Deux mondialismes :
Mondialisme à la Rockfeller (libéralisme)
Mondialisme à la gauche (socialo-communisme), style Chavez et Gorbatchev. Fusion du monde socialo-communisme, et tous les continents sont touchés. (Voir le phénomène des
thing tank et par exemple la
Fabian Society, association d’intellectuels de la classe moyenne anglaise, dont a fait partie Annie Besant). Hors la fusion du communisme avec le capitalisme est d’une logique imparable, puisque le communisme s’est toujours appuyé sur le capitalisme par la force des choses. Comme think tank il y a aussi le
CFR (Council on Foreign Relations). En gros, ces think tank élaborent des systèmes sans s’occuper du peuple.
On a aussi le phénomène religieux : celui du judaïsme, qui dit qu’il faut créer trois piliers mondiaux : le Nord-américain, l’Europe, et Israël. Mais ça ne va pas sans le monde musulman, et il faut donc le « modifier » pour être en harmonie, c’est-à-dire, selon les termes de Pierre Hillard, créer un
Vatican 2 Musulman. On sait que le monde devait s’adapter au catholicisme, au monothéisme, à la royauté du Christ, d’où la datation du décompte du temps à partir de la mort du Christ des Chrétiens, d’où l’Inquisition, d’où la destruction des Peuples du Soleil (Mayas, Aztèques, etc.).
Le mondialisme me rappel le départ de la société matérialiste et de l’ère de la productivité : l’unification du temps ou sa rationalisation par le roi Charles V : en 1370 il ordonne que toutes les cloches se règlent sur l’horloge du Palais Royal, qui sonne les heures et les quarts d’heures. (D’après Jacques LE GOFF, dans :
Pour un autre Moyen Âge, chapitre
Temps et Travail, page 76).
Pour résumer et simplifier, le grand fautif c’est le temps... ou ce que nous pouvons en comprendre, tellement le mot temps est aussi complexe de savoir ce qu’est la Matière... la notre. On aboutira donc à une véritable DICTATURE (celui qui n’est pas d’accord avec moi est contre moi !), dictature de la société de consommation renforcée à la puissance X, avec le fric qui va avec pour ceux qui détiennent le pouvoir.
Mais ici le dictateur, par rapport au modèle que fut Joseph Staline, ne sera pas unique mais constitué d’un groupe de personnes, déjà en route pour fabriquer de la spiritualité, pour modeler le psychisme des humains, pour les pétrir, d’où la technique du lavage de cerveau qui s’est là aussi déjà mise en place.
Ainsi nous allons vers la disparition des États souverains, nous allons vers de simples frontières administratives, comme si les États devenaient des départements avec un flou « artistique », c’est-à-dire le pouvoir de remodeler les frontières selon les intérêts du moment.
En ce qui concerne la France et sa désastreuse élection comme Président de Nicolas Sarkozy, beaucoup de ceux qui ont voté pour lui doivent maintenant s’en mordre les doigts, car il on voté pour une marionnette destinée a assurer la mise en place du mondialisme, ce que dit parfaitement Sarkozy lui-même dans
une vidéo à l’ONU.
Pierre Hillard estime qu’un dirigeant politique digne de ce nom doit pouvoir contrôler le système financier de son pays, ce qui ne veut pas dire qu’il fait ami ami avec le pouvoir économique, puisque il est le chef d’un État il doit avoir la main mise sur les décisions finales. Ce qui n’est plus possible actuellement puisque le pouvoir politique et le pouvoir économique est confondu et conduit donc à la catastrophe ; les chefs d’États actuels sont des marionnettes au service du pouvoir économique. P. Hillar cite l’exemple de Philippe Le Bel et des Templiers devenus un état dans l’État, ce qui les a perdus. Si Philippe Le bel a pu agir sur le pouvoir économique détenu par les Templiers, c’est qu’il était roi... mais il a reçu aussi l’appui du pouvoir religieux, ce que ne dit pas ici P. Hillard.
A l’heure où l’on parle de droits d’auteurs et de la
connerie HADOPI pour mieux construire ce mondialisme, le groupe
Bertelsmann a tué une multitude de petites entreprises de production de disques, et est donc fautif en partie du problème du piratage, et du mondialisme, puisque ce groupe tend aussi à une uniformisation de la culture, et en plus déborde sur le domaine politique... Tout de même, au cours de la seconde guerre mondiale, le groupe Bertelsmann a été le plus gros producteur de la propagande nazie. Ce groupe a aussi des relations avec la redoutable think tank :
le Club de Rome , a mettre dans le même groupe que les
Bilderberg.
Voir aussi le
contrôle de l’esprit exercé par Obanania, lequel est champion de la devinette :
dire ce que tout le monde espère entendre et ne rien dire de ce qu’on n’aimerait pas entendre. Obanania n’est qu’une page blanche ou chacun peut y voir ce qu’il veut, comme une « Auberge espagnole ». Il n’y a pas de plus puissante manipulation de l’opinion. Mais il sait employer les techniques modernes de
neuro-linguistique (PNL) pour charmer l’auditoire. Ces techniques sont beaucoup employées dans le domaine du business. Les semblants « d’ouvertures » proposées par Obanania pourraient être des leurres.
Voir aussi la vidéo sur
les marionnettes DSK, Kouchner, etc.
M. Roudakoff
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