« Avez vous réfléchi aux conséquences fatales
qui résulteront d’un progrès illimité ? »
(Fulcanelli, Les demeures philosophales).
« Cinquième dose [covidesque], centième dose… »
C’est cela l’« immortalité » du
transhumanisme, celui du capitalisme,
CELUI DU MENTAL, DE LA TÊTE ou CAPUT-CAPITAL
CELUI DE L’IDÉATION VAGABONDE OPINIONESQUE
POUR ABOUTIR AU WINNERISME DE L’OPINION
(celui ou elle qui a la meilleure car gobée
par la quantité des autres, et donc la
DIVERSITÉ MERCANTILE ET ÉLECTIVE ET SA VALEUR…).
Mère Nature universelle, venez Nous aider
en ces temps de génocide pfizeresque
injectable, et protégez-nous des robots
et de leur « intelligence artificielle !
Maître Véritable, Grands Anciens,
Venez-Nous en aide !
Ce monde qui se veut « immortel » par sa
technologie ne jure plus que par les
chiffres ou statistiques du genre récolter un
peu partout de « petites vérités » (des opinions)
pour en former une grosse et que ce serait ça
la religion (sens de relier les peuples),
connaître le « plus vrai », ou tentative de
tout faire dire par les nombres :
“Alors cherche le dans les nombres et la
fonction géométrique ; ils te donneront des
résultats qui s’imposent, et qu’aucune
considération personnelle ou sentimentale
ne peut dévier”. Opinion typiquement occidentale
à géométrie mentale de neurones d’après
“Her-Bak disciple” de Ischa Schwaller de Lubicz.
ON PEUT FAIRE DIRE N’IMPORTE QUOI AVEC
DES CHIFFRES, voir les services secrets qui
codent leurs opinions… Voir surtout le covidisme
depuis début 2020 ! Ce sont les winners et
financiers du capitalisme qui ne jurent que par
des chiffres qu’ils peuvent manipuler à souhait,
puisqu’ils sont les winners ! Ainsi le chiffre
et ses calculs issus de concepts du mental ne
prouvent rien.
Le chiffre est le symbole de la QUANTITÉ
chère à cette judéo-maçonnerie spéculative et son
principe d’élection au « suffrage universel » où
c’est la QUANTITÉ QUI SERAIT LE VÉRITÉ, du genre :
« Si tout le monde le dit c’est que c’est
vrai », illustré de façon fulgurante dans le
conte d’Andersen : Les habits neufs de l’Empereur.
QUANTITÉ EST DONC MENSONGE et dehors la Qualité.
L’État, monarchique dans le conte d’Andersen,
fonctionne de façon identique aux statistiques
covidesques depuis maintenant deux ans : il faut
FAIRE CROIRE, du genre : « Vous allez mourir si
vous ne vous faites pas ”vacciner”, vous allez
contaminer les autres, vous allez engorger les
hôpitaux, etc. »
Bref : VOUS ALLEZ NOUS COÛTER CHER, même
principe de religions abrahamistes et
communistes URSS et Chine (religions inversées).
Les morts du coronavirus = même mensonge étatique
d’un peuple manipulé illustré par Andersen.
TOUT NE PEUT QU’ÊTRE MENSONGE ÉTATIQUE, pour le
simple fait que depuis en Occident la Renaissance,
la libre pensée en triomphant signait son arrêt
de mort, car il est évidemment impossible à un
État et à son gouvernement de gouverner en
reconnaissant à chacun le droit de
ne pas être d’accord. Le ”pouvoir du peuple”
est le plus gros mensonge depuis l’invention
de l’État au début du Néolithique et de la
sédentarité liée à la voie de l’Agriculture.
Les régimes étatiques ne peuvent tenir que
par leur ÉTAT PROFOND : le capitalisme et la
City de Londres dans laquelle est née en 1717
cette judéo-maçonnerie spéculative d’où découle
le français le Grand Orient de France pépinière
à professionnels des institutions étatiques et
gouvernementales formant un réseau mondial
nouvelle église capitalo-moralo-politique
droit de l’hommiste et humain nivellement
dogmatique manipulateur et naturellement
mensongé.
TOUT CELA SOUS LA CROYANCE À L’EGO,
ET INÉVITABLEMENT À CELLE DE LA DUALITÉ
D’UN DEDANS ET D’UN DEHORS.
Nostre Vraie Nature est celle de l’état de
TURIYA. (Voir aussi la page ÊTRE).
« En pratique, il n'est pas possible pour quiconque, de demeurer à jamais dans cet état qui est l'état sans connaissance du particulier. Celui qui a réalisé le quatrième état, tôt ou tard revient à ce monde -, mais pour lui le monde n'est plus comme avant - il voit ce qu'il a réalisé comme étant le Quatrième état, rayonner en toutes choses. Il ne voit plus ce monde comme différent de cette Pure Connaissance. Ainsi, ce qu'il a vu à l'intérieur, il le voit maintenant, d'une manière différente, aussi à l'extérieur. Ayant quitté le stade de la différenciation, il est à présent établi dans l'état de non-différenciation, où qu'il se trouve. Désormais, il est Tout. Il n'y a rien qui soit différent de lui. Que ses yeux soient fermés ou ouverts, quels que soient les changements pouvant survenir, son état demeure inchangé. Cela est l'état de Brahmati ; Cela est l'état naturel éternel. Tu es cet état, éternellement Vrai.
- Il n'y a rien au-delà de cet état. Les mots
"intérieur" [DEDANS] et
"extérieure" [DEHORS], perdent leur sens. Tout est UN ».
« Sat = Être = le substrat (
âdhâra). De cela procède le particularisé, le
jiva [âme individuel], qui, voilé par l’ignorance, s’identifie avec le corps physique. L’ignorance demeure, faute de recherche du Soi. Le
jiva n’est, en fait, que Connaissance ; mais l’ignorance occasionne la fausse identification avec le corps physique ». (
Ramana Maharshi, entretien 100 du 19-11-1935).
« 1. Le
sat, l’Être dans l’individu, est mis en évidence par le jeûne.
2. Cet Être (sat) est identique en tous, comme le miel recueilli de différentes fleurs.
3. Il n’y a pas de différence dans le sat des individus, ainsi que le montre l’état de sommeil profond. Alors se pose la question : puisqu’il en est ainsi, pourquoi chacun de nous n’en a pas connaissance durant son sommeil ?
4. Parce que l’individualité a disparu. Seul le sat perdure. Exemple : les rivières se perdent dans l’océan. L’individualité, une fois disparue, le sat reste-t-il ?
5. Assurément, un arbre émondé repousse. C’est un signe certain qu’il est en vie. Mais le sat existe-t-il dans cet état de sommeil ?
6. Oui, prenez le cas du sel et de l’eau. La présence du sel dans l’eau est subtile ; bien qu’invisible à l’oeil, elle est reconnue par d’autres sens. Comment peut-on le reconnaître ? Quels sont les autres moyens ?
7. Par l’investigation. Comme l’homme perdu dans la forêt de Gandhâra et qui rejoint sa demeure.
8. Dans l’évolution comme dans l’involution, dans la manifestation comme dans la résorption, le sat seul existe.
Tejah parasyâm devatâyâm (la lumière s’immerge dans le Suprême) [ChU VI. 10].
9. Un homme insincère se brûle au cours de l’épreuve du feu. Son absence de sincérité est dévoilée par le feu. La sincérité est évidente en soi. Un homme sincère ou un homme qui a réalisé le Soi reste heureux sans être affecté par de fausses apparences (à savoir, le monde, la naissance et la mort), alors que l’homme non sincère ou l’ignorant en souffre ». (Ramana Maharshi, entretien 105 du 28-11-1935).
- Maharshi : Tout comme les fleuves, en se déversant dans l’océan, perdent leur individualité et qu’ensuite les eaux de l’océan s’évaporent pour retomber en pluie sur les montagnes, puis s’écouler en rivières et retourner à l’océan, ainsi les individus, qui entrent en sommeil, perdent leur individualité et reviennent comme individus, selon leurs vâsanâ (tendances) antérieurs, sans en être conscients. Par conséquent, même dans la mort, le sat n’est pas perdu.
- Question : Comment peut-il en être ainsi ?
- Maharshi : Voyez comment un arbre dont les branches ont été coupées continue de pousser. Tant que la source de vie n’est pas affectée, l’arbre continuera de pousser. De même, les samskâra (tendances latentes) s’immergent dans le Coeur au moment de la mort, mais ne périssent pas. Le moment venu, elles jailliront à nouveau du Coeur. C’est ainsi que les
jiva renaissent.
- Question : Comment le vaste Univers peut-il jaillir de tels
samskâra (prédispositions) subtils qui restent immergés dans le Coeur ?
- Maharshi : De même qu’un gigantesque banyan [Figuier d’Inde] sort d’une minuscule graine, de même le vaste monde avec noms et formes jaillit du Coeur.
- Question : Si l’origine est le sat, pourquoi ne le sentons-nous pas ?
- Maharshi : Le sel en bloc est visible ; il est invisible en solution. Néanmoins, on reconnaît son existence par le goût. De même le sat, bien que non reconnu par l’intellect, peut être réalisé d’une autre manière, c’est-à-dire sur le plan transcendantal.
- Question : Comment cela ?
- Maharshi : Tout comme un homme, les yeux bandés, que des voleurs ont abandonné dans la jungle, s’enquiert de son chemin et retrouve sa maison, de même un ignorant (aveuglé par l’ignorance) s’enquiert, auprès de moins aveuglés, de sa propre source et y retourne.
(Entretien 108 : suite de l’entretien 105).
Dans l’entretien 113 du 17-12-1935 Shrī Bhagavân répondit que l’homme devait agir comme un acteur sur la scène d’un théâtre et qu’en toute action se trouvait le sat en tant que principe sous-jacent.
« Souvenez-vous-en et agissez en conséquence ».
- Maharshi : La Réalisation est déjà là. L’état libre de toute pensée est le seul état réel. Il n’y a aucune action correspondant à une réalisation. Y a t-il quelqu’un qui ne réalise pas le Soi ? Y a-t-il quelqu’un qui nie sa propre existence ?
Lorsqu’on parle de Réalisation, cela implique l’existence de deux soi : l’un qui réalise, et l’autre qui doit être réalisé. On cherche à réaliser ce qui n’est pas encore réalisé. Une fois que nous admettons notre existence, comment se fait-il que nous ne connaissions pas notre Soi ?
- Question : À cause de nos pensées, de notre mental.
- Maharshi : Tout à fait. C’est le mental qui empêche et voile notre bonheur. Comment savons-nous que nous existons ? Si vous dites que c’est à cause du monde environnant, alors comment pouvez-vous savoir que vous existiez pendant votre sommeil profond ?
- Question : Comment pouvons-nous nous débarrasser du mental ?
- Maharshi : Est-ce le mental qui désire se tuer ? Le mental ne peut pas se tuer lui-même. Par conséquent, ce que vous avez à faire, c’est rechercher la nature réelle du mental. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental. Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part.
Quand on demeure dans le Soi, on n’a plus besoin de s’inquiéter du mental.
(Ramana Maharshi, entretien 146 du 26-1-1936).
Celui qui est l’Instant est Dieu.
ACCORDÉ SUR LE TOUT LE MENTAL EST SANS MOUVEMENT (sans idéation ou sans vagabondage ou calcul). SANS MENTAL, LA VALEUR N’EXISTE PAS, ET EN CONSÉQUENCE LA PAIX EST NATURELLE ET N’A NULLE BESOIN D’ÊTRE INVENTÉ PAR DES VENDEURS DE VÉRITÉS (et d’ordre, d’organisation…).
LE KILLER, CE N’EST PAS LA VALEUR D’ÉCHANGE, MAIS LE MENTAL, LA TÊTE AU SENS DE « CAPITAL », L’ESSENTIEL OU LE CHEF-PRINCIPE LUI-MÊME QUI CONCEPTUALISE CETTE VALEUR ET SES MARCHANDISES PAR L’IDÉATION, PAR LE VAGABONDAGE MENTAL DONT LE PRINCIPE EST D’ERRER, NOMADISER, MIGRATEUR-MIGRANT (même PARADOXE que la Réalisation du Soi, car la vie est une DÉPLOIEMENT et non un but à atteindre…). Donc c’est l’idéation du mental qui invente le concept de « valeur » justement par son principe d’idéation (formation et enchaînement des idées, ce qui calcul ou conceptualise DANS UNE DUALITÉ D’UN SUJET ENVERS SON OBJET, PRINCIPE DE LOI DE SUCCION OU DE CAUSE-EFFET, PRINCIPE DE L’ATTRACTION UNIVERSELLE OU GRAVITÉ, PESANTEUR, POIDS, EUCHARISTIE OU MESSE, PLOMB, PLOMBER, CONTAMINER….).
Celui qui est l’Instant est Dieu : IL est INSAISISSABLE, NON-IDENTIFIABLE : les Anciens Chinois de l’école du Dhyâna (contemplation, méditation) disaient : « Dès que l’encre est sèche, nos formules sont fausses », identique à : « Le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu [ou possédé] ».
L’insaisissable comme le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
Or, l’oligarchie mondialiste VEUT POSSÉDER-PROGRAMMER LES MASSES (voir plus haut la liberté de pensée impossible en dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif en croyance de l’ego et de l’opinion possédée).
L'état de satisfaction intérieure caractérise la félicité. C'est pourquoi Il est « Félicité, ou Béatitude (Ananda). Être, Conscience et Béatitude sont inséparables. Individuellement, ils sont sans valeur
(1). C'est pourquoi Il est connu, Lui, en tant qu'Être - Conscience - Béatitude (
Sat-chit-ânanda : Être-Conscience-Félicité ou le Soi).
Celui qui a réalisé l’état de
Turiya voit tout en tant que UN. Il connaît donc vraiment l’Instant ou Dieu en tant qu’Être - Conscience - Béatitude. Mais aucun mot ne peut exprimer CELA. « Et il existe des voies et des moyens pour une telle réalisation. Ils peuvent être énoncés, appris et mis en pratique. Celui qui peut réaliser ainsi, est Dieu ».
« Si un homme sait que tôt ou tard il ne pourra que s'éveiller du long rêve de la vie en ce monde, son mental deviendra immuable. C'est l'état du calme pur. C'est l'état de Paix ».
Les adversaires de la Vraie Paix sont maintenant très très très nombreux. Ils sont là pour éprouver l'humain ; ils sont des fabricants de PEURS en tous genres (islamique, sanitaire, climatique, terroriste, égalitarisme, etc.) ; les pires fabricants se situent évidemment dans l’État profond.
« N'aie de cesse d'adorer le Dieu de ton Soi avec la fleur de ton mental. Laisse les aspects capricieux de ton mental témoigner de cette adoration.
Progressivement, ils apprendront à quitter leurs jeux infantiles et voudront connaître le même enchantement que toi. À force d'observer la Paix qui est en toi, ils abandonneront leurs caprices. Toi, tu n'as qu'à continuer patiemment l'adoration. Ne te laisse donc pas détourner par ces caprices du mental ; au contraire, ce sont eux qui seront finalement pacifiés par la Paix qui est en toi. Tout doit être en Paix ».
Réalisation du Soi = CHRIST au sens générique : le Oint ou frotté d’huile (d’où d’ailleurs en argot :
« les huiles », les initiés, ceux qui savent et ont le pouvoir… et l'argent...).
CHRIST = L’HOMME-DIEU. Frotté d’huile l’initié avait son nom changé en Christos, le
"Purifié”. CHRISTOS signifie simplement le TAO ou la VOIE, l’élémentaire que personne ne peut posséder et donc contester. La Voie ou
GATE GATE…. Soit : ALLER DE L’AVANT COMME L’EAU S’ÉCOULE.
AUSSI, CHRIST, TAOÏSME, VÉDISME, SERONT LES ENNEMIS DE LA JUIVERIE ET DU PROTESTANTISME COMMERCIALES MONDIALISTES.
LE CHRIST C’EST LE FLÉAU POUR LES MARCHANDS (du temple juif : leurs Wall Street et City de Londres).
Actuellement depuis 1945 : interdiction de toucher au judéo-isme ; l’Islam, certains peuvent encore y toucher ; mais alors la catholicité : tous les coups sont permis :
voir le dernier en date du mensonge ignoble sur le QUANTITISME du nombre de « prêtres pédophiles » (mensonge ignoble du « rapport sauvé »), à croire que les autres religions sont composés uniquement de « purs »… IL NE PEUT Y AVOIR UNE PÉDOPHILIE QUE DANS LA CLASSE SUPÉRIEURE : ces gens sont tellement blasés avec leur argent qui leur permet absolument TOUT, qu’il leur en faut TOUJOURS PLUS pour augmenter la jouissance de leur mental, et ainsi s’enfermer toujours plus dans la nullité, la négation de l’humain y compris dans le sadisme criminel (anciennes
”messes noires”), obligation de jouir et donc winnerisme de l’individu : le riche individu oligarque judéo-maçonnique spéculum s’enferme dans sa propre jouissance et vend aux autres son socialisme et sa liberté-fraternité-égalité à l’eau de rose….
[En référence à :
Ellâm Onru - Texte tamoul anonyme du 19è siècle, que Ramana Maharshi conseillait en lecture à ses visiteurs]
Note.
1. La Vraie Libération est le TOUT, elle n’est pas individuelle comme le vend le régime capitaliste et républicain et son citoyen ou consommateur (et qui en même temps veut le relier socialement dans son système du
« vivre ensemble » singerie d’une religion qui, elle aussi, comme son nom l’indique signifie, RELIER). La Vraie Libération passe par la résolution du dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif ; elle passe donc par le ‘Je’, délivré de l’opinion : « Un Réalisé est délivré de l’opinion » : il n’a pas de possession ; qui pourrait là encore rejoindre les symboles si riches contenus dans le conte d’Andersen cité plus haut.