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Source, Racine Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-10-2022 05:13

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
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Source, Racine
Penser « Je suis Cela.
Je ne suis pas ceci » relève de
la dualité bon-mauvais ou winner-loser,
puisque Cela demeure comme l’Instant
en permanence ce que Nous sommes.
Continuer à penser « Je ne suis pas Cela »
est une faiblesse, identique à inventer
le péché style Ancien Testament, car
Cela, ÊTRE, demeure en permanence ce que
Nous sommes, tel l’Instant.
Alors pourquoi une Chute ?
Mais, pour faire du commerce !
FAIRE DE LA CONSCIENCE RELATIVE ET
DISCRIMINANTE (faire de l’opinion) !…
 
 
« Le point principal de cette Strophe 32 de l’Ulladu Narpadu, de Shri Ramana Maharshi est que lorsque les Védas nous disent que nous ne sommes QUE, nous avons le devoir de mener une enquête sur nous-mêmes afin d'en faire l'expérience et de s'en tenir à CELA ou au Soi, plutôt que de simplement penser mécaniquement que nous ne sommes pas le corps mais seulement CELA. L’enquête et la méditation finira par s'élever au-dessus de la pensée corporelle et atteindra l'état tanumanashi [mental atténué, un des sept stades de l’Éveil] à travers lequel la conscience pure peut être appréhendé directement. C'est le Cœur silencieux lui-même ». (Commentaire de la Strophe 32).

Il y a une totale différence entre le mariage du sujet avec l’objet, comme par exemple peindre à l’aquarelle un paysage et FAIRE UN avec le paysage alors le mental ou l’ego n’existe pas, mais SEULEMENT POUR LE TEMPS DE L’AQUARELLE (temps de non-mental : manolaya), icelle terminée le mental ou l’ego reprend le dessus ; alors que dans le manonâsha, le mental est mort, sa forme a été annihilée il ne peut plus se lever à nouveau. (Réf. à Ramana Maharshi).

La racine d’une plante est Maât, directe, telle la Pure Conscience Infinie, qui n’est rien d’autre qu’Elle-même, et dans laquelle il n’y a ni connaissance ni absence de connaissance : la Conscience Infinie n’est mélangée à absolument rien d’autre (principe alchimique).

La raison, l’ego ou corps est cette conscience relativiste, ce DEHORS, qui calcul tout, telle la raison du jiva (individu, âme individuelle), alors que dans le Soi, le ‘Je’ il n’y a ni ‘soi’ ni ‘autre’ ni le ‘social’. La dualité winners-losers ou le commerce : division entre « connaisseur » et « chose connue » (l’information) ne peut exister que dans cette forme de conscience relativiste limitée et illusoire appelée « raison ». Cette conscience relativiste ou raison est la caractéristique de l’ego : ON DÉPEND DE, ON REPOSE SUR, ON ADHÈRE À TELLE CHOSE COMME LE « VOTRE CECI, VOTRE CELA » DE CETTE SOCIÉTÉ DE L’AVOIR, DU « VIVRE ENSEMBLE », DU PARTI POLITIQUE ET DE LOI DE SUCCION : L’ATTRACTION ”UNIVERSELLE”.

Réaliser le Soi en se servant de la raison, de la logique, est imbécile. C’est comme essayer d’arracher l’écorce d’une pierre alors qu’une pierre ne possède pas d’écorce ; et si c’était possible, une lanière d’écorce ne peut pas retenir un gros éléphant !

La « raison » ou soi égoïque (relatif au ‘je’ ou ego à l’état de veille) fait la partie de ce monde du Dehors que l’ego-raison perçoit, or il tente de s’en servir pour « effacer » le monde, escomptant ainsi se fonder dans le monde (compter pour un, et mon voisin pour deux, et ainsi de suite dans ce monde de la quantité évolutionniste). Pourtant, il n’y a qu’une chose à faire, fermer son œil face aux eyes candy offert par le commerce du monde et se fixer sur le Soi. Mais en « effaçant le monde », le mental ne fait que masquer une irréalité au moyen d’une autre, comme l’avertissement traditionnel sur l’état d’avoir : « NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».

Tout ce qui se produit et qui est connu à l’état de veille par les cinq sens est la production de l’ego, le ‘je’. Mais si cet état de l’individu en conclu une quelconque « paix » ou une quelconque « libération », alors cette soi-disant « paix » ne mènera qu’à un remplacement par un oubli total, comme dans le sommeil profond, selon l’avertissement traditionnel ci-dessus. L’état d’UNITÉ ne se produira que par la GRÂCE dans laquelle l’illusion (des facultés) et l’oubli (les limitations) ne voit le jour. Donc toute tentative de la part de la conscience, la raison, de maîtriser l’ego et d’en faire son Vaisseau est vouée à l’échec, car le Vaisseau est toujours happé par l’attachement d’un Instant à un autre Instant ou happé plus avant dans la mise en valeur du temps par le mental et ses cinq sens. Mais, si cette conscience ou raison, la logique, s’abandonne (Putréfaction) à la Grâce Divine et le prend pour Vaisseau, l’ego en prendra un grand coup et l’On vivra la Félicité du Soi.


Tel le Cavalier de Garcia Lorca, celui qui tente d’atteindre le Soi par sa conscience égoïque ou raison personnelle ne parviendra jamais à quoi que ”ce soit”, puisqu’il voyage dans le sens inverse, en direction du monde et du mental et des cinq sens. Que nous en ayons conscience ou pas, nous sommes toujours le Soi, l’Instant. Essayer de communiquer avec le Soi, c’est comme se téléphoner à soi-même : ça sonne occupé !

Cordoue.
Lointaine et solitaire.
Cheval noir, lune grande,
Et des olives dans ma sacoche.
Bien que je connaisse le chemin,
Jamais je n’atteindrai Cordoue.
Par la plaine, par le vent,
Cheval noir, lune rouge,
La mort est là qui me regarde
Du haut des tours de Cordoue.


L’ici et maintenant c’est Cordoue, et le cavalier s’en trouve définitivement éloigné, privé de toute relation avec autre chose que lui ; alors il n’y parviendra pas ; il pourra s’en approcher autant qu’il le voudra, il ne sera jamais ici et maintenant, puisqu’il est LÀ-BAS. AUCUNE ROUTE NE MÊME À ICI. Tout ce qui arrive est de l’ordre de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule et non de la fin : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas, c’est pourquoi il est imbécile de coller, par exemple, au mot « république » le mot « universelle », qui ne peut que concerner le spirituel, soit le vrai sens du mot « politique » : « JE SUIS », c’est-dire AUCUNE POLITIQUE, puisqu’icelle ne peut que provenir du mental égoïque…

L’état du Soi : ÊTRE, comme la Racine, cesser toute pensée, surtout celle à la mode telle l’émotion qui fait ravage en ces temps de tout connecté opinionesque. L’E-motion ou le E en mouvement. Or la stabilité É-motionnelle se découvre par le Retournement de la Lumière vers le I, le Soi ou l’observation de « sa Matière » ou de la manifestation du Soi.

Le Cavalier de Lorca est comme le policier aussi voleur devant procéder à sa propre arrestation : « En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler, cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l’instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même », explique Ramana Maharshi à l’entretien 43 du 28-3-1935.
De la même manière, même entretien : « Chacun connaît le Soi [ou l’Instant], et pourtant ne le connaît pas. Étrange paradoxe ».
Et à l’entretien 615 du 24-1-1939 : « Un voisin avait anticipé la visite d’un voleur dans sa maison. Il avait pris des précautions pour l’attraper en plaçant des policiers en civil pour surveiller les deux bouts de la rue, l’entrée et la sortie de sa maison. Lorsque le voleur s’était présenté comme prévu, les hommes de guet s’était précipités sur lui pour l’attraper. Le voleur, jugeant d’un coup d’oeil la situation, s’était mis à crier : « Au voleur ! Attrapez-le, attrapez-le ! Il court par là ! là ! » Et ce faisant, il était parvenu à s’enfuir.
Il en est ainsi avec l’ego. Partez à sa recherche et vous ne le trouverez pas. C’est la meilleure façon de s’en débarrasser ». (Entretien 615).

Le seul inconscient collectif possible est énoncé dans l’entretien 92 du 7-11-1935 :
« Les perceptions sensorielles ne peuvent donner qu’une connaissance indirecte et non une connaissance directe. Seule notre propre conscience est connaissance directe : c’est l’expérience commune à tout le monde. Aucune aide n’est nécessaire pour connaître son propre Soi, c’est-à-dire pour être conscient.
L’unique totalité, infinie et indivisible (le plenum), devient consciente d’elle-même en tant que ‘Je’. C’est son nom originel. Tous les autres noms, tels que OM, ne viennent qu’après. La Libération consiste uniquement à rester conscient du Soi. Le mahâvâkya « Je suis le brahman » en est l’affirmation qui fait autorité. Bien que l’on ait toujours l’expérience du ‘Je’, l’attention doit y être dirigée [Retournement de la Lumière]. Alors seulement, la Connaissance émerge. C’est pourquoi l’on a besoin de l’enseignement des Upanishad et des Sages » (entretien 92 du 7-11-1935).
« Le mental changeant (c’est-à-dire le mental associé à rajas = activité et à tamas = obscurité) est communément connu comme le mental. Dépourvu de rajas et de tamas, il est pur et brille par lui-même. C’est la réalisation du Soi. C’est pourquoi on dit que le mental est le moyen pour l’atteindre » (entretien 100 du 19-11-1935).

Dans le même entretien 615 : « Saisissez d’abord l’ego et demandez ensuite comment il peut être détruit. Qui pose cette question ? C’est l’ego. L’ego serait-il d’accord pour se détruire lui-même ? Cette question est la meilleure façon d’entretenir l’ego et non pas de le détruire [comme dans l’exemple du policier ci-dessus]. Si vous cherchez l’ego, vous constaterez qu’il n’existe pas. Voilà la façon de le détruire ».

Comme le policier tentant de s’arrêter lui-même, l’état du Soi ne peut se Re-trouver que lorsqu’on cesse toute pensée et que l’on se résorbe au Centrum Centri, au sein du Soi.

Évidemment le Soi ne s’enseigne pas !!!
Le Soi étant au-delà de la raison et des sens, il est vain de faire des déclarations au Dehors qui laissent penser qu’on est en mesure de transmettre verbalement ou par écrit à quiconque la connaissance même du Soi !
Le Soi ne s’enseigne pas, comme tente de le faire AU DEHORS le régime républicain en exigeant l’impossible : l’Infini dans le fini du spatio-temporel, le conformisme de la révolution ou du progrès en politique étatique et capitaliste, le bonheur dans le pouvoir d’achat et les contradictions terribles de la vie mortelle, l’âme dans la matière et, malgré la laïcité le Divin dans l’humain. Exactement ce même impossible que la Grâce, le Soi nous DONNE (”Le Royaume des Cieux est en vous”, sans condition, GRATUIT, et pour tous).

De même on ne peut pas confondre la laïcité, soi-disant un état neutre pour permettre la « liberté de pensée », avec la perfection qui ne peut qu’être l’UNIVERSELLE, QUI N’EST PAS DISTINCTE DE SOI-MÊME. Donc s’il y a « laïcité » il y a division par la dualité laïcité/croyantincroyant : rien que le système de vie construit sur le capitalisme et l’unique matière sensible par les sens, et à l’état de veille, est une PURE CROYANCE-CRÉDIT-CRÉDO-CRÉANCE ; l’État est LA croyance même : l’agglomération d’individualités avec la croyance de pouvoir les harmoniser par une organisation dite « politique », nécessairement construite sur un SYSTÈME (pyramidal), telle l’administration ou gouvernement, tel l’enseignement dans les écoles de ce groupement humain étatique ; et par le capitalisme et l’aliénation par le Pour-Voir des gouvernements du régime et de ses industries privées nécessairement se forment des États dans l’État, et en évolutionnisme constant… pour aboutir à un totalitarisme en libéralisme dictatorial, ou en « capitalisme de surveillance » façon panoptique informatique = MAINTENANT C’EST LA VIE ”EN LIGNE” SOUS CONTRÔLE DU RÉGIME !!!

POURQUOI CE LIBÉRALISME DICTATORIAL en capitalisme de surveillance ?
Parce ce monde de l’après 1789 est construit sur un ersatz, sur un eye candy d’absolu qui peut facilement s’appeler OPINION. L’opinion, surtout détenue pas un Pour-Voir ou Pouvoir n’est jamais en sécurité, elle porte en elle la PEUR de pouvoir être remise en question à tout moment. Ainsi elle est toujours en position d’attaque ou de défense. L’opinions sera alors nécessairement sectaire, intolérante, dans la dualité bon-mauvais malgré ses simagrées de rituels maternalistes. Tout ce qui n’adhère pas aux valeurs de l’opinion absolutisée collectivement et conventionnellement sous le nom de « république » sera l’ennemi. (Notez que depuis un moment les administrations étatiques, et les banques, dématérialisent tout, si bien que Nous devons posséder ordinateur et smartphone ; ÉVIDEMMENT C’EST POUR MIEUX METTRE EN ŒUVRE LE PANOPTIQUE INFORMATIQUE DE BIG BROTHER (plutôt Big Mother).

 

Avant la racine du mal coupée, Nous recherchons les ultimes particules atocomiques telle « la particule de dieu », le moderne « Bon Dieu, mais c’est bien-sûr », dans la logique du messianisme de la « fin des temps », LOGIQUE DE LA LOI DE SUCCION CONSTITUANT UN INCONSCIENT COLLECTIF À UNE DATE DONNÉE, TELLE CELLE OÙ MOÏSE « REÇOIT » LES « COMMANDEMENTS » ET DANS UN LIEU GÉOGRAPHIQUE PRÉCIS (ce qui est pour le moins étrange…suspect...). Ainsi on construit nostre monde extérieur constitué en inconscient collectif de noms-les-formes dénués de toute véritable substance autre que la conscience au sein de laquelle ils se manifestent. La seule « substance », mais ce n’est encore qu’un nom-la-forme de plus ET CONVENTIONNEL, est cette Conscience qui permet au mental ainsi qu’à ses noms-les-formes, de se manifester. C’est cette Idée que peut véhiculer le terme « non-dualité ».

La racine du mal est la raison ou conscience qui calcul, qui fait dans le temps qui coule par son idéation de petits bouts de machin, en séquence, en les POUR-VOIR DEDANS ET DEHORS (par les cinq sens), en les identifiant : EN LES SAISISSANT, EN LES POSSÉDANT PAR LOI DE SUCCION, ET EN TE PLONGEANT LÀ-DEDANS TU LES OUBLIS ENCORE ET ENCORE TEL L’AVERTISSEMENT (cité plus haut). TU LES PRENDS À TORT POUR TOI-MÊME. « SI BIEN QUE TU ES TOURMENTÉ PAR LA DUALITÉ PLAISIR-DOULEUR TANDIS QUE TOUR À TOUR TU LES ACQUIERS, ET TU LES PERDS ». C’est l’horreur du FAIRE/FER de la conscience relativiste, celle du temps qui coule et de sa mise en valeur par la juiverie financière tiqouniste (réparatrice) de la City de Londres. (Pour référence aux Strophes de Kannudaiya Vallalar : La résorption dans le Soi [Ozhivil Odukkam]).

LA FIN DE LA RACINE DU MAL.
« La conscience discriminante [la raison] t’abuse lorsque tu analyses [les objets des sens] en les examinant Dedans et Dehors [la racine du mal avec le mental et ses sens], en les connaissant [en les saisissant, possédant] et en te plongeant dedans avant de les oublier à nouveaux. Tu les prends à tort pour toi-même [le ”Votre ceci, votre cela”], si bien que tu es tourmenté par le plaisir et la douleur tandis que [tour à tour] tu [les acquiers] et tu les perds [selon la mode ou l’obsolescence programmée par le capital et ses manipulations des masses]. Disciple, sache que le vrai renoncement [Putréfaction ou [RENOIERIE]/DIGESTION] est de mettre fin à tout conflit à l’élimination de l’activité de cette conscience discriminatrice [telles la raison, la logique, le calcul, le projet, la dialectique historique matérialiste, etc.] ». (Strophe 247, Kannudaiya Vallalar : La résorption dans le Soi [Ozhivil Odukkam]).

En référence à la Strophe 196, le jour où l’attraction ”universelle” ou loi de succion cesse, c’en sera fini de l’illusion pour les masses humaines, les femmes ou leurs contraires leur apparaîtront comme l’incarnation du Satam ou Administrateur, l’or métal semblera valoir encore moins de valeur que le laiton, ou que des minuscules galets de la plage, et ils mangeront ce qu’on voudra bien leur donner, sachant que se nourrir fait la partie de cette loi de succion, liée au cinq sens ; elles ne rechercheront alors aucun « aliment de choix » lié à la tyrannie de l’opinion et à la saisie et à la quantité commerciale productiviste, mais elles se conteront de manger ce qu’elles trouveront ou qu’on voudra bien leur donner afin de maintenir leur corps en « état de marche ». La peur même, d’avoir commerce avec ces choses du Dehors, fera passer les gens pour fous, leur parfaite santé mentale passant pour aliénation auprès des autres [« Sa compréhension de la Vraie Nature des appétits de ce monde, comme la convoitise de la chair[e], la soif de l’or [et du pouvoir] et le besoin de nourriture, laquelle en vérité est une manifestation de lucidité et de santé mentale, passera pour folie aux yeux de ceux qui sont encore le jouet de ces illusions », explique le commentaire de la Strophe 196].

FIN DE LA RACINE DU MAL = PANique : « Lorsque la Grâce le submergera [le jnani ou sage, le Réalisé], son corps qui sera pris de fièvre lui fera peur, et quand la Félicité poindra et qu’une divine folie s’emparera de lui, il renoncera au langage et cessera de se préoccuper de ce qu’autrui [le Dehors, le social] pourrait penser de lui [il ne redoutera plus d’offenser la société en n’accomplissant plus les rituels du conventionnel issu de l’inconscient collectif grégaristique] ». (Strophe 194).
 
 

Dernière mise à jour : 21-10-2022 06:22

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