Comment pouvez-vous CROIRE à la Réalité avec vos
seuls yeux, et vos autres sens ?
(On ne conceptualise l’imaginable qu’à travers
les cinq sens, et en plus à partir d’un
inconscient collectif)
TRANSPARENCE = AMOUR, GRATUITÉ : [TRESPARENT] [VITRIN] / FLUIDE
Contraire d’opaque.
Traverser, passer au travers. C’est le passage, le Pontife : celui qui fait passer le Pont ou la Stargate.
ÊTRE INITIÉ C’EST LA RÉALISATION DU SOI LA CONSCIENCE INFINIE. Vision qui se réalise sans les béquilles des perceptions du sensible spatio-temporel : le monde des accidents ou attraction
”universelle” (loi de succion), celui du mental qui pour exercer sa fonction trompeuse est astreint par cette loi de succion à n’utiliser que des observations puisées dans le sensible, alors que la Réalisation du Soi porte ses contemplations en un Dialogue Maât, direct.
Ce déplacement des critères de contemplation du bas vers le haut, par un dialogue direct de l’intellect et du EST ou Essence
(1), du CELA, c’est l’
« Initiation ». Ce n’est plus dans les accidents, ou dans les opinions qu’on recherche des critères de jugement, qu’on essaye de deviner comme au travers d’un filigrane, d’un VOILE, ce que sont les EST ou Essences, mais à partir des Essences que sont contemplés les accidents. Être initié, c’est être passé au-delà d’une barrière, d’un pont, d’une gate, et celui qui fait passer le pont, c’est le PONTIFE, ou naguère, le CHAMAN ; mais SEUL L’INITIÉ peut savoir qu’il a passé le pont.
Ce n’est nullement le résultat d’attitudes morales, lesquelles ne sont qu’une esthétique du sentiment en binaire occidental pur-impur nécessairement variable dans la multiplicité indéfinie des situations concrètes, des complexes liés à l’ego et à ses limitations par les accidents du spatio-temporel.
- La Conscience infinie EST la contemplation dans les Essences contemplent les accidents.
- Inversement la conscience relativiste ou
« raison » est cette conscience PROFANE qui prétend déduire des accidents du spatio)-temporel la nature des Essences ; et ce mode de conscience peut conduire, soit à la laïcité mercantile et démocratique, soit à des comportements religieux appuyés sur les seules perceptions et appétits sentimentaux et sociaux, donc tributaires du temporel et des formes d’éducation pour ce qui en décide dans la programmation des cerveaux des masses.
Les deux consciences ont l’objectif de la connaissance DU HAUT ET DU BAS, l’une étant
« ce qui existe » : le spatio-temporel, et l’autre ses Sources : l’Être, l’Essence.
Dans cette recherche, l’initié semble parvenir à l’Origine, pour autant qu’il puisse être atteint puisque cette Origine ou But est le
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi),
lequel ne permet pas le Retour à la Source, donc ON NE SORT PAS DE L’UNIVERS POUR LE VOIR OU POUR, PIRE : L’A-MÉLIORER.
ÊTRE INITIÉ = ÉVEIL : il a passé le pont, il est « con-né : naître avec l’Esprit. Le contraire de l’initié étant le profane il en est encore à chercher, condamné à l’opinion, condamné à la loi de succion : CHOISIR, PESER LE POUR EN LE CONTRE dans l’indéfinité des opinions possibles, laïques ou religieuses, et il a seulement la culture.
Le Gate gate ou Pont correspond à
l’Arbre de Vie, dont le sommet touche le Ciel et à la racine jaillit la Source.
Par exemple chez les
Ossètes, « le mort, après avoir pris congé des siens, saute à cheval ». Après des difficultés, il arrive à une rivière sur laquelle est jetée, en guise de pont, une simple poutre. Sous les pas de celui qui devient un Réalisé la poutre s’élargit, se fortifie et devient un magnifique pont. Cette symbolique du pont viendrait du
mazdéisme, « comme le pont étroit des Arméniens, le pont de cheveu des Géorgiens. Toutes ces poutres, cheveux, etc., ont la propriété de s’élargir magnifiquement devant l’âme du juste et de s’amincir pour l’âme du coupable à l’épaisseur d’une lame d’épée » (cité par Mircea Eliade,
Le chamanisme et les techniques archaïques de l’extase, page 311 en note de bas de page).
D’autre part il y a une ressemblance entre les conceptions de l’Après-Vie des Caucasiens et celles des Iraniens, selon Mircea Eliade. « En effet, le
Pont de Chinvat joue un rôle déterminant dans la mythologie funéraire iranienne : son passage commande en quelque sorte la destinée de l’âme, et ce passage est une épreuve difficile, équivalant, pour la structure, aux épreuves initiatiques : le Pont de Chinvat est
”comme une poutre à plusieurs passages ; pour les justes [Éveillés],
il est large de neuf longueurs de lance, pour les impies [les ignorants], il est étroit comme une lame de rasoir […]. Le Pont de Chinvat se trouve au
”Centre du Monde”. Au
”milieu de la Terre”, et
”haut de 800 mesures d’hommes” […] s’élève Kakâd-i-Dâitîk, le
”Pic du Jugement”, et le Pont de Chinvat se dresse jusqu’à Albûrz du Kakâd-i-Dâitîk ; ce qui revient à dire que le pont qui relie, dans le
”Centre”, la Terre au Ciel. Sous le Pont de Chinvat s’ouvre le trou de l’Enfer […] : la tradition le représente comme une ”continuation d’Albûrz ». (Eliade, Chamanisme, page 312).
Bref, c’est la représentation classique de l’Arbre de Vie reliant les trois régions par l’Axe central : Pilier, Arbre, Pont, etc. Les chamans circulent librement entre les trois zones ; les trépassés doivent traverser un point au cours de leur voyage vers l’Après-Vie. Évidemment qui dit passage d’une porte ou d’un point dit GARDIEN DE CETTE PORTE OU DE CE PONT ; le Gardien ou Dragon qui s’efforce de faire chuter le passeur ; Dragon pouvant aussi bien d’un Instant à l’Autre se transformer en Dragon protecteur (qui peut être invoqué à cet effet par les parents du mort).
Le pont ou la porte n’est pas seulement le passage des morts, il est le chemin des EXTATIQUES ou des RÉALISÉS, des ÉVEILLÉS. C’est en extase qu’
Ardâ Virâf traverse le Pont de Chinvat, au cours de son voyage mystique.
Extase chamanique aussi provoquée par des fumées de chanvre sur des pierres chaudes, phénomène connu dans l’Iran ancien ; extase et ivresse provoquées par la fumée de chanvre étaient connus des Scythes. « Comme nous allons le voir, l’usage du chanvre à des fins extatiques [et non
« récréatives » comme maintenant de ce temps du salariat et des vacances] est également attesté chez les Iraniens, et c’est le nom iranien du chanvre (bangha) qui sert à désigner l’ivresse mystique en Asie centrale et septentrionale » (écrit Eliade page 311).
« Ce qui est sûr, c’est qu’Ardâ Virâf eut sa vision après avoir absorbé un breuvage de vin et de
”narcotique de Vistesp” qui l’endormit pour sept jours et sept nuits. Son sommeil ressemble plutôt aux transes des chamans car, nous dit l’Ardâ Virâf, ”l’âme de Virâf quitta son corps et alla au Pont de Chinvat, sur la Kakâd-i-Dâitîk. Au bout de sept jours, elle revint et rentra dans son corps […] Virâf, comme Dante, visita tous les lieux du Paradis et des Enfers mazdéens, assista aux tourments des impies et vit les récompenses des justes ». Bref, et hélas, toujours la même punition des
« pécheurs » et le MARCHANDAGE PAR LA RÉCOMPENSE LOI DE SUCCION EN DUALITÉ PUR-IMPUR ET DE LEURS AYATOLLAHS ENTURBANNÉS…
Le nom iranien du chanvre,
bangha, en est venu à désigner dans nombre de langues ouraniennes, aussi bien le champignon chamanique : acaricus muscarius (moyen d’intoxication avant et pendant la séance extatique) que l’ivresse simple.
« Ces constatations prouvent que le prestige magico-religieux de l’intoxication à fin extatique est d’origine iranienne », écrit Eliade dans le Chamanisme.
Évidemment l’extase provoquée artificiellement prouve la décadence du chamanisme pur. On s’efforce alors d’imiter par l’ivresse narcotique un état naguère spirituel qu’on n’est plus capable d’atteindre autrement. Décadence ou, il faut ajouter, la vulgarisation d’une technique mystique, comme dans l’Inde ancienne et moderne, et dans l’Orient tout entier, où l’on rencontre toujours un mélange étrange des
« voies faciles » et des «
voies difficiles » pour réaliser l’extase mystique ou telle autre expérience décisive. Voir aussi le rôle du hachisch et autres narcotiques dans la mystique islamique, bien que les plus purs d’entre les saints n’aient pas recouru à de tels artifices. C’est à partir du 12è siècle que l’influence des stupéfiants (hachisch, opium) se fait sentir dans certains ordres mystiques persans.
On comprendra que l’extase, sous toutes ses formes, soit actuellement interdite pas le régime (surtout français, qui se dit l’inventeur de la « liberté » façon juive ou droit de l’hommiste depuis 1789), car ce ne serait pas « social » et surtout pas bon pour le commerce, ce qui revient au même, puisque social = commerce, échange, dans l’idolâtrie de la marchandise.
La « raison » et son « État de droit » triomphant, la FOLIE sera le « terrorisme » actuel qu’il faudra éliminer ou enfermer dans un asile de fous : LE GRAND ESPACE-TEMPS OU CONSCIENCE INFINIE, OU L’ÂGE D’OR, EST ÉTERNELLEMENT ICI ET MAINTENANT : les expériences de chanvre et autres drogues hallucinogènes, mescaline, ayahuasca, etc., Nous montrent à l’évidence sa réalité ; tout comme les expériences pathologiques : syndromes confuso-oniriques, bouffées délirantes polymorphes, schizophrénie ; ou simplement les rêves et phantasmes de chacun(e).
Dans l’évolutionnisme depuis le Néolithique et sa voie de l’Agriculture et donc du commerce-échangisme-socialisme, LA FORÊT ET LE SAINT CHAOS SE MEURENT, ARRIVE LES LOIS TRANSFORMANT LES COMMUNAUTÉS DE CUEILLETTE EN SOCIÉTÉS AGRICOLES, PUIS DEPUIS LA RENAISSANCE EN OCCIDENT ET SURTOUT AU COURS DU 18è SIÈCLE EN SOCIÉTÉS CITADINES, LES MIRACLES DISPARAISSENT, LES PAYSANS AUSSI, LE MERVEILLEUX OU L’IMAGINAIRE RECULE : PLACE AU BÉTON-ACIER-VERRE ET AUX SPÉCIALISTES FAISEURS DE CECI ET CELA DU « VOTRE CECI, VOTRE CELA » DE LA SOCIÉTÉ DU POUVOIR D’ACHAT.
Tout comme l’enfant, il passe des zones inconnues et interdites, aux abords de la maison, puis de sa rue, puis du quartier, puis du village ou de la ville, et ainsi de suite jusqu’au « monde » qu’il va appeler « réalité », comme si le fait de passer de l’état du chaos ou de L’INNOMMABLE à l’état du NOMMABLE par des NOMS-LES-FORMES c’était le « BIEN » (ou « l’ordre »).
En effet, ce que le mental de l’humain ne peut pas SAISIR par sa loi de succion, il le nomme INNOMMABLE. Tout ce que l’humain ne peut pas coller une étiquette sur les choses du EST il les nomme « innommables ». L’étranger étrange ou non saisissable sera alors le terroriste, l’innommable. Le Vrai qui ne pourra pas être possédé en opinion sera innommable ; la Vérité insaississable sera innommable.
Rejoint le mot SENTIMENT (OU POSSESSION, LOI DE SUCCION), qui TUE L’ESSENCE : TOUTE L’OBSCÉNITÉ DE CE MONDE VIENT NON DES CHOSES ET DE LEUR EST, DE LEUR SANS POURQUOI, MAIS SEULEMENT DU SENTIMENT OU DE LA SAISIE QU’ON EN A ET QU’ON EN SUGGÈRE PAR L'OPINION DANS LE SOCIAL ET EN CONSÉQUENCE DANS L’INCONSCIENT COLLECTIF DE GÉNÉRATION EN GÉNÉRATION.
EN SOMME, SEUL LE FAUX EST NOMMABLE (identifiable), LE VRAI EST INNOMMABLE, SALE, IMPUR…
CE MONDE REPOSE SUR L’INNOMMABLE : LE MESSIANISME : l’attente du messie ou de quelque chose d’inconnu, d’innomé et d’innommable, comme la CAROTTE attachée à distance de la tête de l’âne pour le faire avancer. C’est pourquoi l’opinion ou le salut des religions du Salut a pour stricte et paradoxale condition de son efficacité que ce salut ne doit en aucun cas advenir, comme le isme du judaïsme en témoigne d’une manière absolue.
D’UN CÔTÉ LA FORÊT (au sens des Ayahuasca, folies, rêves et des Origines, le caché) est interdite, d’un autre côté, par le Dehors, est elle artificialisée par les religions du Salut (et par les spacialistes des Dehors en tous genres d’espaces) faisant l’obscénité de ce monde qui ne vit que par son pouvoir d’achat et son résultat : LES EXCRÉMENTS, LE PRODUIT DU POUVOIR D’ACHAT SORTANT PAR LE CUL !
Note.
1. Le mot « Essence » peut se définir à travers l’entretien 363 du 20-2-1937 de
Ramana Maharshi, le guide : « Par
« guides spirituels », nous entendons ceux qui sont
« spirituels » [entre guillemets parce que ce mot est un fourre-tout] par opposition à ceux qui sont
« matériels ». L’Esprit est illimité et sans forme. Il en est de même du centre spirituel. Il n’y a qu’un seul centre de cette sorte. Que ce soit en Occident ou en Orient, il ne peut être différent ; ni être localisé d’aucune manière. Étant illimité, il inclut les guides, les hommes, le monde, les forces de destruction et de construction. Il n’y a pas de distinction. Vous parlez d’établir des contacts parce que vous pensez que les guides spirituels sont des êtres incarnés. Mais les hommes spirituels ne sont pas des corps ; ils n’ont pas conscience de leur corps. Ils ne sont qu’esprit, sans limite et sans forme. Ils sont toujours en unité entre eux et avec tous les autres ; bien plus, ils englobent tout.
L’Esprit est le Soi. Si le Soi est réalisé, ces questions ne peuvent pas s’élever ».
ESSENCE = CE QUE NE PEUT JAMAIS ÊTRE ILLUSOIRE, PARCE QUE LA SEULE RÉALITÉ.
« Le Soi ne peut jamais être illusoire. Il est la seule Réalité. Ce qui apparaît doit également disparaître, ce n’est pas permanent. Le Soi n’apparaît jamais et ne disparaît jamais, il est donc permanent ». (Entretien 363).
ESSENCE-MIROIR : le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur
akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du
jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (
ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne
antamukti (tournée vers l’intérieur). Les
shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938)
UN PHÉNOMÈNE NE PEUT EN EXAMINER UN AUTRE ; soit une forme donnée que l’on voit apparaître dans un clair miroir en pensant que l’on voit une image. La forme et l’apparence de son reflet se manifestent comme deux choses différentes. De même en est-il pour la pensée ainsi produite et pour l’objet de recueillement (saisie) appelé « reflet », ou « image » : ils nous apparaissent comme des objets différents. Bref, ces images ne sont que des pensées et rien de plus.
COMPARABLE AU TROU : dans un Trou, il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas le Trou à voir. Le sujet qui réalise le Soi ne voit pas sa propre forme ou Vraie Nature, laquelle étant sans double, DEMEURE RÉFRACTAIRE À TOUTE ENTREPRISE D’IDENTIFICATION OU DE LOI DE SUCCION : LE POUR-VOIR, LA SAISIE. Mais si le sujet ne peut voir sa propre forme comme le mental ne peut se voir lui-même, est LUI-MÊME MIROIR DIVIN, LA MANIFESTATION DU SOI, et dans cette « Forme-Miroir-Divin » il re-connaît sa Vraie nature : il ne voit pas Dieu en son Essence : la réponse donnée à Moïse est éternelle :
« Tu ne me verras pas » (
Lan tarânî). De même il en est dans le miroir matériel : en contemplant sa forme, le sujet ne voit pas le miroir, idem avec le film déroulant ses images sur l’écran : on regarde le film, on ne regarde pas l’écran : on ne peut regarder à la fois l’écran et les images défilantes du film, comme on ne peut regarder à la fois l’image qui apparaît dans le miroir et le corps du miroir lui-même. Et c’est une définition de l’Essence.
LE TROU : LÀ OÙ L’ON ENTRE SANS ENTRER (comme l’absence d’espace-temps) CE NE PEUT QU’ÊTRE L’IMPÉNÉTRABLE, L’INSAISISSABLE.
Comme tout est conscience, y compris les objets ou le monde extérieur, et qu’il n’y a pas de conscience sans un monde ou sans des objets extérieurs, RESTE À RE-TROUVER CE QUI EST ESSENCE OU CONSCIENCE INFINIE SEULEMENT (à retrouver par le « QUI SUIS-JE ? »).
ESSENCE: ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit
Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes :
« Faire usage de la conscience habituelle et répétitive [la raison], c’est faire erreur ».
[En haut de page : Le Pont d’Avignon, aquarelle esquissée de Michel Roudakoff, 1970]