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Comme : le Vase, le Moule Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 01-01-2023 16:51

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Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Démocrapitaliste, Diable, Dragon, Echo, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, Hararielisme, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Spontacratie, Tore, Transhumanisme, Utotalitarisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
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Comme : le Vase, le Moule
le Moule ou le Vase comme ”Trouver chaussure à son Pied”
et en sanskrit ”Pied” est synonyme du Soi, dans le conte
Cendrillon trouve chaussure à son Pied, elle est dans
ses pompes, dans son lit, dans son jus, comme dans le
dicton populaire :
”Comme on fait son lit en se couche”, donc on est
DANS LE FLUX, on est AU COURANT.
Comme : convenable, bien, respectable.
Si : la condition, la cause, ou encore : la supposition
en forme du ”Comme si”. Si : le flux, le courant,
par exemple : s’il pleuvait, s’il revient ; si, je reviens
et seulement si…
Si fait : tautologie du genre ”le jour d’aujourd’hui” :
on double ou on renforce, on certifie que. On emploie
aussi : “Oh que si !”
Ce ‘si’ est à multiples emplois (comme ‘si’ simple, et
Saint Chaos……..).
Son contraire sera le ‘non’.
 
 
COMME SI, EN QUELQUE SORTE, POUR AINSI DIRE, ET AMBIGUÏTÉ, NON NUMÉRISATION, NON DIGITALISATION, NON FIXATION. C’EST LE FLÉAU (pour tous les Pour-Voir de la planète).

Le ”Comme Si”, les facteurs de compositions ou de concepts. On fait COMME SI il y avait une Vraie Loi de Succion, puisque comme le Vrai, icelui devient faux, ou le ”fait”, conçu, dès qu’il est vu ou possédé, conçu, opinioné. On fait ”COMME SI” : le masque, le JEU du TRAVESTISSEMENT : LA PERSONA, LA COMÉDIE-SPECTRE-SPECTACLE, FANTÔME, ILLUSION.
La LOI (sens de juste, serment, opinion-religion, et ses représentants : les forts en ego et en argent ; alors combien est parlant le vieux verbe, neutre, impersonnel et égalitariste à la monothéisme républicaine et ses représentants : LOISIR (être permis par la loi).

On fait ”Comme si”, on croit au Jeu, ON CROIT À LA LOI, sinon ce n’est plus du jeu.
Le ”ON FAIT COMME SI” les enfants ne connaissent parfaitement, CE SENS DU SACRÉ : L’AMBIGUÏTÉ, L’INDISTINCTION SALVATRICE qui permet de nommer EN JOUANT un soldat de plomb : un canon, un avion, un sous-marin, une tortue, etc., et même parfois : un soldat. Alors que l’ADULTE SEMBLE COAGULÉ PAR LA LOI, IL EST ”NUMÉRISÉ” : à l’opinion de l’inconscient collectif de sa vue un soldat de plomb est définitivement un soldat de plomb : ”Circulez ya plus rien voir” lui dit SA LOI DE LA PENSÉE DU FACTEUR DE CONDITIONNEMENT.
Mais les enfants se comprennent entre eux PAR L’AMBIGUÏTÉ, L’INCERTITUDE DE LEUR PENSÉE, si bien que leurs relations mutuelles souffrent moins paradoxalement de l’ambïguïté, de l’équivoque terrible chez les adultes, les coagulés. Chez les enfants les liens de complicités, les réseaux, s’établissent d’autant plus facilement QU’ILS SONT DIFFICILEMENT EXPRIMABLES, OU DIGITABLES ; de nos jours de démence technologique les enfants sont soumis à la racine du mal : DÉTRUITS PAR LE DEHORS QUI LES SAISIT : smartphone, entertainment, société, etc..
La conscience de former un groupe qui dépend d’ordres souvent incompréhensibles, MENACÉ DANS SES JEUX, s’apparente à transformer un groupe d’enfants en une secte, une caste (la caste étant de l’ordre du spirituel, alors que la classe est de l’ordre du matérialisme).
C’est alors que l’on retrouve le ”COMME SI”, LE SACRÉ ET SON AMBIGUÏTÉ, dont le principe peut se résumer à ce qu’un saint est l’ombre d’un sorcier et un sorcier est l’ombre d’un saint : chez un saint, cherchez le diable, le Grand Administrateur, il n’est pas loin.

L’être humain (surtout occidental) est par nature HOMO RELIGIOSUS : LA DUALITÉ BIEN-MAL, LA DUALITÉ SACRÉ-PROFANE. Deux mondes qui s’interpénètrent et s’excluent à la fois (par exemple voir en France le phénomène opinionesque de ”laïcité”).
Ce bipolaire humain est inhérent À LA LOI DE SUCCION DOUBLÉE DE LA RACINE DU MAL : LE DEDANS-DEHORS QUI ENGENDRE LA SAISIE ; L’HALLUCINATION SUR L’OBJET-DEHORS (qui fera à l’âge adulte le capitalisme, le commerce-socialisme). SAISIE ou PERSONNALISATION : LE ”COMME SI”, par l’attraction de l’ENTERTAINMENT HOLLYWOODIEN DE L’OBJET DEHORS que l’humain SAISIT en le stockant dans sa mémoire (bouffe à égrégore) ; et rencontre de deux objets, Dedans-Dehors : le représentant physico-biologique ou sujet et son objet au Dehors.

Tout objet du Dehors incarne le SACRÉ par la dualité se résumant en pôles antinomiques et complémentaires : DÉSIR, RÉPULSION, qui, par là même, définit l’OPINION (le choix), dualité fascination-effroi, amour-haine, gratuit-payant, etc. IL EST LE SIÈGE MÊME DU ”COMME SI”, ou de L’AMBIGUÏTÉ INHÉRENTE À L’HOMME RÉCENT. (Notons que les psychanalystes décrivent cette ambiguïté dès les premières semaines et premiers mois de la vie humaine comme « le marché de la dualité bon-mauvais » et par là même ce qui fait fureur de nos jours : L’IDENTIFICATION, LA NUMÉRISATION DE N’IMPORTE QUOI, COMME POUR SE RASSURER, COMME POUR SE RÉ-CONFORTER.
Ainsi la RACINE DU MAL COMMENCE À LA NAISSANCE, SI ON SE CROIT UN CORPS, puisque NAISSANCE = TRAUMATISME, AGRESSION PAR LE DEHORS, REPRÉSENTÉ EN PREMIER PAR LA MÈRE ET LE SEIN, PUIS PAR UN VISAGE, PUIS UN CORPS, qui vont faire pour le nourrisson, DES OBJETS COMME SACRÉS CAR DÉTENTEURS D’UNE PUISSANCE EN DUALITÉ VIE-MORT, ET DONC QUI DÉFINISSENT AINSI LE SACRÉ.
Au début de cette croyance au corps, c’est l’objet du Dedans qui est le WINNER sur le Dehors loser.
Bons et mauvais objets sont alors le phénomène DE L’AMBIVALENCE PREMIÈRE, CAUSALE, DE L’HUMAIN SOUMIS À LA RACINE DU MAL. Alors en premier LE DEHORS APPARAÎT COMPLÈTEMENT HALLUCINATOIRE, COMME UNE DROGUE DURE, LE DEHORS EST POREUX : IL N’EST QUE RELATIF ! IL N’EST FAIT QUE DE CROYANCE, comme pour le temps, il faut une personne pour le voir et ainsi le fabriquer, car ce ”temps” ne vient par lui dire : ”Je suis le temps”.
Si bien que TOUT CE QUI EST « DEHORS » NE POURRA JAMAIS ÊTRE « OBJECTIF », MÊME À « L’ÂGE ADULTE » OU PAR RAPPORT AU «MONDE ORGANISÉ » SOI DISANT « SORTI DU CHAOS », et appelé ”civilisation” (par rapport à « l’enfant sauvage », par exemple, ou par rapport au ”primitif”, au non-croyant [cas des Conquistadors espagnols et portugais qui se croyaient ”civilisés” par rapport aux Mayas, Azrèques, etc.).

Le sujet du ”COMME SI” et donc du JEU, du SACRÉ est le SAINT CHAOS. Ici et sur quelques autres pages il ne peut qu’être survolé à grandes enjambées.
Rappel : le roi ancien était sacré, tel le Mikado qui développait une telle énergie que l’on devait briser les assiettes où il avait mangé, de peur que l’un de ses sujets, s’en servant par mégarde, voit sa bouche s’enflammer et se gangrener. De même, on devait maintenir le roi divin à l’abri de toute déperdition de son énergie, qui devait assurer le bon fonctionnement de son pays. Bref, tous les saints, mystiques, connaissent CE FEU SACRÉ, INNÉ-IGNÉ, SURFEU DE L’AMOUR DU SOI OU DU DIVIN, qui peut consumer au point que les mystiques sont parfois tenus de demander la délivrance de cette PANique (s’il CROIT en mourir……).

Dans le mot SACRÉ, sonne le mot SECRET (ou la dualité Sacré-Profane, dont le mot ”adulte” représente bien le caractère du profane, par rapport au JEU de l’enfant cité plus haut). Nostre époque est devenue complètement PROFANE, ce qui sera tout bénéfice pour l’industrie quasi religieuse de l’intertainment et du sport (les messes de fin de semaine en football et autres balles-ballons ronds ou oval et de différentes tailles)


LE ”COMME SI” : LE JEU, LE STAVROS.

Pour comprendre la RACINE DU MAL, il faut remonter AVANT NOÉ et son déluge, donc REMOTER AVANT L’ADAMISME DES RELIGIONS ABRAHAMISTES.
TOUTES LES RELIGIONS DEPUIS LA GLÈBE ADAMIQUE COLLANTE SE RÉDUISENT À LA DUALITÉ BIEN-MAL ou DEDANS-DEHORS.
Dans l’histoire de la VOIE DE L’AGRICULTURE, l’invention des États ou Nations sont soumises à cette racine du mal : le Dedans-Dehors (voir les enceintes fortifiés des villes et villages, et plus tard les châteaux forts).
POSITIF-NÉGATIF : Aryen (mâle en grec, arès, arren), le POSITIF.
Le principe NÉGATIF sera le ”COMME SI”, l’AMBIGUÏTÉ, le CACHÉ, le SACRÉ ; principe négatif caché dans la langue de Canaan : QN, kenos, qui signifie VIDE, CREUX, comme une canne (sarbacane : tube servant à projeter de petits projectiles par la force du souffle, et aussi jouet d’enfant). De là viendra le concept du MOULE et de la MATRICE, exprimé par le français COIN (morceau d’acier gravé en creux qui sert à frapper les monnaies et les médailles, donc une matrice, un sceau, une emprunte, un cachet ; on dit ”Une réflexion marquée au coin du bon sens”).
Le chiffre romain V ou QUINTUS.
L’inverse du creux, le plein, deviendra aussi bien en chananéen qu’en grec et en latin : KR, qui veut dire convexe, bélier. De là la nom de Quirinus, que les Anciens Romains donnaient à JANUS (principe mâle-femelle, ou Orient-Occident, paix-guerre, etc.).

Chez les Romains, le quiris, était un bâton terminé par une crosse, restée l’emblème distinctive de la CROSSE DU PAPE et des évêques du catholicisme né sous l’étatisme de l’Empire romain. Son temple avait la forme d’une CROIX, et chaque branches était éclairée par trois fenêtres correspondant aux douze stations solaires.
JANUS = JASON et en chananéen io-isha : ce qui désigne le SOLEIL GUÉRISSEUR (au sens de Lumière et de Cœur, de POINT, de Point Focal, de Gate gate….).

LA CROIX SERA PAR EXEMPLE LA CROISEL : lampe à quatre lobes rappelant la forme de la Croix, et symbole de la Voie Sèche en Alchimie : lecture-écriture au CREUSET ou PETIT CREUX, PONCTUELLE et par LE JEU DES CONTRAIRES : Labeur au Creuset… Notion de ”Coincidentia oppositorum”, Mariage du Roi et de la Reine, que chacun réalise dans son ”LAB-ORATOIRE”, son ATHANOR, sa VALLÉE-VASE-ENCLOS-JARDIN-TAPIS-VOLANT, SON SANS DEDANS-DEHORS COMME DANS LE VENTRE DE LA M(P)ÈRE.

La CROIX va désigner le STAVROS : la croix se lisait crux en latin, et stavros en grec [qui par dérivation donnera le symbole de la crucifixion, ”Stavros” ou ”Tavros” le poteau où les Anciens fixaient leurs lois] ; frigus en latin devenait en grec kyos, et ainsi de suite. Tous ces mots veulent dire « tressé », « croisé » (des ”COMME SI”), et par extension « fil ».
Comme Stavros = Loi, ceux qui enfreignaient la loi étaient CLOUTÉ, CLOUÉ au stavros (moins pire : suspendus par les bras attachés, le stavros des Grecs, et le hets des Juifs qui y attachaient leurs contrevenants seulement après les avoir lapidés. Marsyas le charmeur, L’ATTRACTION, est figuré au Musée du Louvre attaché à un stavros pour avoir défié un Dieu. Ce Marsyas figuré au Louvre n’est autre que JASONS LE VOLEUR DE LA TOISON D’OR. Jason-Marsyas était longtemps avant le christianisme l’emblème de toutes les villes libérées de l’État.
MARSYAS veut dire : MAIN RÉDEMPTRICE. Celui du Louvre vient de Rome et est le portait de Marius-Marsyas, qui, pendant tout le Moyen-Âge, a continué d’être le patron de la cité solaire, ou idéale, connu sous le nom de MÉNESTRELS DE MERCIE, ou MARSYAS. Lui-même était ménestrel. Prométhéé fut un autre enchaîné au Stavros : le Caucase, pour avoir volé le feu du Ciel ; dans l’Apocalypse, JÉSUS EST TRAITÉ DE VOLEUR (du Soi, évidemment !!! Dans Apocalypse III,3 : ”Allons ! Rappelle-toi comment tu accueillis la parole ; garde-la et repens-toi. Car si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur sans que tu saches à quelle heure je te surprendrai”. Passage qui évoque aussi la PANique
 
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Dans tous les temps du Néolithique et de la voie de l’Agriculture, tous les États et leurs religions en dualité du bien et du mal ont vécu côte à côte, malgré la grande loi de succion de s’exterminer mutuellement les uns les autres ; ça s’appelle aussi « la politique ». Chez les Juifs le principe mâle était sous loi de succion ÉLOHISTES, et le principe femelle sous loi de succion JÉHOVISTES.
Quirinus ressemble beaucoup à Jésus, il est resté le Dieu de la plèbe d’origine gauloise.

En haut de page : Marsyas emblème des VILLES LIBRES, sans État :
Les sénateurs arcadiens et troyens, qui se distinguaient par une lunela [chose ronde, comme une ROUE, comme la rotation d’un satellite] attachée à leur chaussure, et le ”Pied” en sanskrit ”Padam” est le symbole du Soi, et évidement un rappel du conte de Cendrillon qui a ”TROUVÉ CHAUSSURE À SON PIED”, elle a réalisé la Soi, la PIERRE. Ces arcadiens et troyens adoraient le principe féminin représenté par Vénus, mère d’Énée ; et lorsque la religion de la plèbe, fille de Mars triompha, la roue ou lunela se réfugia dans les forêts où elle reste sous le nom de LUNEL, ou BRAGANZE.


La déesse Berecynthia, en grec : ”La chienne de malheur”, a laissé son nom aux BURGONDES et à la BOURGOGNE. C’est donc de cette Déesse que descendent les SANS-CULOTTES DE 1789.
Les BURGONDES ; les armes de la Bourgogne se rattachent à Marsyas : LA VILLE LIBÉRÉE, QUI DONNERA LES SANS-CULOTTES (sans la calotte ni la soutane du christianisme de Rome donc libérés de Rome et de la papauté vaticanne et autres dogmes).
Bourgogne en vieux français évoque brague n’a, et Bourg évidemment évoque le citoyen ou le bourgeois qui habite le bourg, le ville, DONC LE SANS BOURG, LE SANS BOURGEOIS, LE SANS CITOYEN, LE SANS-CULOTTE OU SANS BOURG, SANS CITOYEN.
Alors, par quel miracle les ego du pouvoir de 1789 de cette FAUSSE RÉPUBLIQUE PRÉSENTE, ont-ils fabriqué le citoyen censé être, quasiment, un Réalisé, un Libéré, un Bienheureux et que depuis le 1789 français le paradis serait installé sur cette planète, et que la ”démocratie” serait enfin la ”fin des temps”, la Libération ???
Burgonde sonne d’ailleurs comme bure (vêtement chrétien tel celui du moine en une gros étoffe de laine brune. La couleur bure ou tannée était celle de Vénus représentée par le CUIVRE. Couleur des DERVICHES TOURNEURS (leur bonnet) mais aussi des Juifs. Pour les Tourneurs, voir les pages sur la TOUPIE (1), la Chaise d’Isis, etc.).
Bure : gonna en italien, gown en anglais, et le vieux mot gaulois braie : pantalon gaulois large, en latin braca, bracae, braces, en espagnol braga. Ce vêtement largement répandu dans le monde ancien sera évincé par l’impérialisme romain et grecque par le drapé méditerranéen.
Un drapé à rapprocher de la ROBE DE FEMME. La buregonde est encore un déguisement des sorciers de comédie théâtrale. Au Moyen-Âge ils étaient presque tous juifs ou gitanos et ils transmirent leur radicalisme aux sans-culottes de 1789, LES FAUX MARSYAS ET LEURS VALEURS RÉPUBLICAINES, EN CREUX, EN DICTATURE TRAVESTIE (principalement la dictature de l’argent et de la saisie, dictature de la loi de succion, la vulgaire).
Le fondateur des Derviches étant Rûmi, il prônait déjà la destruction de la racine du mal et de la vulgaire ou physique loi de succion en la croyance au corps, dans le Matnawi (2).


RAPPEL : LA LIBÉRATION EST AU-DELÀ DU COUPLE ÉLECTRIQUE NÉGATIF-POSITIF : LE SANS POURQUOI EST AU-DELÀ DU COUPLE. SEUL LE COUPLE FERA DE LA MAGIE AVEC SON ”COMME SI”, TELS LES RÊVES : ”Les choses sont faites du même tissu que les rêves”, écrivait Shakespeare, donc là encore toute facilité avec la technologie de se construite un CYBERUNIVERS où effectivement « VOUS NE POSSÉDEREZ RIEN ET VOUS SEREZ HEUREUX » (avec vos objets connectés, puisqu’ils ne vous appartiennent plus : ils sont en connexion…) ; ON REJOINT AINSI LES FAUX SANS-CULOTTES DE 1789….



Notes.
1. Toupie, rejoint aussi la HACHE à la fois arme et outil. En anglais hache se dit AX, AXE, comme le Centre de l’Univers. L’Axe est un symbole fondamental, comme l’essieu plus tard nous donnera le CHARIOT. L’essieu supporte la totalité du poids du chariot ; il est fixe et les deux roues tournent sur les fusées. Donc nous avons une triade (voir la Triskell celte avec le signe du S cher à l’art gaulois, et spirale d'une GALAXIE.....), et l’idée de « roue » ou chose qui tourne ou figure un cycle, un rythme, évoque les cycles lunaires et solaires, l’ombre courant sur un cadran solaire indiquant une PÉRIODE, etc.
La Vacuité est représentée par l’immobilité du Vide au centre du moyeu-Axe d’une roue qui ne cesse de tourner : comme la TOUPIE. Le Centre est nulle part (et la Circonférence est partout).
La ROUE (spirale...) est probablement LE DÉPASSEMENT DE LA THERMODYNAMIQUE…….

Le FUSEAU tourne uniformément entraînant la rotation de l’ensemble, comme un éternel retour. Le symbolisme du Fuseau est celui du destin : sans pitié ni sentiment, les Parques filent et défilent le temps de la vie : le double aspect de la vie, Involution/Évolution révèle le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). Le pouvoir de Dieu est aussi celui du Dia-ble : à travers, les deux se confondent, comme les Parques, dans ce pouvoir de la mort qui est d’annuler ce qui a existé, de faire en somme que ce qui existe n’est pas d’existence. Ainsi : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264 du 20-10-1936). Comme si la nécessité de la mort résidait dans la non nécessité de la vie…

2. LOI DE SUCCION DANS LE MATHNAWÎ, LIVRE CINQUIÈME 719-752 : « Un petit oiseau chassait un ver : un chat saisit cette occasion et s’en empara. L’oiseau était dévorant et chose dévorée, et, absorbé dans sa chasse, ne savait pas qu’il y avait un autre chasseur.
Bien que le voleur chasse des objets, cependant le chef de la police avec les ennemis du voleur sont sur ses traces.
Son mental est occupé avec les biens, les verrous, la porte : il est inconscient du préfet et du tumulte qui s’élève à l’aube. Il est absorbé par sa passion pour le gain qu’il ne prend pas garde à ceux qui le recherchent et le poursuivent.
Si l’herbage boit l’eau pure, ensuite l’estomac d’un animal s’en nourrira.
Cette herbe est dévorante et décorée : il en va ainsi pour toute chose qui existe, excepté Dieu. Étant donné qu’Il est Celui (dont il est dit) : Il vous nourrit et n’est pas nourri, Dieu n’est pas dévorant et dévoré, comme la chair et la peau.
Comment ce qui est dévorant et dévoré serait-il en sûreté contre ce qui dévore et qui réside dans une cachette ?
La sécurité de ceux qui sont susceptibles d’être dévorés traîne le deuil à sa suite ; va vers le Portail [le « Gate gate pâragate… » de l'Éveil] de Celui qui n’est pas nourri.

Chaque imagination dévore une autre imagination [surtout dans cette tyrannie de l’opinion] : une pensée se nourrit d’une autre pensée [chaîne sans fin de l'idéation]. Tu ne peux être libéré de toute imagination ni t’endormir de façon à t’évader complètement. Tes pensées sont comme les frelons, et ton sommeil comme l’eau (dans laquelle tu es plongé) : quand tu t’éveilles, les frelons reviennent.
Et maintes imaginations pareilles à des frelons volent et t’emportent tantôt ici, tantôt là.
Cette imagination est la moindre de ceux qui dévorent : le Tout-Puissant connaît les autres [Zéro indien…]
Écoute, enfuis-toi loin de la troupe de tous ceux qui dévorent, vers Celui qui a dit : « Je suis ton protecteur » [équivalent de la Parole du Christ : « Qui perd sa vie la gagne »].
Ou vers celui qui a acquis ce pouvoir de protection, si tu ne peux te hâter vers le Protecteur Lui-même. […] Tu as pris pour guide ta raison qui est devenue infantile, étant voilée par le voisinage de l’âme charnelle [la tyrannie de l’opinion, l’égrégore du moment, surtout celui de la folie du sanitaire en 2020-X, celui du réchauffisme allant avec l’aliénation de l’économie tout azimut consommateur sous prétexte et à la suite du covidisme et du réchauffisme se poursuivant avec la ”guerre en Ukraine”].
[…]
L’avidité pour la chasse fait oublier qu’on est soi-même une proie [le citoyen la proie des élections et des virus, du politisme, de l’inflation économique fabriquée et des banques et de la SAISIE OU LOI DE SUCCION] : le chasseur s’efforce de gagner des cœurs [du consensus], alors qu’il a perdu le sien ».

[En référence pour certains mots à : Grasset d’Orcet : Œuvres décryptées, vol.1]
 
 
 

Dernière mise à jour : 01-01-2023 18:04

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