Immense est la différence entre
”respecter” et
”adorer” : si l’humain ne s’était contenté QUE DE RESPECTER LE SOLEIL, il ne l’aurait pas ADORÉ, DONT LA CONSÉQUENCE SERA LA DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE ENGENDRANT LES CONSÉQUENCES DE LA THERMODYNAMIQUE : énergies fossiles, nucléaire, éolienne, hydrocarbure, accompagné de la métallurgie : flèches, épées, cuirasse, boulet de canon en fer, tank, missile, avion, etc. JUSQU’À L’ÉLECTROMAGNÉTIQUE (lui aussi associé au feu vulgaire : les choses qui rayonnent…).
SOLEIL = CENTRE QUI EST NULLE PART. Or les humains de la fin du Paléolithique commencèrent à ADORER le soleil : ILS LUI DONNÈRENT DE LA
VALEUR ; à partir de là les problèmes sans fin allaient surgirent : SAISIR, PROTÉGER, DÉPENDRE DU DEHORS, DONC DONNER UNE VALEUR (au soleil, projeter, évolutionner….) ; et la métallurgie allait être inventée avec la conséquence guerrière des : flèches, épées, cuirasse, boulets de canon en fer, missile, tank, avion, etc.
« METTRE EN VALEUR LE TEMPS », écrit Attali cité ci-dessous. METTRE EN VALEUR LE TEMPS = METTRE EN VALEUR LA SOCIALO-MARCHANDISE : L’ÉCHANGE, TROC, LA COM. et la thermodynamique c’est précisément le
« phénomène des échanges thermiques » !
FEU = SOLEIL = SAISIE, LOI DE SUCCION EUCHARISTIE (hostie-ostensoir en forme de soleil rayonnant…) : L’HOMME S’EMPARE DU SOLEIL (voir le mythe d’Icare, pur symbole du mental qui calcul…) ET SE PREND POUR DIEU (transhumanisme, Yuval Noah Harari, Schwab, Bill Gates, etc., et le républicanisme qui se croit
”universel”).
Les ICARE modernes se sont les CANCÉREUX DU POUR-VOIR QUI ONT FABRIQUÉ LE COVIDISME ET SON INDUSTRIE À TRAVERS L’INDUSTRIE DES POISONS ARN MESSAGERS. Sarközy de Nagy-Bocsa s’est parfaitement déclaré comme ICARE quand il a dit à ses vœux de janvier 2009 :
« On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial. Et personne, je dis bien, personne, ne pourra s’y opposer ».
Nouvel Ordre Mondial, le monde des
”Great Reset” en transhumanisme, en
Léo Straussiens, en Yuval Noah Harari, Schwab, Bill Gates, etc…
ICARE =
HAARP (
High Frequency Advanced Auroral Research Project) PARFAIT EXEMPLE DE
« RAYONNEMENT EUCHARISTIQUE ».
Le monde Luciférien du
Great Reset se croit la même pensée, LE MÊME MENTAL PARTOUT SUR LA PLANÈTE, OR RIEN NE PERMET DE CROIRE QUE NOS
« MANIÈRES DE COMPRENDRE » SONT CULTURELLEMENT PLANÉTAIRES ET VALABLE PARTOUT.
PENSÉE UNIQUE : l’égrérore construit par le mental des 4 Pour-Voir : (État et son gouvernement et son politisme, armée-police-justice, médias, science-philosophie-religions) est largement devenu autonome pour produire la croyance à un
« vivre ensemble » commercial ou échangiste augmentée par la technologie de l’informatique et de son
« tout connecté » considéré comme
« intelligence » dans la logique de récolter partout plein de petites vérités-opinions pour former une
« grosse vérité-opinion » comme si c’était LA solution !
Or l’objectif des 4 Pour-Voir est bien d’atteindre un large verrouillage mental de ses masses afin de bénéficier de la
fusion de ses paroissiens-consommateurs pour permettre de maintenir l’”harmonie” (que le Pour-Voir appelle ”paix”) et le fonctionnement à l’aise de sa communauté.
c’est une singerie de l’église de Rome et de toutes religions. Et la langue universelle des 4 Pour-Voir est évidemment l’anglais,
la télépathie du business connecté.
La
NORME JUIVE de leur dualité winners-losers (élus/non-élus et Dedans-Dehors) résumé page 18 du livre de Jacques Attali,
Les Juifs, le monde et l’argent : « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus trinitaire, Ouroboros trinitaire] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps [dans un seul sens et concept du mental par l’idéation] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, l’opinion, la démocratie et le consommateur et forcément des limites]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent et du salariat, de la marchandise idole et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute [
et inventer la liberté]. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre :
mettre en valeur le temps [la carotte du messianisme et de leur
”Jour du jugement dernier”…] ».
« Mettre en valeur »…. Là est le problème !!! Et LE JUDAÏSME EST, DU MOINS POUR UN GRAND NOMBRE DE JUIFS, UN SYSTÈME POLITIQUE REPOSANT SUR L’ÉCONOMIQUE, SUR LE MATÉRIEL, SUR LE COMMERCE, SUR LE SOCIAL.
Le
« vivre ensemble » facilité par l’informatique et ses
« réseaux sociaux » a augmenté la croyance que
la TÉLÉPATHIE se passerait de cerveaux à cerveaux, soit sous un crâne vers un autre crâne comme un émetteur de radio vers un récepteur de radio, comme si la tête et donc le corps était le siège de la pensée. Cette croyance ne peut que naître en Occident en pleine révolution industrielle avec l’électromagnétisme, et cette logique illusoire de télépathie qui additionnent les cerveaux ou les petites vérités pour en former une grosse lui confère un statut de vérité, comme lors des élections où c’est la quantité d’électeurs qui
« possèdent la vérité ».
LE MODÈLE DE CERVEAUX À CERVEAUX NE PEUT QUE PRODUIRE UN VERROUILLAGE MENTAL D’AMPLEUR PLANÉTAIRE QUI EMPÊCHE TOUTE REMISE EN CAUSE : NOTAMMENT TEL GENRE DE VIE = TEL GENRE DE PENSÉE, laquelle n’est qu’un PRODUIT, le RÉSULTAT du genre de vie qui n’est pas à proprement une pensée, mais une OPINION.
Le
« Vivre ensemble » en marche de cette actuelle société va produire la société fourmilière où seul un petit groupe de personnes aura le droit de vie ou de mort sur l’ensemble des Terriens. Cette société fourmilière est déjà en place avec ses citoyens ou habitants des villes, des cités, consommant, marchant les uns à côté des autres en un ensemble de
« multiples séparatifs », des unités qui vont cahin-caha avec leur dualité.
Donc l’idée de l’intercommunication de cerveau à cerveau semble le
« Graal » de l’harmonie humaine pour maintenir une communauté dans une forme de
”paix” illusoire.
MAIS COMME DÉJÀ ÉCRIT, C’EST LA NAISSANCE DE LA SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE, LE VERROUILLAGE MENTAL, LA PENSÉE UNIQUE, LA MÊME SOUPE POUR TOUS, avec l’opinion en tout confort que le cerveau puisse être « pénétré » d’une façon ou d’une autre, CE QUI EST LE PRINCIPE MÊME DE LA RACINE DU MAL :
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou Eucharistie
ou attraction ”universelle”].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme,
du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable,
chapitre V, 14)
Ils sont introuvables pour la raison naturelle
que Nous sommes l’Univers et que la racine
du mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner
et POUR-VOIR comment il fonctionne.
C’EST LA CHUTE…
Un cerveau PÉNÉTRÉ, SAISI.
« Le mental est comparable à l’
akâsha (l’éther). Tout comme il y a des objets dans l’
akâsha, il y a des pensées dans le mental. L’
akâsha est l’équivalent du mental et les objets l’équivalent des pensées. On ne peut espérer mesurer l’Univers et étudier les phénomènes.
C’est impossible. Car les objets sont des créations mentales. Vouloir les mesurer est comparable à la tentative de mettre le pied sur la tête de sa propre ombre pour l’immobiliser. Plus on avance, et plus l’ombre avance aussi. Il est donc impossible de poser le pied sur la tête de sa propre ombre.
Quand un enfant cherche en vain à attraper la tête de son ombre avec ses mains, sa mère prend pitié de ses efforts inutiles ; elle prend la main de son enfant, la lui pose sur la tête en lui faisant ensuite observer à terre la tête de son ombre avec la main dessus. Il en va de même pour l’ignorant qui cherche à étudier l’Univers.
L’Univers n’est qu’un objet créé par le mental et qui a son existence dans le mental [c’est le site qui souligne]. Il ne peut être mesuré comme le serait une entité extérieure. Il faut atteindre le Soi, pour atteindre l’Univers.
Les gens demandent souvent comment contrôler le mental. Je leur réponds : “Montrez-moi le mental et vous saurez ce qu’il faut faire.” Le fait est que le mental n’est qu’un faisceau de pensées.
Comment voulez-vous le supprimer par la pensée ou par le désir de le faire ? Vos pensées et vos désirs ne sont-ils pas des parties intégrantes du mental ?
Par de nouvelles pensées qui s’élèvent, le mental ne fait que s’accroître [ou s’augmenter par le transhumanisme qui veut imiter le Soi]. Par conséquent, il est stupide de vouloir tuer le mental par le mental.
La seule manière de s’y prendre, c’est de trouver sa source et de s’y agripper. Alors, le mental s’affaiblira de lui-même.
Le yoga enseigne le chitta-vritti-nirodha (maîtrise des activités mentales). Mais moi, je recommande l’ātma-vichāra (la recherche du Soi). C’est un chemin réalisable. Le chitta-vrittinirodha se produit aussi dans le sommeil, lors d’un évanouissement ou d’un jeûne. Mais dès que ces conditions sont supprimées, les pensées affluent de nouveau. À quoi sert donc le contrôle mental ?
Dans l’état de torpeur [léthargie], il y a la paix et pas de souffrance. Mais la souffrance revient dès que la torpeur est passée. Le nirodha (la maîtrise) ne sert donc à rien et ne peut produire de bénéfice durable.
Comment s’y prendre alors pour que le bénéfice soit durable ? C’est en trouvant la cause de la souffrance. La souffrance est due aux objets. S’ils n’existaient pas, il n’y aurait pas de pensées qui en dépendent et ainsi pas de souffrance. “Mais comment les objets cesseraient-ils d’exister ?” est alors la question qui se pose. La
shruti et les sages disent que les objets ne sont que des créations mentales. Ils n’ont pas d’existence substantielle. Étudiez la question et vous vous rendrez compte de la véracité de cette affirmation.
Vous en conclurez que le monde objectif se trouve dans la conscience subjective.
Ainsi, le Soi est l’unique Réalité qui imprègne et enveloppe toute la manifestation. Et puisqu’il n’y a pas de dualité dans le Soi, aucune pensée ne vient troubler votre paix. C’est la Réalisation du Soi. Le Soi est éternel et il est toujours réalisé ».
Au cours de cet exposé
Shrī Bhagavān [le Maharshi ou Sage] clarifia aussi quelques points : « L’
abhyâsa [la pratique] consiste à se retirer dans le Soi chaque fois qu’une pensée vient déranger votre tranquillité. Il ne s’agit pas de concentration ou de destruction du mental, mais d’un retrait dans le Soi.
Le
dhyâna [méditation, contemplation], la
bhakti [dévotion], le
japa [répétition d’une formule, d’une prière, ou d’un nom divin], etc., sont des aides pour maintenir au-dehors la multiplicité des pensées. Une seule pensée prévaut alors, qui finit, elle aussi, par se dissoudre dans le Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 485 du 30-4-1938).
Shrī Bhagavān répondit qu’un mental sans pensée était comparable à deux miroirs clairs [sans tain : l’amalgame métallique], l’un face à l’autre, n’échangeant entre eux aucun reflet.
« Sattva est la lumière, rajas est le sujet, et tamas est l’objet.
Même la lumière sattvique n’est que lumière réfléchie. Si elle était pure lumière originelle, elle ne se modifierait pas. Le
manokâsha (l’éther mental) est réfléchi sous forme de
bhutakâsha (élément éther) ce qui fait que les objets sont perçus comme séparés du sujet.
Le
samâdhi [absorption totale dans la contemplation] est toujours présent, même en vyavahâra-dasa (la vie active). Nos activités (
vyavahâra) n’ont pas d’existence séparée du
samâdhi. L’écran est là quand les images y passent et il est toujours là quand elles ne sont pas projetées. Ainsi, le Soi est tout aussi présent en
vyavahâra (activité) qu’en
shânti (paix) ». (Ramana Maharshi, entretien 497 du 10-6-1938).
« L’Univers n’est qu’un objet créé par le mental et qui a son existence dans le mental », dit le Maharshi cité plus haut : soit une partiellité ou un dividu à côté d’un autre dividu ou citoyen, et ont appelle ça le « social », ou le socialisme, le collectif, la multitude, le monde, la quantité cosmique ! Et comme ça on se contamine les uns les autres PAR L’ÉCHANGE (le commerce, l'opinion) ; ainsi va naître ce que les Francis Cousin Marxengelsisme appellent « la valeur d’échange » (d’autres vont appeler cela » la valeur économique », la valeur du troc…).
« Si nous classons les pensées par ordre de valeur, la pensée la plus importante de toutes, c’est la pensée ‘je’ [l’ego]. Cette pensée ou idée de personnalité est aussi la racine ou le tronc de toutes les autres pensées, car toute idée ou pensée n’existe que par rapport à celui qui la pense et ne peut pas exister indépendamment de l’ego. Par conséquent, l’ego manifeste une activité de pensée. La deuxième et la troisième personne n’apparaissent que pour la première personne [et forment le ”monde”]. Elles n’existent qu’après qu’est apparue la première personne. Si bien que les trois personnes semblent apparaître et disparaître ensemble.
Remontons donc jusqu’à la cause fondamentale du ‘je’, ou personnalité. L’idée de ‘je’ se manifeste dans un ego incarné et doit donc être en rapport avec un corps ou organisme. Cette idée du ‘je’ est-elle située dans un endroit spécial du corps avec lequel elle entretiendrait des rapports particuliers, comme la parole et l’émotivité qui ont leur centre dans le cerveau ? Pareillement, le ‘je’ a-t-il son centre dans le cerveau, le sang ou les viscères ? On considère que la vie de la pensée se déroule dans le cerveau et la moelle épinière, lesquels sont à leur tour alimentés par le sang qui leur apporte nourriture et oxygène sous forme d’un savant mélange se transformant en tissus nerveux. C’est pourquoi l’on dit que la vie végétative – comprenant la circulation, la respiration, l’alimentation, etc. –, appelée aussi force vitale, est la partie centrale ou l’essence de l’organisme. Ainsi, le mental peut être considéré comme la manifestation de la force vitale et celle-ci comme étant située dans le Coeur.
- Question : Maintenant, en ce qui concerne l’art d’éliminer le mental et de développer à sa place l’intuition : y a-t-il deux stades distincts avec un possible terrain neutre qui ne soit ni le mental ni l’intuition ? Ou bien l’absence d’activité mentale implique-t-elle nécessairement la réalisation du Soi ?
- Maharshi : Pour l’abhyâsî (le pratiquant), il y a deux stades différents. Mais il existe aussi un terrain neutre : le sommeil profond, le coma, l’évanouissement, la folie, etc., dans lequel, soit les opérations mentales n’existent pas, soit la conscience de soi est abolie.
- Question : Prenons d’abord la première éventualité ; comment parvient-on à éliminer le mental ou à transcender la conscience de la relativité ?
- Maharshi : De par sa nature, le mental est agité. Commencez par le libérer de son agitation ; donnez-lui la paix ; tâchez qu’il soit libre de toute distraction ; exercez-le à se tourner vers l’intérieur ; faites qu’il en prenne l’habitude. On y parvient en ignorant le monde extérieur et en supprimant les obstacles à la paix du mental.
- Question : Comment peut-on se débarrasser de l’agitation mentale ?
- Maharshi : Les contacts extérieurs, c’est-à-dire avec des objets autres que soi-même, rendent le mental agité. La perte d’intérêt (vairâgya) pour le non-Soi est la première étape. Puis, suivent des habitudes d’introspection et de concentration caractérisées par la maîtrise des sens extérieurs, des facultés intérieures, etc. (shama, dama, etc. (1)) aboutissant au samâdhi (mental non distrait).
(Entretien 27 du 4-2-1935).
RÉSUMÉ : « QUI CONTIENT LES PENSÉES ? », ou « QUI SUIS-JE ? ».
« La télépathie ne peut exister sans quelqu’un qui entend, et la clairvoyance sans quelqu’un qui voit. Quelle différence y a-t-il entre entendre de loin ou de près ? L’auditeur seul a de l’importance. Sans auditeur, il ne peut y avoir d’audition ; sans voyant, il ne peut y avoir de vision ». (Ramana Maharshi, entretien 18 du 26-1-1935). Il dit aussi que sujet et objet n’apparaissent que si le mental est mis en mouvement.
« La télépathie et la radio permettent de voir et d’entendre à distance. Elles se ramènent toutes deux au phénomène de l’audition et de la vision. Que l’on écoute de près ou de loin ne change rien au fait d’entendre. Le facteur fondamental, c’est l’auditeur, le sujet. En l’absence d’auditeur ou de voyant, il ne peut pas y avoir d’audition ou de vision. Ces deux facultés sont des fonctions du mental. De même les pouvoirs occultes (siddhi) ne sont que dans le mental. Ils ne sont pas naturels au Soi. Ce qui n’est pas naturel, mais acquis, ne peut pas être permanent et ne vaut pas la peine que l’on s’efforce de l’obtenir ». (Entretien 20 du 30-1-1935).
« Aussi longtemps qu’il y a un sujet et un objet, il ne s’agit que d’une connaissance relative. Le
jnana [Connaissance, sagesse] se situe au-delà de la connaissance relative. Il est absolu ». (Entretien 500 du 10-6-1938).
Le
Jnana ou AINSITÉ (
tathatâ), LE SEUL RÉEL : le « JE SUIS »,
shinyo en japonais. AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans
Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une
« personne », selon la définition qu’en donne
Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».
L’œil ne peut fonctionner qu’en utilisant la lumière émanée du soleil, sans cela l’œil est inutile. De même, le
jiva ou individu ne peut fonctionner qu’en utilisant la Conscience [le Sel…] qui émane du Soi. Également, de même que l’œil ne peut fonctionner que dans la lumière réfléchie du monde des Essences. S’il l’œil se tourne pour regarder le Soi, il sera entièrement effacé et se fondra dans le Soi avec lequel il ne fera plus qu’un, comme le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source. C’est le EST, le « Je suis ce JE SUIS ».
LES COULEURS DE L’ARC-EN-CIEL SE FONDENT AU BLANC DE L’INSTANT.
Les 4 Pour-Voir cité plus haut font désormais tout pour parvenir à un large verrouillage mental des masses afin de SAISIR un large bénéfice d’un conventionnel fusionnel permettant de maintenir une certaine harmonie pour le fonctionnement de la communauté humaine (une
”paix” favorable au commerce). De ce fait, pour se maintenir en vie, les 4 Pour-voir se livrent de plus en plus, car ils se savent désormais menacés, à UNE DÉMOLITION CONTRÔLÉE du principe de la non-saisie, du principe de l’INTUITION, du SUPER-CONSCIENT ou SUPRA-CONSCIENCE : le
Wou-wei ou
Wuwéi : le
"non-agir", ou plus vulgairement : le
"lâcher-prise". Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement ; c’est aussi d’ailleurs pourquoi il est largement employé le terme de
« complot » à L’encoNtre de ceux qui sont HORS NORME.
L’OPINION PUBLIQUE EST CET ÉGRÉGORE QUI EST DEVENU AUTONOME : IL PARLE AUSSI DE
« COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE » (aussi appelée
« les alliés ») ;
C’EST CE QU’ORGANISE L’ÉGRÉGORE NOMMÉ « POUVOIR PUBLIC » : ceux qui ont un ego et une bourse plus prononcé que les autres et qui fabriquent du « social ».
ÉGRÉGORE = SENSATION : les foules ne sont pas manipulables par la raison, mais PAR LES SENS, LE SENSATIONNEL, L’EMPATHIE, L’ÉMOTIONNEL (si présent et flagrant dans le cas de 2022 et
« la guerre en Ukraine »), CE QUI D’UNE FAÇON OU D’UNE AUTRE EST TRANSMIS DE FAÇON SUBCONSCIENTE. Et ceci peut s’expliquer seulement parce que la TÉLÉPATHIE est une réalité.
Pourquoi le Pour-Voir FAIT ABSOLUMENT TOUT POUR MAINTENIR LES MASSES DANS LA RACINE DU MAL : LE DEHORS, EMPÊCHANT AINSI LE MOINDRE PHÉNOMÈNE TÉLÉPATHIQUE? (Voir ou revoir à ce propos les films :
Contact, et
Premier contact, aussi intéressant l’un que l’autre)
SIMPLE : PARCE QUE LA TÉLÉPATHIE VRAIE CONFIRME QUE LE TEMPS N’EXISTE PAS, IL EXISTE ALORS
LA TÉLÉPATHIE DU TOUT, LA RÉALITÉ (comportant ce qu’à ce hui Nous nommons
« extraterrestre »), SOIT :
‘NOUS’ DANS CE QUI N’EXISTE PAS : LE FUTUR. UNE TÉLÉPATHIE AVEC LES EAUX PRIMORDIALES. Mais vu l’état catastrophique de conscience des humains depuis tant de millénaires, les
« esprits » ou
« Bienheureux » ne souhaitent pas une transmission
« tout confort » avec des consciences présentes si faibles, si ignorantes ; à rapprocher de ce que Ramana Maharshi dit à l’entretien 107 du 29-11-1935 : « Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en masse ». Donc les Bienheureux ou Réalisés NE PEUVENT PAS COMMUNIQUER EN MASSE avec les consciences, ce que tente pourtant de faire l’égrégore républicain mondial devenu autonome qui rêve de SA SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE ET QUI
« INSTRUIT EN MASSE » AU SENS
QUI MANIPULE EN MASSE.
RAPPEL SUR LE MOT CONSCIENCE : depuis les matérialistes et amplificateurs de l’ego, cette
« conscience » est située dans un corps, sous un crâne, donc LA DUALITÉ DU SUJET
”PRENANT CONSCIENCE” D’UN OBJET, et de là allait naître L’OPINION, construite sur les sens, à un moment donné, donc dans l’espace-temps.
Ce que Nous nommons
« extraterrestre » n’est qu’une forme de conscience puisque TOUT EST DANS LE MENTAL : il n’existe pas de conscience sans objet extérieur ni de conscience sans cet objet. ET COMME LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS EST INSAISISSABLE, INTROUVABLE…
« L’extraterrestre » peut tout à fait être
« Nous dans le futur », qui n’existe pas.
Avec leur technologie démentielle actuelle, les 4 Pour-Voir mentionnés ici sont désormais capables de faire que la masse de Terriens ne soient pas capable d’être consciente d’un grand nombre de choses, et que ces Terriens soient conditionnés mentalement pour percevoir ce que le Pour-Voir souhaite qu’ils perçoivent. L’Église de Rome fut celle qui empêcha que les gens prennent conscience d’un grand nombre de choses ; la République et son gouvernement entretenu par son capitalisme fait que les gens ne doivent percevoir que ce que le régime souhaite que les gens perçoivent (le Pour-Voir appelle ça « démocratie » ou « pouvoir du peuple »).
George Orwell dans 1984 imaginait un totalitarisme qui ne faisait que surveiller les corps des masses, mais à ce jour la technologie peut carrément, COMME UN ÉGRÉGORE AUTONOME, « PIRATER » LE CERVEAU DES HUMAINS À UN NIVEAU PROFOND, COMME UNE FAUSSE TÉLÉPATHIE, et personne ne se rendra compte de rien….
Alors la Télépathie Vraie, L’INTUITION, sera empêchée par les 4 Pour-Voir (et par exemple traitée de ”complotisme”), parce que cette Télépathie Vraie est capable de pénétrer les esprits des Bienheureux, des extraterrestres ou Nous-demain-dans-les-Eaux-Primordiales. CEPENDANT, PÉNÉTRER = DEDANS-DEHORS, SAISIE….. Et plus la chose est simple plus elle semble complexe (1)…
IL EXISTE MAINTENANT UN CONFOR-MISME DE LA RÉVOLTE, DE LA LIBÉRATION….. UN CONFORMISME DU CONCEPT DE JUSTICE, ET CELA EN OCCIDENT DEPUIS 1789…. REPOSANT SUR LE MONDE DES ANCIENS GRECQUES… CONFOR-MISME DE LA LIBÉRATION, CONFOR-MISME DU ‘DÉVELOPPEMENT PERSONNEL’, CONFORMISME DU COM-PRENDRE = VERROUILLAGE MENTAL. LE CONFORMISME DE COMPRENDRE EST UN VERROUILLAGE MENTAL, UNE SAISIE. Seul ‘Je’ est la Fontaine de Jouvence : le BLANC DE L’INSTANT, sans le concept de « naturel » ou d’« originel ». Le conformisme de la libération aboutira en France à la dictature révolutionnaire de 1789 et au despotisme militaire et winneriste de Napoléon 1er et en URSS à celle des Juifs bolcheviques en 1917.
La lune (que le doigt montre, dans le
Lankâvatâra, chapitre
L’instantanéité) est le ‘Je’ ou Soi, la Singularité, le Seul Réel qui ne se montre pas comme le Centre qui est nulle part (pas de monnaie au sens ou ce mot a pour étymologie montrer), qui ne se saisie pas.
Shakespeare écrivait que « Les choses sont faites du même tissu que les rêves », ou « Nous sommes faits de l’étoffe des songes », actuellement les songes, ce sont les ordinateurs et leur virtuel qui enferment l’individu hyper découpé en suites de zéros et de uns… Le citoyen est réduit à une
« information », dont seul l’ordinateur fait vérité ! L’illusion même du monde est abandonné au profit du ‘moi’, un ‘moi' d’ordinateur, un ‘moi’ de tout connecté technologique, un ‘moi’ de
« PIRATAGE » DES ORGANISMES BIOLOGIQUES DES GENS, DONC LES
« REPROGRAMMER » (corps et âme)
à coups de biocapteurs en GRAPHÈNE (suivant le rêve des transhumanistes et des paroissiens de Yuval Noah Harari-Schwab Bill Gates). Les informations du tout connecté effaceront le Seul Réel du ‘Je’ : le souvenir du numérique remplace le souvenir du spatio-temporel : mieux vaut donc des
data centers certains à la place d’une vie incertaine ou non sécurisée !…
Ne réalisant par leur Soi les êtres humains ne s’appartiennent plus, ils sont la possession des firmes fabricantes de ces data centers. Ils deviennent des sujets, des objets de l’invention maléfique de l’ordinateur conséquence de 1789 comme déjà expliqué en d’autres pages. La trace informatique fait office de double, de FÉTICHE en forme de preuve de l’ÊTRE,
c’est-à-dire de son manque ! Son incapacité à vivre « Je suis CE JE SUIS », bref : son incapacité, son aliénation, sa Chute. Et c’est ce que les Juifs de Jacques Attali veulent
« racheter » : mettre en valeur le temps, comme il le résume sans détour en page 18 dans :
Les Juifs, le monde et l’argent.
Un monde qui ne peut être comblé sans la référence à l’autre, façon Rimbaud :
« Je est un autre » : LE DOIGT QUI MONTRE LA LUNE (
Lankâvatâra, chapitre
L’instantanéité). JANUS : tout ce qui EST ou pourrait être est à la fois lui-même et son contraire (son complément : « Je est un autre » de Rimbaud). Chaque pair de contraires est la cause réciproque de l’autre.
Le tragique de la naissance est d’être né, parce que cela devrait être : « Je suis Non-je, ainsi « Je suis ce JE SUIS ». ÊTRE véritablement ne peut exister, excepté en fonction de Non-Être, le Soi en fonction du Non-Soi…. Ce sera le SURFEU…
Rejoint l’entretien 264 du Maharshi et le Centre qui est nulle part : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».
Perte, Chute du paradis ou LA SORTIE de l’Eau Primordiale.
Le ‘Je’ de Rimbaud ne parlera pas dans ce monde, mais seulement à la condition de refléter les mots soufflés par un autre (d’une autre dimension comme la dimension absolue, le Soi). (Voir la page
Inconscient collectif = REFLETS). Rejoint le problème de la TÉLÉPATHIE VRAIE amorcé sur cette page, et l’histoire du rabbin
(2).
Quoi de plus dangereux que la mort ?
LE REMPLISSAGE (appelé
”vie”), SOIT LE REFUS DE L’AMOUR (du A privatif ou Mort : privation de mort), LE REFUS DU GRATUIT, LA PANique DEVANT LE NON-NÉCESSAIRE QUI ENGENDRE LA RÉSIGNATION DE SA PROPRE LIBERTÉ, DE SA VRAIE NATURE,
AU PROFIT D’UN DEHORS EN UNE ORDRE ARTIFICIEL, IMPOSÉ OU EN UNE NORME, UNE LOI IMPOSÉE.
NUL DOUTE QUE LE REFUS DE L’AMOUR, LE REFUS DE L’INTROUVABLE, LE REFUS DE L’A-MORT OU ABSENCE DE MORT SOIT LE REFUS DU RÉEL.
LE REFUS DU RÉEL PAR LA SAISIE, LES LOIS ET LE REMPLISSAGE APPELÉ
« HISTOIRE » EST LE PRINCIPAL SYMPTÔME DU MÉCANISME DE DÉFENSE QUI ENTRE EN JEU DÈS QUE LE RÉEL EST PERÇU COMME CRU-EL, LE DIVIN OU EL PERÇU COMME CRU, DIRECT (sans le doigt qui montre la lune mais la lune directe sans le doigt qui la montre).
Seul un total, un TOUT, peut connaître un total. Or le citoyen, ou le
consommateur, le ‘moi’ ou ego ne peut être un total, une globalité, une
éternité, puisqu’il se définit par rapport à un ‘toi’, par rapport à une
quantité, une globalité, il est donc limité par ce qui le différencie
de ce ‘toi’. C’est pourquoi il ne peut y avoir deux Soi, car s’il y en
avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et
ne serait donc pas in-fini ; il en est ainsi de chaque consommateur qui
ne peut être un TOUT, c’est pourtant ce que prétend vouloir
entre-PRENDRE le régime capitaliste et républicaine ET SA TECHNOLOGIE :
les mots « liberté, égalité, fraternité » en sont une preuve, surtout le
mot « égalité » qui prétend « unir » tous les humains ! Mais qui
annonce cette société fourmilière sous le dicta de la technologie. Une
singerie de ce que la chrétienté appelle la Communion des Saints (ou des
Bienheureux, des Réalisés : Nous dans les Eaux Primordiales…….). La
technologie divisera encore plus le monde humain : le Pouvoir ou
Pour-Voir qui s’amplifiera à un niveau sur-humain pouvant vivre par
exemple 200 ans, et la masse crétinisée des consommateurs….. La dualité
WINNERS-LOSERS sera augmentée comme jamais.
Notes.
1. Litt.
« Les six joyaux ». Shrî Shankara énumère dans son commentaire aux Vedanta-sûtra les six conditions pour un disciple du Vedanta : 1. shama (maîtrise du mental), 2. dama (maîtrise des sens), 3. uparati (retrait des sens, cessation des activités), 4. titikshâ : (patience, impassibilité), 5. shraddhâ : (foi, confiance), 6. samâdhâna (aptitude à la concentration, contemplation).
2. Un pieux rabbin de Cracovie, le rabbin Eisik, eut un rêve qui lui demandait d’aller à Prague, là, sous le grand pont menant au château royal, il devrait y trouver un trésor caché. Comme le rêve se reproduisit trois fois, le rabbin se décida à partir. Arrivé à Prague, il trouva bien le pont, qui était gardé jour et nuit par des sentinelles. Il n’osa pas fouiller.
En rôdant toujours aux alentours, il attira l’attention du capitaine des gardes. Le capitaine lui demanda s’il avait perdu quelque chose. Avec simplicité le rabbin lui raconta son rêve. Le capitaine éclata de rire : « Vraiment pauvre homme ! », lui dit-il, « Tu as usé tes souliers à accomplir tout ce chemin uniquement à cause d’un rêve ? Quelle personne raisonnable croirait à un rêve ? » Le capitaine, lui aussi, avait entendu une voix en rêve : « Elle me parlait de Cracovie, m’ordonnant d’aller là-bas et de chercher un grand trésor dans la maison d’un rabbin dont le nom était Eisik (le rabbin rêveur), Eisik fils de Jekel. Le trésor devait être découvert dans un coin poussiéreux où il était enterré derrière le poêle ». Mais le capitaine des gardes n’ajoutait aucune foi aux voix entendues en rêve : l’officier était une personne
« raisonnable ». Le rabbin s’inclina profondément, le remercia et se hâta de rentrer à Cracovie. Il creusa dans le coin abandonné de sa maison et découvrit le trésor qui mit fin à sa misère.
Ce récit est identique aux nombreux exemples du collier donnés par Ramana Maharshi :
« Une femme portait un collier autour du cou. Ne s’en souvenant plus, elle se mit à le chercher, questionnant son entourage. Une de ses amies, se rendant compte de ce qu’elle cherchait, lui désigna le collier autour de son cou. La femme le toucha de ses mains et fut aussitôt rassurée. Avait-elle récupéré le collier ? Là encore, l’ignorance causa la douleur et la connaissance, le bonheur.
Il en va de même en ce qui concerne l’homme et le Soi. Il n’y a rien de nouveau à gagner.
L’ignorance du Soi est responsable de la souffrance présente ; la connaissance du Soi apporte le bonheur.
De plus, si quelque chose de nouveau doit être obtenu, cela implique que c’était absent auparavant. Ce qui a été une fois absent peut disparaître encore. Ainsi, le salut ne serait pas permanent. Mais le salut est permanent parce que le Soi est ici et maintenant, et éternel.
Les efforts de l’homme sont donc dirigés vers la disparition de l’ignorance. La Sagesse semble survenir, alors qu’elle est naturelle et toujours présente ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935).