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Ecrit par Sechy, le 22-07-2022 03:52

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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Vous êtes programmés avec l’Euro numérique
qui arrive à l’été 2023 : donc a dépenser
que pour des marchandises de « première nécessité »
ou qu’un employeur, le « Maître », le gouvernement
considèrent comme « raisonnable ».
Donc programmer la vie sociale afin d’éviter des
comportements nuisibles « d’une certaine manière ».
Nous y sommes dans la RELIGION EN MÊME OMNIPOTENCE
INDIFFÉRENCIÉE NOMÉE « LAÏCITÉ », « ÉGALITÉ »,
« DÉMOCRATIE », « LIBERTÉ », « VALEUR », etc.,
de cette CROYANCE-CRÉDIT-CRÉDO-CRÉANCE-CONFIANCE.
 
Une religion à teinture judéo-protestante en majorité
issue du monde anglo-saxon depuis le monde de
Sabbatai Tsevi et de son successeur Jacob Frank
reconnaissable dans le sinistre carnaval du
LGBTQIAisme et des Metoo entre autres,
qui tous sont dans la croyance au corps, et
« fluo » : à ce hui ils font dans l’androgynisme
corporel (1) selon la logique de la diversité
marchande et multipliable à l’indéfinissable
puisqu’on peut diviser sans fin un
corps indifférencié….
Le contrôle le plus intime du dividu EST DÉJÀ LÀ,
avec le coup du covid, de l’écologie-réchauffisme
anthropique, de l’égalitarisme du grégarisme nommé
”fraternité” (et évidemment l’antiracisme,
l’anti ceci, l’anti cela font les Metoo et les
anti-hommes-blancs, etc.).
Les Metoo sont d’ailleurs arrivés à la maturité
médiatique avec le producteur juif Harvey Weinstein
dans le monde de l’industrie du cinéma hollywoodien
dont certains Juifs tiennent en grande partie les
cordons de la bourse ainsi qu’une grosse panoplie
d’acteurs, de techniciens et réalisateurs tous issus
de la même « paroisse » !

C’est ce monde Luciférien du « Vous ne
posséderez rien et vous serez heureux »
qui
donnera le coup d’envoi de l’amplification du
« vivre ensemble » en Ein sof républicain juif.
Exactement que la glorification de la raison
au siècle des « Lumières » avec l’amplification
du problème de mental si destructeur par l’ego :
« De cette manière, le mental continue à subsister,
mais échappe à lui-même [dans le sens où il
échappe au ”Qui suis-je ?”] ». (Ramana Maharshi,
entretien 43 du 28-3-1935).

PROGRAMMABILITÉ DE LA VIE SOCIALE FACILITÉ,
pour commencer par le covidisme, pour s’ACHEVER
PAR « LA GUERRE EN UKRAINE » : REFONTE TOTAL DU
MONDE PAR L’OLIGARCHIE DU EIN SOF DE LEUR
RELIGION RÉPUBLICAINE : les PÉNURIES et l’INFLATION
en sont leurs outils du « plus rien ne sera jamais
comme avant »
, soit : organiser le chaos pour
tout détruire et tout reconstruire.
Ces concepts ne sont pas nouveaux et remontent à
n’en pas douter à l’arrivée du Néolithique et de
la voie de l’Agriculture : Matthieu 10,18 :
« vous serez menés, à cause de moi, devant des
gouverneurs et devant des rois, pour servir de
témoignage à eux et aux païens ».
Soit la Demeure du sans Demeure ou : « Le Royaume
des Cieux est en Vous », le Christ ou Soi =
le Royaume des Cieux en Vous : l’Univers est DANS
le mental.

Évidemment avec le concept du mental À L’ÉTAT DE VEILLE
et QUI SE CROIT AU DEHORS DE L’UNIVERS, le « Royaume »
est devenu l’État : le TEMPOREL allait opérer ses
ravages : tout au long de la « dialectique historique
matérialiste » les forts en ego et en argent n’ont cessé
de rêver à l’institution d’un royaume ”universel”,
LA RÉPUBLIQUE MONDIALE ou LA PAIX MONDIALE réunissant
sous la direction d’un seul, ou d’une oligarchie tous
les peuples de la Terre (2).
Jusqu’à ce hui ce ne fut jamais réalisé comme en témoigne
cette même « dialectique…. ». Même les plus grands des
empires et royaumes n’ont eu qu’une courte durée, à cause
de l’ego de ses dirigeants.
Mais avec l’appui de la technologie actuelle et
sa puissance de LAVAGE DE CERVEAUX, il n’en est pas de
même, le Pour-Voir se trouve enfin à même de réaliser son
vieux rêve du début du Néolithique d’un royaume ”universel”,
le même genre d’”universel” que l’attraction ”universelle”
ou vulgaire loi de succion : la pesanteur.


C’est ce monde Luciférien du WINNERISME DU PROGRÈS DU
MACHINISME SUR LA VIE ET LA PENSÉE HUMAINES.
LEUR MONDE UNIQUEMENT UTILITAIRE EN FAIRE/FER QUI ROUILLE.
Le république mondiale ou ”universelle” (donc la religion
du Ein sof) aura le droit de dire quel enfant elle doit
faciliter la naissance et quel enfant elle doit
protéger. Si bien que le prophète D.A. François de Sade
disait déjà de 1789 = « Ne croyez pas que vous ferez de
bons républicains tant que vous garderez isolés dans
leurs familles les enfants qui devraient appartenir à
la république et à elle seule ».
Et aux États-Unis en 1910 Ellen Richards, fondatrice de
l’assistance sociale actuelle affirmait :
« Dans la république sociale, l’enfant est, en tant
que futur citoyen [et consommateur-contribuable], un bien
de l’État, et non la propriété de ses parents.
Son bien-être est donc directement une responsabilité de
cet État ». (Ellen H. Richards, Euthnics : The Science of
Controllable Environnement
, Boston, Whitcomb and Barrows,
1910, p.133).

Si bien que Nous en sommes arrivés à UNE MONSTREUSE
CARICATURE DU NIRVANA : LA RÉPUDIATION DU PÉCHÉ ORIGINEL
(d’ailleurs principe du transhumanisme qui comme les
Talmudistes du Tiqoun veulent « réparer la nature »).
Nirvana signifie : l’état au-delà de la souffrance,
au-delà de l’espace-temps ou (la roue des naissances
et des morts, le monde phénoménal des noms-les-formes).
Nirvana ou Éveil (la Demeure du sans Demeure :
retourner à son soi-même, telle la Singularité,
l’Idiotès, la Vierge Noire, le Fléau, le Trou-ver).
L’Éveil Suprême est appelé « Nirvana sans demeure ».
Ainsi il est évident que la tentative actuelle,
EN GROS, EN MONDIALISME, la « répudiation du
péché originel »
n’est qu’un gros packaging du
SOCIAL DE LA RÉPUBLIQUE ET SON EIN SOF ET SES
COMMANDEMENTS (droits de l’homme), LE GRÉGAIRE, tant
ils sont le peuple-prêtres du monde Luciférien de
leur Ein sof, ILS SONT L’IMAM (guru, guide spirituel)
de leur GLOUTONNE OMNIPOTENCE INDIFFÉRENCIÉE ET
GRÉGARISME NOMMÉE : « LAÏCITÉ », « ÉGALITÉ »,
« DÉMOCRATIE », « FRATERNITÉ », « LIBERTÉ », « VALEUR »,
« CITOYEN » (bourgeois ou habitant du bourg, de la
cité ou de la ville), TOUS ÉLÉMENTS DE L’ÉGLISE
RÉPUBLICAINE MONDIALISTE SURTOUT ANGLO-AMÉRICAINE
QUI SONT SYSTÉMATIQUEMENT OPPOSÉS AU
RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, le ‘Je’-‘Je’, le CHRIST.



« Le changement n’est qu’une simple pensée [celle des ”plus ça change et plus c’est la même chose’]. Toutes les pensées s’élèvent après que la pensée ‘je’ est apparue [à l’état de veille]. Voyez à qui les pensées apparaissent. Ainsi, vous les transcendez et elles s’évanouissent. Autrement dit, en remontant à la source de la pensée ‘je’ vous réalisez le ‘Je’-‘Je’ parfait. ‘Je’ est le nom du Soi. […] Le Soi réel est le ‘Je’-‘Je’ infini, c’est-à-dire que le ‘Je’ est perfection. Il est éternel. Il n’a ni origine ni fin. L’autre ‘je’ naît et meurt. Il est impermanent. Voyez à qui appartiennent les pensées changeantes. Vous trouverez qu’elles s’élèvent après la pensée ‘je’. Agrippez-vous à la pensée ‘je’.
Les autres pensées s’évanouiront. Remontez à la source de la pensée ‘je’ et seul le Soi demeurera ». (Ramana Maharshi, entretien 266 du 21-10-1936).
Bref = Qui est ce ‘Je’ ? Et « Soyez ce ‘Je’ (même entretien).

« Ce qui apparaît et disparaît est le ‘je’ transitoire [celui de l’état de veille et de rêve, celui du consommateur de la religion du Ein sof républicain]. Ce qui a ni origine ni fin est la conscience permanente du ‘Je’-‘Je’ ». (Ramana Maharshi, entretien 268 du 23-10-1936).

« Mr. Shamanna de Mysore demanda à Shrî Bhagavân : « Pourriez-vous m’expliquer l’ahamsphurana (la lumière du ‘Je’-‘Je’) ? »
- Maharshi : Le ‘Je’ n’est pas connu dans le sommeil. Ce n’est qu’au réveil qu’il est perçu, associé avec le corps, le monde et le non-Soi en général. Ce « je associé » est appelé aham-vritti. Et lorsque l’aham ne représente que le Soi, on le nomme aham-sphurana. C’est l’état naturel des jnanî [Sages, Réalisés] ; il est appelé jnana par les jnai ou bhakti par les bhakta. Bien que cet état soit toujours présent, même pendant le sommeil, on n’arrive pas à s’en apercevoir. Il ne peut pas être connu pendant le sommeil ; il doit être réalisé à l’état de veille. Il est notre vraie nature, sous-jacente aux trois états. Les efforts ne peuvent être faits qu’à l’état de jâgrat (veille) et le Soi doit être réalisé ici et maintenant. Ce n’est qu’après que le chercheur comprendra et réalisera qu’il s’agit du Soi permanent, que ni le jâgrat, ni le svapna (le rêve), ni la sushupti (le sommeil) ne peuvent interrompre. Cette expérience ininterrompue est donc l’akhandâkâra-vritti. Là, le mot vritti est utilisé faute d’une meilleure expression. Il ne faut pas l’entendre dans le sens littéral de vritti [mode du mental], sinon cette vritti ressemblerait à « une rivière semblable à l’océan ». La vritti est de courte durée ; c’est la conscience qualifiée et dirigée ; ou la conscience absolue, troublée par des pensées, des sens, etc. La vritti est la fonction du mental, tandis que la conscience continue transcende le mental. C’est l’état naturel et primordial du jnanî ou de l’être libéré. C’est l’expérience ininterrompue. Elle se produit dès que la conscience relative s’évanouit. L’aham-vritti (la pensée ‘je’) est discontinue, alors que l’ahamsphurana (la lumière du ‘Je’-‘Je’) est continue, ininterrompue. Quand toutes les pensées se sont dissipées, la Lumière resplendit ». (Ramana Maharshi, entretien 307 du 27–12-1936).

« Maintenant, qu’est-ce que cette pensée ‘je’ (l’ego) ? Est-elle le sujet ou l’objet dans cette conception des choses ?
Étant donné qu’elle est le témoin de tout pendant les états de veille et de rêve, ou du moins, c’est ce que nous croyons, on peut la considérer comme étant le sujet. Mais lorsque le pur Soi est réalisé, elle n’apparaît plus que comme un objet.
À qui est cette pensée ‘je’, l’ego ? Cette investigation est appelée vichâra.
Les pensées ‘je’ et ’ceci’ sont toutes deux des émanations de la même lumière. Elles correspondent respectivement aux rajoguna et tamoguna. Pour que la Lumière réfléchie (pur sattva) soit dépourvue de rajas et de tamas, elle doit resplendir en tant que ‘Je’-‘Je’, non-interrompue par la pensée “ceci”. Cet état pur survient, d’une façon temporaire, entre le sommeil et la veille. Si cet état de transition se prolonge, il devient Conscience cosmique ou même Ishvara. C’est l’unique passage vers la réalisation de l’Être suprême, lumineux en soi [C’est ici qu’est expliqué la différence entre le Ein sof des Talmudistes de leur RELIGION RÉPUBLICAINE et le Soi Originel, celui des PAÏENS…].
En résumé, on peut dire qu’il y a deux sortes d’expériences durant le sommeil profond dont on se souvient au réveil lorsque l’on dit “j’ai dormi comme un bienheureux et je n’avais conscience de rien”. C’est l’expérience du bonheur et de l’ignorance. Nous pouvons donc constater que le Pouvoir s’est transformé en 1) dvarana (obscurité) et 2) vikshepa (diversité). Le mental est le résultat du vikshepa ».
(Ramana Maharshi, entretien 323 du 7-1-1937).

ICI, UNE DIFFÉRENCE AVEC L’IMAGINATION CRÉATRICE D’UN IBN’ARABI (telle que décrit par Henry Corbin dans : L’Imagination créatrice dans le soufisme d’Ibn’Arabi).

L’auditoire, dans le hall, écoutait très attentivement la récitation des Véda. L’un des auditeurs, un adorateur sincère de Shrî Bhagavân, en fut si impressionné qu’il se perdit très vite en lui-même. Plus tard, il décrivit son expérience : « Je me demandais où se levait le “courant” ; était-ce dans le corps ou ailleurs ? Soudain, mon corps devint de plus en plus subtil jusqu’à disparaître. La question “Qui suis-je ?” se posa à moi très clairement et avec force. Seul le son du ‘je’-‘je’-‘je’ persistait. Il y avait une vaste étendue autour de moi et je ne voyais rien d’autre ; juste encore une vague perception de ce qui se passait dans le hall. Je me rendis compte que les gens se levaient pour se prosterner à la fin de la récitation des Véda. Je voulus me lever moi aussi, mais bientôt cette pensée me quitta. J’étais de nouveau perdu dans cette vaste étendue. Cette expérience continua jusqu’au moment où j’entendis la voix de Shrî Bhagavân, ce qui me permit de me reprendre. Je me levai et saluai Shrî Bhagavân. Un sentiment étrange persista en moi pendant plus d’une demi-heure. Je ne peux l’oublier. Il me hante encore ».

Shrî Bhagavân écouta ses paroles et resta silencieux pendant quelques minutes. Quelques observations tombèrent de ses lèvres : « On peut avoir l’impression de sortir de son corps. Mais le corps n’est pas plus que notre pensée. Il ne peut y avoir de corps en absence de pensée ; ni évasion ni retour en absence du corps. Cependant, l’habitude de penser peut provoquer en nous l’impression de quitter notre corps.
Si un flocon de neige tombe sur la surface de la mer, il s’y dissout et devient l’eau, la vague, l’écume. De même, l’intellect subtil, qui s’élève du Coeur pour former à sa surface la goutte minuscule de l’ego, finit par s’y dissoudre et ne former qu’un avec le Coeur.
Bien que tout le lait du monde puisse former un océan, pouvez-vous le boire avec une bouche aussi grande que l’océan ? Vous ne pouvez le boire que goutte à goutte, comme l’enfant tétant le sein de sa mère.
Nammâlvâr, le saint vishnouite, disait : “Seul mon Soi est Toi” Que veut dire cela ? “Avant que j’aie réalisé mon Soi, je ne cessais d’errer à Ta recherche ; ayant maintenant réalisé mon Soi, je vois que Tu es mon Soi” Comment de telles paroles peuvent-elles s’accorder avec le monisme qualifié [une des 3 écoles de philosophie du Vedantâ] ? Voilà comment on peut les expliquer : “Pénétrant mon Soi, Tu demeures en tant qu’antaryāmin (Être immanent). Ainsi, je suis une partie de Ton corps et Tu es le possesseur du corps (sharîrî)”
Ayant renoncé à son propre corps comme n’étant pas soi-même, pourquoi devrait-on devenir un autre corps (celui de Dieu) ? Si le propre corps n’est pas le Soi, tout autre corps n’est pas le Soi non plus. Les protagonistes du monisme qualifié estiment que l’individualité est nécessaire pour faire l’expérience de la Félicité. L’individualité, c’est-à-dire le sens du ‘je’, ne devrait pas être perdue.
Oho ! Le Soi n’est pas le corps, mais votre Soi devient le corps de Dieu ! N’est-ce pas absurde ?
Si vous pratiquez la prapatti (l’abandon de soi, le renoncement) à Dieu, vous vous êtes livré à Lui et vous êtes donc à Lui et non plus à vous-même [différence avec le « Seigneur » au sens de l’Imagination créatrice d’Ibn’Arabi]. Si Dieu a besoin d’un corps, laissez-Le en chercher un pour Lui-même.
Vous n’avez pas besoin de dire que Dieu a un corps ».
(Ramana Maharshi, entretien 327 du 12-1-1937).

« Détruisez le pouvoir du mental en le recherchant. Quand le mental est examiné, ses activités cessent automatiquement.
Une autre méthode consiste à chercher la source du mental. Cette source peut être appelée Dieu,
Soi ou Conscience.
En se concentrant sur une seule pensée, toutes les autres pensées disparaissent ; à la fin, cette pensée disparaîtra aussi. Il est nécessaire de garder toujours la conscience éveillée pendant qu’on contrôle ses pensées, sinon on s’endort ».
Question : Comment chercher le mental ?
Maharshi : Le contrôle de la respiration peut aider, mais il ne peut jamais vous conduire au but. Quand vous le pratiquez d’une manière automatique, restez toujours vigilant, souvenez-vous de la pensée ‘je’ et recherchez-en la source. Vous vous apercevrez alors que la pensée ‘je’ s’élève de là où le souffle descend. Les deux s’élèvent et descendent ensemble. Quand ils descendent, simultanément un autre ‘Je’-‘Je’, lumineux et infini, se manifeste de façon continue et ininterrompue. Voilà le but. On lui donne des noms divers : Dieu, Soi, kundalinî-shakti, Conscience, etc.
Lorsque vous tenterez cet effort, celui-ci vous conduira de lui-même au but ». (Ramana Maharshi, entretien 345 du 23-1-1937).

« Le ‘Je’-‘Je’ (aham-aham) est le Soi ; « Je suis ceci » ou « Je suis cela » (aham-idam) est l’ego [celui de la saisie et du ”Votre ceci, votre cela” ou du ”notre démocratie” de cette religion républicaine de l’Ein sof ou Être suprême républicain l’Égrégore suprême autonome]. La luminosité est toujours là. L’ego est transitoire. Quand le ‘Je’ est maintenu comme ‘Je’ seul, c’est le Soi ; quand il divague et dit « ceci », c’est l’ego [la saisie] ». (Ramana Maharshi, entretien 363 du 20-2-1937).
Malheureusement, vu l’état des consciences des Terriens, la résistance à cette religion de l’Ein sof de leur GLOUTONNE OMNIPOTENCE INDIFFÉRENCIÉE ET GRÉGARISME NOMMÉE : « LAÏCITÉ », « ÉGALITÉ », « DÉMOCRATIE », « FRATERNITÉ », « LIBERTÉ », « VALEUR », « CITOYEN », TOUS ÉLÉMENTS DE L’ÉGLISE RÉPUBLICAINE MONDIALISTE SURTOUT ANGLO-AMÉRICAINE, ne peut que passer par la violence comme jamais l’histoire humaine n’en a connu.
SAUF, SAUF, si un Miracle est encore possible à nostre époque tueuse de Miracles, à cause de la laïcité-technologie marchande en croyance du corps donc de l’histoire ou de la mise en valeur du temps et de la consommation en utilitarisme à mort….
Cependant, le scribe de cette page peut écrire que le Néolithique qui aboutit au capitalisme et à l’État et à l’idolâtrie marchande né à un moment périra bientôt inévitablement à un autre.

Notes.
1. Androgyne, Androgynisme au sens de la loi de succion : PLAIRE, ATTACHER, la déesse Vénus vulgaire, fille de Zeus et déesse de l’amour corporel que Platon et d’autres distinguent de la Vénus Uranie, plus ancienne, qui préside à l’astrologie. UTILITARISME : EXPLOITER LE « BEAU », LE « JOLI » ou « l’IDÉAL », LE WINNERISME, C’EST-À DIRE CE QUI SE VEND, CE QUI ENGENDRE LE BESOIN, LA LOI DE SUCCION, telle est d’ailleurs la loi de l’art actuel totalement lié au capital.
Qui n’a pas entendu son grand-père ou arrière grand-père parler de « sa moitié » en parlant de sa femme ? Relent de fond d’androgyna issu des Anciens Grecs, comme si la médaille avait deux côtés….
Le dogme de l’androgynisme naît à Troie et a rayonné sur tout le monde antique.
Et QU’EST-CE QUE LE MONOTHÉISME DES HÉBREUX-JUIFS, SI CE N’EST LA « FORME » D’UN DIEU ANDROGYNE ?
Et QU’EST-CE QUE LE PROTESTANTISME PAR RAPPORT AU MOSAÏSME ? LE JUDAÏSME EST DU PROTESTANTISME AVANT L’HEURE, C’EST-À-DIRE UNE LANGUE QUI AVAIT CESSÉ D’ÊTRE COMPRISE ET QUI A FAIT PRÉDOMINER L’ÉLÉMENT BOURGEOIS ET MARCHAND SUR LES CLASSES SACERDOTALES ET MILITAIRES.
Les Juifs revinrent de Babylone et restèrent ce qu’ils sont toujours à ce hui : usuriers ou banquiers, économistes, analystes, marchands et échangistes républicains, ainsi ils rapportèrent du fond de leur Arche d’Alliance républicaine en « vivre ensemble » LE DIABLE QUI OBÉIT À LA LOI DE SUCCION NOMMÉE « COMMANDEMENTS », et de nos jours « Droits de l’Homme », soit : ORGANISER (sens de foutre le chaos partout sous prétexte du « Mieux », ou d’A-méliorer la Nature : la rendre meilleure, comme le transhumanisme…). Le genrisme n’est qu’une opinion « moderne » de plus suivant la logique de cette diversité marchande où on choisit son corps-sexe comme on choisit la couleur de ses chaussettes.

Les Juifs revinrent de Babylone pour plus proche finalement jeter les bases (financières) du fondement de l’Angleterre américaine et angliciste ; tous en vinrent à adopter le langage de la démocratie des Anciens Grecs, et cependant il n’est pas un pays au monde où fait rage l’individualisme et les distinctions personnelles nommées « melting pot » : une écharpe de maire, un uniforme de préfet, un titre de colonel ou d’amiral même sur un homme qui se croit une femme, n’importe quelle chiffon ou ruban atteste que le citoyen « Truc » ou Monsieur John Doe plane au-dessus de l’égalitarisme judéo-maçonnique spéculatif républicain français, et est l’objet d’une respectueuse loi de succion qui s’élève en un véritable fétichisme.
En fait, il n’y a de preuve plus saisissable que les prétentions à l’égalitarisme, ici-bas, et à l’état de veille, n’ont d’autre cause que cette incompatible et incorrigible vanité personnelle liée à la vulgaire loi de succion dans la grande masse des peuples droits de l’hommisés et marqués désormais du signe du QR code.
Suite à l’abolition de tout espèce de titre de noblesse (3) mais de toute espèce de nom, dans cette INDISTINCTION MONDIALISÉE ET COMMERÇANTE où tout se résume en nombres, ceux qui sont désignés par nombres ou QR code regardent du haut en bas avec un incommensurable mépris ceux dont les numéros forment des centaines et des milles, et maintenant par des suites de zéros et de uns de l’informe-atique.
Et lorsque le numéro 514 lutte désespérément pour prouver qu’il vaut autant que le numéro 26, et que de l’autre il vaut infiniment plus que le numéro 514.000, on voit ce que nous voyons tous les jours en France covidienne et de « guerre en Ukraine », c’est-à-dire le « nec-plus-ultra » du snobisme, bref, la simple dualité WINNERS-LOSERS.

Le Diable ou Méphistophélès : le nom androgyne de cet organisateur d’ordre-chaotique se compose de grec méphistos (infecte), et ôphélès (utile, pratique). Ainsi on comprendra mieux le sens de la conférence de Jiddu Krishnamurti donnée à Omen en 1929, où il expliquait que « La Vérité est un pays sans chemin ».
« Peut-être avez-vous souvenir de cette histoire du diable et de son ami : ils marchaient dans la rue quand ils virent devant eux un homme se baisser pour ramasser quelque chose et le mettre dans sa poche. L’ami dit au diable : « Qu’est ce que cet homme vient de ramasser ? » « Un petit bout de Vérité », répondit le diable. « Mauvaise affaire pour vous, alors ! », remarqua l’ami. « Oh, pas du tout, répliqua le diable, je vais l’aider à l’organiser ! »
Je maintiens que la vérité est un pays sans chemin que vous ne pouvez l’approcher par aucune route, quelle quelle soit : aucune religion, aucune secte. Tel est mon point de vue, et j’y adhère d’une façon absolue et inconditionnelle. La vérité étant illimitée, inconditionnée, ne peut être approchée par quelque sentier que ce soit, elle ne peut pas être organisée on ne devrait pas non plus créer des organisations qui conduisent ou forcent les hommes à suivre un chemin particulier. Si vous comprenez bien cela dès le début, vous verrez à quel point il est impossible d’organiser une croyance ». Maintenant les banques organisent la croyance et la confiance (en elles, qui s'appelaient ”Marchands de confiance”)...

L’ANDROGYNISME SE RETROUVE NON SEULEMENT DANS LE PHÉNOMÈNE ÉLECTRIQUE MAIS SURTOUT DANS L’INFORME-ATIQUE et en conséquence dans les mathématiques : ZÉRO ET UN SE COMPORTE COMME S’ILS ÉTAIENT DE VÉRITABLE SEXE DANS LA CROYANCE AU CORPS, alors il ne faut pas s’étonner de le retrouver dans la mode du LGBTQIAisme.


LE BOURGEOIS, LE CONSOMMATEUR AIME L’ARGENT (il joue aux loteries de la Française des Jeux) ET LA LUXURE (le plaisir en général puisqu’il est devenu le roi depuis 1789), ET IL REDOUTE LA MORT (d’où l’ingénierie socialo-politique du covidisme et de ses injections-injonctions depuis 2020…), IL AIME ÉVIDEMMENT LA POLICE POUR PROTÉGER SES « BIENS » ET SA TRANQUILLITÉ ET POLICE QUE BIEN-SÛR IL INCARNE PAR LA-MÊME EN SES RÉSEAUX DANS L’UNIQUE PERSONNAGE : LE DIABLE QUI ORGANISE, CONSTRUIT, FAIT DES LOIS, ADMINISTRE, ÉTANT L’EMPEREUR OU LE POUVOIR EXÉCUTIF DE CE MONDE.

Le Diable est une parodie de l’Éros de Platon, et la tradition chrétienne en a fait le SERPENT-LOI DE SUCCION : CRÉER UN BESOIN IRRÉSISTIBLE. Or le Serpent occupait une grande place dans toutes les traditions antiques, y compris chez Moïse, puisque ce prophète donna à adorer aux Hébreux le serpent Nashtan (le bronze, serpent d’airain ou Nehustan, Nombres 21,8-9, et MÉTAL ANDROGYNE composé de cuivre, le dur ou mâle ”nash”, et de l’étain représentant le féminin ”tan”. Nash et tan se nomment en étrusque ”nesa” et ”thana” et se retrouvent enroulés isolément autour du CADUCÉE DE L’ANDROGYNE MERCURE, sous la forme naturelle de la couleuvre et de la vipère).
Dans l’Ancien Testament les Séraphins ou Serpents formaient tout une milice androgyne céleste. Ce fut donc le Séraphin qui donna le conseil à Ève de cueillir le FRUIT DE L’ARBRE DE VIE, conseil naturel puisqu’Il était lui-même l’osmose de la Vie et de la Mort ; à ce moment là le Séraphin n’était pas encore le « terroriste », le méchant, mais plus tard il devint la double nature de l’androgyne (commencement de la dualité corporelle ou spatio-temporel) et le concept chrétien a suivi la vieille dualité. Le Serpent qui s’enroule autour de l’Arbre de Vie est ainsi un Séraphin. L’androgynisme fut maintenu pendant tout le Moyen-Âge, voir à ce propos le conte de Jacques Cazotte : Le Diable amoureux (paru en 1772 et avant le premier Faust qui en est une imitation par Gœthe, puis repris par le fondateur des droits d’auteurs : Beaumarchais, et son Lucifer dans son Chérubin du Mariage de Figaro, un symbolisme des perruques poudrées….
SÉRAPHIN : signifie ”le brûlant” (comme le Dragon) ; il y a là une corrélation avec Shiva : la fonction de dissolution et de destruction, lequel est le transformateur des êtres, Il est un rôle central dans l’existence du Maharshi. « Brûler » = transformer, cuire un aliment le transforme…. Et question « cuisson » les Hébreux avec leur HOLOCAUSTE en connaissaient un rayon… (Voir aussi la page Nous, Terriens et Voyageurs).
POURQUOI LE SERPENT-SÉRAPHIN EST-IL DEVENU ANDROGYNE DE FAÇON UTILITAIRE OU MATÉRIALISTE ? Car le Séraphin ou le Serpent étant à rapprocher de Shiva et des Dieux au TRIDENT : Neptune, Satan, Chalchiutlicue et Shiva jusqu’au Caducée d’Hermès forment le E de En-tier (sur les 3 plans physique, affectif et mental, Terre-Air-Eau du pivot Feu ou I du Point Focal sur la planète TER (3). Ce I ou feu, LA SHAKTI (pouvoir, énergie, Mère divine personnifiant le pouvoir latent de Shiva, et aussi Conscience).
SÉRAPHIN = LA DESTRUCTION DU MENTAL PAR LE FEU DE L’ÉVEIL, c’est la définition du mot PANique, PAN le TOUT. Accompagnée de la CENDRE SACRÉE (la vibhûti qui symbolise Shiva) et de la poudre de Vermillon (kumkuma) : la Shakti (la Conscience). « La vibhûti se présente sous deux aspects : la para-vibhûti et l’apara-vibhûti. Les cendres sacrées appartiennent au dernier. Le para est ce qui reste une fois que toute la gangue a été brûlée par le feu de la Réalisation. C’est l’Être absolu. (Ramana Maharshi, entretien 89 du 6-11-1935).
Bref, on tourne autour des EAUX PRIMORDIALES….

JÉHOVAH (LE MAUVAIS car il est double) ET SON POLICIER : MÉPHISTOPHÉLÈS, DIEUX DES JUIFS ET DES PROTESTANTS (c’est-à-dire des commerçants) QUI N’ONT QUE FAIRE LÀ OÙ ON NE TROUVE NI BOURSE, NI LOI, NI PRISON, LE FAUSTISME DE l’UTILITARISME JUIVO-PROTESTANT ET DES ATOMES DE DISPONIBILITÉ (le progrès, l’évolutionnisme…).

2. Voici par exemple ce que prophétise Herbert George Wells, dans L’Europe de demain, page 15 :

« S’il doit y avoir une paix mondiale permanente, il est clair qu’il faut qu’il y ait quelque moyen permanent de régler les différends entre puissances et nations qui, sans cela, seraient en guerre. C’est-à-dire qu’il faut qu’il y ait quelque pouvoir supérieur [l’Ein sof républicain ou des Droits de l’Homme ?], quelque arbitrage, une cour suprême d’un genre quelconque [sic], un pouvoir exécutif universellement reconnu [sic] en sus et au-dessus des gouvernements séparés qui existent dans le monde à l’heure actuelle. Cela ne veut pas dire que ces gouvernements aient à disparaître, ni qu’il faille renoncer à l’idée de « nationalité », ni rien d’aussi radical. Mais cela veut dire que tous ces gouvernements auront à abandonner presque autant de leur autonomie que les États autonomes qui constituent les États-Unis d’Amérique en ont abandonné au Gouvernement fédéral ; si leur unification doit être autre chose qu’un vain mot, ils auront à déléguer à qui de droit le contrôle de leurs relations internationales, dans des proportions que peu d’esprits sont préparés à concevoir à l’heure actuelle ».
Nous avons là déjà le projet actuel de cette république ”universelle” en forme de religion avec une Gouvernance mondiale et ses Grands Prêtres… Un « Super-Gouvernement » comme l’appelle page 18 H.G. Wells. Il écrit même que le « tribunal de la Haye constitue vraisemblablement le germe de cette autorité toute-puissante et de cette cour suprême qu’exige la paix du monde », tout en précisant que ce tribunal n’est qu’une machine (”légale”) qu’il faut programmer (il faut des gens pour la mettre en mouvement, elle n’a pas d’initiative)….
Par ailleurs page 20 il a raison d’attaquer Théodose 1er qui imposa son Église de Rome et papale à l’Europe pour en faire une religion d’État ! Par conséquence Wells ne voit pas du tout l’Église de Rome prendre « franchement la tête dans cette tâche formidable d’organiser et de rendre efficace le vaste désir de paix du monde ».
RAPPEL : Dans la mode du courant darwiniste du 19è siècle Herbert George Wells se tourne vers le socialisme de la récente Fabian Society et inévitablement vers les opinions de la judéo-maçonnerie spéculative née à Londres dans une taverne en 1717.

L’être humain dans sa croyance à l’ego se construit ses opinions à la façon d'un carrelage (symbolisé dans les loges judéo-maçonniques spéculatives pas un carrelage de carreaux noirs et blancs). Ainsi, il ne peut y avoir de paix, car il ne peut y avoir deux humains qui puissent vivre la même série d'événements, ou vivre le même événement de façon identique. Chaque humain est dans sa façon de penser, de sentir, un résultat de la vie, de sa vie à lui. Il est fabriqué, moulé dans un cadre sensible, héréditaire, social et temporel. Il est conditionné. Il n'est pas libre. Ce qu'il appelle liberté, ce n'est que le droit de rechercher les conditionnements qui l'arrangent le mieux, dont il jouit le plus, ce qui n'est pas possible sans contredire ce qui convient à l'Autre. Résultat : de perpétuels conflits entre individus, classes ou nations.

DEUX SOLUTIONS OU CHOIX POSSIBLES :
1 - Unifier, standardiser les conditionnements qu'impose la vie temporelle, le contact et le dialogue dans le temps historique, des sens et de la matière. C'est la solution recherchée, par la dialectique matérialiste et historique du Communisme marxiste et de l’actuel régime républicain et sa démocratie marchande, libéralisme en son ”graal” pouvoir d’achat.
L'humain doit s'y plonger, jusqu'à y perdre conscience de ses conditionnements. Mais s'il s'y perd, il n'est plus, à la limite, capable de raisonner et donc de se poser comme sujet face aux conditionnements extérieurs imposés par la vie sensible devenue de plus en plus aliénante (covidisme, guerre en Ukraine, réchauffisme, et ismes de toutes sortes).
Voilà pourquoi PLUS QUE JAMAIS DANS L’HISTOIRE HUMAINE RÉCENTE, CELLE DES 10.000 ANS DE LA VOIE DE L’AGRICULTURE DU NÉOLITHIQUE, L’HUMAIN DOIT CONSENTIR S’IL VEUT VRAIMENT VIVRE À UN RETOURNEMENT = il doit se dé-couvrir l’objet du sujet qui lui impose sa volonté : l’histoire ou la mise en valeur du temps et donc de la matière : « QUI SUIS-JE ? », équivalent de l'OUVRIER l’ouverture ou du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi) vers : « Le Royaume des Cieux est en Vous ». C’est une ascèse inverse de celle de la communauté monastique ou citoyeniste de la présente OMNIPOTENCE INDIFFÉRENCIÉE NOMMÉE « LAÏCITÉ », « ÉGALITÉ », « DÉMOCRATIE », « FRATERNITÉ », « LIBERTÉ », « VALEUR »…. Opposé au Retournement de la Lumière, le ‘Je’-‘Je’.
Cependant, en l’état actuel par le fonctionnement unique de la conscience relativiste, il existe de gros ego : les chefs, les cancéreux du Pour-Voir qui décident du conditionnement des masses humaines, c’est-dire des théoriciens de la dialectique matérialiste historique et mercantile, et idéalement, il ne doit rester qu’un petit groupe de ces cancéreux du Pour-Voir qui décident du DRESSAGE PSYCHOLOGIQUE DES MASSES, conçues comme un total informatique des individus rendus INDIFFÉRENCIÉS, GROUPÉS COMME DES PATATES DANS UN SAC : LE « VIVRE ENSEMBLE », (le grégaire, les réseaux, le mondialisme).
L’idéal républicain est la dictature d’un seul qui « dit la vérité du jour et ce que sera celle du lendemain », qui décide du dogme à tout instant remis en question. C'est Sisyphe qui pousse son rocher. C'est un Pape et une Église à l'envers, en creux.

2 - Demander à chaque « consommateur » de discipliner ses appétits vitaux dans le monde sensible. Cela implique qu'il y ait en son âme au moins deux parts autonomes : l'une qui se nourrit de la vie sensible dans ses rapports avec le monde extérieur et l'autre qui puisse, au moins virtuellement, dominer la première, comme le sujet maîtrise l'objet. Une volonté maîtresse de la part sensible, ce qui implique que, en tant que sujet, elle domine la matière, le temps et l'espace qui lui sont objets, et que le sujet dont elle se sent l'objet est lui aussi au-delà de tout existant, un sujet qui Est, mais n'est pas existant, parce qu'étant au-delà de l'espace-temps-mouvement ; cet au-delà étant le Soi ou la Conscience infinie. Et description de la Réalisation du ‘Je’-‘Je’ (qui évidemment n’est pas la « décroissance » demandée aux Français par macron suite à « la guerre en Ukraine » engendrant les problèmes européens et autres du ventre et du bas-ventre !).

3. NOBLE signifie, en anglais « gentle » (gentil en français, dont l’anglais a fait ”gentle”, et n’a conservé dans notre langue rien de tout ce qui peut se rapporter au latin ”gens”, ”race noble et tout ce qui concerne la noblesse de race”. C’est ainsi dans ce sens qu’il faut entendre le sens du « Noble sauvage » (ou originel, le Primitif) TEL LE NOBLE SAVOIR, LA SCIENCE (au sens véritable et spirituel et temporel sans distinction). Ici la France après avoir été la nation la plus aristocratique de l’Europe, a perdu complètement le sens de tout ce qui se rapporte au sens du mot NOBLE, et les mots et les idées ont disparu, ça se ressent actuellement sinistrement dans la vie de tous les jours des citoyenisés français…
 
 

Dernière mise à jour : 22-07-2022 05:09

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