Bref, le VRAI Médecin ne doit pas procéder
de cette façon républicaine qui se croit
« universelle », pour tous, comme cette
médecine industrielle allopathique.
De ce fait, il n’est absolument AUCUNE
VALEUR, AUCUNE VÉRITÉ qui, représentant le
SALUT pour les uns, peut signifier l’enfer
pour les autres ; c’est typiquement l’actuelle
dualité WINNERS-LOSERS encouragée par tous
types d’élections de ”suffrage universelle”
qui de ce fait ne peut qu’augmenter cette
dualité winners-losers et ainsi
augmenter le chaos.
Tout universalisme par son isme devenant
un système, un régime étatique, tombera dans
l’effroyable dilemme toujours non résolu du
Moi-Individuel/Moi-Collectif.
C’est pourquoi la SEULE MÉDECINE reste le :
QUI EST CE ‘JE’ QUI AGIT ?
Et la réponse au plus profond de son Être
sera alors le VRAI SENS DU MOT
« VALEUR », le SANS DEDANS NI DEHORS(1).
Le DEHORS, c’est le social : le FAIRE/FER
QUI ROUILLE, parce que le social bouffe du
POUR-VOIR : il veut voir, SAISIR, CE QU’ON
FAIT, la ”valeur de l’action ou du dehors”.
Pour la société en premier c’est ce qu’on
fait qui ”compte”, donc CE QUI SAUTE AUX
YEUX : LE EYES CANDY, LA COUVERTURE SOCIALE
SUPERFICIELLE, LE POUR-VOIR et ainsi
les ”réseaux sociaux” si peu sociaux, mais
dans la logique de la société fourmilière où
la REINE devient les industries du capitalisme
devenant quasiment une DÉESSE de ce social
fabriqué, une valeur artificielle acoquinée
à la « valeur républicaine ».
LA REINE (République) EST OBÈSE.
Et au bout de la ”Fin des Temps”, le faire/fer
engendré par des paroles et des mains ignorantes
de leur Soi aura inévitablement des effets
catastrophiques.
C’est ce qu’il se passe actuellement et de
plus en plus sévèrement par rapport aux
dizaines de siècles passés.
Alors il n’est pas étonnant pour une conscience
actuelle que tout ce qu’elle ne peut pas
SAISIR, IDENTIFIER, NUMÉRISER, passera pour du
TERRORISME, pour de la FOLIE, pour ”ennemi de
la liberté”, parce que c’est CACHÉ, INSAISISSABLE.
L’humain veut ”ça-voir” la ”matière noire” du
big bangisme, alors qu’il ne connaît toujours
pas SA Matière !
Le Faire/Fer (karma) peut être accompli pour
la gloire (winnerisme), ou par désintéressement,
ou pour le bien public, mais même dans ce cas la
loi de succion vulgaire fera son effet par la
dualité du sujet bouffant son objet : l’approbation,
bouffer de l’acceptation, du consentement comme lors
d’élections, réclamer des applaudissements, des
encouragements, donc ”en avoir pour son argent”,
pour son agrément.
Quelle est la Nature de la ”Force” ?
- M. : La même que celle de la limaille de fer attirée par l’aimant.
La force est intérieure et non extérieure [le scribe de cette page souligne]. Râmakrishna [grand Saint] était en Vivekânanda [son disciple]. Si vous pensez que Vivekânanda était un corps, Râmakrishna en était un aussi. Mais ni l’un ni l’autre n’étaient des corps. Vivekânanda n’aurait pas pu entrer en samâdhi [absorption totale dans la contemplation] si Râmakrishna n’avait pas été en lui.
- Q. : Pourquoi doit-on souffrir quand on est piqué par un scorpion ?
- M. : Quelle est la cause de l’apparition du corps et du monde ?
- Q. : Elle fait partie du mental cosmique.
- M. : Laissez alors le mental cosmique s’en occuper.
Si l’individu désire savoir, qu’il découvre son Soi.
- Q. : Les mystères yoguiques, tels que boire de l’acide nitrique, avaler des poisons, marcher sur le feu, etc., sont-ils dus à un certain état vibratoire ?
- M. : Laissez le corps physique [du monde EMPIRIQUE à la
John Locke et ses suivants républicains] poser la question. Vous n’êtes pas physique. Pourquoi vous préoccuper de ce que vous n’êtes pas ? Si le Soi avait une forme, il pourrait être affecté par des objets. Mais le Soi n’a pas de forme, par conséquent il est immunisé contre tout contact avec les choses.
(
Ramana Maharshi, entretien 164 du 24-2-1936).
Quelle est la Nature de la ”Force” ?
« Au cours d’une conversation, le Maharshi expliqua : « Qui désire la Libération ? Tout le monde ne désire que le bonheur – le même bonheur qui se trouve aussi dans les jouissances sensorielles. Un guru, à qui fut posée cette question, répondit : “C’est exact. Ce bonheur qui résulte des jouissances des sens est le même que celui de la Libération. Et le désir de Libération est une des quatre conditions pour y parvenir. Il est commun à tout le monde. Et de ce fait tout le monde a droit à cette connaissance – la connaissance du Soi”.
En fait, il est probable qu’aucun homme au monde ne possède toutes les qualités de perfection nécessaires à l’aspirant spirituel, telles qu’elles sont mentionnées dans les Yoga-sûtra, etc. La poursuite de la connaissance du Soi ne doit pas pour autant être abandonnée.
Chacun est le Soi de par sa propre expérience. Cependant, il n’en prend pas conscience. Il identifie le Soi au corps et se sent malheureux.
Cela est le plus grand de tous les mystères. On est le Soi. Pourquoi ne pas rester dans le Soi et se débarrasser ainsi des souffrances ?
Au commencement, on doit enseigner au débutant qu’il n’est pas le corps, parce qu’il croit qu’il est uniquement le corps, alors qu’il est le corps et tout le reste. Le corps n’est qu’une partie. C’est cela qu’il doit comprendre en définitive. Il doit d’abord dissocier la conscience du non-conscient afin de n’être plus que la seule conscience. Plus tard, il réalisera que le non-conscient n’est pas séparé de la conscience.
C’est la discrimination (viveka). La discrimination initiale doit persister jusqu’au bout. Son fruit est la Libération ». (Ramana Maharshi, entretien 192 du 3-6-1936).
Quelle est la Nature de la ”Force” ? Et s’il n’y a personne pour l’éprouver, ou une personne pour la voir, existe-t-elle ? Dans le NIRVANA il n’y a personne. Seul est concerne le monde empirique d’un John Locke.
Depuis le 1789 français, le
« libre arbitre » est mis en
”valeur” sous le packaging du soin
”République” et sa
”liberté d’expression”. Mais,
LE LIBRE ARBITRE ET LE DESTIN existent TOUJOURS. « Le destin est le résultat des activités passées ; il concerne le corps. Que le corps agisse comme il lui convient.
Pourquoi vous en préoccuper ? Pourquoi y prêtez-vous attention ?
Le libre arbitre et le destin durent aussi longtemps que le corps. Mais la sagesse (jnana) les transcende tous deux. Le Soi est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Lorsqu’un événement se produit, c’est la résultante des diverses activités passées, de la volonté divine et d’autres facteurs ». (Ramana Maharshi, entretien 193 du 3-6-1936).
En vérité, la médecine République EST LA PARFAITE PASTEURISATION DE L’HUMAIN (transhumanister l’humain, le rendre
”zéro défaut”). Cette médecine républicaine, c’est le
DORG (Demain On Rase Gratis), aussi développée dans les laboratoires des Schwab et Harari, par leur vaccine :
« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux », ce comble de la possession !
MÉDECINE RÉPUBLICAINE = PAPIER TUE-MOUCHES, PASTEURISATION = PERTE DE LA LIBERTÉ MORALE NATURELLE À CHAQUE ÊTRE.
« Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée. Car je suis venu mettre la division entre l'homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère : on aura pour ennemis les gens de sa famille ». (Matthieu 10, 34-36). Là encore c’est le
DEHORS(1) assimilé à la
« douceur de la vie » en
forme de COUVERTURE SOCIALE, EN FORME DE PASTEURISATION-HYPNOTIQUE, CES « VALEURS DE LA RÉPUBLIQUE » QUI SONT VÉRITABLEMENT L’ENNEMI : SI TON ŒIL VOIT TOUTES CHOSES (identifie, saisi toutes choses en leur corps), TON OREILLE ENTEND TOUTES CHOSES, ET TON MENTAL SE RAPPELLE TOUTES CHOSES (socialisme en ”devoir de mémoire”), EN VÉRITÉ, DANS TOUTES CES CHOSES DU DEHORS, TON ÂME EST DÉTRUITE, TU APPARTIENDRA À LA MATRICE « RÉPUBLIQUE », TU AURAS PERDU TA LIBERTÉ MORALE PRIS QUE TU ES DANS LES RÉSEAUX DU DEHORS TEL UNE MOUCHE PRISE DANS LA TOILE D’ARAIGNÉE, OU TEL LE CONSOMMATEUR PRIS DANS LA TOILE DES RÉSEAUX SOCIAUX DE L’INDUSTRIE.
L’Être libéré ne compte que sur la DONNÉE, la VALEUR, de sa Vraie Nature dans le sans Dedans ni Dehors quel qu’il soit. Seul un crétin s’intéresse AU DEHORS, à la culpabilité des autres, à laquelle il ne peut rien changer !
La Vraie Médecine est évidemment ORGANIQUE, et non politique étatique : c’est moins le médecin qui guérit que le docteur qui guérit. C’est moins le médecin que la conscience organique qui soigne ; car la conscience organique ou raison est toujours responsable de la maladie ou de la guérison. Le médecin ne fait que simuler-stimuler, MALGRÉ la conscience organique. Comme le dit le Maharshi :
”Vous n’êtes pas le corps”. Donc quand ce sera enfin compris, Lourdes sera comprise, le Christ sera compris, les Vrais Chamans seront compris et la médecine deviendra, ENFIN, rationnelle (en accord avec la réalité relative, avec le psychosomatique tel qu’il peut être connu).
Quelle est la Nature de la ”Force” ? Et s’il n’y a personne pour l’éprouver, ou une personne pour la voir, existe-t-elle ?
Pour inventer la Vacuité, et proférer ces mots
« ni être ni non-être », il faut le contraire de la vacuité !!! Dans le spatio-temporel d’un John Locke ou d’un libéralisme, le sens de la négation ni-ni se révélera au moyen du spatio-temporel de l’idéation qui s’agrippe à des identifications distinctives, or elles sont absentes dans la Vacuité ou le nirvana (outre-souffrance). Le sens de la négation ni-ni se révélera par une connaissance intuitive, atemporelle, laquelle a pour objet la Vacuité, elle transcende tout déploiement d’idéation dans le spatio-temporel corporel qui différencie toutes choses en sujet-objet.
C’est ici qu’intervient la MÉDECINE-ENSEIGNEMENT :
Afin d’enseigner quelque chose, un concept ou une coagulation, un
”fixe” est nécessaire, mais, si le concept ou le fixe en vient à être saisi ou devient une COAGULATION, quelque chose de CONCRET, alors l’enseignement lui-même en est invalidé. Par conséquent, le concept ou coagulation qui vient d’être créé doit être immédiatement détruit.
« Dès que l’encre est séché, nos formules [ou lois] sont fausses » disent les Anciens Chinois de l’École du Dhyâna (contemplation).
(GRAND PRINCIPE ALCHIMIQUE DU FIXE ET DU VOLATIL).
Les termes :
”Vide”, Conscience ou Vérité absolue, ont les mêmes inconvénients faisant tomber dans le mondialisme ou dans le WINNERISME À L’ANGLO-SAXON. D’où la préférence universelle du
« N’EST PAS X », sur lequel l’imagination de l’ego créatrice d’IMAGES, et de symboles, a peu de prise ou de loi de succion, comme une sorte de PONT entre les concepts spatio-temporels et une XIÈMME DIMENSION, comme une sorte de SIGNIFIANT….
Comparable au sens du mot FLÉAU, de la balance ; comparable au TROU : la vision de la VÉRITÉ ne peut se faire que dans le TROU, et comme dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir. Le Trou symbolise le
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
Toujours, toujours OUVRIR LES PORTES. NE JAMAIS ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT.
Si vous rencontrez le Messie, TUEZ-LE, car nul ne peut prétendre être « Messie » et alors se prendre pour le TROU… et imposer sa loi, sa coagulation de ”Fin des Temps”…..
Si vous êtes soumis à MÉDECINE universelle injection-injection de la république mercantile des industries du capitalisme, DÉTRUISEZ-LES !
Note.
1. - Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME
« FIN DES TEMPS » !].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(
Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)