Actuelle horrible indifférenciation entre
homme et femme caricaturant les Eaux primordiales,
selon le fondamental paradoxe ou la
FAUSSE SPÉCIALISATION
telle par exemple le
« mariage pour tous » et le récent
système social français qui ne distingue plus la
mère et le père mais qui les identifie en
« parent 1 »
et « parent 2 », reflet de cette indistinction ou
indifférenciation de ce monde numérique mécaniste,
artificiel, digital, qui numérise tout :
dans cette fausse spécialisation où n’existe aucun
parent sauf sous l’indistinction chiffrée, cachée,
produisant L’UNIFORMITÉ, par là même cette
uniformité ne connaît pas de limites : on peut
diviser sans fin un corps indifférencié, et c’est
le reflet actuel de l’idolâtrie de la marchandise et
de l’évolutionnisme productiviste, utilitariste,
dont la CLÉ fait pousser simultanément l’individualisme
ou l’ego et le collectivisme de l’uniformité où ne doit
dépasser aucune individualité :
« Personne ne devrait
se sentir exclu », exprime une députée LREM
Jennifer de Temmerman (à propos d’
« homoparentalité »
là encore symptôme de cette uniformisation sociale).
Et c’est le propre de l’organisation du CHAOS par
l’humain lui-même.
L’indifférenciation actuelle et fabriquée est une
caricature des Eaux Primordiales : une infâme GLUE
DU GRÉGARISME DE LA GLÈBE ADAMIQUE NUMÉRIQUE et
communautaire : UNE COLLE FORTE, UN CORPS FORT,
TRANSHUMANISTÉ !
Régime républicain et du capital =
suprême individualisme du consommateur et
suprême collectivisme grégaire amplifié par
le tout connecté technologique en une dualité
qui forme une grande instabilité sociale humaine
appelée « paix » (la facilité de ce monde mécanisé)
qui peut exploser à tous les moments.
L’individualisme fut poussé à son extrême par
l’oligarchie grecque athénienne, cela se reflète
jusque dans sa statuaire.
L’androgynisme allait d’ailleurs fourbir les
INTERMÉDIAIRES, LES SPÉCIALISTES, ceux qui
sont entre les Dieux et les mortels…
Les GÉNIES sont intermédiaires entre les
Dieux et les mortels…
Avec le régime républicain, c’est
RICHESSE COLLECTIVE (du socialisme et son
”Vivre ensemble”) et pauvreté personnelle
(au sens de l’ignorance et de toute cette culture
du tout cuite et du ”tout tout de suite” par
le tous connectés nouvelle religion techno.).
Autant d’application de cette ci-vile-isation
de l’indistinction.
Bref, les castes sacerdotales de l’antiquité
qui déjà voulaient déjà soumettre l’univers et
qui ainsi le voyaient comme extérieur à elles et
déjà gangrenéee par l’argent N’ONT PAS résolu
le dilemme Moi-individuel/Moi-Collectif,
sinon, NOUS SERIONS TOUS DANS LA PAIX ET LA
FÉLICITÉ DEPUIS DES SIÈCLES et le capitalisme
ni l’État ne seraient nés…
POURQUOI ?
Parce que les classes sacerdotales furent
dépossédées par les classes marchandes du
mosaïsme : celle qui va de Moïse à Salomon et
l’autre de Salomon à l’ère chrétienne jusqu’à ce hui.
NOUS SOMMES EN GUERRE DE CIVILISATIONS :
LES HÉBREUX-JUIFS CONTRE LES PAÏNS OU
« NOBLES SAUVAGES ».
Retour sur l’ANDROGYNISME abordé succinctement sur
la page précédente et qui fait la partie complètement de l’indistinction égalitariste de cette religion républicaine de l’
Ein sof.
ANDROGYNISME = THÉOLOGIE : tout l’art des Anciens Grecs en témoigne et a pour mission de transcrire les dogmes ; mais il est aisé de préciser en général, que l’art de tout ces temps du Néolithique et d’une vie de sédentaire fait que l’idéal du
« beau » ne peut être complètement féminin ni complètement masculin, car l’un verse trop facilement dans une sorte d’apesanteur et l’autre dans son contraire la lourdeur et la vulgarité. Évidemment avec le LGBTQIAisme on est très très très loin de lois de l’androgynisme dans l’art, et de la PUBERTÉ DU JEUNE PÂTRE GREC, L’ADOLESCENT DES VISONS DU PROPHÈTE, adolescent qui symbolise la non-incarnation ! QUI SYMBOLISE
L’AMOUR IMHOTEPIQUE, proche du
Christ-AL, proche du
NON-AGIR LE WOU-WEI OU WUWÉI : LE "NON-AGIR", ou plus vulgairement : le
"LÂCHER-PRISE". Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement.
AMOUR IMHOTEPIQUE = UNION MYSTIQUE (copié par Platon, Socrate et autres Anciens Grecs en une Variation introduisant l’idéal de deux âmes androgynes. Par la suite la religion abrahamiste telle le catholicisme et l’islamisme crièrent à la catastrophe parce que le sens de ce qu’ils appelaient
« famille » n’avait plus court, ce qui devait produire toute la palanquée de hiérarchies ascétiques de célibataires qui peuplent encore de nos jours les couvents catholiques et les
tékés musulmans.
Platon est ainsi l’inventeur de l’ASCÉTISME : au sens où la croyance au corps fait fureur, et donc que son effet est à soumettre par l’artifice appelé
« ascétisme » (qui concerne uniquement le Thème
”morale” et de ce fait la seule esthétique de vie genre
”Commandements” de Moïse et la suite les
”Droits de l’Homme”,
CE QUI S’APPELLE LA POLITIQUE DE L’ÉTAT, SOIT LE PLUS PUISSANT INSTRUMENT DE DOMINATION : L’ÉROS, LA VULGAIRE LOI DE SUCCION PAR ESSENCE).
Platon était fils de la culotte des bourgeois de son temps : l’aristocratie cancéreuse du pouvoir qui avait été dépossédée de son état de WINNER par les dernières couches helléniques venues de Perse avec le culte de Zeus et les divinités homériques ou indo-persanes.
Paton est né déjà au temps de LA PLUS LARGE EXPLOITATION DE SON PROCHAIN ET PLEINE MATURITÉ DE LA LOI DE SUCCION (le
« beau » est une loi de succion… tout comme son contraire la laideur. Bref,
L’IDENTIFICATION OU LA FABRICATION DE NOM-LA-FORME EST LOI DE SUCCION). L’oligarchie athénienne, ce peuple de CITOYENS-ROIS, faisaient en commandite ce que les autocraties asiatiatiques de ce temps réservaient à un seul homme ou plus rarement à une seule femme :
ELLE SE FAISAIT SERVIR. ON À LA L’ORIGINE GRECQUE DE LA DÉMOCRATIE ACTUELLE : SE FAIRE SERVIR OU CONSOMMER !!! Évidemment cette oligarchie ou
« démocratie » était assez douce de moeurs par rapport à l’âpre rusticité romaine et la situation de l’esclave romain. Le BANQUET de Paton illustre cette démocratie oligarchique, qui s’épanouiera au milieu du 19è siècle actuel sous Napoléon III avec Haussmann et la construction de ses immeubles bourgeois si caractéristique de l’osmose pyramidale hiérarchique DOMESTIQUES-MAÎTRES, que l’on retrouve dans le film
SÉRAPHINE, cette femme qui servait comme domestique des maîtres et qui peignait pour ses loisirs des toiles d’une beauté étonnante un peu inquiétante. Sous Haussmann fleurissent les
BAGNES POUR ENFANTS, GRAND SYMPTÔME DE L’ARRIVÉ À MATURITÉ DU CAPITALISME.
L’AMOUR IMHOTEPIQUE est identique à l’Amour christique AVANT sa chute dans une christologie incarnationiste. Le passage du type de
Christus juvenis (le jeune pâtre ou le jeune patricien) au type à maturité virile tel celui peint sur le plafond de la chapelle sixtine et figurant
« Dieu » tel que le postulait cette Église impériale édictée par Théodose 1er qui allait amener le socialisme ou le
« vivre ensemble » actuel et consommateur ou utilisateur. Pour que cela se réalise il fallait que fût perdu le sens des événements théophaniques provenant d’un
« Dieu céleste » (au sens d’une non-dualité dedans-dehors). Dès lors, tout le sens de la Réalisation du Soi fut détourné en un Christ de chair ou matérialiste et ses souffrances qui ne pouvait qu’aboutir entre autres à la mode du LGBTQIAisme ; il ne pouvait qu’y avoir CONFUSION ANTHROPOLOGIQUE avec l’image intérieure du Christ ou Cœur, le Soi, le
Centrum Centri, la Vérité et la forme idéale sous laquelle l’être humain s’apparait à lui-même ; de nos jours en
« changeant de sexe » certains croient peut-être dans leur caricature se rapprocher inconsciemment de l’idéal christique…
Sur les bords du Nil, là où le vêtement est un luxe que les deux sexes ne se permettent que les jours de fête, la moitié du genre humain ayant dépassé la puberté est devenu la plus laide dès qu’elle se trouve avoir dépassé l’âge où les deux sexes semblent être confondus, soit la puberté. la force virile est une beauté qui peut survire à la jeunesse comme en témoigne la représentation de Dieu vieillard sur le plafond de la chapelle sixtine, mais la grâce féminine est une fleur qui se flétrie dès qu’elle s’épanouie, sauf, parfois, au niveau d’un visage féminin étonnamment émouvant dans sa vieillesse. Évidemment la maternité est très respectable, mais l’art grec s’est empressé de draper le corps de la femme à l’âge d’être mère. Mais l’art à partir du Néolithique nécessairement ne sert qu’à PLAIRE.
Il n’existe point d’idéal du jeunisme en dehors de l’androgyne, et nostre époque de technologie transhumaniste voulant rendre l’être humain
« éternel » ici-bas ne déroge pas à la règle chez les LGBTQIAisme qui à n’en pas douter voudraient vivre
« éternellement » ; la symbolique de l’Arc-en-Ciel le montrer qui est SENTIER entre ici-bas et le Ciel, comme FRANCHIR LE PONT grâce au Pontife, celui qui fait passer le Pont ce Lieu de passage, le
« Gate gate… » : ÊTRE INITIÉ, fonction universelle de l’Arc-en-Ciel que l’on retrouve chez les Pygmées, en Indonésie, au Japon, etc.
Ainsi les LGBTQIAisme se voudraient être initiés, WINNERS, par rapport aux profanes restés LOSERS… Les rubans utilisés par les chamans bouriates portent le nom d’Arc-en-Ciel et symbolisent l’ascension du chaman au ciel.
L’
Ancien Testament fait de l’Arc-en-Ciel la matérialisation de l’alliance (
Genèse 9, 12-17)
L’Arc-en-Ciel est aussi annonciateur d’heureux événements lié à la rénovation cyclique,
mais il peut aussi préluder à des troubles dans l’harmonie de l’Univers en prenant une signification catastrophique : tout symbole est double, c’est l’autre face, la gauche ou nocturne…
L’art grec a fondu l’adolescence des deux sexes dans un seul type : le jeunisme, auquel il opposait le type viril ; on peut s’apercevoir que l’art égyptien et autres arts hiératiques ou de choses sacrés en font autant.
Depuis l’époque de la Renaissance en Europe, avec la disparition progressive de la Foi, la statuaire se fait le pédantisme anatomique de la Renaissance, où l’on commence à voir des
« microbes » dans le microscope nouvellement construit ; depuis cette époque la statuaire délaissant les dimensions de l’idéal, a cessé d’adorer le
« beau » pour explorer le « joli » (le
kawaii ou le
« mignon » en japonais contemporain comme les
Pokémon commerciaux), qui est plus vendeur, et le
« joli » devenu l’unique argument de vente de l’art contemporain et même le moche se vend aussi bien et parfois mieux que le
« joli » tel
l’urinoir de Marcel Duchamp, objet qui n’a plus rien à voir avec le sacré, l’idéal de vie !
« La » Vénus de Milo est-elle un travelo ?
Le port des épaules, le buste sans grâce, la lourdeur de la draperie et des pieds, la sécheresse des jambes tout ce bas appartient à une divinité masculine du décroître pour par la suite de mise en valeur du temps devenir
« déesse de la croissance ».
L’art représentant la vieillesse n’est pas encore né ! Probablement que ce n’est pas vendeur…
L’art grec c’est le jeunisme, le transhumanisme avant l’heure en son caractère essentiellement androgyne.
En résumé, l’art grec et de l’Égypte ancienne NE CONCERNE QUE L’APRÈS-VIE : toute leur courte vie les Anciens Égyptien la passait à préparer leur Après-Vie. Il n’en est bien-sûr pas de même avec le jeunisme du LGBTQIAisme uniquement consommateur.
L’androgynisme actuel est considéré par le LGBTQIAisme comme une
« libération » : CELLE DE CONSOMMER COMME DE TOUT MAINTENANT ; en 1789 le paysan devenait citoyen et roi en même temps et habitant des villes où l’on consomme des productions du commerce, et le LGBTQIAisme est ce nouveau roi qui consomme encore dans les villes où grouillent les SPÉCIALISTES.
L’androgynisme se retrouve dans la géométrie euclidienne de la ligne droite : le passé et le futur et le présent-androgyne : le mariage mystique d’Adam et Ève.
L’androgynisme va se retrouver jusque sur la TOUR SAINT-JACQUES : les 4 points cardinaux : KRVB : griffes du lion, face de la femme, croupe du taureau et ailes de l’aigle. KRYB ou Krub (chérubin) qui a été comparé au Minotaure assyrien (mais il est un mâle par essence…. même si les ailes peuvent être un symbole de l’androgynisme).
Dans le SPHINX égyptien il manque les ailes-aigle.
Ku-er-ve-be : le Griffon ou Carabas androgyne. Le Dieu à tête carrée de Salomon et de Moïse n’était pas une divinité égyptienne, ni assyrienne, mais une divinité éolienne : PLATON ET MOÏSE avaient puisé à la même source (réf. Grasset d’Orcet :
Œuvres décryptées, vol.2, chapitre
De l’androgynisme dans l’art ancien et moderne, page 55)
Le Dieu carré de Salomon fut à même d’influencer la Trinité chrétienne en y ajoutant la Vierge-Mère qui fait le quatrième terme de l’ancien Dieu carré de Salomon et de Moïse, interprétation très possible et d’après Grasset.
Élohim le Démiurge faiseur du Ciel et de la Terre par les rédacteurs de la Septante, qui firent effectivement DANS LA MISE EN VALEUR DU TEMPS : L’INVENTION DU DEDANS ET DU DEHORS : « IL » SÉPARA LE CIEL ET LA TERRE (les deux termes de l’androgyne d’Aristophane, écrit Grasset, c’est-à-dire la ligne droite passé-futur ; de la même façon qu’Ève est séparé d’Adam).
Élohim qui est l’Éros de Platon (selon Grasset), la loi de succion, le FAISEUR EN FAIRE/FER QUI ROUILLE par essence, celui qui règne sur l’ABÎME (le Trou), donc sur le Dedans et le Dehors ou le Haut et le Bas, ou la collure des solstices, c’est le possiblement mauvais Jéhovah, celui qui se définit lui-même dans le Buisson Ardent ? (Là encore ATTENTION, DEUX ELOHIM POSSIBLE, TOUT SYMBOLE EST DOUBLE ET JAMAIS FIXE… COMME L'AMBIGUÏTÉ DU SACRÉ...). Et c’est aussi là qu’apparaît le problème gigantesque : COMMENT LE PRÉSENT OU L’INSTANT PEUT-IL EXISTER DANS UNE LANGUE DITE À CE HUI : « PRIMITIVE », QUAND LE TEMPS N’ÉTAIT PAS ENCORE UN CONCEPT ET UNE VALEUR, ET QU’AUCUN DIEU N’ÉTAIT ENCORE INVENTÉ ?
DEUX ÉLOHIM, DEUX JÉHOVAH. IMPORTANT, IMPORTANT TOUT SYMBOLE EST DOUBLE : LE DIABLE ET DIEU SONT UN MÊME POUVOIR : celui d’annuler ce qui existe, ou de faire en sorte que ce qui existe n’est pas d’existence : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264, du 20-10-1936). REJOINT TERRIBLEMENT SI TOUT EST CONSCIENCE, Y COMPRIS LES OBJETS EXTÉRIEURS, ET QU’IL N’EXISTE PAS DE CONSCIENCE SANS OBJET, IL DOIT NÉCESSAIREMENT EXISTER LE TROU : CELUI DE LA CONSCIENCE INFINIE…. LE ”MORS ULTIMA LINEA RERUM EST” (Savoir, Pouvoir, Oser, se Taire).
Mais comment cette divinité « carré » ou à quatre points cardinaux est-elle devenu Jéhovah ?
Mais en résumé : PAR LA DÉMOCRATIE : après la dépossession de la caste des lévites puis plus tard de la dynastie de David, tout le monde se fit SPÉCIALISTE et se mit à interpréter les vielles archives nationales. Et comme les prophètes des basses époques étaient aussi commerçants et ouvriers ou laboureurs, ils s’improvisaient comme de nos jours on s’improvise spécialiste. Cela va donner l’
Ancien Testament en un PAMPHLET POLITIQUE qui dépasse de beaucoup les actuels journaleux médiatiques.
Ces robustes
« spécialistes » ont ainsi fabriqué un Dieu colérique, violent, jaloux et rongé par la loi de succion.
C’est le Jéhovah symbole de l’homme politique étatique moderne avant le républicanisme actuel.
IL N’EST PAS DE CONCEPTION THÉOLOGIQUE ET SACRÉ PLUS PAUVRE QUE CELLE DU JÉHOVAH DES HÉBREUX-JUIFS RÉCENTS. Et c’est bien le DIEU DES ARMÉES ET DE LA GENDARMERIE LIÉ À L’INVENTION DE L’ÉTAT, DES MARCHANDISES ET DE L’ARGENT QUI DEVAIT PROTÉGER LA BOURGEOISIE, celle qui en 1789 allait expulser et exterminer la dynastie royale et détruire la puissante caste sacerdotale chrétienne de l’Église de Rome en place depuis Clovis.
Ce Jéhovah là, celui de l’Ein sof républicain, est donc le plus ferme maintien de l’« ordre moral » dans la république française du mosaïsme et du protestantisme.
L’androgynisme réduit à la croyance au corps et à la vulgarité actuelle de la consommation matérialiste du ventre et du bas-ventre est identique au capitalisme : ILS BOUFFENT TOUT !
La peur n’existe pas. Il n’existe que la peur de ce que L’AUTRE - la racine du mal la dualité Dedans-Dehors -, le Dehors peut faire, dire, ou penser. SEULE L’EXISTENCE D’UN AUTRE SUSCITE LA PEUR (dvitîyâd vai bhayam bhavati [BÂU 1, 4-2]), cité par le Maharshi dans l’entretien 650 du 22-3-1939).
Sans l’autre, pas d’androgyne. Dans un TROU il n’y rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir… C’est l’UN-TROU-vable : dans un Trou il n’y a rien à saisir ou à posséder. La vision d’un Dedans et d’un Dehors c’est l’UN-TROU-vable.
Et pour faire du commerce, il faut nécessairement l’existence d’un autre, la fabrication d’un DEHORS, soit se trouver en possession de quelque chose appelée « réalité » ; pour le commerce, ou le social, on parle parfois de « FAIRE SON TROU », là il s’agit de l’artifice du FAIRE/FER (qui rouille inévitablement).
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou Eucharistie
(dans son sens en la croyance au corps ou
attraction ”universelle”].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme,
du Désir, du Sans-Forme, la gloutonnerie
spirituelle].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable,
chapitre V, 14)
Ils sont introuvables pour la raison naturelle
que Nous sommes l’Univers et que la racine du
mal fait SORTIR de l’Univers comme pour
l’examiner et POUR-VOIR comment il
fonctionne : ON SORT DU TROU
POUR EXAMINER LE TROU, et comme dans
un Trou il n’y a rien à voir pas même le Trou :
C’EST LA CHUTE : SORTIR, DEHORS, SAISIR…