Ecrit par Sechy,
le 15-04-2009 15:32
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Publié dans : Les News, Dernières news |
Tags : Argent, Banques, Bolcheviks, Business, Dictateurs, Destruction de la Russie, France, Israël, Juifs, Liberté, Pouvoir, Révolution, Russie, Sionisme, Terreur, Terroristes |
Liberté d’expression en France
En France, serions nous dans le : « Tous les animaux sont égaux, mais certains animaux sont plus égaux que d'autres », de la fable de George Orwell : Animal Farm !?
La France est en train de devenir un pouvoir aussi tordu que ce que prononce le Napoléon de la fable d’Orwell. Les uns ont le droit de dire ceci ou cela, et les autres non !
Regardez cette petite vidéo très limpide : où il serait autorisé de faire des caricatures de personnages religieux ayant existé ou non, et interdit de « caricaturer », de critiquer l’holocauste juif. Ce peuple ayant souffert à la deuxième guerre mondiale servant de fourre-tout pour prononcer des interdictions tout azimuts. Et l’holocauste Russe de la Révolution Russe de 1917 déclenché par vengeance par des Juifs ?! avec 74 ans de pouvoir Bolcheviks dont la plupart étaient des Juifs, qui ont participé à la destruction de nombreuses églises russes ? Les Américains avec l’horreur de l’esclavage des Noirs ? Et en remontant, les horreurs de l’Inquisition, et celles des Espagnoles chez les Peuples du Soleil vers 1530 ?!
Le mot Shoah est unique, car le terme est propre au peuple Juif (il découle peut-être du mot anglais : shock, choquer), il est donc sans précédent et sans équivalent dans l'histoire, comme tout génocide comme par exemple le génocide ou plutôt l’ethnocide monstrueux des Mayas et des Aztèques. Et cette Shoah donnerait au peuple juif - et donc à l'État d'Israël qui prétend le représenter - un droit sur les autres qui est lui aussi unique, un capital moral qui justifie tous les moyens employés pour assurer sa "survie" et en particulier l'occupation armée des territoires palestiniens. On peut se demander qui est le bourreau et la victime !
D'où la tendance, dans le cadre du conflit israélo-palestinien, à une inversion des termes de la relation victime-agresseur, à la présentation de l'occupant comme la victime de l'occupé, se défendant contre ce qu'il présente comme les « intentions offensives » de ce dernier. Dès lors, « la victime, c'est Israël, écrit Michel Warschawski. Ce n'est plus un peuple occupé qui combat une armée d'occupation, mais le terrorisme qui mène une guerre d'éradication contre le peuple juif. Les Israéliens se parent des attributs de la victime, une victime qui mène une lutte désespérée pour sa survie ». (D’après des extraits de quelques pages pdf du livre : Antisémitisme - intolérable chantage)
Le terme Holocauste indique : brûlé tout entier, ça indique donc un sacrifice, un génocide, aussi bien celui des Juifs que celui des Russes, etc. Et a propos de sacrifice religieux, Je trouve criminel et critiquable le fait de sacrifier au nom d’un dieu un animal innocent. Il aurait été mieux de le remplacer par un symbole fabriqué par le solliciteur : un gâteau par exemple, quelque chose fait pas la main du solliciteur. Le même problème d’ailleurs se pose, ou plutôt se posait chez l’herboriste ancien : lorsque celui-ci cueillait une plante, donc dépossédait la Terre, il volait la plante, et en remerciement il devait déposer des graines de plantes et du miel. Même chose chez les peuplades des Indiens d’Amérique, qui demandaient pardon à l’animal qu’ils allaient tuer, mais dans le but uniquement de ne pas crever de faim. C’était la moindre des choses.
Dernière mise à jour : 15-04-2009 22:58
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