La Faux de la Faucille FAUCHE comme le temps
qui coule et sa dialectique à histoire illusion
fauche les corps et leur mental.
L’un agit sur l’autre, ce sont les deux pôles de la même substance homogène, le Principe Radical de l’Univers, le REBIS. (Page 234.
La Doctrine Secrète. t.1, H.P. Blavatsky).
“Notre oeuvre dit Le Trévisan, est composée d’une racine et de 2 substances mercurielles (Mercure possédant une animation), qui étant cependant de même nature, se réduisant à un seul Principe”. (Page 402.
Dictionnaire Mytho-Hermétique, de Dom. A.J. Pernety).
Être éveillé pour passer du profane vers le sacré grâce à l’imagerie très très très rationnelle des symboles, afin d’approcher l’Instant, il n’y a que l’énigme qui rassemble en elle même les contraires, et par une absurdité apparente, l’énigme modifie la linéarité temporel du mental et de son idéation conventionnelle, en l’obligeant à pénétrer dans ses profondeurs proche de l’Unité (en une lecture en parallèle et non en séquence).
AMBIGUÏTÉ = PRINCIPE DU SYMBOLE : ils ré-vèlent : donc Nous voilent de nouveau pour, comme la Vraie Loi de succion, attirer nostre attention sur, ainsi l’Ambiguïté est-elle un excellent Outil, à deux tranchants, comme la hache ou le
« goût » double des structures, de là nostre Vision Re-naît, suivant l’idéogramme de l’Androgyne : Y, le commencement de la Source ou Vie et le Y de la
baguette du sourcier.
Goût = loi de succion dans son Ambiguïté : ou dans ou dans le Source, ou depuis les obsessions du
samskâra (tendance innée, impression) et les conditionnements du social, les limites du consommateur : O de Origine, ou T de la limitation spatio-temporel.
A-ME, A-L-Lié et nombre d’autres mots commençant par le A privatif comme A-Mour (son de mort : privation de mort) ces mots qui construisent une chose, en dénonçant son aspect conventionnel de l’inconscient collectif de la réalité mécanique à laquelle le mental est asservi, programmé.
A-cheminer n’est pas « cheminer ».
A-méliorer n’est pas rendre « meilleur » ; et le mot meilleur est l’actuelle parfaite dualité infernale Winner-Loser issue de la tyrannie de l’opinion : peser, comparer, analyser ou calculer ; mais le comparatif n’est pas le winnerisme ou superlatif :
major (en latin, qui indique :
« meilleur », le winner, comme le Maire [du village] traduit par
« le plus grand », winnerisme total ! et parfait reflet de l’Ambiguïté donc du
DANGER : au sens de
D’anger : issu de cet Ange Gardien qui Nous protège de cette Ambiguïté à tel point que certains se posent la question sur le
« sexe des Anges » (et donc de l’Androgyna)…… Par exemple sur l’Androgyne, voir la page
Actuelle horrible indifférenciation entre homme et femme caricaturant les Eaux primordiales.
L’influence androgyne des étoiles aide à soulever le voile des secrets de la Nature. (
Cyliani)
Temps et Ambiguïté = LA LUEUR nécessaire à l’Éveil permettant d’effacer le temps qui fait croire à l’existence d’une erreur, et qu’il est possible de l’éliminer, principe de l’évolutionnisme des Juifs et de leur Tiqoun et du transhumanisme tout aussi messianique qui veut A-méliorer la Nature et C’EST L’ERREUR MÊME.
LA LUEUR DE L’ÉVEIL POUR COMPRENDRE, POUR VOIR QUE L’ERREUR EST UNE ILLUSION, UNE AMBIGUÏTÉ…
Dans la Liberté du transparent et du rêche, ou du solve et du coagule, TOUT DÉPEND DU MENTAL DE L’HUMAIN, et quelque soient les illusions, le
« mieux » est de rester dans son Soi : dans l’Instant absolu, Ici et Maintenant, sans dualité Dedans-Dehors qui engendre la loi de succion… et Cordoue.
Le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il qu’il est vu ou transformé en concept de
« vrai » ou de
« vérité » ; comme on ne peut pas saisir ce qui sépare, comme s’il fallait atteindre le but, sans aussitôt être séparé de ce qu’on saisit. Comme la chanson du Cavalier de Garcia Lorca.
SINGULARITÉ, IDIOTÈS, VIERGE NOIRE ; et en singerie de démocratie : INDIVIDU (citoyen). Car le Vrai devient faux dès qu’il est vu, donc il est bien SINGULARITÉ, IDIOT ou seul de son espèce sans autre espèce, hors de la dualité Dedans-Dehors ! PARADOXE, ET AMBIGUÏTÉ
(1) DE LA RÉALISATION DU SOI OU DE SA PROPRE IDENTITÉ NON-IDENTITÉ :
Poème de Garcia Lorca, la Chanson du Cavalier :
Cordoue.
Lointaine et solitaire.
Cheval noir, lune grande,
Et des olives dans ma sacoche.
Bien que je connaisse le chemin,
Jamais je n’atteindrai Cordoue.
Par la plaine, par le vent,
Cheval noir, lune rouge,
La mort est là qui me regarde
Du haut des tours de Cordoue.
L’ici et maintenant c’est Cordoue, et le cavalier s’en trouve définitivement éloigné, privé de toute relation avec autre chose que lui ; alors il n’y parviendra pas ; il pourra s’en approcher autant qu’il le voudra, il ne sera jamais ici et maintenant, puisqu’il est LÀ-BAS. AUCUNE ROUTE NE MÊME À ICI comme on ne peut pas mettre fin au mental par le mental, comme une épée ne peut se trancher elle-même. Tout ce qui arrive est de l’ordre de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule et non de la fin : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas, c’est pourquoi il est imbécile de coller, par exemple, au mot
« république » le mot
« universelle », qui ne peut que concerner le spirituel, soit le vrai sens du mot
« politique » : « JE SUIS » (Je suis ce JE SUIS).
Le Seul Réel est ainsi étranger à toute CARACTÉRISATION : il est insolite par nature, son cours ordinaire des choses ou sa banalisation, de ses balises d’INSTANT EN INSTANT de son cours des choses devient le contraire de la banalisation : l’extra-ordinaire ! Suivant L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL :
« NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ». Parce que l’Instant est toujours extra-ordinaire en tant que solitaire (Le G de Ground, terre, et le G de Gamme et de la note de musique SOL… base de la Terre et Glèbe du Paysan et clé de Sol… De nos jours la Glèbe c’est la salariat, l’emploi, liés au capitalisme et à sa marchandise idole).
ENTRER SANS ENTRER (le Gate gate…) : Celui qui apprend la véritable nature de toutes choses et la pratique avec ardeur pratique l’entrée sans entrer : LA FIXATION CAVALANTE, il ne progresse pas de terre en terre ou de lieux en lieux. S’il est dans la non-localisation, il ne se trouve ni dans le nirvana ni dans le
samsara (cycles des naissances et des morts, monde phénoménal des noms-les-formes) puisqu’il n’y a pas de dualité donc rien à atteindre.
Fixation Cavalante : pas de contradiction entre immobilité et mouvement (de la pensée) : ainsi ces deux états se laissent-ils percevoir.
Dès qu’une pratique coïncide avec le Seul Réel, Seul Réel et pratique disparaissent.
L’Amour ou Gratuité : l’Insaisissable, l’InTROUvable, pour Nous plonger dans LA NUIT PRIMITIVE, L’ŒUVRE AU NOIR, où se confondent tous les visages : dans la Lumière des Eaux Primordiales où se réalise le SURFEU.
INSAISISSABLE : NULLE PART, C’EST POUR ÇA QUE ÇA FONCTIONNE, et qu’il peut exister un Univers, des Univers.
DÈS QU’IL Y A CRÉATION IL Y A SAISIE OU LOI DE SUCCION ET « VALEUR D’ÉCHANGE ».
INSAISISSABLE, comme le cavalier du Poème de Garcia Lorca (mais certainement pas comme le
« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » des Klaus Schwab-Harari énième peinturlure du capitalisme….
A-méliorer réparer c’est vendre et pratiquer le « mieux », le Tiqoun, l’illusion selon le principe des frères Abraham et Simon Oppenheim qui déclaraient ceci en 1840 : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent).
INSAISISSABLE = INUTILITÉ = ABSENCE DE LOI (de succion) OU DE PRINCIPE QUELCONQUE.
PANique = effroi devant le non-nécessaire, devant le non-faire/fer, ce qui soumet sa propre Liberté à la racine du mal la dualité Dedans-Dehors en se soumettant au Dehors à cette loi de succion imposée. Le refus du Gratuité ou de l’Amour (privation de Mort) est le refus du Seul Réel, mécanisme de défense quand le FAUX devient la seule raison de vivre, le Seul Réel étant trop CRU-EL, alors il faut le faire cuire dans la dialectique du temps qui coule ou histoire (à dormir debout).
L’inutilité n’est évidemment pas l’affaire des frères Oppenheim et de leur paroisse de winners !
Eh ! La paroisse ! Comment pouvez-vous inventer l’évolution alors qu’il n’existe aucune création ? Il faut tomber dans la dualité Cause-effet et donc tomber dans le temps : « L’homme rattache toujours un effet à une cause ; et puisque la cause elle-même doit avoir une cause, cette argumentation devient interminable. En rattachant un effet à une cause, l’homme est obligé de penser. Finalement, il est conduit à découvrir qui il est lui-même. Quand il connaît le Soi, il atteint la paix parfaite. Ce n’est que pour aboutir à cette perfection que l’homme doit évoluer ». (Ramana Maharshi 644, 3-3-1939).
« L’évolution ne peut se faire que d’un état à un autre. Quand aucune différence n’est admise, comment peut-il y avoir évolution ? » (Ramana Maharshi 264, 20-10-1936).
Q. : Qu’est-ce que le mental ?
M. : Un faisceau de pensées.
Q. : Quelle en est l’origine ?
M. : La conscience du Soi.
Q. : Alors les pensées ne sont pas réelles.
M. : Elles ne le sont pas. La seule réalité est le Soi.
(Ramana Maharshi 211, 19-6-1936).
Voilà pour clore la dialectique des fictions du temps qui coule.
Qu’est-ce que Cordoue, dans la chanson du Cavalier ?
C’EST LA GRÂCE, évidement non fournit dans le « kit transhumaniste ». « De nous-mêmes, nous en sommes incapables [de se concentrer] parce que le mental est faible. La grâce est nécessaire » (Ramana Maharshi 287, 27-11-1936).
Note.
1. Un peu comme le ruban adhésif du « Capitane Haddock » (
L’Affaire Tournesol). Aussi
« sac de Nœuds » comme celui d’Alexandre ou des hiéroglyphes types de l’Ambiguïté comme les œ, et æ (entrelacés) : fil-O et A-Fil-iés. Sac de Nœuds ou de la Pans-E (intestins-mental).