Gate ou Transparence :
« avoir le ”chic” », dit une expression populaire, ou
« Chic, chouette ! » (la chouette, oiseau nocturne en relation avec la lune, et encore à ce hui divinité de la mort, aussi cette expression
”chouette” inconsciemment doit faire référence au
SURFEU OU VÉRITABLE ÉTAT D’ÊTRE : la nature des choses consiste en les choses et en elles seules) ; avoir le chic ou avoir la transparence, la facilité, la liberté, être en harmonie avec ce qu’il convient. Bref, chic renvoie à l’Amour, à la Gratuité, à la Félicité, au Soi. Le français du Moyen-Âge dit :
chiche : 1175, du bas grec
kikkon, au figuré : un rien. Chiche : avare, le fait d’être chiche ; un
chiche-face était un homme maigre et avare.
Un chicot est une pointe. Son radical est en catalan
xix, qui se prononce
”tchiche”, en auvergnat
”tches” ou
”tchet”, et répond au vieux français
mie ou
rien. De là l’espagnole
chiquito (petit) ; l’auvergnat
chétit et le français
chiche ; en grec
kyklos (pépin).
CHOUETTE ou un, une aigle : OISEAU PHÉNIX, COMME PTAH A LA FACULTÉ DE SE FÉCONDER LUI-MÊME, soit la personnification du temps qui coule ou Androgyne, enfantant de lui-même l’œuf d’où sortait
Éros. De là la superposition des deux sexes (chez l’Androgyne) qui décorent nombre de poteries troyennes (fouilles de Schliemann, voir ci-dessous). Dogme de l’androgynisme rayonnant sur tout le monde antique, et 20 siècles plus tard, Socrate devait se suicider à boire la ciguë pour l’avoir divulgué (selon Grasset d’Orcet,
Œuvres décryptées, vol.2, page 51). Ceci,
avant que la classe de marchands de ceux qui copyrightaient le monothéisme qui s’étaient approprié les dépouilles d’une caste sacerdotale dépossédée : ils réussirent, dans leur Ancien Testament, à copier scrupuleusement et à compiler ces anciennes légendes
MAIS EN EN PERDANT COMPLÈTEMENT LE SENS ! (Deux périodes : de Moïse à Salomon, et de Salomon à l’ère chrétienne). CETTE CASTE SACERDOTALE DE MARCHANDS, DE COMMERÇANTS, ET DE LEUR ANCIEN TESTAMENT VA FAIRE DE SON
EIN SOF LE
POLITISME LE PLUS DUR AVEC SON CULTE DE L’ÊTRE SUPRÊME LE PLUS FERME MAINTIENT DE L’ORDRE, ENCORE PUISSAMMENT À L’ŒUVRE À CE HUI : SOUS LA FORME D’UNE SINGERIE DE JEHOVAH (
deux Jehovah. Voir aussi la page
Les Juifs mettent en valeur le temps mais).
Dans toutes les langues
« chic » exprime quelque chose de très petit, de presque rien, de très pointu, comme l’extrémité d’une racine, bref, un PIVOT, UNE TOUPIE. C’est ce pivot qui est le symbole d’Isis, surnommée
« La Chaise ». Isis signifie la lettre
X, et est essentiellement celtique et veut dire en égyptien comme en gaulois =
« une chaise » (
sessa en gaulois). Aussi Isis porte toujours une chaise en guise de coiffure.
Et le « chic du capitalisme » C’EST LA NANOTECHNOLOGIE DANGER MORTEL POUR L’HUMANITÉ, à cause de la puissance des « petiotes chouses ».
Fuseau, Toupie, écheveau (même Thème que la Chaise d’Isis, écheveau, du 15è eschevel, du latin
scabellum (tabouret), dérivant vers escabeau, par extension
« dévidoir », puis
« écheveau »). Voir
eschiele et
eschale en français du Moyen-Âge qui signifient : échelle, escalier, escalade, et sorte de
PILORI où l’on exposait les criminels.
Pilori ou Bâton, Axe. La croix se lisait
crux en latin, et
stavros en grec [qui par dérivation donnera le symbole de la crucifixion,
”Stavros” ou
”Tavros” le poteau où les Anciens fixaient leurs lois : voir les Pierres-Lois ou
Édits du roi Asoka].
Shiva linga, comme toutes pierres dressées ou Menhir (gravure en haut de page), soit le Thème des Divinités en fuseau. Les Dieux du fil et de la corde étaient qualifié de
« funestes », le fil représentait en effet le dernier degré de l’exténuation du jour et de la vie ou la mort. Ces Divinités ont toutes la tête ceinte d’une fil ou d’une bandelette (PTAH est enveloppé d’une bandelette) et tiennent à la main une lance ou une mince baguette de myrte (PTAH tient le
ouas), qui a même signification. Même symbolique que ce qui a une extrême ténuité : aiguille, épée, épine, voile. De là les noms de Tanit (l’exténuation) ; Athena (l’épine ou l’aiguille qu’on donnait pour femme au Dieu fil.
Grasset d’Orcet dans :
Archéologie mystérieuse, vol.1, chapitre
Paphos, ses monastères et la fête de Vénus : « Le nom de ce Dieu [celui du Thème de l’artisanat du tissage], qui figure plus fréquemment sur les vases grecs, est précisément le radical de
« Covocle » : KO, KV, KVS
(1), en latin
Ceus. Il s’écrit par l’ancienne forme du K et de l’X, qui est une croix. La prononciation de ce signe cruciforme était multiple au possible, mais toujours double, comme khr, phth, khsi, iks, ist, etc. ; en un mot, c’était un véritable idéogramme, que chacun prononçait à sa façon, comme nos signes numériques actuels. Ainsi la croix se lisait crux en latin, et stavros en grec [qui par dérivation donnera le symbole de la crucifixion,
”Stavros” ou
”Tavros” le poteau où les Anciens fixaient leurs lois] ; frigus en latin devenait en grec
kyos, et ainsi de suite. Tous ces mots veulent dire
« tressé », « croisé », et par extension
« fil » (3).
Le lingam de shiva étant l’équivalent du E trident des Divinités de l’EAU
(2) : Neptune, Chalchiuhtlicue, de Shiva, voir le
Caducée d’Hermès, voir aussi la profondeur sans fin du mot
« DÉVERGONDÉ » : D’E vers gond d’E, depuis le E (matière trinitaire) vers le pivot ou Shiva-chaise du I (CHICOT). Donc Retournement de la Lumière ou Retour à l’Unité depuis et par le déploiement des dimensions physique de l’être, et par le d’E-sir, ou à partir du E, comme l’enseigne la Tapisserie de la Dame à la Licorne.
AURORE ou ÊTRE : L’UNIQUE CHOSE AU MONDE OÙ L’ON NE S’HABITUERA JAMAIS, DONC LE SEUL ANTI-SYSTÈME POSSIBLE ! ET QUI EST LA BELLE AU BOIS DORMANT QUI S’ESTROPIE EN SE PIQUANT À UN
FUSEAU? ET QUI DEVIENT LA MÈRE DU
« PETIT JOUR » ET DE LA
« BELLE AURORE » ? MAIS LA BELLE ESTROPIÉ OU VÉNUS DE MILO (la Servante ou
EVE complémentaire de Ptah devenue manchote, et esclave fugitive de l’Hadès (Ptah Maître du Royaume des Morts pendant la nuit, dont certains vont faire l’enfer).
EVE, EAU OU TROU : LE RIEN DU TOUT….
LE TROU EST BIEN LA SEULE CHOSE EN CE SPATIO-TEMPOREL À LAQUELLE ON NE S’HABITUE JAMAIS VU QUE DANS UN TROU IL N’Y A PAS DE TROU À VOIR. C’EST POURQUOI LA RÉELLE EXISTENCE EST INSOLITE (PANique) OU SPONTANÉE (STUP) PAR NATURE. Celui qui voudrait l’organiser sera le Diable, le Grand Organisateur ou Grand Architecte, Grand Administrateur et sa FINANCE.
LE SEUL RÉEL = LE TROU : tout ce qui est déjà et dûment recensé, voir prévu dans ses moindres détails, en viendra nécessairement à SUR-PRENDRE PARCE QU’ELLE EST L’INSTANT OU ABSENCE DE TEMPS : LE TROU, LE GATE GATE, LA TRANSPARENCE, LE VITRIN, LE FLUIDE OU LE VOLATIL : L’EAU.
Les Grecs Anciens sont dans la droite ligne du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). Les Grecs Anciens ne tombaient pas dans le Big Bangisme comme actuellement : le CAUSISME (ou causalité). Selon les Grecs Anciens leur religion des Mystères n’admettait pas de « création ».
Un Gate Gate contenu dans le ”Bouclier d’Achille” décrit par Homère : Bouclier ou CALENDRIER DE L’ÉTERNITÉ. Homère voyait l’Océan noir. Le Noir ventre du monde.
REMARQUE : la
”civilisation” actuelle tournée vers le Dehors, vers la racine du mal la dualité Dedans-Dehors entrainant la saisie, est hautement ANTI-RÊVE, ANTI-FANTASME : son imagination réside au DEHORS DANS DES MACHINES À
EYES CANDY (des drogues de la société de consommation : qui BRÛLENT). La
”civilisation” actuelle est ANTI-GRAND TEMPS, ANTI-ÂGE D’OR, donc ANTI-RÊVES (les expériences de drogues hallucinogènes, Ayahuasca, Iboga et autres, nous montrent le Seul Réel de l’Âge d’Or : tout comme les expériences pathologiques : schizophrénie, bouffées délirantes polymorphes, etc.).
TOUT LE MONDE DOIT MOURIR : ET ÇA, C’EST L’OPTIMISME ABSOLU, ALORS AUTANT S’ENTRAINER, SANS LA RACINE DU MAL : ce culte de la culture occidentale qui montre des images de morts à toutes heures et en toutes saisons, alors qu’en même temps son DEHORS lui fourgue de l’éternité et l’intelligence artificielle à travers la gueule comme si c’était le paradis, la
”fin des temps”, la
”Liberté”….
Cette
”civilisation” EST CONDAMNÉE, pour la simple raison que : QUI DIT POUR-VOIR OU POUVOIR QUI ABUSE DE POUR-VOIR ET EN ÉVOLUTION PERMANENTE, si bien que le TRANSHUPMANISME NE PEUT QUE DÉBOUCHER SUR LE SADISME EN FORME D’EUGÉNISME OU DE WINNERISME comme c’est déjà le cas entre RICHES-PAUVRES (oligarchie/masses). TOUS POUVOIRS sont à double faces, comme le SACRÉ :
les choses sont en ”COMME SI”.
NOIR de la PUTRÉFACTION, en Égypte ancienne couleur de la terre fertile et des nuages noirs gonflés de pluie. Noir des Eaux Primordiales et profondes contenant la vie latente et la vie tout court.
Le SURFEU exprimé par le 13 du TAROT : LA MORT : cette mort ou Putréfaction prélude à une nouvelle naissance et fauche les images des fictions et frictions sur l’écran blanc. Fauchant la vie illusoire, l’Arcane 13 est ce SURFEU de la Vie réelle.
Le nombre 13 succédant au nombre 12 introduit un Nouveau départ, un Temps Nouveaux.
LE NOIR BRILLANT EST IDENTIQUE AU BLANC BRILLANT (la pierre de la Mecque, elle aussi est d’un noir brillant. Le Noir avec un profonde patine aux reflets ROUGEÂTRES, par exemple qui recouvre les statuettes du Gabon gardiennes des sanctuaires où sont conservés les crânes d’ancêtres.
Au profane, ce même Noir brillant et rougeâtre est le Noir Moreau des coursiers de la tradition populaires russe, symbolisant l’énergie de la jeunesse.
NOIR + BLANC = LE MILIEU : L’HUMAIN, LE FLÉAU, YIN ET YANG.
LA MANIFESTATION EXTÉRIEURE DU PRINCIPE BLANC DE L’INSTANT APPARAIT NOIRE ET INVERSEMENT, de même qu’elle est inversée par réflexion sur le miroir des Eaux.
NOIR = SUBSTANCE UNIVERSELLE, LE SAINT CHAOS ORIGINEL.
Temps-qui-coule = E-motion = URBAIN ET SPEED et développement de l’ARTIFICE par les médias, les machines remplaçantes du salariat (certains jobs), le
”vivre ensemble” artificiel du tous connecté des machines des industries du capital et la sexualité perverse qui constituent le milieu urbain et bétonné, qui déshumanise l’être humain.
MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN = MISÈRE MENTEUSE APPELÉ « DÉMOCRATIE » OU « LIBERTÉ », GRAND STIGMATE DE VRAIE PAUVRETÉ ET DE FAUSSE OPULENCE APPELÉE ”POUVOIR D’ACHAT” ET CITOYEN (habitant des villes, contribuable-usager et électeur du régime).
VILLE C’EST VIL (ignoble ET ROULER LES MÉCANIQUES = la Vraie Nature de ses habitants ou citoyens DISPARAÎT dans l’emploi des clichés et des
« Plus ça change et plus c’est la même chose » qui se succèdent dans leur langage lui aussi mécanisé en une indistinction de la langue des deux W elle aussi mécanisée par la finance internationale. En France avant la première guerre mondiale, les Paysans utilisaient encore des mots venus du fond des siècles, alors que l’homme de l’urbain les avait déjà oubliés.
Voici une définition possible de la personnalité du
Vrai OUVRIER FRANÇAIS, CELUI QUI OUVRE OU ŒUVRE, donnée par Hyacinthe Dubreuil, dans son ultime livre :
J’ai fini ma journée, page 9.
Même si cet Ouvrier avait
”un caractère”, il ne s’est pas laissé intimidé par un winner, un chef qui s’est comporté en
”peuple élu”, en winner, en rabaissant l’Ouvrier en l’appelant
”MON BRAVE”. « Il dit alors à son chef : ”Pourquoi m’appelez-vous
« Mon brave » ? - Mais j’ignore votre nom. - Eh bien moi, quand je m’adresse à quelqu’un dont j’ignore le nom, je l’appelle Monsieur ». C’est sans appel, sans Pourquoi, et ça renvoie à notre époque de société fourmilière, d’indistinction mondialisée, d’inclusivisme en
”vivre ensemble” où on vous lance dans une radio d’État (
France-info) :
« Salut à tous » ; Nous sommes loin de l’ancien :
« Bonsoir Mesdemoiselles, bonsoir Mesdames, bonsoir Messieurs », que l’on pouvait encore entendre dans la TSF (le poste, la radio) des années 1950, peut-être l’âge d’or de la TSF avant la débauche de la télévision aux débuts des années 1960 !….
Comme écrit si justement Hyacinthe Dubreuil : « Ceux qui ont toujours vécu dans le confortable matériel, et surtout dans une position
« honorable » [la pyramide hiérarchique du monde capitaliste et républicain], ne peuvent pas comprendre le rôle secret du sentiment et de l’humiliation dans le comportement ouvrier [le Vrai, pas celui de ce hui qui disparaît invariablement remplacé par les machines et les
”intelligences artificielles” du capital, speed, rentabilité du productivisme et de la saisie obligent].
Le VRAI OUVRIER DE DUBREUIL EST L’ÉMOTION AU SENS NATUREL ANCIEN DE MÈRE-VEILLE, MÈRE DIVINE, VIERGE NOIRE ET CHRISTIQUE,
REMPLACÉE DE NOS JOURS PAR LE JUDÉO-MUSULMANISME EN ENVAHISSEUR ISSU DU JUDAÏSME QUI QUALIFIAIT LES ANCIENS CULTES DU TOUT ET SES REPRÉSENTANTS DE « PROSTITUÉS », D’« IDOLES », AVEC ÉVIDEMMENT PASSAGE DU MATRIARCAT AU PATRIARCAT.
GUERRE HÉBREUX CONTRE PAÏENS JUSQU’À NOS JOURS = LA RENTE (mémorielle) OU LE COMMERCE, LA RAZZIA (mode arabe et sens de tribu(t)s : l’économie barbaresque : Afrique du Nord) PERPÉTUELLE DE LA HAINE-GUERRE CONTINUÉE PAR LE MUSULMANISME D’UN SUPPOSÉ
« DERNIER PROPHÈTE » ET DOUBLÉ BIEN AVANT PAR LE CURAILLON DE L’ÉGLISE DE ROME ET CES CONCILES
(4).
Le Païen sera toujours dans le sens de l’ouvrier qui ne se laisse pas faire, décrit ci-dessus par H. Dubreuil.
PAR(ISIS) SHIVA LINGA
par Miki-Michel-Archange
par la Vierge Noire et
l’enfant CHRIST.
MÊME QUAND ON NE DORT PAS : ÊTRE « COUR »
(au sens Maât ou directe, POINTE ou INSTANT
sans dualité temporelle sujet-objet :
”N’EST PAS X”).
ON NE DORT PAS : ÊTRE « COUR » : D’OR-MIR :
« RESTER TRANQUILLE » (la Paix : couché :
État de TURIYA, être dans son lit, dans son jus,
dans son Soi sa Vraie Nature,
son Être véritable : PADAM, pied en sanskrit)
« Soulèvements de la terre »,
ce n’est pas PAR(ISIS),
ces personnes ne réclament pas l’abolition du salariat, de l’argent et de l’État ! Mouvement politique dans la tradition du CONFORMISME RÉVOLUTIONNAIRE : dissous un jour par l’état, rétabli un autre jour par l’État ; c’est donc toujours dans le cours des
”Plus ça change et plus c’est la même chose”.
Le VRAI RADICAL EST ATEMPOREL ET ÉTAIT DÉJÀ ÉNONCÉ DANS LA TRADITION CABIRIQUE par le Thésée étrusque,
l’OUVRIER ou DOMESTIQUE VOLEUR, soit PROMÉTHÉE LE FEU, AVEC ATHÉNÉ le principe humide. Mais ce Prométhée est celui qui est cloué à la CROIX. Personnage la troisième face de la Trinité cabirique, celui qui est mis à mort par les deux autres, pour l’expiation des
”péchés du monde”. Soit Passé et Futur ne meurt point car insaisissable ;
Prométhée-Christ étant l’INSTANT, et donc AUSSI INSAISISSABLE, IL DOIT PASSER PAR LE
SURFEU, D’OÙ SON ASPECT OU SA VARIATION EN PROMÉTHÉE, SOIT PASSER LA STARGATE OU LA GATE GATE, LE ’N’EST PAS X’ DE L’A-VENIR,
LE LIÉ À LA CROIX DU POINT FOCAL, À LA CROIX DE LA CROISEL (ci-dessous) LE POINT FOCAL OU ”POINT DU LE I” DU
”UN POINT C’EST TOUT”. Pour Thésée voir aussi la page
Hermès-Trismégiste-Archange-Michel.
C’EST PAR(ISIS) LA CHAISE.
L’État, l’argent le salariat et la marchandise c’est vraiment la
”dernière roue du carrosse” qui ne concerne que le ventre et le frigo. TOUT EST INVERSÉ DEPUIS DES MILLÉNAIRES, LE POINT FOCAL, LA CHAISE, EST COMPLÈTEMENT OUBLIÉ, seul l’identification au corps semble préoccuper cette civilisation du Monothéisme unilatéral républicain et matérialiste.
Notes.
1. Textes avec des termes grecs précédés dans leur structure consonantique. Grasset d’Orcet remplace certaines lettres tombées dans l’oubli par leur équivalent latin : le C et le F, par exemple, pour le qoppa, et le digamma (F avec le son w).
2. L’eau (EVE) est en rapport avec la vie spirituelle et elle est un signe de renaissance, de régénérescence. Des sources, des fontaines ou des puits sont toujours à proximité de vie des Vierges Noires, évoquant le Retournement de la Lumière (Réalisation du Soi).
3. Trame et toile de l’Araignée maîtresse de l’espace. L’Alchimie énonce que le Labeur ou Labour de l’Alchimiste est un
« Travail de femme », donc un TISSAGE de la vie, un
« JEU D’ENFANT » (parce qu’en dehors des idées reçues et du conventionnel). Une broderie où les Traits de Fil sont appelés
« points » (le
stavros cité plus haut) ; broder signifie aussi amplifier une fiction (
”en remettre” une couche).
4.
UN RÉSULTAT, EN EUROPE PRÉTENDUMENT CHRÉTIENNE DEPUIS LE CLOVISME :
- Concile d’Arles en 452 :
« Si sur le territoire d’un évêque, des infidèles [sic] allument des torches, ou vénèrent des arbres, des fontaines ou des pierres, et que l’évêque néglige d’extirper ces superstitions, qu’il sache bien qu’il est coupable. Quant à l’organisateur de ces pratiques, si, averti, il ne veut pas se corriger, qu’il soit privé de communion ».
- Concile d’Orléans en 533 :
Canon 22 : quelques-un continuant les anciens errements fêtent le 1er janvier, d’autres portent à manger aux morts pour la fête de Pierre et mangent des légumes offerts au démon, d’autres vénèrent certains rochers ou des arbres ou des sources. Les prêtres doivent détruire ces superstitions.
En 554 le roi
Childebert 1er renouvelle l’ordre de détruire les idoles et les mégalithes.
- Concile de Tours en 567 :
Le deuxième concile de Tours ordonne de chasser de l’Église ceux qui honorent certaines pierres, arbres et fontaines en des lieux sauvages et cachés au fond des bois. Il interdit les fêtes du jour de l’An (auxquelles il substitue un jeûne solennel et la fête de la Circoncision), demande aux prêtres de ne point manquer de corriger [sic] par censure ecclésiastique (excommunication) ceux qui, retenant encore des restes de paganisme, offriront des viandes aux morts, ou mangeront la chair de ces animaux offerts en sacrifice ou encore feront des cérémonies inconnues de l’Église auprès des lieux païens.
La liste de ces Conciles inquisiteurs antique police politique et antiques SPIN DOCTORS étatique est longue, jusqu’à Charlemagne qui en 789 et 800 promulgue des édits et ordonne la destruction de toutes ces pierres et ces eaux (fontaines curatrices), auxquelles les populations continuent de rendre un culte.
AU NOM D’UN DIEU-DÉSIR-EUCHARISTIE ON TUE, ON
”HOLOCAUSTE” (on immole, on sacrifie) DONC
ON TROC (comme les échanges à Wall Street).