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Feu vulgaire = ego augmenté Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-05-2022 03:04

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Bimbo, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Hulkerie, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, MIB, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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Feu vulgaire = ego augmenté
Feu vulgaire = métallurgie : flèches,
épées, armures, canons, fusils, bombes,
missiles, tanks, avions, etc. et ils
appellent ça « civilisation ».
Le feu vulgaire est à l’origine du culte de
l’ego, les animaux autres que les humains ne
savent pas faire « naître » un feu vulgaire,
c’est là la seule différence par exemple entre
un singe, qui sait se servir de ses mains,
et un humain.
Vous avez déjà vu un singe allumer,
ou « faire du feu » dans une forêt,
ou un corbeau déclencher un feu avec
son bec ??
 
SÉDENTARISATION = POSSESSION D’ARMES LIÉE
À L’ÉTATISME QUI ENGENDRE LA POSSESSION
DE « BIENS » QU’IL S’AGIT DE « DÉFENDRE ».
Et comme les États-Unis sont un peuple de
« Superman and big boys with big toys,
and with big black wallets »
ils ont
beaucoup de « biens » à défendre.
Ce qui est un grand symptôme de
ces peuples qui ont été heurtés de plein
fouet par le transhumanisme technologique
et qui sont en phase d’écroulement inévitable,
comme d’ailleurs le montre des fictions de
leur industrie cinématographique.


Le culte de l’ego est particulièrement développé
chez les peuples judéo-protestants, soit les
anglo-américains, et par là-même la judéo-maçonnerie
née à Londres dans une taverne en 1717.
CULTE DE L’EGO = PROTÉGER SON CORPS-MENTAL,
D’OÙ LE DÉVELOPPEMENT DU TRANSHUMANISME AUX
ÉTATS-UNIS ÉQUIVALENT DE « DÉFENDRE
SON CORPS-MENTAL »
AVEC UNE ARME À FEU VULGAIRE (fusil).


Les judéo-protestants Anglo-saxons voient tout
sous forme de matière, de sujet-objet, et de
dualité moralisatrice bien-mal !

Le transhumanisme et le business des armes à feu
ne pouvait pas se développer façon démocratie
dans un pays européen chrétien Église de Rome,
comme par exemple, l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne,
la France, la Pologne, etc.

Protéger son ego-corps-mental = armes à feu =
culte de l’ego OU NÉGATION DE LA MORT ICI-BAS.
Comme si un fusil AR-15 était censé apporter
 « l’immortalité » ici-bas et effacer l’âge du corps.
Aux États-Unis, transhumanisme et business des armes
atteint son paroxysme avec cette psychose de
l’AUGMENTATION DE L’EGO, L’« AUGMENTATION DE
LA RÉALITÉ » OU PROLONGEMENT DE LA VIE :
SUPPRIMER LA MALADIE DE LA VIEILLESSE.
Le META du peuple élu Zuckerberg en est
un symptôme.
Mais, cette PEUR DE MOURIR et la protection de
son corps par armes à feu ne peut provenir que
par le culte de l’ego et la racine du mal la dualité
Dedans-Dehors : ‘moi’ et l’autre qui peut me menacer
ET DONC QUI PEUT ME SAISIR (me supprimer comme on
supprime un fichier informatique ou un ennemi dans
un jeu informatique).
RACINE DU MAL = PENSER, CALCULER (que l’autre
puisse me tuer).
Ainsi la crainte du grand âge n’est pas un culte
du jeunisme mais une augmentation de l’ego, du corps.
Une « réalité augmentée » dans cette aliénation
technologique rêvant d’un corps sans vieillesse et
sans maux :
BUSINESS DES ARMES ET DU PROLONGEMENT DE
LA VIE = POUVOIR ABSOLU ET SADISME ET ANTI-VIE.

TRANSHUMANISME, BUSINESS DES ARMES = RELIGIONS
DU SALUT OU EUCHARISTIE MODÈLE JUDÉO-PROTESTANT
DANS LE SALUT PAR LA TECHNOLOGIE et les armes sont
de la technologie comme la médecine aux ARN messagers,
c’est le même Thème du FEU VULGAIRE avec ses
Variations à l’infini.
Thème de la thermodynamique et de l’ÉNERGIE qui
exprime, sous ces deux formes caractéristiques du
transhumanisme et du business des armes les
PEURS D’UNE CULTURE FORTEMENT DÉPRESSIVE,
INCAPABLE DE VIVRE DANS L’INSTANT : ELLE
PRÉFÈRE TUER L’INSTANT.

Transhumanisme, business des armes font la partie
des religions du SALUT : celui qui demande la
liberté construit son contraire : l’asservissement
(aux armes, aux choses extérieures, comme de
« sortir » de l’Univers pour ceci ou pour cela,
donc pour s’en SAISIR).
« Pourquoi demandez-vous le salut, le soulagement
des afflictions, etc. ? Celui qui les demande les
conçoit aussi. Le fait est que la drishti (la vision)
est conscience. Elle forme le sujet et l’objet.
Peut-il y avoir la drishti séparée du Soi ?
Le Soi est tout – la drishti et le reste ».
(Ramana Maharshi, entretien 268 du 23-10-1936).

Le Salut est permanent, il est l’INSTANT,
Ici et Maintenant : « Mais le salut est permanent
parce que le Soi est ici et maintenant,
et éternel.
Les efforts de l’homme sont donc dirigés vers
la disparition de l’ignorance. La Sagesse
semble survenir, alors qu’elle est naturelle
et toujours présente ».
(Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935).


LA PEUR DE LA MORT.
« La peur de la mort se présente seulement après que la pensée ‘je’ est née. La mort de qui craignez-vous ? Et de qui est-ce la crainte ? La cause en est l’identification du Soi avec le corps. Tant qu’elle existera, il y aura peur ». (Ramana Maharshi, entretien 202 du 15-6-1936).

« Chacun sait qu’il doit mourir un jour ou l’autre ; mais personne n’y pense sérieusement. Tout le monde a peur de mourir ; mais cette peur n’est que momentanée. Pourquoi avoir peur de la mort ? À cause de l’idée « Je suis le corps ». Tout le monde est pleinement conscient que le corps doit mourir et qu’une crémation suivra. Chacun sait aussi que le corps disparaît à la mort. En raison de l’idée « Je suis le corps », la mort est redoutée comme si elle était la perte de soi-même. La naissance et la mort ne relèvent que du corps ; mais elles sont superposées au Soi, créant l’illusion que la naissance et la mort sont en rapport avec le Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 567 des 3-6/11-1938).

« Si l’homme considère qu’il est né, il ne peut pas éviter la peur de la mort. Qu’il cherche donc s’il est né ou si le Soi a quelque naissance. Il découvrira que le Soi existe depuis toujours, que le corps qui est né se réduit à une pensée et que l’émergence de celle-ci est la racine de tout le mal.
Trouvez d’où jaillissent les pensées. Alors vous demeurerez dans le Soi toujours présent au plus profond de vous-même et vous serez libéré de l’idée de la naissance ou de la peur de la mort ».

« L’ignorance du Soi est responsable de la souffrance présente ; la connaissance du Soi apporte le bonheur.
De plus, si quelque chose de nouveau doit être obtenu, cela implique que c’était absent auparavant. Ce qui a été une fois absent peut disparaître encore. Ainsi, le salut ne serait pas permanent. Mais le salut est permanent parce que le Soi est ici et maintenant, et éternel [c’est le scribe de cette page qui souligne] ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935).

« Alors, pourquoi pleurer les disparus ? Ils sont libérés de l’esclavage. Le deuil est la chaîne forgée par le mental pour s’attacher aux défunts.
« Et alors, si quelqu’un est mort ? Et si quelqu’un est ruiné ? Soyez mort vous-même, soyez ruiné vous-même ». Ainsi vous n’éprouverez pas de chagrin à la mort de quelqu’un. De quelle sorte de mort s’agit-il ici ? De l’annihilation de l’ego, bien que le corps continue à vivre. Tant que l’ego persiste, l’homme a peur de la mort et pleure la mort d’un autre. Ce ne serait pas nécessaire s’il mourait avant lui (en se réveillant du rêve de l’ego, ce qui revient à tuer le sens de l’ego).

L’expérience du sommeil profond nous enseigne clairement que le bonheur consiste à être sans le corps. Le sage le confirme aussi en parlant de libération une fois que le corps a été abandonné. Le sage attend donc le moment de se dépouiller de son corps. Un travailleur qui est obligé, pour gagner son salaire, de porter un fardeau considérable sur sa tête, le porte sans plaisir jusqu’à sa destination, et lorsque, enfin, il se débarrasse de sa charge, il éprouve soulagement et joie. De même les sages portent leur corps et attendent de pouvoir s’en défaire le moment venu. Si votre femme était votre « moitié », ne devriez-vous pas être reconnaissant et heureux d’être soulagé de la moitié de votre fardeau ?
Vous n’y parvenez pas parce que vous voyez les choses sous l’angle de la matière. Même des hommes qui devraient savoir à quoi s’en tenir et qui ont étudié les enseignements sur la libération après la mort glorifient la libération dans le corps et parlent même de pouvoirs mystérieux qui gardent le corps éternellement en vie. Si l’on abandonne le point de vue du corps et si l’on demeure dans le Soi, il n’y a plus de douleur. Pleurer la mort de quelqu’un n’est pas une preuve d’amour véritable. Cela révèle seulement l’amour de l’objet, de sa forme. Ceci n’est pas de l’amour. Le véritable amour se reconnaît à la certitude que l’objet de l’amour est dans le Soi et ne peut jamais cesser d’exister ». (Ramana Maharshi, entretien 203 du 17-6-1936).

« Pourquoi redouter la mort ? La mort ne peut signifier le non-être. Pourquoi aimez-vous le sommeil et non la mort ? Ne pensez-vous pas en ce moment ? N’existez-vous pas en ce moment ? Et durant votre sommeil, n’existiez-vous pas ? Même un enfant dit qu’il a bien dormi et qu’il était heureux. Il admet ainsi, bien qu’inconsciemment, son existence pendant le sommeil.
La conscience est donc notre vraie nature. Nous ne pouvons rester inconscient. Nous prétendons que nous étions inconscients durant notre sommeil parce que nous nous référons à une conscience limitée. Le monde, le corps, etc., sont tellement gravés en nous que nous prenons cette conscience relative pour le Soi. Est-ce qu’un homme qui dort dit qu’il est inconscient ? Il le dit à son réveil car alors il se trouve en état de conscience relative. Il parle donc d’un point de vue de conscience relative et non de conscience abstraite. La pure Conscience est au-delà de la conscience relative et de l’inconscience ».
(Ramana Maharshi, entretien 306 du 26-12-1936).

« Essayez de découvrir si vous êtes né avant de penser à la mort. Car seul celui qui est né peut mourir. Quand vous dormez vous ne valez pas mieux qu’un mort et pourtant, vous n’avez pas peur de la mort dans le sommeil ». (Entretien 318 du 7-1-1937).

« Quand vous dormez vous ne valez pas mieux qu’un mort et pourtant, vous n’avez pas peur de la mort dans le sommeil ».
TOUT EST LÀ, correspondant aux peuples vivant DANS L’INSTANT, À L’ÉTAT NATUREL, qui veut dire : SANS FIXATION, SANS SÉDENTARITÉ, SANS L’ÉTATISME NÉCESSAIREMENT FIXATEUR OU DOMINATEUR.
Seuls les peuples natifs qui ont été préservés des ravages du langage écrit ont pu préserver leur identité culturelle et spirituelle. Ce qui peut paraître un manque à la conscience du « civilisé », ce manque (de l’écrit) est justement leur FORCE : ILS NE CHUTENT PAS DANS L’ORGANISATION, DANS LE DIABLE QUI ADMINISTRE, QUI ÉTATISE SOUS CONTRAINTE DU BUSINESS PRIVÉ.
Les peuples natifs n’ont pas besoin de religions du Salut ou de la Rédemption, ces religions EMPÊCHENT l’état de Nature qui seul facilite la Réalisation (du Soi) ; parce que les peuples natifs n’ont seulement qu’à se purifier de leurs vertus !

- Question : N’est-ce pas de l’égoïsme que de rester dans l’état de Réalisation [du Soi] sans aider le monde ?
- Maharshi : On vient de vous démontrer que le Soi englobe tout l’Univers et le transcende aussi. Le monde ne peut rester séparé du Soi. Si la réalisation d’un tel Soi est appelée égoïsme, cet égoïsme doit aussi englober le monde. Il n’y a là rien de méprisable.
- Question : Les êtres réalisés ne continuent-ils pas à vivre comme les êtres non réalisés ?
- Maharshi : Oui. Avec cette différence que l’être réalisé ne voit pas le monde comme séparé du Soi. Il possède la véritable connaissance et le bonheur intérieur d’un Être parfait. Tandis que l’être non réalisé voit le monde comme séparé, ressent son imperfection et en devient malheureux. Autrement, leur comportement extérieur est semblable.
- Question : L’être réalisé sait donc, comme les autres, que des guerres font rage dans le monde.
- Maharshi : Oui.
- Question : Comment peut-il alors être heureux ?
- Maharshi : L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi.
L’idée « je suis le corps ou le mental » est si enracinée qu’il est difficile de s’en défaire, même quand on est convaincu du contraire. Quand on a fait un rêve, on sait au réveil qu’il était irréel ; et l’expérience de veille devient irréelle dans les autres états. Par conséquent, chaque état contredit les autres. Ils ne sont donc que des états changeants qui se déroulent dans la conscience de celui qui les perçoit. Ce sont des phénomènes apparaissant dans le Soi qui, lui, ne change pas et reste non affecté par eux.
Tout comme les états de veille, de rêve et de sommeil profond ne sont que des phénomènes, la naissance, la croissance et la mort ne sont, elles aussi, que des phénomènes dans le Soi, lequel continue à demeurer inchangé et non affecté. Naissance et mort ne sont que des idées. Elles relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les
phénomènes changent et sont mortels. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi. La mortalité n’est qu’une idée qui cause la souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi.
(Entretien 487 du 2-5-1938).
 
 

Dernière mise à jour : 26-05-2022 06:19

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