme, une
carotte attachée à distance de la tête
de l’âne pour le faire avancer, comme
« Un jour, mon prince viendra ».

Le désir d’éternité, le comble de la
possession.

La délivrance est impossible par l’ego ;
elle est impossible par l’argent et
par le social !

Réalité/Illusion : ne dit-on pas « les
futilités de ce monde » !?
RÊVE : Source pour le Réel/Action.
« Humains semblables aux rêves ».
Choix d’une réalité : voir un film de cinéma
en fumant une cigarette de tabac, le film
sera excitant ; voir le même film sans fumer,
ce film pourra paraître terne.
Ainsi les rapports ne sont pas naturels.

Réalité trompeuse : on croit voir une courbe
en creux (conCAVE) et en “réalité” elle est
et concave et convexe (bombée).

L’ennemi est bien le POUR-VOIR, ce n’est
nullement les banquiers, les capitalistes
et leurs oligarchies à la tête de leurs États.

L’ENNEMI C’EST LE MENTAL.
Cet ennemi terrible qui empêche
L’EXISTENCE SANS COMMENCEMENT NI FIN,
L’EXISTENCE PARTOUT SANS LIMITE, INFINIE,
parce que le mental = ILLUSION : le multiple
(des phénomènes) change et disparaît, alors
que l’Un, le EST ou Sans Pourquoi perdure
à jamais.
L’UN qui remplace les triades (connaisseur,
connaissance, connu) ; triades du spatio-temporel
alors que la Réalité est au-delà ; ces triades
sont comme un MIRAGE, UN RIDEAU cachant
la Réalité.
Si le ‘je’ ego ou le mental est aussi une
illusion, qui donc alors rejette
cette illusion ?
« Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et
cependant demeure en tant que ‘Je’.
Tel est le paradoxe de la réalisation
du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y
voient aucune contradiction » dit
Ramana Maharshi à l’entretien 28 du 4-2-1935.



Page dédiée à Lucilio Vanini (1585-1619), martyr victime à Toulouse
du dogmatisme mondialiste de l’Église de Rome.


« Si on désire rester dans un état libre de pensées, le combat est inévitable. L’état primordial est le résultat d’une conquête. On doit se frayer le chemin en se battant pour regagner son état originel et primordial. Si le combat est bien mené et le but atteint, l’ennemi – autrement dit les pensées – sera vaincu. Toutes les pensées s’apaiseront dans le Soi et disparaîtront entièrement. Les pensées sont l’ennemi. Elles correspondent à la création de l’Univers. En leur absence, il n’y a ni monde ni Dieu créateur. Il n’y a que l’Être unique et c’est la félicité du Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 326 du 13-1-1937).

Par un Dieu créateur LA POSSESSION OU LE POUR-VOIR EST DÉJÀ LÀ : « L’appropriation étant là, le cours de l’existence se met en branle pour l’appropriateur ou possesseur. Car, s’il était libre de possession, il se rendrait libre en effet. L’existence n’aurait pas lieu », dit Nagarjuna dans la Stance 26,7. L’existence sous cet angle est la définition de la LOI DE SUCCION : il n’y a pas de limite dans le désir de posséder ; mais ce qu’on possède vous possède, on en devient dépendant. On devient dépendant des opinions sans limites ; on n’a jamais fini avec elles d’essayer tous les assemblages de « Meccano » (sens de logique) possibles pour satisfaire ses appétits sous loi de succion.

Le désir d’éternité, le comble de la possession.
« Étant donné que tous les êtres sont vides [d’une identité ou ego qui leur appartienne en propre], à propos de quoi, dans le mental de qui, de quelle nature et pour quelle raison, des opinions concernant l’éternel, etc., pourraient-elles prendre naissance ? », dit Nagarjuna à la Stance 27,29.
TRÈS IMPORTANT, et marquant une différence entre Orient et Occident : dans cette avant-dernière Stance on passe des vérités codées par l’inconscient collectif à la vérité nue, elle-même non possédable, tel : RIEN N’EST SOI-MÊME (paradoxe du Soi cité plus haut). Ainsi la mystique bouddhiste, poussée dans l’Absolu, n’évacue pas seulement des catégories de logique et de sens communs conventionnels à la Aristote tels le « où » et le « quand », mais aussi le « qui » et le « quoi ». Ainsi si d’aventure dans ce monde des accidents on est tourmenté par un doute : QUI DOUTE ? SUR QUOI ? (ainsi le « où » et « quand » du spatio-temporel de l’aristotisme n’existe plus). AINSI : QUI A INVENTÉ LA VALEUR D’ÉCHANGE ? POURQUOI ? SUR QUOI ? Car à partir de la propagation par un individu de la valeur d’échange, UN ÉGRÉGORE POUVAIT ÉGALEMENT SE DÉVELOPPER ET PLUS GRAVE, DEVENIR AUTONOME COMME À CE JOUR : si vous détruisez TOUTES les banques sur la planète, ça ne servira à rien, l’égrégore autonome sera toujours là. Tuer l’égrégore revient à TUER LA LOI DE SUCCION, TUER LE DÉSIRE, DONC TUER LA VALEUR D’ÉCHANGE.
BIEN PLUS : TUER LE CONCEPT DE LIBERTÉ QUI ENGENDRE SON CONTRAIRE L’ALIÉNATION :

Ce qui signifie : TUER LE SOCIAL QUI REND FOU, QUI N’A JAMAIS ÉTÉ AUSSI GRÉGAIRE, ASPHYXIANT, ÉTOUFFANT, QUE DEPUIS L’APRÈS 1914-1945, et qui est augmenté par l’informatique et ses « réseaux sociaux » aliénatoires. L’argent et sa valeur est LE SOCIAL, L’ÉCHANGISME, LE TROC. TUER LE COMMUN-ISME : « Ton état communique avec toi, il n’y a rien d’autre » ; l’Être est un IDIOT, une SINGULARITÉ, le SEUL RÉEL, CE QUI EST SANS DOUBLE ET DONC RÉFRACTAIRE À TOUTE ENTREPRISE D’IDENTIFICATION (et de valeur d’échange et de transmigration ou réincarnation (2)). SANS SOCIAL, SANS DUALITÉ SUJET-OBJET L’ARGENT ET SA VALEUR N’EXISTENT PAS.
Le désir d’éternité, le comble de la possession, tel qu’exprimé par le prophète marxien Francis Cousin à 1,27,28 de la vidéo : « Personne ne peut résister à l’argumentaire du Logos de la radicalité communiste maximaliste ». Si pour F. Cousin le mot « communiste » s’entend comme les Eaux Primordiales et la disparition au maximum de l’ego, alors il est dans la dimension universelle de Ramana Maharshi.
Mais ce n’est pas le cas parce que Francis Cousin se vante : « Nous sommes les plus fort », dans le sens « Nous défendons la Vérité » (qui par essence n'a pas à être défendue) puisqu’il est contre toutes les censures possibles ; soit, mais l’ego de F. Cousin est encore très fort, et diviseur, paradoxalement il attire les foules (sur réseaux sociaux informatique) par son langage IL HYPNOTISE OU ENDORT À L’ESBROUFE COMME UN BONIMENTEUR DE FOIRE. Francis Cousin en tant que Grand Prêtre, QUASI NOUVEAU PROPHÈTE (il en a la chevelure de pâtre grecque), fait de Karl Marx un Christ occidental qui détiendrait la Vérité à lui tout seul et qui ne serait, comme F. Cousin, que « le Verbe de Dieu » de cette vérité !!! De plus, le mot grec Logos chez les stoïciens (1) renvoie aussi à l’augmentation du mental que le verbiage de F. Cousin manifeste, comme le manifestèrent les ergoteries dans la Grèce antique par une géométrie mentale particulière. Logos = la raison humaine incarnée par le langage (la dialectique) ; en théologie chrétienne le mot Logos renvoie au Verbum ou Verbe de Dieu :
LOGOS (gr.). La divinité manifestée chez toutes les nations et tous les peuples : l'expression extérieure ou l'effet d'une cause qui demeure à jamais cachée. Ainsi la parole est le Logos de la pensée ; il s'ensuit qu'on le traduit convenablement par "Verbum" et "Parole" dans son sens métaphysique. (Réf. Glossaire Théosophique, de H.P. Blavatsky).
Bref, le Logos peut correspondre au Soi, VIDÉ DU MENTAL PARASITE, SOIT UN LANGAGE SANS LANGAGE OU UNE CAUSE SANS CAUSE, car tout langage quel qu’il soit oblige la création du temps qui coule dans une dualité sujet-objet ou émission-réception.

Est-ce que chaque événement sous dualité cause-effet est déterminé par les « événements passés », comme le seraient les événements et choses construites au fur et à mesure par l’inconscient collectif ? SOIT : QUI INVENTA LE DÉTERMINISME ? Ou, QUI INVENTA LA CAUSE DE LA CAUSE DE LA CAUSE DE LA CAUSE….. ? Car la polémique n’a pas de fin… Comme les variants de virus sont liés au commerce ou relation sociale produisant des « vaccins » qui n’ont pas de fin… (Quand il n’y aura plus de variants de virus le business s’effondre et son social avec…).

Rejoins le paradoxe de la TRANSMIGRATION (passage d’une âme d’un corps dans un autre) :
« Maintenant que vous vous identifiez avec le corps, vous dites que l’âme est la lumière intérieure. Vous pensez qu’à l’intérieur du corps se trouve une lumière.
Réfléchissez un peu et dites-moi si le corps peut poser des questions. Il est dépourvu de conscience et ne peut pas dire ‘je’. C’est autre chose qui dit ‘je’. Qu’est-ce que c’est ? Est-ce le Soi ? Le Soi est pur et n’est pas conscient d’un autre pour pouvoir dire ‘je’. Alors qui dit ‘je’ ? C’est le lien entre la pure Conscience (chit), le Soi, et le corps (jada). Ce lien est l’ego [et sa ”raison” ou conscience conceptualisante]. Qui êtes-vous en ce moment ? Qu’est-ce qui est né ? Le Soi est éternel et ne peut être né. Le corps apparaît et disparaît et votre identification à lui vous fait parler de naissance et de mort. Cherchez si la véritable signification du ‘Je’ peut naître. Pour qui existe la transmigration ? ». (Ramana Maharshi, entretien 611 du 18-1-1939).

Pour Nagarjuna, comme le montre la Stance 16,9 cité au début de page, le nirvana n’existe pas. Or NIRVANA indique : « outre-souffrance », ou était situé, « au-delà de la souffrance ». Au sens large, c’est le but des pratiques bouddhistes, soit le contraire du samsara [cycle des naissances et des morts, monde phénoménale des noms-les-formes]. Le Nirvana du parfait Réalisé ou parfait Bouddha n’est autre que l’Éveil suprême, appelé « Nirvana sans demeure » (tibétain : mi gnas myang ‘das ; en sanskrit apra-tishtitanirvana), lequel dépasse aussi bien le samsara des êtres ordinaires que le nirvana des sublimes Arhats [bien que affranchit des émotions négatives du samsara, il n’a pas réalisé la Vacuité et ne peut pas dissiper le voile cognitif qui l’attache à la réalité du samsara : pour se faire, il doit réaliser le Soi pour progresser vers l’Éveillé parfait. Réf. Shântideva (8-9è siècles) - Bodhicaryâvatâra, La Marche vers l’Éveil].

PAS DE NAISSANCE, ÉVIDEMMENT PAS DE MORT, PAS DE CHANGEMENT, TOUT EST ICI ET MAINTENANT.
« La Vérité vous a été enseignée. Les instructions vous ont été données. Cherchez qui vous êtes. Telle est toute l’instruction », dit l’entretien 611 déjà cité. Le temps est une invention du mental : il faut une personne pour le voir.

PAS DE PIRE PRISON QUE LE DÉTERMINISME IDENTIQUE À LA FLÈCHE DU TEMPS DANS UN SEUL SENS.
(Dans le rêve elle n’est pas un flèche et le temps est « dans tous les sens »…)

Pas de cause, pas d’effet : L’idée de « création » ne peut venir que dans la dualité SUJET-OBJET ou CAUSE-EFFET !!! « C’est parce que vous dites que vous êtes né, que les Écritures [abrahamisme] vous disent « d’accord   et ajoutent que Dieu vous a créé » (Ramana Maharshi, entretien 238).
Avec un Dieu créateur, un Logos, on fabrique une sanctification de la dualité. C’est ce que symbolise parfaitement Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux, dans le passage « L’œuf et la Poule » : « Une jeune cousine, élevée par les bonnes sœurs, me disaient un jour : ”Pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu”. À quoi je répondais : ”Pour avoir une poule il faut aussi un œuf. Tu t’enfermes dans une chaîne de causes et d’effets dont les deux bouts ne se rejoignent pas, et que tu peux allonger à l’infini, sans que ton raisonnement soit valable” ». Notre monde malade actuel fonctionne de cette façon : l’évolutionnisme en une course sans fin (ou vers la Super Carotte « fin des temps »). « Pourquoi une ligne aurait-elle une fin, puisque après un pas je peux en faire un autre ? ». Je « progresse », donc je « construis » (Faire/Fer), JE CAPITALISE…

VALEUR = WINNER, WINNERISME ET VOLEUR : « L’activité est création ; l’activité est la destruction du bonheur inhérent à chacun. Si une activité est recommandée, celui qui la recommande n’est pas un maître mais un tueur. C’est comme si le Créateur (Brahmâ) ou la Mort (Yama) se manifestaient sous l’apparence d’un tel maître. Celui-ci, au lieu de libérer l’aspirant, renforce ses chaînes ». (Ramana Maharshi, entretien 601 du 37-12-1938). (Le fait de vouloir cesser toute activité est en soi une activité. L’activité semble donc inévitable… D’où, encore une fois, le Gate Gate…).
Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ, dit le Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
LE GATE GATE FUIT LA FLÈCHE DU TEMPS, IL EST ANTI-HISTOIRE, IL EST INVOLUTIF, dans le sens du Thème de LA NUIT OBSCURE (que certains appellent « voie négative »).
À SUIVRE…

Notes.
1. Stoïcien : 1300, du latin stoicus, du grec stoikos, de stoa (portique), lieu où enseignait Zénon de Kition.

2. Réincarnation : « Le Soi réel est continu et inaltérable. L’ego qui se réincarne appartient à un plan inférieur, celui de la pensée. Il est transcendé par la réalisation du Soi.
Les réincarnations sont dues à un « rejet sauvage ». C’est pourquoi les bouddhistes en nient l’existence. L’état présent est dû au mélange de chit (conscience) avec jada (non-conscience) ». (Ramana Maharshi, entretien 136 du 15-1-1936).
- Question : La réincarnation existe-t-elle ?
- Maharshi : La réincarnation n’existe que si vous êtes incarné. Mais là vous n’êtes même pas né. (Entretien 164 du 24-2-1936).

« Mais qu’est-ce que la réincarnation ? L’ego reste toujours le même. De nouveaux corps apparaissent et se l’approprient. L’ego ne change pas. Il ne quitte pas un corps pour en chercher et en trouver un autre. Regardez ce qui arrive à votre propre corps physique. Supposez que vous alliez à Londres. Comment faites-vous ? Vous prenez une voiture qui vous emmène au port, puis un bateau qui vous transporte jusqu’à Londres en quelques jours. Que s’est-il passé ? Ce sont les moyens de transport qui se sont déplacés, non pas votre corps. Cependant, vous affirmez que vous avez voyagé d’un bout à l’autre du globe. Les mouvements des véhicules ont été transposés à votre corps. Il en est de même pour votre ego. Les réincarnations sont des transpositions. Par exemple, quand vous rêvez, que se passe-t-il ? Rentrez-vous dans le monde onirique ou bien est-ce ce dernier qui se déroule en vous ? La dernière hypothèse, sûrement. Il en va de même pour les réincarnations.
L’ego reste inchangé au cours de celles-ci.
De plus, dans votre sommeil, le temps et l’espace n’existent pas. Ce sont des concepts qui naissent une fois que la pensée ‘je’ a surgi. Avant l’éveil de cette dernière, les concepts étaient absents. Par conséquent, vous êtes au-delà du temps et de l’espace. La pensée ‘je’ n’est qu’un ‘je’ limité. Le vrai ‘Je’ est illimité, universel, au-delà du temps et de l’espace. Ces notions sont absentes dans le sommeil. Juste au moment du réveil et avant de voir le monde objectif, se trouve un état de conscience qui est le pur Soi. C’est lui qu’il faut connaître ». (Entretien 311 du 2-1-1937).

Quelle horreur, se réincarner en un Macron quelconque, en un winner quelconque, EN UNE VALEUR QUELCONQUE ET DEVENIR UN ORDINATEUR OU ORDONATEUR, UN AD-MINISTRATEUR….
Comment peut-il y avoir « une vérité expérimentale » (dixit Francis Cousin) ? Probablement par le expéri et mental, le parfait court-circuit produit par les cinq sens et à l’état de veille seulement !…
« Une vérité expérimentale » = VÉRITÉ POSSÉDÉE, MENSONGE, ILLUSION, ARTIFICE et POUR-VOIR.
« Une vérité expérimentale » = causisme = temps qui coule : cause et effet est une illusion liée au plan des apparences, des « comme ci… » et des pour-voir par un ‘moi’ prisonnier du spatio-temporel et donc prisonnier de la naissance.
 
 

Dernière mise à jour : 06-12-2021 20:26

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