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GATE ou Transparence Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 05-01-2022 23:45

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Chaos, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Eau, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Instant, Jardin, Marchandise, Nostalgie, Ondopinon, Opinion, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Ptah, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transparence, Trou, Verbopinion, Vie, Vierge

 
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GATE ou Transparence
[TRESPARENT] [VITRIN]/FLUIDE
Contraire d’opaque.
Traverser, passer au travers.
C’est le passage, l’Instant.
Que les événements de ce Monde prennent
leurs “Places” en harmonie simplement,
en parfait mélange et grande netteté.
(Ça, c’était pour l’Âge d’Or).
 
 
Gate ou Transparence : « avoir le ”chic” », dit une expression populaire, ou « Chic, Chouette ! » (la chouette, oiseau nocturne en relation avec la lune, et encore à ce hui divinité de la mort, aussi cette expression ”chouette” inconsciemment doit faire référence au SURFEU OU VÉRITABLE ÉTAT D’ÊTRE : la nature des choses consiste en les choses et en elles seules) ; avoir le chic ou avoir la transparence, la facilité, la liberté, être en harmonie avec ce qu’il convient. Bref, chic renvoie à l’Amour, à la Gratuité, à la Félicité, au Soi. Le français du Moyen-Âge dit : chiche : 1175, du bas grec kikkon, au figuré : un rien. Chiche : avare, le fait d’être chiche ; un chiche-face était un homme maigre et avare. Un chicot est une pointe. Son radical est en catalan xix, qui se prononce ”tchiche”, en auvergnat ”tches” ou ”tchet”, et répond au vieux français mie ou rien. De là l’espagnole chiquito (petit) ; l’auvergnat chétit et le français chiche ; en grec kyklos (pépin).

Dans toutes les langues « chic » exprime quelque chose de très petit, de presque rien, de très pointu, comme l’extrémité d’une racine, bref, un PIVOT, UNE TOUPIE (2). C’est ce pivot qui est le symbole d’Isis, surnommée « La Chaise ». Isis signifie la lettre X, et est essentiellement celtique et veut dire en égyptien comme en gaulois = « une chaise » (sessa en gaulois). Aussi Isis porte toujours une chaise en guise de coiffure

Toupie (2), Axe, Pivot sous son nom hébreu de Mir-iam, la « Pointe du Jour », l’Aurore, Marie de « Marie Mère de Dieu priez pour nous, maintenant et à l’heure de notre mort ». C’est la Vierge Noire (voir page précédente : Sainte Mère Vierge Noire, et Variation du Thème de l’Oiseau Phénix : tous les ans à Noël, la Vierge Noire se transformait en poule noire et avalait le Dieu Gauvain ou Guion, métamorphosé en pépin de grenade (symbole de perfection divine et Surfeu). Elle en accouchait dans l’Instant d’un œuf d’Or, qui n’était autre que Noël, le « Nouveau Soleil », ou le « Front brillant » (Glande Pinéale...).

Fuseau, Toupie, écheveau (même Thème que la Chaise d’Isis, écheveau, du 15è eschevel, du latin scabellum (tabouret), dérivant vers escabeau, par extension « dévidoir », puis « écheveau »). Voir eschiele et eschale en français du Moyen-Âge qui signifient : échelle, escalier, escalade, et sorte de PILORI où l’on exposait les criminels. Pilori ou Bâton, Axe. La croix se lisait crux en latin, et stavros en grec [qui par dérivation donnera le symbole de la crucifixion, ”Stavros” ou ”Tavros” le poteau où les Anciens fixaient leurs lois : voir les Pierres-Lois ou Édits du roi Asoka].
Shiva Linga, comme toutes pierres dressées ou Menhir (gravure en haut de page), soit le Thème des Divinités en fuseau. Les Dieux du fil et de la corde étaient qualifié de « funestes », le fil représentait en effet le dernier degré de l’exténuation du jour et de la vie ou la mort. Ces Divinités ont toutes la tête ceinte d’une fil ou d’une bandelette et tiennent à la main une lance ou une mince baguette de myrte, qui a même signification. Même symbolique que ce qui a une extrême ténuité : aiguille, épée, épine, voile. De là les noms de Tanit (l’exténuation) ; Athena (l’épine ou l’aiguille qu’on donnait pour femme au Dieu fil.

Grasset d’Orcet dans : Archéologie mystérieuse, vol.1, chapitre Paphos, ses monastères et la fête de Vénus : « Le nom de ce Dieu [celui du Thème de l’artisanat du tissage, dont Vulcain-Ptah], qui figure plus fréquemment sur les vases grecs, est précisément le radical de « Covocle » : KO, KV, KVS (3), en latin Ceus. Il s’écrit par l’ancienne forme du K et de l’X, qui est une croix. La prononciation de ce signe cruciforme était multiple au possible, mais toujours double, comme khr, phth, khsi, iks, ist, etc. ; en un mot, c’était un véritable idéogramme, que chacun prononçait à sa façon, comme nos signes numériques actuels. Ainsi la croix se lisait crux en latin, et stavros en grec [qui par dérivation donnera le symbole de la crucifixion, ”Stavros” ou ”Tavros” le poteau où les Anciens fixaient leurs lois] ; frigus en latin devenait en grec kyos, et ainsi de suite. Tous ces mots veulent dire « tressé », « croisé », et par extension « fil » (5).

Le lingam de shiva étant l’équivalent du E trident des Divinités de l’EAU (4) : Neptune, Chalchiuhtlicue, de Shiva, voir le Caducée d’Hermès, voir aussi la profondeur sans fin du mot « DÉVERGONDÉ » : D’E vers gond d’E, depuis le E (matière trinitaire) vers le pivot ou Shiva-chaise du I (CHICOT). Donc Retournement de la Lumière ou Retour à l’Unité depuis et par le déploiement des dimensions physique de l’être, et par le d’E-sir, ou à partir du E, comme l’enseigne la Tapisserie de la Dame à la Licorne.

Ainsi Shiva en variation du Thème est représenté sur des vases grecques sous la forme d’un monstre marin, terminé par une longue queue ondulée (le lingam ondulé) qui renvoie au nom hébreu QV (la force de torsion). Cette force de torsion fait monter et descendre, (comme dans le Caducée) le fuseau auquel l’on comparait la lumière solaire.
Ce fil, Thème de la mort, était NOIR. QV veut aussi dire « noir ».
Le soleil passe chaque jour de gauche à droite au-dessus de la Terre, pour repasser la nuit de droite à gauche, ce qui était comparé à la NAVETTE DU TISSERAND, QUI AURAIT LA TERRE POUR TRAME (5). La navette était chargée de fil au moment où elle commençait son ouvrage, donc à minuit : elle était couverte de fil. Elle devenait nue ou dépouillée à midi ; dépouillée ou DÉVOILÉE, comme SORTANT DE LA MER, c’est pourquoi la Vénus Anadyomène (sortie des Eaux) est toujours représentée entièrement nue, tandis que la Vénus de Milo (lumière solaire) n’ayant parcouru que la moitié de sa course ascendante) est drapée jusqu’à mi-corps.


COMMENT LE PRÉSENT PEUT-IL EXISTER DANS N’IMPORTE QUELLE LANGUE DITE À CE HUI : « PRIMITIVE », QUAND LE TEMPS N’ÉTAIT PAS ENCORE UN CONCEPT ? « Qu’est-ce que le temps ? Ce n’est qu’un concept », dit le Maharshi (Sage) à l’entretien 462 du 19-2-1938.
Et à l’entretien 601 du 27-12-1938 : « Qu’est-ce que le temps ? Le temps postule un état, la connaissance qu’on en a et les changements qui l’affectent. L’intervalle entre deux états est appelé « temps ». Un état ne peut naître que si le mental crée son existence ; le mental, à son tour, repose dans le Soi. Quand on ne se sert pas du mental, il n’y a pas de concept de « temps ». Le temps et l’espace sont dans le mental, mais l’état véritable de chacun se trouve au-delà du mental. La question de temps ne se pose pas pour celui qui est établi dans sa vraie nature ».
Le temps invente le « but à atteindre » : « On ne peut atteindre que quelque chose qui n’est pas encore atteint. Mais ici, l’être propre à chacun est Cela [sans temps] », même entretien 601.


SANS TEMPS :
- Question : La pensée « je suis un homme » est si ancrée en nous que nous ne pouvons plus nous en défaire.
- Maharshi : Soyez votre vrai Soi. Pourquoi devriez-vous penser « je suis un homme » ?
- Question : Parce que cette pensée est si naturelle…
- Maharshi : Pas du tout. Seule la pensée « Je suis » est naturelle. Pourquoi la qualifiez-vous en y ajoutant « un homme » ?
- Question : « Je suis un homme » est une notion si évidente, tandis que « je suis Cela » est incompréhensible pour nous.
- Maharshi : Vous n’êtes ni ceci ni cela. La vérité est « Je suis ». « Je suis ce Je suis », déclare aussi la Bible. Simplement être est naturel. Le limiter à « être un homme » ne se justifie pas.
- Question : Si on décidait de voter, la majorité serait de mon côté. (Rire)
- Maharshi : Je voterai également en votre faveur (Rire).
Je dis, moi aussi, « je suis un homme » ; mais je ne me limite pas au corps. Le corps est en MOI.
Voilà la différence.
Un visiteur : Cette limitation (upâdhî) d’être un homme est impossible à déraciner.
- Maharshi : Comment étiez-vous dans le sommeil profond ? La pensée d’être un homme n’y était pas.
Un autre visiteur : On doit donc rester en état de sommeil même quand on ne dort pas.
- Maharshi : Oui. C’est la jâgrat-sushupti. Certaines personnes vont même jusqu’à dire que lorsqu’elles dorment, elles sont enfermées quelque part dans leur corps. Elles oublient que cette idée n’a pas cours dans le sommeil mais qu’elle ne se présente qu’au réveil. Elles transposent leur état de veille dans leur état de sommeil.
MÊME QUAND ON NE DORT PAS : ÊTRE « COUR » (au sens Maât ou directe, sans dualité temporelle sujet-objet ; c’est aussi le "lâcher-prise" Wou-wei ou Wuwéi. Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement).
Jâgrat-sushupti : sommeil éveillé. « Amenez le sommeil à l’état de veille ». C’est la mukti [libération, délivrance spirituelle] (entretien 311 du 2-1-1937). C’est-à-dire être conscient des actions MAIS NE PAS LES POSSÉDER, NE PAS ÊTRE ATTACHÉ À ELLES : « comme les boeufs qui sont attelés, mais qui ne bougent pas. Son sommeil est comparable aux boeufs dételés, car il y a cessation totale d’activités, ce qui correspond à la libération des harnais pour les boeufs » (entretien 313 du 2-1-1937).
« (Jâgrat-sushupti). La félicité y est dominante et l’expérience en est très claire, ce qui n’est pas le cas dans le sommeil profond » (entretien 372 du 23-2-1937).
Dans l’entretien 609 du 18–1-1939 Le Maharshi dit que l’état de jâgrat-sushupti n’est pas transitoire, « mais il est éternel. C’est de lui que procèdent les pensées. Que sont toutes nos expériences sinon des pensées ? Plaisir et souffrance ne sont que de simples pensées.
Elles sont en nous. Si vous êtes libre de pensées tout en demeurant éveillée, vous êtes cet Être parfait ».

La racine du mal, la dualité Dedans-Dehors, n’existe que dans le mental : « Mais même sans plonger, vous êtes Cela. Les idées d’intérieur et d’extérieur n’existent que tant que vous n’acceptez pas votre réelle identité ». (Entretien 625 du 7-2-1939). Ici ce n’est pas l’écume mais l’EAU qui est le Soi et la destruction de la racine du mal Dedans-Dehors : « Tout se résume à dire que le Soi est infini et qu’il inclut tout ce que vous voyez. Rien n’existe au-delà ni en dehors de lui. Si vous savez cela vous n’aurez plus de désir. Et sans désir, vous serez heureuse.
Le Soi est toujours réalisé. Il n’y a pas lieu de chercher à réaliser ce qui est déjà, et depuis toujours, réalisé. Vous ne pouvez pas nier votre propre existence. Cette existence est conscience, elle est le Soi.
Vous ne pourriez pas poser de question si vous n’existiez pas. Vous devez donc admettre votre propre existence. Cette existence est le Soi. Il est déjà réalisé. Par conséquent, l’effort de réalisation se résume seulement à réaliser votre erreur actuelle de croire que vous n’avez pas réalisé votre Soi.
Il n’y a rien de nouveau à réaliser. Le Soi se révèle de lui-même.
- Question : Cela prendra quelques années.
- Maharshi : Pourquoi des années ? L’idée de temps n’est que dans votre mental. Elle n’est pas dans le Soi. Pour le Soi il n’y a pas de temps. Le temps est une idée qui s’élève dès que l’ego s’élève. Mais vous êtes le Soi [le Tout], au-delà du temps et de l’espace ; vous existez, même en l’absence du temps et de l’espace ».
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou Eucharistie].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

Pas de temps, pas d’Instant, pas de Dieu, seul existe le Trou, le Gate, et là encore il ne s’agit que de concept, de mot.

INVENTER LE TEMPS DANS N’IMPORTE QUELLE LANGUE ÇA DEVIENT LA SAISIE, L’AVOIR OU LOI DE SUCCION. INVENTER LE TEMPS ET L’ÉVIDENCE (ou le Seul Réel) EST PERDUE. Or son contraire ou originel devrait être : ÊTRE, mais ce mot le plus usité est devenu le moins définissable, justement à cause de l’invention du temps : il faut une personne pour le voir et ainsi l’inventer, le posséder, sinon ce temps n’existe pas.

ÊTRE : soi-même, Ici et Maintenant et pas avant, ni après, ni ailleurs. Être ou l’Évidence : ON NE VOIT PAS LE TROU, PARCE QUE DANS LE TROU IL N’Y A RIEN D’AUTRE QUE LE TROU, ET DONC PAS DE TROU À VOIR. CEPENDANT : LE FLEUVE QUI VA À LA MER NE PEUT SUPPRIMER SA SOURCE. Pas de PANque.
Or tout nom-la-forme EST, sans temps, sans double, de sorte qu’on dit que le Centre ou Dieu est nulle part, ne devant son Être ou son Centre à personne ou a aucun double comme dedans-dehors. Le Centre ou Soi n’existe pas, il EST : « Je suis ce JE SUIS » ; super Tautologie et le propre du Zéro Indien, car à partir de la Tautologie, les possibilités de conceptualisation existent à l’infini ; et ce sont elles, LE TROU, et non la simple opinion tautologique qui en elle-même est stérile, qui constitue la TRAME D’UNE PENSÉE. LE TROU : Dieu ou le Soi n’existe pas, IL EST : Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout (ce qui est appelée « création ») et ce qu’on appelle l’Être n’est que l’ex-istant (« Jamais l’Âme et Dieu ne peuvent co-exister », Saint Bonaventure).
Tout TOURNE AUTOUR DU TROU DU TORE : SON CENTRE QUI EST NULLE PART, MAIS SA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT : L’INITIÉ OU L'ÉVEILLE N’A NI NAISSANCE NI MORT, au sens de ON A ÉTÉ, ON SERA, ON N’EST POINT (du Un Point c’est Tout), parce que le Point  qui pointe au sens du « N’EST PAS X » qui est censé séparer le Passé du Futur EST AUSSI INSAISISSABLE QUE LE CENTRE GÉOGRAPHIQUE DE LA FRANCE (1) .

Élohim (du Buisson ardent) veut dire : NAISSANCE DU JOUR OU AURORE, le Rose du Pommier, l’OR ROSE, l’Éveil et Zéro Indien de tous les possibles : aucune limite, avec l’Aurore c’est le monde d’Instant en Instant, le BLANC DE L’INSTANT LÉGÈREMENT TEINTÉ DE ROSE UN PEU VIOLACÉ (DANS LE TORE). AURORE-ROSE = FÉLICITÉ.
AURORE OU STAR-GATE, A-MEN-PTAH DE L’APRÈS-VIE.
AURORE : MIR-IAM ou Pointe du Jour, l’Instant (représentée par la Vierge Noire : VIRGINI PARITURÆ).
AURORE, ÉVIDENCE : CE QUI EST PROCHE OU SIMPLE, EST DEPUIS LONGTEMPS DEVENU LE PLUS DIFFICILE.
ZÉRO INDIEN = PENSER L’ÉVIDENCE FONTAINE DE JOUVENCE : LE GATE GATE OU ÉVEIL.

AURORE ou ÊTRE : L’UNIQUE CHOSE AU MONDE OÙ L’ON NE S’HABITUERA JAMAIS, DONC LE SEUL ANTI-SYSTÈME POSSIBLE ! ET QUI EST LA BELLE AU BOIS DORMANT QUI S’ESTROPIE EN SE PIQUANT À UN FUSEAU ? ET QUI DEVIENT LA MÈRE DU « PETIT JOUR » ET DE LA « BELLE AURORE » ? MAIS LA BELLE ESTROPIÉ OU VÉNUS DE MILO (la Servante ou EVE complémentaire de Ptah devenue manchote, et esclave fugitive de l’Hadès (Ptah Maître du Royaume des Morts pendant la nuit, dont certains vont faire l’enfer).
EVE, EAU OU TROU : LE RIEN DU TOUT….
LE TROU EST BIEN LA SEULE CHOSE EN CE SPATIO-TEMPOREL À LAQUELLE ON NE S’HABITUE JAMAIS VU QUE DANS UN TROU IL N’Y A PAS DE TROU À VOIR. C’EST POURQUOI LA RÉELLE EXISTENCE EST INSOLITE OU SPONTANÉE PAR NATURE. Celui qui voudrait l’organiser sera le Diable, le Grand Organisateur ou Grand Architecte, Grand Administrateur.
LE SEUL RÉEL = LE TROU : tout ce qui est déjà et dûment recensé, voir prévu dans ses moindres détails, en viendra nécessairement à SUR-PRENDRE PARCE QU’IL EST L’INSTANT OU ABSENCE DE TEMPS : LE TROU, LE GATE GATE, LA TRANSPARENCE, LE VITRIN, LE FLUIDE OU LE VOLATIL : L’EAU.

Notes.
1. « L'équerre à centrer. C'est un outil qui sert à trouver le centre approximatif d'une surface qui ressemble plus ou moins à une circonférence. A la façon dont on a décidé que Bourges est le centre géométrique de la France.
La circonférence fort irrégulière représente la section d'une barre d'acier plus ou moins cylindrique. En portant l'appui des tétons en plusieurs points on trace autant de lignes AB. On obtient un petit polygone irrégulier qui est le centre approximatif. Ce sont les accidents externes du contour de la pièce qui en ont décidé. En quelque sorte, ils l'ont imaginé, fabriqué. C'est ce que fait le mode de pensée qu'on appelle « opinion », scientifique, métaphysique, ou même religieuse, quand l'homme se fait de l'Absolu une conception qui convient à ses appétits, dans le monde des accidents, du spatio-temporel ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).

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2. Toupie, rejoint aussi la HACHE à la fois arme et outil. En anglais hache se dit AX, AXE, comme le Centre de l’Univers. L’Axe est un symbole fondamental, comme l’essieu plus tard nous donnera le CHARIOT. L’essieu supporte la totalité du poids du chariot ; il est fixe et les deux roues tournent sur les fusées. Donc nous avons une triade (voir la Triskell celte avec le signe du S cher à l’art gaulois), et l’idée de « roue » ou chose qui tourne ou figure un cycle, un rythme, évoque les cycles lunaires et solaires, l’ombre courant sur un cadran solaire indiquant une PÉRIODE, etc.
La Vacuité est représentée par l’immobilité du Vide au centre du moyeu-Axe d’une roue qui ne cesse de tourner : comme la TOUPIE. Le Centre est nulle part (et la Circonférence est partout).

3. Textes avec des termes grecs précédés dans leur structure consonantique. Grasset d’Orcet remplace certaines lettres tombées dans l’oubli par leur équivalent latin : le C et le F, par exemple, pour le qoppa, et le digamma (F avec son w).

4. L’eau est en rapport avec la vie spirituelle et elle est un signe de renaissance, de régénérescence. Des sources, des fontaines ou des puits sont toujours à proximité de vie des Vierges Noires, évoquant le Retournement de la Lumière.

5. Trame et toile de l’Araignée maîtresse de l’espace. L’Alchimie énonce que le Labeur ou Labour de l’Alchimiste est un « Travail de femme », donc un TISSAGE de la vie, un « JEU D’ENFANT » (parce qu’en dehors des idées reçues et du conventionnel). Une broderie où les Traits de Fil sont appelés « points » (le stavros cité plus haut) ; broder signifie aussi amplifier une fiction (”en remettre” une couche).
 
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Dernière mise à jour : 06-01-2022 01:07

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