Page dédiée à
Pontiac (Obwandiyag), chef des Amérindiens outaouais de Détroit,
suite à la catastrophe mondiale du Traité de Paris en 1763 (perte de la
Nouvelle France
et de sa capitale Québec : la moitié des actuels États-Unis, ce qui empêchait
considérablement l’expansion impérialiste du
Westminsterisme et de ses tuniques rouges…)
1853 Napoléon III va combattre les Russes en
Crimée. Près de 100.000 soldats français vont mourir à cause du fric du Westminsterisme royal.
ALORS, ARRETEZ DE PARLER DE L’IMPÉRATRICE DU N.O.M. QUI VIENT DE CREVER : ARRÊTEZ LES MERDIAS VOTRE PROPAGANDE DE FAIRE CROIRE QUE LES FRANÇAIS « ADORENT LA REINE » (même si « elle parlait français »…).
Actuellement, on dirait que se profil le combat de l’État de Kiev ou Rus’ de Kiev contre la Moscovie que représenterait Vladimir Poutine, le TOUT comme au temps des Riourikides (avant la prise de pouvoir par les
Romanoff en 1613).
Déclaration de Balfour = Rothschild,
Cecil Rhodes, Alfred Milner.
COMMISSION PEEL = suite du sionisme pour envahir la Palestine.
MAIS, D’OÙ VIENT LE CONCEPT DE TIQOUN (RÉPARATION), SOIT LE « PLUS », OU LE « MIEUX » DES JUIFS ET TRANSHUMANISTES ? D’OÙ VIENT LE « MIEUX » DE L’ÉVOLUTION, LE TOUJOURS PLUS DU VOTRE CECI VOTRE CELA ?
« Limiter la vision des choses, y compris la matière brute, dans la linéarité du temps historique, du temps de l'horloge, entre un passé et un futur, même si on les appelle Alpha et Oméga [Teilhard de Chardin], c'est une autre façon enfantine de se satisfaire de l'explication de la Création par l'œuf et la poule [chaine sans fin de causes et d’effets, ou interminable comme les polémiques qui donne de la nourriture à l’ÉGRÉGORE À LA MODE]. C'est si peu convaincant, en faveur de l'Église, de la Création par le Verbe, qu'André Malraux, l'athée intégral, a pu faire partie du Comité de soutien de l'œuvre de Teilhard ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre n°11 à Aimé Michel le 14-2-1972).
LE TIQOUNISME EST TYPIQUEMENT CETTE CHAÎNE SANS FIN DE CAUSES ET D’EFFETS : Visram pasyati karyakaranataya (Tiré du Dakshinâmûrthi-stotra) : « L’homme rattache toujours un effet à une cause ; et puisque la cause elle-même doit avoir une cause, cette argumentation devient interminable. En rattachant un effet à une cause, l’homme est obligé de penser. Finalement, il est conduit à découvrir qui il est lui-même. Quand il connaît le Soi, il atteint la paix parfaite. Ce n’est que pour aboutir à cette perfection que l’homme doit évoluer ». (Ramana Maharshi, entretien 644 du 3-3-1939).
Les polémiques ou opinions sont parfaites pour engager dans la racine du mal, la dualité Dedans-Dehors donc maintenir le mental du chercheur ENGAGÉ AU DEHORS. « Pour orienter le mental vers l’intérieur, le disciple doit directement prendre son assise dans le ‘Je’. Alors, les activités extérieures cessent et la paix parfaite règne ». (Ramana Maharshi, entretien 518 du 27-9-1938).
CHRIST, CHRESTOS (La forme primitive gnostique pour Christ. Elle était utilisée au cinquième siècle avant J.C. par Eschyle, Hérodote et autres)
(1) = RÉALISÉ VIVANT, COMME LE MAHARSHI, COMME MAZU DAOYI (709-788 un des plus grands maîtres du chan (Zen) de la dynastie des Tang [618-907]) ; BREF, COMME TOUS CEUX QUI RÉALISENT LA NON-DUALITÉ (en Alchimie le Mariage du Roi et de la Reine ou du Mercure au Soufre).
Or les Juifs fonctionnent sur la CAROTTE attachée à distance de la tête de l’âne pour le faire avancer : ILS PROJETTENT : LEUR MESSIE NE DOIT JAMAIS ARRIVER, COMME LA CAROTTE NE DOIT JAMAIS ÊTRE BOUFFÉE PAR L’ÂNE, SINON DANS LES DEUX CAS LE MOTEUR EST CASSÉ.
CHRIST = RÉVÉLATION COMME BÉLÉNOS DIEU GAULOIS : Dieu guérisseur semblable à Apollon, maître de la Puissance (Belenus) à l’origine de nombreux noms : Belin, Blin, Bon… Remonte à une racine bel : force.
- Belisama = nom d’une Déesse, remonte aussi à la racine bel (ici
« la très Puissante »).
- Bélier : ce mot en breton connote une notion de beauté. (En référence au
Dictionnaire Français-Gaulois, de Jean-Paul Savignac). Tout tourne autour de la COULEUR BLANCHE DE L’INSTANT, la réunion des couleurs de l’Arc-en-Ciel, le TORE…
CHRIST = TROU, CELUI DU TROUVÈRE :
DANS UN TROU IL N’Y A PAS DE POUR-VOIR OU POUVOIR, DONC PAS DE TROU À VOIR :
LE BATELEUR (jeu du Tarot) EST UNE VARIATION DE CE TROU : UNE FORME DE FLÉAU, LEQUEL EST AUSSI LE MENEUR DU JEU : L’ÉQUILIBRE. Mais le Bateleur est un parfait illusionniste, un manipulateur :
il renferme aussi bien le mensonge que la vérité :
IL EST L’AMBIGUÏTÉ, L’OUVREUR DU JEU, COMME LE SACRÉ. Comme tout symbole est double le Bateleur l'est aussi et en pire ! Mais sa place dans le jeu en font un compagnon du
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi), lequel ne permet pas le Retour à la Source, donc ON NE SORT PAS DE L’UNIVERS POUR LE VOIR OU POUR, PIRE : L’A-MÉLIORER, POUR LE TIQOUNISER OU RÉPARER À LA JUIF.
DIA-ble, DIA-bolique, DIA-lectique.
DIA (à travers) = AMBIGUÏTÉ,
CONTRADICTION COMME LE SACRÉ.
DIA : à travers, comme DIAgonal, Dialogue ou Dialectique : polémiquer sans fin en vue de
« démontrer », ou démonter, une supposée
« vérité ».
ATTENTION : AMBIGUÏTÉ, DUALITÉ DE TOUTE CHOSE.
SACRÉ = ASCENSION : DIA : TRAVERSER, VERTICALE = DIA-BOLIQUE : À TRAVERS, comme parabole : juxtaposé ou en parallèle. AMBIGUÏTÉ : amphibolos, et racine hébraïque BL en force dilatante agissante comme le Centre qui est nulle part et qui augmente les choses comme les Circonférences qui sont partout comme le Christ qui est nulle part augmente les Circonférences qui SONT partout ;
mais ces Circonférences N’AUGMENTENT PAS LEUR RÉALITÉ À LA MODE TRANSHUMANISTE ET CAPITALISTE DE LA MISE EN VALEUR DU TEMPS ET TEMPLE JUIF, ELLES N’AUGMENTENT PAS DE VOLUME FAÇON ÉVOLUTIONNISME JUIVO-DARWINIEN ET DE « RÉALITÉ AUGMENTÉE » PAR MÉCANISME ARTIFICIEL. IMPORTANT…
Racine celtique BL :
- BLando : adjectif : doux, tendre (
BLati-), caressant.
- BLaros : du vieil irlandais
blar, de l’écossais
blar (animal à tache blanche sur le front), le gallois
blawr (gris) et le vieux français
bler (une tache visible sur la robe d’un animal à partir duquel a été formé le nom blaireau).
- BLatu est la farine.
- BLed, BLedinas : monstre marin, loup (à rapprocher de OUPOUAOUT : de l’Égypte ancienne :
”Celui qui ouvre la voie“, comme Bateleur du Tarot cité plus haut. Les Grecs appelaient Oupouaout
”Ophoïs”, en se basant sur la prononciation de son nom égyptien à l’époque tardive et, voyant en lui un loup, ils nommèrent la vile d’Assiout, siège de son culte :
”Lycopolis”. Réf. Maria Carmela Betro :
Les mystères de l’écriture)… Le loup est aussi symbole de la GUEULE : sens de la dualité jour-nuit et mort-vie : LOI DE SUCCION : LA GUEULE DÉVORE ET REJETTE PAR LE CUL, ELLE EST INITIATRICE, SELON LE SACRÉ DE L’ENDROIT ET LE NOM-LA-FORME DE L’ANIMAL : ici loup, là jaguar, crocodile, etc. En Égypte ancienne Anubis est appelé
Impou :
”Celui qui a le forme d’un chien sauvage”, on le révérait à Cynopolis comme e Dieu des enfers (genre chacal). Bien-sûr le loup renvoie à PANique : la terreur genre
« Grand méchant Loup ». AMBIGUÏTÉ : pour les Mahométans en chemin vers La Mecque, ou mieux : vers Damas, la femelle du loup devient
« la Bête de l’Apocalypse », donc en rapport avec LE DÉVOILEMENT, LA RÉVÉLATION, TIRER LE RIDEAU DANS LE SENS DE LE LEVER, LEVER LE VOILE…
Ramana Maharshi est proche du Christ : Emmanuel
La Schwaberie du Great Reset ou Grande Réalisation est le TIQOUN ou le
« PLUS » du toujours plus de l’évolutionnisme juif (rabbinique, puisque depuis le Christ Emmanuel le mosaïsme est terminé), et évidemment le transhumanisme juivo-anglo-saxon arrive : amplifier le mental, la raison, à la manière d’un
Jean Coutrot : rêve d’un Superman certainement dans la logique de la
« Vraie Religion », « Dieu », ou son NOM PERDU. Harari en tant que Juif, en plus gay, se situe dans la tradition du
« Nom ou de la Parole perdue de Dieu ». Leur tradition messianique attend l’ère future où les conditions seront réunies pour « rétablir l’authentique méthode de prononciation du mot JHVH (Jéhovah) l’homme rejoignant ainsi le Dieu dont il est issu, et pouvant prononcer le Mot dans toute sa puissance pour commander [sic, et utilitarisme anglo-saxon] aux forces latentes dans sa propre divinité ». (Page 115,
Rites mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, de C.W. Leadbeater, 33è degré judéo-maçon).
En tant que Juif et messianique, et évolutionniste total, comme ses confrères appelés
« marxistes », Harari place l’Âge d’Or exclusivement à la
« fin des remps », à la fin de la dialectique historique matérialiste, au lieu de mettre l’Âge d’Or aussi au commencement. Là est pour la juiverie évolutionniste et tueuse se l’Ouroboros le secret du remède à la souffrance du temps qui coule : LES TRANSHUMANISTES RÊVENT DE METTRE FIN
« À JAMAIS » À TOUT LE
« MAL » ET LA
« SOUFFRANCE » ENGENDRÉE PAR L’HISTOIRE, PAR LE TEMPS QUI COULE ;
PRINCIPE DU TIQOUN OU RÉPARATION.
Les souffrances considérées comme une
« punition de Dieu » : Adam-Ève chassés du Jardin d’Eden, marquant le déclin de l’Âge d’Or : le Grand PAN est mort… Selon leur théorie du chaos, l’augmentation du mal ne peut que provoquer la délivrance finale, de même, le militant marxiste dans sa dialectique historique, déchiffre le mal nécessaire, le signe avant-coureur du winnerisme messianique qui va mettre fin à jamais à tout le
« mal » et la souffrance historique. La souffrance engendrée par le temps qui coule devient de plus en plus insupportable à vivre dans cette civilisation à grosse mémoire et à Arche d’Alliance de data (les données du tout connecté informatique).
TIQOUN = ERREUR = RÉPARATION : VOILÀ L’ERREUR DE L’ERREUR EN ERRANT COMME UN JUIF ERRANT (après J.C.) !
Les Êtres sublimes ne voient pas d’erreur
Car au sein de l’erreur il n’y a rien de réel.
Or du fait que l’erreur elle-même, c’est le réel,
Au sein de l’erreur encore, le réel est vrai.
Être libre de l’erreur mais avoir encore
Des idées de caractéristiques,
C’est toujours une erreur, une taie
Sur l’œil qui n’est pas encore tombée.
(Soûtra de l’Entrée à Lankâ, chapitre
Compendium de tous les enseignements 43).
IMPOSTURE DU MOSAÏSME
Contrairement à ce qu’écrit le prophète rabbinique Jacques Attali (page
18 dans Les Juifs, le monde et l’argent), le judaïsme de Moïse ou
mosaïsme n’a pas inventé le monothéisme, par contre la flèche du temps
ne pouvait découler que dans leur dialectique historique, mémorielle, et
surtout dans le socialo-marchandise par leur concept de la valeur
marchande, qui donnera l’actuelle démocratie marchande animée par la loi
de succion ou eucharistie marchande et mercantile.
Pas besoin de faire des études « historiques », ni de lire nombre de
bouquins pour comprendre par INTUITION, qu’à l’aube de l’humanité le
MONOTHÉISME EST INTIMEMENT LIÉ À LA NATURELLE FÉLICITÉ, le phénomène
extatique, était déjà un « phénomène originel » ; les Yahvistes n’ont
rien inventé, ce sont des copieurs (surtout sur l’Égypte ancienne).
Inventer le monothéisme c’est lui inventer une naissance (et donc
naturellement une mort) comme le Big bang, et en faire de la dialectique
historique ou de l’historicisme (des moments), c’est-à-dire provoqué
par des modes de civilisations, dont celle du mosaïsme. Intuitivement ou
naturellement, la Félicité, l’extase était nécessairement connue par
l’humanité originelle EN SA TOTALITÉ : MONDIALEMENT et sans technologie
de « tout connecté » (voir les constructions parasismiques cyclopéennes,
les pyramides, obélisques, menhirs, etc.). Simplement ce qui changeait
et se modifiait avec les différentes formes de cultures et de croyances
spirituelles, c’était l’interprétation et la sacralité de l’expérience
extatique ou de Félicité.
Naturellement partout dans toutes les surfaces du globe terrestre, et
depuis l’origine humaine, est attesté l’existence d’un « Être suprême »
de structure céleste, qui, morphologiquement, correspond à tous les
« Êtres suprêmes » célestes des croyances spirituelles archaïques.
L’ARC-EN-CIEL et le symbolisme de l’Ascension, du Jardin d’Eden ou du
TAPIS VOLANT, de la Stargate du Gate gate… est en relation avec LES
Êtres suprêmes : Ceux d’en Haut ou Celui d’en Haut (ou Celui du Ciel).
Cette valeur est UNIVERSELLE ET A-TEMPORELLE : ÉTERNELLE, même après
« l’éloignement » de l’Être suprême laissant la place à une palanquée de
noms-les-formes lié à une utilisation forcené du mental humain, faisant
ainsi des Dieux plus « proches » ou plus familiers comme les Dieux de
l’orage, du Vent, de la fécondité, des murs, des portes, jusqu’à en
Chine un Dieu ou Déesse des fosses septiques !
Ce complexe de Dieux qu’on a pris l’habitude d’appeler « Matriarcat »
(Mère Divine ou Mère Nature, qui sera « détrônée » par le patriarcat du
mosaïsme de l’abrahamisme) amplifie encore la transmutation du Dieu
céleste en un « Dieu de maisonnée » ou PÉPÈRE (d’où peut-être la dérive
vers le patriarcat… et l’économique, la fertilité…).
Cela indique déjà un embryon de CHUTE : la perte
de l’actualité spirituelle des Êtres suprêmes célestes (ouraniens) est
parfois indiquée dans les mythes qui font allusion à L’ÂGE D’OR, AUX
EAUX PRIMORDIALES, AU SAINT CHAOS, quand la dualité Ciel-Terre n’existait
pas et que toutes « communications » se faisaient DANS L’INSTANT, ET
POUR TOUS ; QUE LES ANIMAUX SE MÉTAMORPHOSAIENT EN HUMAINS ET L’INVERSE,
QUAND LES CULTURES GERMAIENT SPONTANÉMENT ET QUE LA CHAIR DES ANIMAUX
DÉPECÉS REPOUSSAIT DANS L’INSTANT.
Mais suite à un événement du spâtio-temporel ou accident identique à la
GRANDE OXYDATION, l’espace-temps ou temps vulgaire fut créé, les Êtres
suprêmes se sont retirés « en haut », NETTEMENT PLUS HAUT…
CEPENDANT ET COMME SOUVENT ÉCRIT
SUR LE SITE, L’ÂGE D’OR, LE GRAND PAN, EST TOUJOURS LÀ, ICI ET
MAINTENANT (à ce hui on continue de parler d’« ascension », de Salut,
évidemment sans les prothèses avion et drogue pour s’envoyer en l’R.).
Le symbolisme de l’ascension ne pouvait que se trouver à l’origine de
l’humanité, et non avec l’arrivée d’une civilisation telle celle du
mosaïsme, et plus tard, avec les technologies, la consommation et
l’historicisme censés « racheter la chute ou faute », comme écrit page
18 le livre cité du prophète rabbinique Jacques Attali.
Note.
1. CHRESTOS (gr.). La forme primitive gnostique pour Christ. Elle était utilisée au cinquième siècle avant J.C. par Eschyle, Hérodote et autres. Les Manteumata pythochresta, ou les
"oracles rendus par un dieu pythique" grâce à une pythonisse sont mentionnés par le premier (Choeph. 901). Chrésterion n'est pas seulement
"le siège d'un oracle", mais une offrande à un oracle ou préparée pour lui.
Chréstés est celui qui explique les oracles,
"un prophète et un devin", et
Chrésterios, celui qui sert un oracle ou un dieu. Le plus ancien écrivain chrétien, Justin Martyr, dans sa première Apologie appelle ses coreligionnaires Chréstiens.
"Ce n'est que par ignorance", écrit Lactance (livre IV, chap. VII), "que les hommes s'appellent
Christiens au lieu de
Chréstiens". Les termes Christ et Christiens écrits, à l'origine,
Chrést et
Chréstiens, ont été empruntés au vocabulaire en usage dans les Temples des Païens.
Chréstos, dans ce vocabulaire, désignait un disciple en probation, un candidat hiérophante. Lorsqu'il en avait atteint la stature par l'initiation, de longues épreuves et la souffrance, et qu'il avait été
"oint" (c'est-à-dire,
"frotté d'huile", comme l'étaient les Initiés et mêmes les idoles des dieux, en tant que dernière touche de l'observance rituelle), son nom était changé en
Christos, le
"Purifié", en langage ésotérique ou langage des mystères. A dire vrai, en symbologie mystique,
Christés, ou
Christos, signifiait que la
"Voie" (le Sentier”, (le
Gate gate…) était déjà foulée et le but atteint, quand les fruits du dur labeur, unissant l'éphémère personnalité d'argile à l'indestructible individualité, la transformait par là en un immortel EGO [le Soi]. "A la fin de la Voie se trouve le
Chréstés, le Purificateur, et une fois l'union accomplie, le
Chrestos, l'
"homme de douleur" devenait
Christos lui-même. Paul, l'Initié, le savait, et c'est exactement ce qu'il voulait dire, quand on lui fait dire dans une mauvaise traduction :
"Je suis en gésine de nouveau jusqu'à ce que Christ soit formé en vous" (Galat. 4. 19), dont le sens juste est...
"jusqu'à ce que vous formiez le Christos en vous". Mais le profane qui savait seulement que
Chréstos était en quelque sorte lié au prêtre et au prophète, et ne savait rien du sens caché de
Christos, insistait, comme Lactance et Justin Martyr, pour être appelé
Chréstien au lieu de
Christien. Tout individu bon peut donc trouver Christ en son
"homme intérieur" [le Réalisé] comme l'exprime Paul (Ephés. Juif, Musulman, Hindou, ou Christien. Kenneth Mackenzie semblait croire que le mot Chréstos était synonyme de Soter, "appellation réservée aux divinités, aux grands rois et aux héros", voulant dire
"Sauveur", – et il voyait juste. Car, ainsi qu'il l'ajoute : "Cela fut appliqué d'une manière redondante à Jésus-Christ, dont le nom Jésus ou Joshua a la même interprétation. En fait, le nom Jésus est plutôt un titre honorifique qu'un nom – le nom véritable du Sauveur du Christianisme étant
Emmanuel ou Dieu avec nous (
Matthieu I, 23)... De grandes divinités parmi toutes les nations, que l'on représente comme expiatoires ou auto-sacrificatoires, ont été désignées par le même titre" (
Royal Masonic Cyclopoedia). L'Asclepios (ou Esculape) des Grecs avait le titre de Soter. (Article
Chrestos,
Glossaire théosophique de H.P. Blavatsky).